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L'art de la fiction chez Aphra Behn (1640-1689) : une esthétique de la curiosité / Aphra Behn's Fiction : An aesthetic of Curiosity

Girval, Edith 13 April 2013 (has links)
La critique récente sur Aphra Behn (1640-1689) a montré d’une part que ses courts romans entretiennent des liens privilégiés avec le champ de la philosophie naturelle montante et d’autre part, que le monstrueux ou l’exotique sont des motifs privilégiés de ses œuvres. Ce travail vise à mettre en lien ces deux différentes approches, en établissant la centralité de la notion de curiosité dans la fiction d’Aphra Behn. La curiosité est une notion ambivalente au XVIIe siècle qui, bien qu’elle continue à porter des connotations négatives d’origine chrétienne et médiévale, s’est vue revalorisée par la philosophie naturelle. A la même époque, la notion de curiosité suscite également un regain d’intérêt de la part des théoriciens du roman ; Behn se positionne dans le débat esthétique et épistémologique de son temps en revendiquant une mimesis originale du vrai absolu, qui refuse d’intéresser son lecteur par une curiosité pour les choses familières, et choisit de représenter l’extra-ordinaire. Behn tente de discriminer entre une « bonne » et une « mauvaise » curiosité, pour se poser en curieuse et en collectionneuse avisée, mais continue d’entretenir des liens avec une culture plus populaire de la curiosité, celle des spectacles de foires. Le « cabinet de curiosité littéraire » que construit Aphra Behn privilégie des figures de monstres atypiques, qui permettent d’inventer une forme romanesque curieuse et transgressive. / Recent research on Aphra Behn has shown the link between the scientific prose of the period and Behn’s narrative fiction, while other scholars have underscored the importance of bodily and moral deformity in her works. Drawing on these apparently heterogeneous studies, this project aims at providing a global aesthetic framework for Behn’s fiction. The epistemological context of the late seventeenth century offers a stimulating insight in Behn’s fiction, especially through the notion of “curiosity”. This notion is at the centre of both the scientific and literary concerns of the period; the growing interest in natural philosophy progressively rehabilitates curiosity – which had been an object of scorn in the Augustinian tradition – first by valuing curiosity as the ideal attitude of the “scientist”, and by having curiosities as its major object of study – the rare, new, and unusual objects of the Wunderkammern replacing the “universal” objects of study of the Medieval and Renaissance science. At exactly the same time, in the literary field, the notion of curiosity undergoes a redefinition, in a somewhat similar fashion to that which occurs in the scientific field, shifting from the “generalities” of idealized romance to a new conception of curiosity in the emerging genre of the novel. Behn advocates for a radical mimesis of truth and extraordinary curiosities. At the time when Aphra Behn writes her fictional texts, curiosity is therefore a polysemic notion, whose unity can nonetheless be found in a set of specificities: curiosity is concerned, both in science and in literature, with the emotions/reactions of the “curious” scientist or reader; it is what leads us to experiment, and it comes from a desire for knowledge. But curiosity is also a transgressive desire: the distinction between two types of curiosity, a “good” and a “bad” curiosity, is central in Behn’s discourse. The parallel between Behn’s fascination with curiosities and the scientific episteme of her time is obvious in the numerous descriptions of exotica in Oroonoko, as the narrator explicitly compares the objects she shows to those which form part of the Royal Society repository, but the rest of Behn’s fiction is also concerned with this preoccupation with curiosity: in several of her other works, moral irregularities are conjoined with ‘natural’/physical irregularities which belong to the realm of curiosities. The various transgressions depicted in Behn’s fiction can therefore be seen as “curiosities”; Behn’s work can be read as a sort of Wunderkammern, as she herself seems to suggest when she wishes her novels were “esteem’d as Medals in the Cabinets of Men of Wit” – novelists collect and experiment on human nature just as natural philosophers do with nature (and art) in the cabinets of curiosities. But in her fiction Behn actually goes beyond the conventional notion of the cabinet of curiosities, by insisting on moral and physical monstrosity. In underlining the importance of the realm of curiosity in Behn’s fiction, this study aims at showing the specificity of her aesthetics and the originality of her conception of the novel; as she states in the preface to Oroonoko, writers, like painters, are supposed to “erase” defects: by deliberately choosing not to idealize nature, men, or society, and by choosing to systematically depict deformity and exceptions instead (rather than exemplary individuals), Aphra Behn invents her own conception of the novel, a sensationalist aesthetic of the “strange and novel”.
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LA BÊTE DANS LA LITTÉRATURE FANTASTIQUE

Cally, Jean William 22 November 2007 (has links) (PDF)
La bête fantastique, dans sa dimension carnassière, a admirablement servi l'optique initiale de la littérature fantastique, au début du XIXe siecle : créer la peur. La "peur de la bête", incarnée dans des avatars du prédateur dévorant, a connu ainsi un usage fréquent et varié. Par la suite, au XXe siècle, confronté à un lectorat urbanisé moins sensible à cette peur, le projet du fantastique est devenu davantage intellectuel. La zoologie fantastique a pu alors faire une place conséquente à des bêtes capables, sans dévoiler une gueule menaçante, de bouleverser l'homme par leur étrangeté angoissante et leur subtile invraisemblance. L'ouverture aux littératures et cultures étrangères, principe même de la littérature comparée, nous donne l'occasion de considérer, des oeuvres venues de tous horizons. C'est là une étape indispensable pour une appréhension globale de la bête dans la littérature fantastique
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Figures gynandres chez Catulle Mendès : Les Oiseaux bleus, Méphistophéla et Monstres parisiens

Le Corre, Daisy 07 1900 (has links)
No description available.
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La création de personnages numériques : réalisme perceptuel, corporéité et monstruosité

Morency, Joël 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire de recherche-création explore le lien entre les implications théoriques et pratiques de la production de personnages numériques non réalistes. Les technologies d’imagerie de synthèse permettent aux personnages virtuels de partager l’espace filmique avec des êtres de chair dans une même image isotopique. Le réalisme perceptuel fournit un cadre conceptuel qui inscrit ces effets visuels dans une esthétique de l’illusion, initiée dès les débuts du cinéma. Le corps de l’acteur virtuel est simulé de manière à reproduire le corps réel dans ses mécanismes physiques. Cependant, le regard porté sur le corps biologique est empreint des discours et des pratiques qui l’entourent, tout comme le corps numérique est porteur de ses propres discours. Le corps physique étant une norme, les figures qui s’écartent de celle-ci exploitent la monstruosité, envisagée comme un écart par rapport à la norme, en tant qu’esthétique.
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La représentation du Japon d'après-guerre dans le kaiju eiga

Vézina, Alain January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal. / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Monstro-máscaras videográficas: vontade de potência na lei do eterno retorno / -

Barbosa, Roberto Gomes 01 December 2014 (has links)
A pesquisa analisa como a forma do monstro e o conceito da máscara atravessam o tempo histórico como elementos paradoxalmente de coerção social e política, como também exercem a função de objeto de transformação pessoal. Munidos destas duas abstrações, o videoperformer brasileiro Otávio Donasci e o encenador canadense Denis Marleau utilizam máscaras videográficas e, através de suas obras, revelam respectivamente as aspirações das sociedades de controle: prometeica e fáustica. / La recherche analyse comment la forme du monstre et le concept du masque traversent le temps historique comme des éléments, paradoxalement, de coercition sociale et politique, mais aussi exercent la fonction d\'objet de transformation personnelle. Á partir de ces deux abstractions, le videoperformer brésilien, Otávio Donasci et le régisseur canadien Denis Marleau utilisent des masques vidéographiques et, à travers ses oeuvres, révèlent respectivement les aspirations des sociétés de contrôle: prometheique et faustienne.
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Contes gothiques, Tim Burton : de Vincent à Miss Peregrine’s Home for Peculiar Children / Gothic tales, Tim Burton : from Vincent to Miss Peregrine’s Home for Peculiar Children

Colombani, Elsa 14 November 2018 (has links)
Le cinéma de Tim Burton se reconnaît par des codes thématiques et des images si aisément identifiables que le nom du cinéaste a donné naissance à l’adjectif « burtonien ». Que signifie au juste ce qualificatif ? Cette thèse se propose de démontrer que si la signature de Tim Burton est reconnaissable entre toutes, c’est qu’elle porte l’héritage des gothiques littéraire et cinématographique. Burton s’en empare pour les transformer, adoptant une double stratégie d’adhésion et d’inversion des tropes du genre. Afin de définir ce gothique burtonien, nous étudions dans un premier temps le croisement entre l’humain et le monstrueux, un questionnement directement hérité du Frankenstein de Mary Shelley et de son adaptation éponyme par James Whale en 1931. Nous analysons ensuite la géographie de l’espace burtonien et sa représentation d’une société cruelle et machinique dont les personnages doivent s’extraire pour survivre. L’art émerge comme un moyen de survie ambivalent qui nous mène à considérer la création artistique du cinéaste lui-même, bâtie comme les grandes œuvres gothiques sur un brouillage des frontières, entre la vie et la mort, le passé et le présent, le rêve et la réalité. / The films of Tim Burton can easily be recognized by their thematic codes and identifiable images so much so that the director’s very name has given birth to the adjective “Burtonian”. But what does it qualify exactly? This dissertation proposes to demonstrate that Burton’s signature is particularly recognizable because it inherits from gothic literature and film. Burton tackles and transforms gothic tropes using a double strategy of adherence and reversal. To define what we call the “Burtonian gothic”, we first study the crossing between the humane and the monstrous, an issue directly inherited from Mary Shelley’s Frankenstein and its film adaptation by James Whale in 1931. We analyze then the geography of the Burtonian landscape and its representation of a cruel and mechanical society from which the characters must escape to survive. Art emerges as an ambivalent means of survival which leads us to consider the artistic creation of the filmmaker himself, built like great gothic works on blurred frontiers, between life and death, past and present, dream and reality.
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La représentation du Japon d'après-guerre dans le kaiju eiga

Vézina, Alain January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Etude iconographique de la gueule d'enfer au Moyen Age. Origines et symboliques : iconographie et sources textuelles. / Study of iconography of Hell's Mouth in the Middle Ages. Origins and symbolisms.

Gonzalez, Julie 16 March 2015 (has links)
À l'opposé du Paradis céleste que rejoignent les élus, les artistes romans ont imaginé le monde de tourments qui attend les pécheurs. Ce lieu de terreur, duquel s'élèvent « des pleurs et des grincements de dents » (Matth. 22, 13), ne peut être illustré sous des formes simples et communes. L'imagerie médiévale, précocement, dès le IXe siècle dans le domaine anglo-saxon, donne à l'Enfer l'apparence d'une tête hybride, la Gueule d'Enfer. Sculpteurs et enlumineurs se sont-ils inspirés de monstres issus des mythologies païennes anciennes et contemporaines ? Sur quelles sources textuelles se sont-ils appuyés pour élaborer ce motif ? Aisément reconnaissable, l'image de la Gueule s'inscrit dans les nombreuses représentations du Jugement Dernier et de la Descente du Christ aux Enfers. Une étude typologique pourra déterminer l'influence de la présence et de l'aspect de la Gueule d'Enfer sur la signification de ces épisodes fondateurs du Christianisme. La Gueule terrifiante devient le symbole même d'un Enfer fantasmagorique et vivant ; elle envahit progressivement toute l'iconographie religieuse et il convient de voir si elle ne modifie pas le sens de nombreux épisodes bibliques. Présente encore à l'époque gothique, la Gueule d'Enfer est transformée par les artistes de la fin du Moyen Âge, avant de disparaître progressivement de l'iconographie religieuse. Si l'Enfer médiéval a suscité de nombreuses études, le motif de la Gueule dévorante a paradoxalement peu attiré l'attention des Historiens de l'Art. Cette thèse tend à combler, au moins en partie, cette lacune. / Opposed to the Celestial Heaven waiting for the blessed, the roman artists invented a netherworld waiting for the sinners. This terrifying place, from where « tears and gnashing of the teeth » arrive (Matth, 22 , 13 ) cannot be illustrated in simple and common ways. As soon as the 11th century, in the anglo-saxon world, Hell was represented as an hybrid head, the Maw of Hell, in the medieval imagery. Did the sculptors and the illuminators get their inspiration from the monsters belonging to the oldest and contemporary pagan mythology ? Which textual sources did they use to elaborate this pattern ? Easily recognisable, the image of the Maw is one of the many representations of the Last Judgment and of Christ's Descent to Hell. A typological study will determine the influence of the presence and the aspect of the Maw of Hell on the meaning of those founding episodes of Christianism. The terrifying Maw became the symbol of a fantasmagoric and real hell slowly invading the whole religious iconography and it is worth wondering if it didn't change the meaning of many biblical episodes. Still present during the Gothic period, the Maw of Hell was changed by the artists of the late Middle Ages, before disappearing slowly from religious iconography. If medieval Hell was the subject of many studies, the Maw of Hell surprisingly attracted few Art History researchers. This thesis partially tries to fill this gap.
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Shame and late Victorian gothic : The picture of Dorian Gray, The beetle, and The strange case of Dr Jekyll and Mr Hyde

Paquin, Marianne 20 December 2019 (has links)
Suite aux grands changements qui bousculèrent la société, la fin du dix-neuvième siècle fut une période de grande instabilité pour l’Angleterre. Les anxiétés créées par ces bouleversements se reflétèrent dans une prolifération de la littérature Gothique. Bien que le genre soit généralement étudié en relation avec la peur, ce mémoire soutient que le gothique tire son essence d’un large éventail d’émotions — et, tout particulièrement, de la honte. Étroitement liée à la notion de moralité, la honte est profondément ancrée dans les codes sociaux et les conventions. Dans une société aussi conservatrice et rigoureusement structurée que celle de la fin de la période victorienne, la honte révèle les conflits auxquels les individus faisaient face, ainsi que leur manière de les gérer. Pour comprendre les dynamiques de ces enjeux et les valeurs à leur fondement, ce mémoire explore trois romans importants de l’époque : The Picture of Dorian Gray, de Oscar Wilde, The Beetle, de Richard Marsh et The Strange Case of Dr Jekyll and Mr Hyde de Robert Louis Stevenson. En se concentrant particulièrement sur la figure du monstre gothique, cette étude considère deux types de honte : interne et externe. Tandis que le portrait de Dorian Gray illustre le conflit interne du protagoniste, la créature de The Beetle offre un exemple de honte externe comme châtiment; enfin, le double dans Jekyll and Hyde expose la mécanique de coexistence des hontes externe et interne. Au moyen de cet angle d’analyse, ce mémoire ouvre alors de nouvelles perspectives d’études sur la littérature gothique de la fin du dixneuvième siècle. / The end of the nineteenth century in England was a period of great instability as society experienced significant changes. These disruptions created anxieties, which were manifested in the proliferation of Gothic literature. While the Gothic genre is generally studied through the lens of fear, this thesis argues that it is governed by a range of affects, especially shame. Closely linked with morality, shame is deeply embedded in social codes and conventions. In a rigidly structured, conservative society such as that of late Victorian Britain, shame reveals much about the struggles that people faced and how they handled them. To understand the dynamics of these struggles and the values that underpinned them, this thesis explores three major novels from the fin de siècle period: The Picture of Dorian Gray by Oscar Wilde, The Beetle by Richard Marsh and The Strange Case of Dr Jekyll and Mr Hyde by Robert Louis Stevenson. With a particular focus on the figure of the Gothic monster, this study considers two different types of shame, internal and external. The portrait in Dorian Gray illustrates the internal conflict of the protagonist, while the creature in The Beetle offers an example of external shame as punishment. Meanwhile, the double in Jekyll and Hyde provides an opportunity to understand how internal and external shame coexist. In so doing, this thesis provides new insights into Gothic literature of the fin de siècle.

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