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Ueber Stilleben aus Pompeji und Herculaneum /

Beyen, Hendrik Gerard. January 1971 (has links)
Proefschrift--Utrecht--Universiteit, [1928?]. / Bibliogr. p. [XI]. Notes bibliogr. Index.
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La nature morte au Québec et la question du sujet en art (1887-1907)

D'Amours, Annie 12 April 2018 (has links)
La présente recherche porte sur le développement de la nature morte et sur la problématique du sujet en art au Québec de 1887 à 1907. En étudiant l’intérêt pour la représentation des objets en peinture à la fin du XIXe siècle, le texte identifie les conditions culturelles et sociales dans lesquelles un nombre important de natures mortes ont été réalisées. Par une analyse des thèmes et des langages formels suivie d’une étude sur la réception de la nature morte québécoise par la critique d’art francophone, sont mises à jour les différentes conceptions sur l’art éclairant en retour le contexte d’émergence de la nature morte. La question du sujet en art se présente alors comme l’élément clé permettant de comprendre l’émergence d’une relation dynamique entre les préoccupations propres au genre et celle du contexte artistique de l’époque. / The present research relates on the development of the still life and the subject in art problematic in Quebec from 1887 to 1907. By studying the interest for the representation of objects in painting at the end of the XIXth century, the text identifies the cultural and social conditions under which a significant number of still life were carried out. An analysis of the topics and of the formal languages, followed by a study on the reception of the Quebec still life by the French-speaking art critics, stress on the various conceptions on art which, in return, gives enlightenments on the context of emergence of the Quebec still life. The question of the subject in art then appears as a key element to understand the emergence of a dynamic relation between the main concerns of the genre and those of the artistic context of the time.
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Le temps chez Patinir, le paradoxe du paysage classique

Dupouey, Paul 24 May 2008 (has links) (PDF)
Montrer le monde, est-ce montrer le "siècle", le temps, cet " incorporel " selon les stoïciens pour lesquels le terme est plutôt péjoratif, cette forme dégradée de l'éternité selon les platoniciens ? La présence du temps, linéaire, fleuve ou immobile, oblitère-t-elle intimement le paysage classique soit, selon Philippe Descola, " de Patinir à Lorrain " ? Une réflexion sur le temps n'y serait-elle pas tout aussi présente qu'une tentative, rarement revendiquée, de représentation de la " nature ", notion encore ambiguë sous la Renaissance (autant les choses elles-mêmes que leur essence, voir leur principe actif), " terme vague " plus tard encore pour l'Encyclopédie. Y a-t-il un paradoxe du paysage ? Ce genre pictural est apparu concomitamment à la fin des millénarismes et à la " sécularisation ", soit dans un contexte d'évolution radicale et complexe du rapport au temps qu'il soit symbolique, politique, historique, économique, technique ou autre, phénomène abondamment étudié par l'histoire, notamment culturelle, mais aussi l'économie, la sociologie, la théologie... Parallèlement aux deux autres grands genres, le portrait avec les âges de la vie et leur psychologie, ou la nature " morte " avec l'intention morale de ses " vanités ", il en méditerait la dimension métaphysique, l'indétermination de la notion de nature s'avérant sans doute faire système avec celle de la notion de temps. Dans cette thèse, la première à être consacrée en France à ce peintre, ces hypothèses sont abordées à partir de l'œuvre de l'anversois Joachim Patinir (~1484 - ~1524), créateur du paysage cosmique (" weltlandschaft "), premier peintre occidental reconnu comme " peintre de paysage " (Dürer : " Joachim Patinir, der gut landschaft malher "), même si, bien entendu, le paysage est depuis longtemps présent dans la peinture et l'ensemble des arts occidentaux, comme en Orient, mais non d'abord pour lui-même. A ce titre, entre autres éléments iconographiques spécifiques (dont une iconologie juive encore à approfondir) il est le peintre des grands " lointains ", terme que, ainsi que tant d'autres, le lexique de l'espace partage justement avec celui du temps. A l'autre extrêmité du cycle, sont également sollicités Poussin et Lorrain, pères du paysage héroïque ou, autre référence néoplatonicienne, " idéal ", et qui achèvent de donner à ce genre ses lettres de noblesse.
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Étude comparative de la réactualisation du motif de la vanité dans la pratique artistique contemporaine

Philippon, Anne 10 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la réactualisation de la vanité dans la pratique contemporaine. L'objectif principal est de définir et d'examiner les tenants et les aboutissants de la vanité contemporaine en général et celle pratiquée par les artistes en particulier. La démarche empruntée pour ce mémoire examine le développement de la vanité depuis le XVIIe siècle ainsi que les différents enjeux qui sous-tendent cette stratégie de représentation. Cette étude est divisée en trois chapitres. Le premier chapitre définit les fondements de la vanité historique en se questionnant sur les différents liens qui unissent les arts au thème de la mort. Le deuxième chapitre traite des mutations historiques, sociales, politiques et économiques, et questionne la portée et les enjeux contemporains des figures proposant une apologie du réel, du vécu et du banal. La question de l'autoréflexivité est abordée et met en lumière les contradictions et les paradoxes de la vanité. Le troisième chapitre met l'accent sur une analyse comparative entre les vanités historiques et contemporaines, en vue de comprendre comment les œuvres s'interpellent et se répondent entre elles. L'objectif qui se profile derrière cette étude comparative est de relever les ressemblances et les dissemblances entre les vanités d'hier et celles d'aujourd'hui. Les assises de la vanité sont les mêmes, mais de nouveaux éléments élargissent son répertoire en raison notamment de l'apparition de nouveaux médiums comme ceux de l'installation et de la vidéo. La vanité n'est pas réductible à la représentation d'une image spécifique, par exemple un crâne, elle se vit maintenant à travers l'expérience du déplacement et de la représentation de l'image en mouvement. Les grands conflits mondiaux qui ont ébranlé le XXe siècle ont modifié fondamentalement les conceptions vis-à-vis de la vie et de la mort. La vanité constitue une référence indéniable pour comprendre la nature de ces changements en reflétant les idées véhiculées par la société et la politique. Les travaux de Jean-François Lyotard sur la culture postmoderne jouent un rôle important dans ce regard porté sur les enjeux propres à notre rapport à la nature, à la société et à la culture. Cette étude est une mise en perspective de la vanité contemporaine et réexamine la vanité historique à travers ses avatars contemporains. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : nature morte, vanité historique, vanité contemporaine, Nelson Henricks, Patrick Bernatchez, Spring Hurlbut
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Le respect dans le cinéma de Jia Zhang-ke ou les empreintes fertiles du conteur ignorant

Brochu, Sébastien 12 1900 (has links)
Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal / Que peuvent être des images pour la paix? Nous supposons que les agencements fictionnels des matières de l’expression capables d’entrouvrir la perception habituelle des choses et d’impulser de nouvelles visions du monde, en direction d’un vivre ensemble plus pacifique, sont ceux qui reposent sur trois modalités de respect. Premièrement, respect de l’intelligence des subjectivités spectatorielles, de leur capacité à lire et traduire par elles-mêmes ce qui leur est présenté. Deuxièmement, respect des êtres dans leur multiplicité, du caractère fondamentalement entre-formes de l’existence. Enfin, respect des potentialités expressives portées par les corps anonymes, humains autant que matériels, des virtualités créatrices que recèlent leurs impressions muettes. Nous retrouvons ces trois postures, à la fois esthétiques et politiques, dans le cinéma de Jia Zhang-ke. En effet, le travail fictionnel de ce véritable conteur consiste à débusquer la richesse sensible de l’expérience commune et à en opérer une réimagination fertile, notamment par le métissage fabulatoire de diverses paroles historiques ou encore par la revitalisation de décors ruiniformes au sein de natures mortes animées. Les gestes malicieux de cet artiste inquiètent et multiplient la figure donnée au réel et, par le fait même, suscitent de nouvelles manières de percevoir, de (re)connaître, de penser, voire de se constituer. À travers ses images, le commun s’exprime, se crée une mémoire et obtient la possibilité de devenir autre. / What can be images for peace? We suppose that the fictional arrangements of the expressive materials able to expand the usual perception of things and provoke new visions of the world, in direction of a better living together, are the ones which are based on three modalities of respect. Firstly, respect of the spectatorial subjectivities’ intelligence, of their capacity to read and translate by themselves what they are seeing. Secondly, respect of the beings in their multiplicity, of the fundamental in-between-forms attribute of the existence. Finally, respect of the expressive potentials carry by the anonymous bodies, human as well as material, of the virtualities of creation contain in their mute impressions. We find those three aesthetical and political postures in the cinema of Jia Zhang-ke. In effect, the fictional work of this true teller consists in finding the “sensible richness” of the common experience and in operating a fertile reimagination of this one, for instance by interbreeding, with a fabulating manner, various historic speeches or by revitalizing sceneries of ruins in animated still lifes. The mischievous gestures of this artist trouble and multiply the figure given to the real and, consequently, develop new ways of perceiving, knowing, thinking, and even of emerging. Through his images, the common express himself, creates himself a memory and has the opportunity to become something else.
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Rome et Naples, deux écoles de nature morte au XVIIe siècle et leurs échanges / Rome and Naples, two still-life schools in the Seventeenth Century and their exchanges

Litwinowicz, Michel 23 November 2017 (has links)
L’école romaine et l’école napolitaine de nature morte comptent au XVIIe siècle parmi les plus importantes dans la peinture européenne. Pendant tout le Seicento, elles sont restées étroitement liées, en multipliant les tableaux de fleurs, fruits, légumes, poissons, gibiers, sous-bois.... La thèse étudie l’évolution de ce genre à Rome et à Naples et les resitue dans le vaste tissu des échanges culturels et stylistiques entre ces deux capitales. Elle analyse la place de la nature morte dans le marché de l’art (circulation, marchands, prix, estimations) et dans les collections. Le goût de mécènes variés pour ces tableaux est étudié. Des comparaisons formelles entre les œuvres de différents peintres, comme Mario dei Fiori et Paolo Porpora, Michelangelo Cerquozzi et Giovanni Battista Ruoppolo ou Giovanni Battista Recco et Gian Domenico Valentino sont effectuées. On explique également le rôle d’Abraham Brueghel, Andrea Bonanni, Alessandro dei Pesci, et Andrea Belvedere. / The Roman and the Neapolitan school of still-life painting are in 17th Century among the most important in Europe. During the whole Seicento, these two schools are closely tied and produced a large amount of paintings of flowers, fruits, vegetables, fishes, game, woodland Scenes (sottoboschi)… This PhD analyses the evolution of still-life painting in Rome and in Naples and places it in the numerous stylistic and cultural exchanges between these two capitals. The place of still-life painting in the art market (circulation of works, merchants, prices, appraisals) and in the collections is studied. The Patrons’ taste for these pictures is examined. We carry out stylistics comparisons between works by Mario dei Fiori and Paolo Porpora, Michelangelo Cerquozzi and Giovanni Battista Ruoppolo or Giovanni Battista Recco and Gian Domenico Valentino. We also investigate the role of Abraham Brueghel, Andrea Bonanni, Alessandro dei Pesci and Andrea Belvedere.
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Jean-Baptiste Monnoyer (Lille 1636 – Londres 1699) : peindre des fleurs et des fruits à l’âge classique / Jean-Baptiste Monnoyer (Lille 1636 - London 1699) : painting flowers and fruits during the Classical Age

Salvi, Claudia 02 December 2016 (has links)
A partir de l'élaboration du catalogue de son oeuvre (tableaux de chevalet et peintures décoratives), cette thèse étudie et ré-évalue la place de Jean-Baptiste Monnoyer dans la France du Grand Siècle. L'étude des oeuvres de ses collaborateurs et contemporains permet de préciser l'originalité de sa personnalité artistique et de définir sa place dans le développement de la peinture de nature morte en France au XVIIe siècle. Né à Lille, Monnoyer arrive tôt à Paris, où il ajoute à son expérience de la nature morte nordique l'influence des peintres français de la vie silencieuse. Il inscrit aussi son nom dans le siècle de Louis XIV comme peintre décorateur, effectuant les premiers décors des résidences de jeunesse du monarque (Saint-Germain-en-Laye, Vincennes, les Tuileries). Il y donne ses lettres de noblesse au motif de la guirlande tressant la gloire du prince.Comme collaborateur de Le Brun, il travaille dans des chantiers privés (Hôtel Lambert, château de Vaux), ou des châteaux de ministre du roi (Sceaux). Il part encore travailler en Angleterre à la fin du siècle. L’abondance des commandes royales l'oblige à s’entourer d’assistants. Les enjeux artistiques de cette production sont enfin analysés : la position du genre de la nature morte dans la doctrine officielle de l’Académie et sa reconnaissance dans les collections privées ; le statut du peintre de nature morte dans la génération des classiques, de Félibien à Perrault. Enfin, le rôle fondamental de Monnoyer dans le développement et la diffusion de ce genre est étudié. / Having compiled the entire work catalogue of Jean-Baptiste Monnoyer (easel paintings and decorations), this thesis aims to study and re-value his importance in France during the Grand Siècle.Through the study of works of his collaborators and contemporaries the uniqueness of his artistic personality is specified, as well as his position in the development of still life painting in France during the 17th century.Born in Lille, Monnoyer came early to Paris, where he joins his knowledge of Nordic still life painting to the influence of French « silent life » painters.His name is famous too during the century of Louis XIV as a painter decorator. As such, he made the first decorations for the youth residences of the monarch (Saint-Germain-en-Laye, Vincennes, the Tuileries). He there develops the importance of the pattern of the garland glorifying the prince.As a collaborator of Le Brun, he works in private worksites (Hôtel Lambert, château de Vaux), or in castles of ministers (Sceaux). He also works in England at the end of the century. Due to the great amount of royal orders, he was forced to gather assistants. The artistic issues of this production are analysed: the situation of the still life genre in the official doctrine of the Academy, and his recognition in private collections ; the position of the still life painter in the classical generation, from Felibien to Perrault. And then, the fondamental part of Monnoyer in the development and the rayonnment of this genre is studied.
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Symbolique florale dans le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV (1687)

Zhu, Cui 01 1900 (has links)
Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle. / The painting by Jean-Baptiste Belin de Fontenay, Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV, is a reception piece of the french academician painter to the Académie royale de peinture et de sculpture in 1687. Unfortunately having been little studied, this painting reveals three very interesting issues. First of all, it contain three kind of painting in one composition: still life, portrait and history painting, illustrated respectively by the flowers, the bust of Louis XIV and the piece of armor. The combination of these three types in a still life is uncommon in the 17th century French painting. It is therefore necessary to check if there is a link between the flowers, the picture of Louis XIV and the armor. Then, the contrast between the polychrome of the flowers and the monochrome of the sculpture and furniture is striking, it is possible to associate this contrast to the phenomenon of the debates between drawing and color of the Académie royale de peinture et de sculpture during the second half of the 17th century. Moreover, the flowers, which were not the central subject in the original program of Le Brun, become the main subject of the table and occupy a more important place than the bust of Louis XIV. This change has not shocked the judges of the Academy since the painting was accepted without question. It therefore leads to think about the hierarchy of genres of painting, which was the official doctrine of the Académie royale de peinture et de sculpture at the time. The core of this research is to see if the flowers occupy a mere decorative function, or whether they may be associated with symbols. Our research will verify the employ of floral symbols in French culture of the 17th century and then developed this employ not only in the political field, which means the flowers are in praise of Louis XIV, but also in the aesthetics domain, that is to say how the painting reflects by employing floral symbols the evolution of the theories of art in France during the second half of the 17th century, the hierarchy of genres of painting and the debates between drawing and color.
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Representación de la naturaleza y el espacio en la pintura andina de los siglos XVII y XVIII

Ferrero, Sebastian 02 1900 (has links)
Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de cette thèse a été dépouillée des documents visuels. La version intégrale de la thèse a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. / Pendant la période coloniale, le grand sujet de la nature fut différemment instrumentalisé selon les intérêts particuliers des secteurs distincts de la société coloniale péruvienne. Fondamentale comme outil d'évangélisation, mais surtout comme espace de canalisation de la religiosité et de la spiritualité coloniale, la nature a su se manifester de manière diverse dans la production artistique de la vice-royauté du Pérou. Dans cette thèse, nous nous penchons sur le phénomène de la représentation de la nature dans la peinture andine coloniale, en nous concentrant en particulier sur la région occupée actuellement par le Pérou et la Bolivie, et sur une périodisation qui comprend principalement les XVIIe et XVIIIe siècles. Ce travail cherche à approfondir une problématique qui a été majoritairement oubliée ou sous-estimée par le discours critique de l’histoire de l’art de la période coloniale. Nous aborderons cette problématique à partir de différentes perspectives. Cependant, l'aspect religieux semble l’élément fondamental pour expliquer les principaux enjeux derrière ce geste pictural. La peinture de la nature et de l'espace fut représentative des valeurs et des fondements spirituels de la religiosité coloniale. Les andins ont pensé la nature comme un moyen de visualiser des expériences métaphysiques profondes, de repenser les identités religieuses et d’accorder aux images des pouvoirs magico-religieux qui s’avéraient essentiels pour le bien-être de différentes communautés. Bien que l’étude des rapports religieux soit indispensable pour élucider cette structure symbolique complexe, tant pour la peinture de paysage (comme unité organique), que pour la représentation des éléments individuels, la représentation de la nature a révélé, dans bien d'autres cas, des préoccupations concrètes directement liées aux circonstances, autant politique qu’ historique, de la société coloniale, en s’adaptant aux changements constants d’un espace et d’une société en transformation. Loin d'être uniquement soumis à l'exercice décoratif, ou dans le cas de la peinture religieuse, de remplir la fonction de contexte pictural, les peintres coloniaux ont valorisé cet élément en l'abordant comme un objet individuel, chargé de pouvoir symbolique et capable de transmettre des messages et de produire des discours, toujours en lien avec les préoccupations des différents secteurs de la société coloniale. / In the colonial period, the great subject matter of nature was instrumentalized by different sectors of Peruvian vice regal society. Essentially as an evangelization tool, but also as a space where colonial religiosity was manifested, the representation of nature was interpreted in different ways by artists and consumers of vice regal paintings. In this dissertation, we analyze the representation of nature in colonial Andean painting, focusing especially on the Central Andean region (currently covered by Peru and Bolivia) in the seventeenth and eighteenth centuries. This work seeks to move forward on an issue that has been largely underestimated by critical discourse of art history regarding the Latin American colonial period. We will discuss this problem from different perspectives. However, the religious aspect seems to be above all a fundamental element to explain the key issues behind this pictorial manner. The representation of nature was consistent with spiritual values that forged colonial religiosity. Andean people considered nature as a way to visualize deep metaphysical experiences by rethinking religious identities and granting to the images magical-religious powers essential for the well-being of communities. Beyond the religious aspect, we focus on the analysis of other consequences and interests that are related to the different forms of representation of territories and elements of nature, allowing different social groups to assert their ideological, political and cultural positions. The representation of nature and space in colonial painting was never a simple decorative object, nor, in the case of religious painting, did it fulfil the role of scenographic framework and background to pictorial stories. The colonial painters treated this element with particular concern, conceding it special value and narrative powers, according to different preoccupations in colonial society.
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Symbolique florale dans le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV (1687)

zhu, cui 01 1900 (has links)
Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle. / The painting by Jean-Baptiste Belin de Fontenay, Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV, is a reception piece of the french academician painter to the Académie royale de peinture et de sculpture in 1687. Unfortunately having been little studied, this painting reveals three very interesting issues. First of all, it contain three kind of painting in one composition: still life, portrait and history painting, illustrated respectively by the flowers, the bust of Louis XIV and the piece of armor. The combination of these three types in a still life is uncommon in the 17th century French painting. It is therefore necessary to check if there is a link between the flowers, the picture of Louis XIV and the armor. Then, the contrast between the polychrome of the flowers and the monochrome of the sculpture and furniture is striking, it is possible to associate this contrast to the phenomenon of the debates between drawing and color of the Académie royale de peinture et de sculpture during the second half of the 17th century. Moreover, the flowers, which were not the central subject in the original program of Le Brun, become the main subject of the table and occupy a more important place than the bust of Louis XIV. This change has not shocked the judges of the Academy since the painting was accepted without question. It therefore leads to think about the hierarchy of genres of painting, which was the official doctrine of the Académie royale de peinture et de sculpture at the time. The core of this research is to see if the flowers occupy a mere decorative function, or whether they may be associated with symbols. Our research will verify the employ of floral symbols in French culture of the 17th century and then developed this employ not only in the political field, which means the flowers are in praise of Louis XIV, but also in the aesthetics domain, that is to say how the painting reflects by employing floral symbols the evolution of the theories of art in France during the second half of the 17th century, the hierarchy of genres of painting and the debates between drawing and color.

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