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Les assemblées dominicales en l'absence de prêtre

Mathieu, Gilles 20 June 2021 (has links)
Ce mémoire aborde une réalité liturgique qui a surgi récemment dans le vécu de L'Église du Québec et qui s'y enracine de plus en plus, c'est-à-dire les Assemblées dominicales en l'absence de prêtre. H importe de bien comprendre cette réalité nouvelle qu'il est demandé à des communautés chrétiennes d'accueillir, de cerner ses principaux enjeux à la fois théologiques et pastoraux, de la situer historiquement, d'envisager les conditions concrètes de sa mise en œuvre. II importe surtout de saisir comme de L'intérieur cette réalité nouvelle afin de nommer le plus clairement possible la mystagogie qui lui est sous-jacente et l'appel incontournable qu'elle comporte de l’Eucharistie.
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La "participation active des fidèles à la messe" : réception et mise en application par deux groupes de musiciens au Canada français (1950-1954)

Laflèche, Chrystine 26 February 2021 (has links)
La musique liturgique est au coeur de ce mémoire. Elle en constitue même le sujet, sous l’angle de la participation active des fidèles à la messe. Cette notion apparue au début du XXe siècle dans les documents officiels de l’Église catholique fera du chant liturgique un important instrument de la pastorale liturgique. Suite à la parution de l’encyclique Mediator Dei en 1947, deux mouvements de musique liturgique se distinguent nettement au Canada français : le mouvement grégorien et celui du cantique populaire. Ces deux mouvements sont l’objet de notre étude. Il s’agit donc d’analyser le répertoire de chacun de ces mouvements sous l’angle de la participation active des fidèle à la messe. Liturgie, musique et participation active représentent les principaux éléments qui composent ce mémoire. Les trois premiers chapitres en dégagent les principales composantes ainsi que leurs divers aspects et le dernier chapitre présente les groupes de musiciens qui représentent les deux mouvements tout en mettant en relief les caractéristiques de leur répertoire respectif. Le résultat de cette analyse démontre que la situation actuelle est grandement tributaire de la réalité de cette époque et permet également de mieux cerner la cause des problèmes actuels.
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Le rite institutionnalisé : la gestion des rites religieux par l'Église catholique du Québec, 1703-1851 / Gestion des rites religieux par l'Église catholique du Québec, 1703-1851

Perron, Alain 24 April 2018 (has links)
En histoire religieuse la pratique officielle a généralement été considérée comme un indice utile à la mesure de tendances d'adhésion plutôt qu'en elle-même. Cette recherche postule, au contraire, que le rite est un objet culturel fondamentalement historique, multiplement appréhendé, employé, investi. Elle propose d'étudier la manière dont il est utilisé par l'Église, dans la construction de sa propre identité comme institution sociale d'une part, et comme outil privilégié pour la diffusion de normes comportementales dans le corps social d'autre part. Du point de vue de la méthode, on s'écarte du partage figé entre une «religion d'élite» et une «religion populaire», pour proposer une analyse dynamique des modes de représentation du monde, de normalisation des pratiques et de définition des groupes. Le rite offre l'occasion de pénétrer en profondeur les mécanismes qui ordonnent ces phénomènes, non pas uniquement au travers des idéologies dévoilées, mais par l'analyse du fonctionnement des dispositifs rituels. Les rites sont envisagés comme un ensemble d'énoncés qui portent avec eux des stratégies de pouvoir. La démarche est double, cherchant à la fois à déterminer la manière dont fonctionnent concrètement les dispositifs de contrôle, mais aussi à révéler les représentations, construites et partagées, qu'ils véhiculent. Les travaux anthropologiques fournissent l'essentiel de l'appareillage conceptuel. Sans proposer une application trop immédiate de modèles définis pour décrire la ritualité d'autres univers culturels, la recherche utilise en particulier les travaux de Clifford Geertz, Emile Durkheim, Claude Lévi-Strauss. L'analyse est conduite selon trois axes. Dans un premier temps, il s'agit de dégager, par un examen des discours ecclésiastiques auxquels le rite a donné lieu, les contours d'une idéologie cléricale du rite qui fait la plus grande place au concept d'efficacité. Une seconde étape identifie les principales structures qui portent le contrôle que l'Institution exerce sur le rite: le rôle du prêtre, l'inspection des lieux et des choses, la création et l'utilisation des livres liturgiques. Enfin, la troisième et dernière phase de l'analyse cherche à cerner la manière dont l'Institution exerce concrètement un contrôle sur les représentations culturelles par la médiation du rite au travers des trois pôles fondamentaux que sont le temps, l'espace et le corps. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le théâtre religieux en animation pastorale scolaire au secondaire

Bouchard, Jeanne January 1990 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La collégiale de Saint-Julien de Brioude (Haute-Loire) : Recherches sur les liens entre l’architecture ecclésiale, son agencement iconographique, et la liturgie d’une communauté canoniale au Moyen Âge / The collegiate church Saint-Julien at Brioude (Haute-Loire) : Researches on links between church architecture, its iconographic layout and the liturgy of a canonical community in the Middle Ages

Vivier, Fabien 05 February 2014 (has links)
Cette thèse se constitue de deux analyses statistiques qui sont mises au service de l’étude de l’identité culturelle de Saint-Julien de Brioude. Riche d’un luxuriant passé, la compagnie de Brioude entretenait un réseau de relations complexes. Les arts et la liturgie ont constitué notre support pour l’étude identitaire du chapitre. L’étude du bréviaire brivadois nous a permis de montrer l’originalité de la liturgie brivadoise. Cette liturgie n’était pas aussi clermontoise qu’on le présumait jusqu’à présent. Née d’un métissage mêlant la tradition liturgique aquitaine et vellave, la liturgie de Brioude avait été dotée de pièces de chants et d’oraisons propres. La mise en scène spatiale des reliques participait à la typicité de la collégiale que les pèlerins visitaient. À côté du tombeau de Julien, d’autres corps de saints et des reliques faisaient l’objet de dévotions. Le programme sculpté de la collégiale avait été pensé en deux temps. Souvent fidèlement liés aux sujets iconographiques utilisés dans le diocèse de Clermont, les chapiteaux de Brioude avaient été agencés en fonction des zones divisant l’espace ecclésial. Ces zones gigognes se voisinaient en faisant concurrencer l’agencement des reliques, du mobilier et des images. Le chevet faisait dialoguer l’iconographie du Saint-Sépulcre et des croisades avec le tombeau-reliquaire de Julien et les autels secondaires. Les sculptures étaient utilisées comme de véritables signalétiques s’animant autour du drame liturgique. Les images participaient à la constitution d’un espace mémoriel participant à la mémorisation liturgique de l’histoire.Cette étude offre des perspectives dépassant le cadre de la monographie. Liturgie et arts peuvent fournir des éléments de compréhension concrets à propos des échanges culturels et des aménagements de l’espace ecclésial. L’origine familiale des chanoines avait déterminée cette zone (le Brivadois) située à la confluence de l’Aquitaine auvergnate et du Velay (zone tampon avec l’Empire). Le chapitre de Brioude placé au milieu des deux, sans être central, en avait tiré les bénéfices culturels et un rayonnement propre. Le chapitre de Brioude avait ainsi pu façonner sa collégiale afin de célébrer la compagnie canoniale elle-même et le saint dont elle détenait les reliques. Attirer à elle les foules permettait à la compagnie aussi bien de faire perdurer la mémoire du saint patron que de leur procurer les ressources essentielles à leur fonctionnement. La collégiale était réalisée comme un marqueur du paysage déterminant une identité architecturale attractive. / This thesis is made up of two statistical analyses which are at the service of the study of Saint-Julien de Brioude’s cultural identity. Having had a lush history, the Brioude Company kept a complex web of relationships. Both, art and liturgy, were the frame for the identity study of this chapter. The study of the Brivadois breviary proved how unique the Brivadois liturgy was. Unlike what was thought at first, such liturgy was not as close as to that of Clermont-Ferrand. Born from the blending of liturgical tradition from Aquitaine and Velay, the Brivadois liturgy was endowed with singing pieces and specific orations. The spatial staging of the relics partook of the collegiate’s specificity the pilgrims visited. Next to Julien’s gravestone, other Saints’ bodies and relics were subjected to devotions.The collegiate’s sculpted program was designed in two times. As they were often faithfully linked with the iconographic subjects used in Clermont’s diocese, Brioude’s capitals were put together in accordance with the areas dividing the ecclesial space. These nested areas were next to one another and highlighted the differences between the relics, the furniture and the images. The chevet intertwined Saint-Sépulcre’s iconography, along with its Crusades, with Julien’s reliquary gravestone and the secondary altars. The sculptures were used as genuine signage livened up around the liturgical tragedy. The images took part in the setting up of history’s liturgical memorial space.This study gives new perspectives which go beyond the monographic frame. Liturgy and arts can provide us with tangible understanding elements regarding the cultural exchanges and the layout of the ecclesial space. The canon’s familial origin determined this area (the Brivadois) located at the confluence of Auvergne’s Aquitaine and the Velay (buffer zone with the Empire). From the Brioude chapter located between these two, without being central, it extracted the cultural benefits as well as a very own standing. The Brioude chapter thus managed to shape its collegiate so as to celebrate the canonical company itself and the Saint whom she possessed the relics from. Attracting the crowd enabled the company to carry own the patron Saint’s memory and to provide themselves with the essential resources to make it operate. The collegiate was undertaken as a landscape’s landmark determining an attractive architectural identity.
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De la ville à léglise : musique et musiciens à Liège sous Ernest et Ferdinand de Bavière (1581-1650)/From the city to the church : music and musicians in Liège under the reign of Ernest and Ferdinand of Bavaria (1581-1650)

Corswarem, Emilie 11 March 2008 (has links)
Cette réflexion historico-sociale sur la vie musicale liégeoise est élaborée en cinq grands volets. Son schéma structurel sapparente à un jeu de zoom, alternativement ouvert sur la musique disséminée dans la ville, resserré sur les églises liégeoises et sur lagencement liturgico-musical qui y prévaut et enfin largement redéployé sur le mouvement des musiciens dans lEmpire et la ville de Rome. Un dictionnaire biographique des musiciens actifs à la cathédrale Saint-Lambert de Liège entre 1580 et 1650 et/ou au service dErnest et de Ferdinand, doublé dun catalogue des uvres des compositeurs actifs à Liège et à la cour des princes-évêque constitue une annexe importante au travail. Les « ruptures sonores » créant lévènement dans le quotidien bruité de la ville ont fait lobjet dune analyse dans la première partie de létude en vue de souligner le rôle actif de la musique et du son. Il sest agi de déterminer si la mobilisation des agents sonores en des moments donnés participait à une redéfinition, même temporaire, de la configuration urbaine. Le « bruit » a été envisagé comme un instrument entre les mains des différents agents qui, tour à tour investissent des lieux-clé de leur présence et les transforment en « lieux sonores ». Le fonctionnement institutionnel de la maîtrise de Saint-Lambert a été déterminé dans la seconde partie de la thèse. Le dépouillement de fonds darchives a mis à jour des données de référence rendant désormais possibles des comparaisons avec dautres chapitres canoniaux. Les procédures de recrutement, la polyvalence des détenteurs de charges à responsabilités musicales, la place laissée à linnovation, les modalités déchange avec les autres institutions de la ville et la circulation du répertoire ont été successivement examinées. Envisager le positionnement de lEglise liégeoise au sein du mouvement de la Réforme catholique permet dapprocher la musique sous un nouvel angle. Lapproche liturgique exposée dans le troisième volet du travail offre des clés de lecture pour lanalyse, tels le positionnement des musiciens face aux révisions liturgiques entreprises alors et limpact de laffirmation du culte liégeois sur le rayonnement des compositeurs. Elle savère indispensable à la compréhension du répertoire manuscrit compilé à la cathédrale. Dans les deux dernières parties de la thèse, les mouvements des musiciens dans lEmpire et en Italie ont été envisagés. En suivant le prince dans ses déplacements entre les différents évêchés dont il a la charge, on peut saisir quelques traces de son usage privé de la musique. A lanalyse traditionnelle focalisée sur le protecteur amateur de musique, a été substituée une étude centrée sur lopportunité pour les musiciens du cumul de dignités de leur mécène dans lEmpire. Il sest agi de déterminer comment la personne du prince et les relations familiales de celui-ci peuvent faire office de « tremplin », son cumul de dignités devenir un facteur démulation. Le dernier volet du travail a enfin permis de mesurer lactualité du voyage formatif à Rome, den étudier les modalités et dexaminer léventuel soutien des institutions liégeoises à un tel perfectionnement musical. La reconstitution de la carrière de quelques personnalités actives dans lUrbs a mis en évidence les stratégies individuelles et la mise à profit par les musiciens des échanges entre les confraternités germaniques, Santa Maria dellAnima et Campo Santo Teutonico.
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L'Encens et le luminaire dans le haut Moyen Age occidental: liturgie et pratique dévotionnelles / Incense and lighting in high Middle Ages: liturgy and devotional uses

Gauthier, Catherine 13 May 2008 (has links)
Cette recherche étudie l'importance de la liturgie et de la paraliturgie dans la société médiévale par le biais des utilisations et de la symbolique de l'encens et du luminaire dans la liturgie romano-gallicane (VIe-Xe s.)et dans les pratiques dévotionnelles du haut Moyen Age occidental.<p><p>L’importance de l’Église dans tous les aspects de la vie au Moyen Âge est indéniable. Pourtant l’on connaît encore mal la place qu’y occupe la liturgie ;or, la liturgie est au cœur de l’Église puisque elle est définie comme l’ensemble des rites et principes mis en place par une religion – ici chrétienne – pour établir le déroulement des actes cultuels et de la relation au sacré. Elle est dès lors fondamentale à une époque où la majorité du corps social se reconnaît comme chrétien, elle est l’expression de la religion et rythme toute la société médiévale. <p>Depuis plusieurs années, elle suscite l’intérêt justifié de quelques médiévistes. Ceux-ci ont souligné l’importance de considérer la liturgie dans sa globalité, c'est-à-dire de dépasser la simple étude des livres liturgiques pour s’intéresser également à la façon dont la liturgie était perçue, reçue et vécue par les fidèles notamment au travers de leurs pratiques dévotionnelles, c’est ce que l’on appelle la paraliturgie. <p><p>La liturgie se caractérise par la récurrence des rites qui sont des suites ordonnées de gestes, de sons, d’objets mis en œuvre par un groupe social à des fins symboliques. À ce titre, l’étude des éléments constitutifs de la liturgie se justifie pleinement, puisque le rite ne s’accomplit et n’est efficace que dans la permanence de tous ses éléments. <p><p>L’encens et le luminaire ont ceci de particulier que leurs fonctions utilitaires, pour éclairer et désodoriser, les rendent indispensables à la liturgie. Par ailleurs, le propre du rituel est de donner sens, or, l’encens et le luminaire, par leurs propriétés naturelles se sont vus conférer un sens symbolique dans toutes les cultures où ils sont utilisés. Ce sont des éléments bénéfiques utilisés particulièrement dans la religion car ils permettent de matérialiser la communication entre le monde terrestre et le monde céleste. Toutefois, dans la religion chrétienne, l’encens et le luminaire ont un statut inférieur ou secondaire par rapport au calice ou à l’hostie par exemple. <p><p><p>L’ensemble de ces caractéristiques augurait de l’existence d’un rapport particulier entre ces objets et le fidèle ;leur étude constitue dès lors un outil efficace pour connaître l’impact de la liturgie sur la société médiévale. Sans compter que l’étude des éléments constitutifs de la liturgie n’en est qu’à ses débuts, et si le luminaire a suscité quelques publications récentes, l’encens n’a que peu été abordé ;l’étude de leur couple est, en tous les cas, inédite. Par ailleurs, l’étude de l’encens et du luminaire s’inscrit dans des débats historiographiques plus larges notamment celui des relations commerciales, puisque l’encens est un produit oriental et l’huile d’olive méditerranéen, ce qui en renforce encore l’intérêt. <p><p>Pour connaître les utilisations de l’encens et du luminaire dans la liturgie, préalables indispensablse à la connaissance de leurs emplois dans la paraliturgie, il faut se tourner vers les sources liturgiques ce qui consitute la première partie du travail. <p>L’analyse de ces différentes sources liturgiques a permis de mettre en évidence les usages officiels et les symboliques donnés à l’encens et au luminaire dans les différents rituels de la liturgie romano-gallicane (la messe, la liturgie pascale, la dédicace, l’office divin, le temps de Noël, les funérailles et les rituels d’admission). <p>En définitive, l’encens et luminaire sont des médiateurs entre le monde terrestre et le monde céleste, ils matérialisent et réifient ce lien réciproque. Ils ont un caractère propitiatoire important, intimement lié à leurs vertus apotropaïques et basé sur leurs propriétés naturelles. <p>Les sources liturgiques ne fournissent pas d’information sur le fonctionnement de l’encens et du luminaire, sur leur économie ou sur la façon dont ils étaient utilisés par les fidèles pour manifester leur dévotion ;même si elles laissent entrevoir de riches possibilités. <p>Le champ des recherches à été élargi par l'étude de « dossiers ». Les recherches ont été focalisées autour de centres religieux bien connus dans l’historiographie grâce à des sources remarquables par leur qualité et/ou leur quantité qui ont suscité une bibliographie conséquente. Toutes les sources relatives au centre religieux ont ensuite été dépouillées et analysées systématiquement. Les dossiers de Tours,Reims, Auxerre et Saint-Riquier ont livré beaucoup d’éléments tant sur les questions de la fourniture et du fonctionnement que sur celles des pratiques dévotionnelles liées au luminaire. Les sources "non-liturgiques" de ces quatre dossiers ont ainsi révélé des pratiques communes pour assurer l’approvisionnement en luminaire, qui constitue une dépense importante. L’approvisionnement en encens est plus difficile à déceler. <p>Les sources non-liturgiques, en particulier les récits hagiographiques, apportent de la densité et de l’atmosphère aux sources liturgiques particulièrement froides et factuelles. Elles donnent incidemment des informations sur la forme et le fonctionnement du luminaire principalement, et elles complètent et corroborent les éléments de la première partie. Les éléments concernant le culte des saints sont nombreux. <p>Les pratiques dévotionnelles relevées (culte des saints, donations pour le luminaire, offrandes de cierges, utilisations apotropaïque du luminaire et de l'encens, etc.) témoignent donc que les symboliques du cierge, plus largement du luminaire, et de l'encens sont communes aux pratiques liturgiques et dévotionnelles. <p><p>Le travail montre que la cire, l’huile et l’encens sont utilisés de façon régulière par les églises et qu’ils étaient disponibles sur les marchés locaux pour les ecclésiastiques. Il faut vraisemblablement distinguer plusieurs niveaux de qualité conditionnant l’utilisation de ces matières. <p><p>L’encens et le luminaire sont des outils pertinents pour apprécier la façon dont la liturgie était vécue dans la société médiévale, notamment grâce à leurs usages dans les pratiques paraliturgiques. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Du fondouk de la nation à l’hôtel consulaire. Les dimensions spatiales et symboliques de la diplomatie dans le quartier consulaire de Tunis (XVIIe-XIXe)

El Ghali, Adnen 27 January 2021 (has links) (PDF)
This thesis describes the functioning and development of the consular triad made up of consuls, consular establishments as well as the physical and symbolic territories in which they are inscribed, in the Ottoman Regency of Tunis, covering the period from the construction of the first model building (1660) to the advent of the French Protectorate (1881). The research questions the materialisation of relations between powers through a series of formal practices and physical spaces with which cultural and social processes overlap purporting at cultivating differences in a quest for distinction and competition between states representatives.The collected data come from the study of sources and the examination of the consular and diplomatic archives of eight major powers having representatives in Tunis during the studied period. They are written in five languages mainly (French, Arabic, English, Italian, Spanish) and were analysed through the prism of global micro-history. This analysis included the consultation of the diocesan and congregational archives documenting the daily life of the Christian communities living under consular jurisdiction as well as the travel reports and the guides that completed the studies, descriptions, illustrations and memoirs assigned to scientists and other European officers on mission in the Regency.The research has allowed us to determine, from the 17th century, the position of these buildings in the city and to trace back the genealogy of the consular district. The thesis has also revealed the existence of three phases in the development of consular spaces. The first one (1660-1792) was initiated by the construction of the Fondouk des Français (1660) and it inaugurated a cumulative and linear process of consular houses multiplication and concentration in the lower part of the city. The granting of fondouk, its shape, dimensions, and location, testify to the importance of the nation and its place in the Regency’s diplomatic scene. Archetype of the origins, the fondouk will emancipate itself from its primitive typology by integrating spaces of conquest, symbols of privileges consecrating rank and prestige, in an atmosphere of competing powers and rising tensions with the hosting state.This first phase was followed by a second one of "overthrow of clarity" (1792-1816), following the outbreak of the French Revolution, marked by the loss of old powers and the appearance of new actors. This phase is followed by the third and final one (1816-1881) which arises in the shadow of nationalism, bureaucratisation and the assertion of the consular function as an economic and political institution. The burgeoning consular corps challenges the established order and engages in a quest for distinction and symbolic superiority demonstrated by a spatial conquest in the city. Ruptures and continuities are identified as milestones punctuating the changes in consular houses which, from the archetype of the fondouk, will gradually adopt the European model of town house (Hôtel particulier), by appropriating its architectural, ornamental and spatial elements. This process culminates in the establishment of the French consulate (1860) outside the walls in a hôtel particulier, signaling thus the death of the Fondouk des nations model.The representational work of consuls is also expressed in terms of mobility, submission but also circumvention of court ceremonial and reception rules. Geographical spaces are overlapped by symbolic spaces where a subtle war is played out, that of the conquest of privileges testifying to the rank of the State and its prestige. Everything becomes a pretext to treat "on the stronger foot" and any privilege is good to take and to maintain. Use of four-wheeled carriages, submission to the hand-kissing ceremony, wearing of sword and shoes during audiences with the Bey, provision of a country house, are subject to harsh negotiations with the local authorities who play with competition and egos by dispensing privileges and sermons according to its policy.Through its buildings, its specific territory forming a fragment of historic urban landscape and the consular habitus, the consular district constitutes a tangible and intangible heritage, revealed by the thesis, which needs to be known. Its recognition as a heritage is a prelude to its future protection, which has become urgent. / Cette thèse décrit le fonctionnement et l’essor de la triade consulaire composée des consuls, des établissements consulaires et de leurs territoires d’inscription, physiques et symboliques, dans la capitale de la Régence ottomane de Tunis, en couvrant la période allant de la construction du premier spécimen (1660) à l’avènement du Protectorat français (1881). La thèse questionne la matérialisation des relations entre puissances par une série de pratiques formelles et d’espaces physiques auxquels se superposent des processus culturels et sociaux visant à cultiver la différence sur fond de quête de distinction et de compétition entre puissances mandataires. Les données recueillies par l’étude des sources et le dépouillement des archives consulaires et diplomatiques de huit puissances disposant de représentants accrédités à Tunis en la période étudiée, principalement en cinq langues (français, arabe, anglais, italien, espagnol), s’est faite au prisme de la micro-histoire globale. Cette analyse a compris la consultation des archives diocésaines et congrégationnelles documentant la vie quotidienne des communautés chrétiennes sous juridiction consulaire ainsi que les relations de voyage et les guides qui sont venus compléter les études, descriptions, illustrations et mémoires commandités à des scientifiques et autres officiers européens en mission dans la Régence. Le travail entrepris a permis de déterminer, à partir du XVIIe siècle, la position de ces édifices dans la ville et de reconstituer le quartier consulaire en en dressant la généalogie. La thèse a mis au jour l’existence de trois phases de développement des espaces consulaires. Une première phase d’existence (1660-1792) est initiée par la construction de fondouk des Français (1660) et inaugure un processus cumulatif et linéaire de multiplication des représentations consulaires concentrées dans la partie basse de la ville. L’octroi de fondouk, sa forme, ses dimensions et sa position témoignent de l’importance que revêt la nation mandataire et de sa place dans l’échiquier diplomatique de la Régence. L’archétype des origines, figé dans sa typologie, va s’en émanciper en intégrant, sur fond de tensions et de contestations avec l’Etat hôte et les représentants des autres puissances, des espaces de conquêtes, symboles de privilèges consacrant le rang et le prestige de l’Etat mandataire. A cette première phase, succède, par suite de l’éclatement de la Révolution française, une deuxième de « renversement des clartés » (1792-1816), marquée par la disparition d’anciennes puissances et l’apparition de nouveaux acteurs. Cette seconde phase est suivie de la troisième et dernière (1816-1881) qui nait sur fond de nationalismes, de bureaucratisation et d’affirmation de la fonction consulaire comme institution économique et politique. Le corps consulaire en gestation bouscule l’ordre établi et s’engage dans un processus de quête de distinction et de supériorité symbolique se manifestant par une conquête de l’espace dans la ville. Ruptures et continuités sont identifiées en tant que jalons rythmant les mutations des maisons consulaires qui, de l’archétype du fondouk, vont adopter progressivement le modèle européen d’hôtel particulier dont ils s’approprient les éléments architecturaux, ornementaux et spatiaux par à-coups. Ce processus culmine avec l'installation du consulat de France dans un hôtel particulier (1860) hors-les-murs actant ainsi la mort du fondouk des nations. L’œuvre de représentation du consul s’exprime de même en termes de mobilité, de réception, de soumission et de contournement du cérémonial de cour. Aux espaces géographiques se joignent des espaces symboliques où se joue une guerre subtile, celle de la conquête de privilèges témoignant du rang de l’Etat et de son prestige. Tout est prétexte à traiter « sur le pied le plus fort » et tout privilège est bon à prendre et à préserver. Usage des carrosses à quatre roues, soumission au cérémonial du baisemain, port du sabre et des souliers lors des audiences avec le Bey, mise à disposition d’une maison de campagne, font l’objet d’âpres négociations avec le pouvoir local qui se joue des concurrences et des égos en dispensant privilèges et sermons au gré de sa politique. Par les bâtiments qu’il contient, par son territoire spécifique formant un fragment de paysage urbain historique et par l’habitus consulaire dont les rites ont façonné la pratique des lieux, ce quartier constitue un patrimoine matériel et immatériel, révélé par la thèse, qu’il incombe de faire connaître afin que sa reconnaissance soit un prélude à sa protection future, désormais urgente. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Naissance et évolution de la musique religieuse en langue vernaculaire dans les missions amérindiennes de Nouvelle-France au cours de la première moitié du XVIIième siècle

Dubois, Paul-André 24 April 2018 (has links)
Cette étude porte sur la naissance et l'évolution de la musique religieuse vocale en usage dans les missions amérindiennes de la Nouvelle-France au cours de la première moitié du XVIIe siècle. Condition essentielle à l'éclosion d'un premier répertoire vocal catéchétique, la conquête des langues amérindiennes par les missionnaires de diverses compagnies — jésuites, capucins, récollets, ursulines — y est par conséquent longuement traitée. La diffusion du cantique spirituel en langues amérindiennes, résultat d'une première maîtrise des idiomes locaux, fait ensuite l'objet d'une analyse détaillée. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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