Spelling suggestions: "subject:"orais""
191 |
Strahleninduzierte Veränderungen in der Expression von Caveolin-1 in der Mundschleimhaut (Maus): Modulation durch Pentoxifyllin, Dermatansulfat oder ThalidomidWalther, Liza 07 November 2018 (has links)
Die strahleninduzierte orale Mukositis (OM) gilt als limitierender Faktor in der Therapie von Kopf-Hals-Tumoren (KHT). Jährlich erkranken an KHT weltweit zwischen 400.000 und 600.000 Menschen sowie eine Vielzahl an Hunden und Katzen. Die fraktionierte Radiotherapie wird allein oder in Kombination mit anderen Therapieformen zur Behandlung von KHT eingesetzt. Neben dem Tumorgewebe werden immer auch Normalgewebsanteile der Strahlung ausgesetzt. Dabei besteht ein gewisses, akzeptiertes Risiko für unerwünschte Wirkungen. Die fast bei allen Bestrahlungspatienten auftretende OM stellt die wichtigste frühe Nebenwirkung dar. Zahlreiche Untersuchungen zu Therapie- und Prophylaxemöglichkeiten blieben bisher ohne eindeutigen Konsens bezüglich Behandlung beziehungsweise Prävention der OM. Pentoxifyllin (Ptx), Dermatansulfat (Ds) und Thalidomid (Th) haben in verschiedenen präklinischen Studien eine verbessernde Wirkung auf die strahleninduzierte OM gezeigt. In der vorliegenden Arbeit soll die Caveolin-1 (Cav-1)-Expression und deren Modifizierung durch die drei oben genannten Wirkstoffe untersucht werden, um einen möglichen Zusammenhang zwischen Cav-1, OM und Mukoprotektivität herstellen zu können.
|
192 |
Développement de l’expression orale en français dans un contexte de français langue d’enseignement en concurrence avec une langue vernaculaire quasi unique :le cas du BurundiDocile, Pacifique 24 March 2020 (has links) (PDF)
La thèse met en évidence la nécessité de la maîtrise de l’expression orale en français pour la réussite scolaire et socioprofessionnelle dans le contexte burundais. A la faveur d’une analyse de documents et de l’enquête par questionnaire, il y est premièrement mis en évidence l’importance de la langue française dans le paysage linguistique et dans le système éducatif du Burundi. Ensuite, il y est montré l’importance de l’expression orale en français dans la vie professionnelle du milieu intellectuel et dans les média radiodiffusés du pays. En troisième lieu, la prise en charge du développement de l’expression orale en français par l’école est soumise à l’analyse. Ses faiblesses sont mises en exergue grâce à l’analyse de documents pédagogiques, à l’entretien avec des observateurs privilégiés, à l’observation de pratiques de classes et à l’évaluation du niveau atteint à la fin de l’école fondamentale par un test sur la production orale en continue. Il y est enfin proposé des voies de solution pour améliorer la compétence visée par l’étude et l’applicabilité d’un des dispositifs est testée. L’efficience du dispositif pourra être analysée dans une étude quantitative et longitudinale. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
193 |
Musical Historiography and Oral TraditionSaponov, Mikhail 19 December 2019 (has links)
No description available.
|
194 |
Konstanz und Wandel in mündlicher Tradition (Paradigma Epiros)Brandl, Rudolf 01 September 2020 (has links)
No description available.
|
195 |
Développement et évaluation de nanoparticules bioadhésives pour l'administration orale de petidesHecq, Julien 29 June 2017 (has links) (PDF)
Ces dernières années, le nombre d’agents thérapeutiques issus des biotechnologies n’a cessé d’augmenter. Parmi ceux-ci, plus de 85% sont administrés par voie parentérale, principalement par injection sous-cutanée ou intraveineuse. Cette forme d’administration ne favorisant pas la compliance des patients, de nombreuses recherches ont été effectuées afin de trouver des alternatives à ces voies invasives, telles que la voie intranasale, pulmonaire, transdermique ou orale. Cette dernière a pour avantage, en plus d’être non invasive, de ne pas nécessiter de formation particulière du patient au moment de la délivrance. Elle permet donc une plus grande compliance, et ce d’autant plus lorsqu’il s’agit d’un traitement chronique. Malheureusement, il a été démontré que la biodisponibilité relative des peptides et protéines non formulés administrés oralement est inférieure à 1%.Lors des nombreux développements destinés à augmenter l’absorption intestinale de ces macromolécules, l’insuline a souvent été utilisée comme modèle de peptide. En effet, elle est facilement disponible dans le commerce et est utilisée de façon chronique dans le traitement de certaines formes de diabète, principalement le diabète de type I. De plus, son administration orale permet de bénéficier d’un premier passage hépatique bénéfique car il permet de mimer sa sécrétion naturelle à partir du pancréas dans la veine porte hépatique.Au vu des nombreuses études réalisées dans le cadre de l’administration orale de peptides et protéines, nous avons opté pour une stratégie de formulation reposant sur l’encapsulation de ces molécules afin de les protéger des conditions défavorables présentes tout au long du tractus gastro-intestinal.Les systèmes nanoparticulaires nous semblant les plus prometteurs, nous nous sommes fixé comme objectif d’obtenir des nanoparticules dont le diamètre moyen ne dépassait pas 300 nm, valeur généralement reprise dans la littérature comme étant la plus efficace en vue d’augmenter leur absorption à travers l’épithélium intestinal. A partir de cette hypothèse, nous avons développé deux types de nanoparticules :des nanoparticules polymériques et lipidiques. Dans les deux cas, nous avons cherché à obtenir des nanoparticules mucoadhésives dont les avantages sont (i) une protection partielle contre l’environnement intestinal, (ii) une diminution de la clairance permettant une augmentation du temps de résidence au site d’absorption, (iii) une diminution de la distance de diffusion et enfin, (iv) une augmentation du gradient de concentration vers la circulation systémique.Les formulations polymériques consistaient en des nanoparticules composées d’un polymère cationique (chitosan et ses dérivés), d’un peptide (insuline ou colistiméthate sodique) et éventuellement d’un dérivé polyanionique. La formation de ces nanoparticules repose sur des interactions électrostatiques entre le polymère chargé positivement et le peptide présentant des charges négatives. Ce type de formulations a l’avantage de ne pas utiliser de solvant organique durant le processus de fabrication et d’être bioadhésif. Un autre avantage, grâce aux propriétés promotrices d’absorption du chitosan, est de pouvoir ouvrir les jonctions serrées présentes entre les cellules épithéliales du tractus digestif afin de faciliter l’absorption du principe actif. Les formulations obtenues présentaient un diamètre inférieur à 300 nm et un potentiel zêta dont la valeur se situait toujours entre +24 mV et +40 mV. Grace à cette charge de surface, nos nanoparticules présentaient des propriétés mucoadhésives. Celles-ci étaient d’autant plus marquées lorsque le diamètre des particules diminuait et que leur potentiel zêta augmentait. Les taux d’encapsulation pour ces formulations étaient supérieurs à 50%, atteignant 64 ± 4% pour la meilleure formulation. Nous avons également observé que les profils de libération du peptide à partir de ces nanoparticules pouvaient être modulés par le choix du polymère, et plus particulièrement son degré de quaternisation, ainsi que par l’emploi d’un dérivé polyanionique. De cette façon, certaines formulations permettaient une libération continue sur 210 minutes tout en offrant une protection efficace contre les enzymes digestives. Enfin, comparativement à de l’insuline en solution, nous avons pu montrer que le passage à travers une monocouche cellulaire de Caco-2/HT-29 mimant l’épithélium intestinal était supérieur pour nos formulations avec un passage atteignant 3,9 ± 0,5% après 240 minutes contre 1,2 ± 0,3% après le même temps pour une solution d’insuline. Finalement, nous avons démontré in vivo que le processus de formulation ne dénaturait pas notre peptide puisque son efficacité biologique était conservée. Les formulations lipidiques étaient, quant à elles, obtenues à partir d’émulsions solidifiées. Pour cela, une double émulsion E/H/E était réalisée avec, en phase interne, une phase aqueuse contenant le peptide et une phase externe organique contenant les lipides. Cette émulsion primaire était ensuite émulsifiée dans une phase aqueuse externe contenant des tensioactifs. Le solvant organique était ensuite évaporé, conduisant à la solidification des lipides sous forme de nanoparticules lipidiques solides. L’emploi d’un lipide cationique permettait d’obtenir une charge de surface positive conduisant aux propriétés mucoadhésives. Comme pour les formulations à base de chitosan, les nanoparticules obtenues présentaient un diamètre inférieur à 300 nm et un potentiel zêta toujours supérieur à +33 mV. Le taux d’encapsulation était compris entre 30% et 42%. Ces formulations permettaient également la protection du peptide encapsulé envers les enzymes digestives (pepsine et trypsine). La libération du peptide à partir des nanoparticules était biphasique, avec une libération importante durant les trente premières minutes, suivie d’une libération continue. Ces formulations permettaient également d’augmenter le passage du peptide sur une monocouche cellulaire mimant l’épithélium intestinal puisque nous obtenions un passage égal à 2,9 ± 0,4% après 4h pour nos cSLN, contre 1,2 ± 0,3% pour une solution d’insuline. Comme précédemment, l’intégrité du peptide n’était pas modifiée par notre processus de formulation. Afin de confirmer que nos principes de formulation pouvaient être transposables à d’autres peptides et protéines, nous avons réalisé des formulations similaires avec le colistiméthate de sodium, une prodrogue d’un antibiotique polypeptidique, la colistine.A la suite de ces évaluations in vitro, nous avons sélectionné les meilleurs candidats pour chaque type de formulation contenant de l’insuline afin de réaliser une étude in vivo. Cette dernière consistait en l’administration orale, chez le rat, d’une gélule gastrorésistante contenant nos formulations. A la suite de cette administration, nous avons suivi la glycémie chez le rat afin de comparer nos résultats avec une administration sous cutanée d’insuline correspondant au traitement classique, ainsi qu’à l’administration orale d’insuline non formulées. Les résultats obtenus ont démontré une diminution, parfois importante, de la glycémie lors de l’administration orale de nos formulations. Dans le cas des formulations à base de chitosan et d’insuline, administrées à 100 IU/kg, cette réduction de la glycémie a été observée chez deux animaux sur onze et à conduit à leur décès par hypoglycémie. Ce profil « tout ou rien » serait dû à la dissolution précoce des gélules alors qu’elles étaient encore présentes dans l’estomac. Concernant les formulations lipidiques, lorsque celles-ci étaient administrées à 50 IU/kg, nous observions une diminution de la glycémie de 28 ± 7% du taux basal, et ce pour les onze animaux. A l’avenir, il serait intéressant de pouvoir observer séparément la gélule de son contenu après administration, par des techniques d’imagerie médicale, afin de comprendre les variabilités observées in vivo. Il serait également intéressant de connaitre plus en détails les mécanismes de passage de l’épithélium intestinal. De telles études ont été réalisées in vitro ou ex vivo mais, à notre connaissance, pas in vivo. / In the last few years, research in biotechnology has produced a plethora of new therapeutics based on peptides and proteins. These new biotherapeutics are currently injected (e.g. subcutaneously), with lower patient compliance than for the oral route of administration. Indeed, the oral route is still considered as the most convenient way for drug delivery, offering high compliance by patients, especially in long-term treatments. However, proteins and peptides are characterized by low bioavailability when administered orally (lower than 1%). This is essentially due to their poor stability in the gastrointestinal (GI) tract (e.g. resulting from pH, enzymatic and microbial degradation) as well as limited permeability through the gastro intestinal mucosa.Numerous researches have been performed on oral administration of peptides and proteins with the use of insulin as the model drug. Indeed, insulin, a peptide hormone, is usually administered subcutaneously for the treatment of diabetes mellitus. Moreover, the oral administration of insulin can mimic the endogenous secretion by the pancreas as the absorbed insulin passes through the portal vein to the liver avoiding peripheral hyperinsulinemia. In this work, encapsulation strategy was selected to increase the oral bioavailability of macromolecules. These novel formulations were developed in the form of both polymeric and lipid cationic nanoparticles, which were characterized by a mean diameter lower than 300 nm. Such cationic nanoparticles allowed protecting the biomolecule against early degradation in the gastrointestinal tract as well as getting adhesive properties to decrease intestinal clearance and increase the concentration gradient toward the systemic circulation by shorting the diffusion pathway. The polymeric formulations were based on the use of a cationic polymer (e.g. chitosan and chitosan derivatives), a peptide (e.g. insulin or sodium colistimethate) and, alternatively, a polyanion. These formulations were prepared by self-assembly, via electrostatic interactions between the negatively charged drug and the positively charged polymers. An advantage of such formulations was to avoid the use of organic solvents during the preparation. Moreover, these formulations were characterized by bioadhesive properties and the use of chitosan derivatives as permeation enhancer was supposed to promote the intestinal absorption of macromolecules. The polymeric nanoparticles were all characterized by a mean diameter lower than 300 nm and a positive zeta potential that was ranged between +24 mV and +40 mV. The bioadhesive properties were found to be enhanced with a decrease of the nanoparticles diameter, as well as, by an increase of the zeta potential. The encapsulation efficiencies were found to be always higher than 40%. It was demonstrated that dissolution profiles of the encapsulated peptide from the polymeric nanoparticles was greatly influenced by the nature of the polymer (e.g. derivatization degree) and the use of a polyanion. A proper selection of both materials allowed getting a sustained-release of the peptide over 210 minutes. An effective protection against digestive enzymes was also demonstrated. Moreover, it was shown that the diffusion of insulin through Caco-2/HT-29 cell monolayers was increased when encapsulated in polymeric nanoparticles compared to a solution of raw insulin (e.g. 3.9 ± 0.5% vs. 1.2 ± 0.3% after 240 min.). Interestingly, it was also proved that the in vivo biologic activity of insulin was not altered during the formulation process.The so-called water-in-oil-in-water (W/O/W) double emulsion technique was used to produce the cationic solid lipid nanoparticles (cSLN). With the double emulsion method, the first emulsion is water in oil, which means that the protein is dissolved into the inner aqueous phase, emulsified with an organic phase including the lipids. This first emulsion was then emulsified with an outer aqueous phase including surfactants. The organic solvent was removed by evaporation to get solid lipid nanoparticles. It was decided to select cationic lipids to get ionic interactions between the positively charged surface of the cSLNs and the negative charges present in the mucus at the surface of the intestinal tract. The mean diameter of the cSLN remained lower than 300 nm and the zeta potential was always higher than +33 mV. The encapsulation efficiency was ranged between 30% and 42% and all the formulations were characterized by bioadhesive properties. Moreover, it was demonstrated that the cSLN allowed an effective protection against digestive enzymes (e.g. pepsin and trypsin). The dissolution profiles of the insulin from the cSLN were characterized by a biphasic release. There was an initial burst release in the first 30 min, followed by a sustained release of the peptide. Moreover, compared to free insulin in solution, these formulations significantly increased the passage of the encapsulated insulin through Caco-2/HT-29 cell monolayer to reach 2.9 ± 0.4% after 4h for the cSLN, instead of. 1.2 ± 0.3% for the unencapsulated raw insulin. Finally, as for the previous formulation based on chitosan, the peptide and its biological activity were preserved during the formulation process.In order to confirm that the developed formulations could be used with others peptides and proteins, similar formulations were developed with sodium colistimethate, a prodrug of a polypeptide antibiotic, the colistine.After these in vitro characterizations, the best formulation of each type containing insulin was selected to perform in vivo evaluation. Both polymeric and lipidic formulations were orally administered by the mean of an enterosoluble capsule. Glycemia in rat was monitored and compared to that obtained after a subcutaneous injection, as well as an oral administration of insulin solution. The results showed a tremendous decrease of the glycemia after the oral administration of our formulations. For the chitosan-based formulation, which was administered to eleven animals (100 IU/kg), a tremendous decrease of glycemia was observed in two animals, leading to their death by hypoglycemia. These results could be explained by an early dissolution of the capsule in the stomach, leading to the early release of our formulations. For the cSLN containing insulin and administered at 50 IU/kg, the mean decrease of the glycemia was 28 ± 7%. Nevertheless, consequent variability was observed for the highest decrease of the glycemia (20.8% - 42.2%) as well as for the time need to get this highest decrease (180 – 330 minutes). This variability can also be explained by an early dissolution of the capsule in the stomach and, even if these lipid formulations were stable in gastric media, their bioadhesive properties prevent them to reach the intestine.In the future, it would be interesting to simultaneously follow the capsule pathway and its content. This could be done by medical imaging and would help to understand the variability that was observed during our in vivo evaluation. It would also be interesting to evaluate more deeply the passage mechanism through the intestinal epithelium. Such studies have been done in vitro and ex vivo but not in vivo to the best of our knowledge. / Doctorat en Sciences biomédicales et pharmaceutiques (Pharmacie) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
196 |
Einfluss eines Immunmodulators auf Viruspersistenz und Immunantwort bei der caninen oralen PapillomatoseRaue, Monika 28 October 2008 (has links)
Das canine orale Papillomvirus (COPV) infiziert hauptsächlich junge Hunde. Tiere, die an caniner oraler Papillomatose erkranken, weisen blumenkohl-ähnliche Papillome im Bereich der Maulhöhle auf, die sich in der Mehrzahl der Fälle nach vier bis acht Wochen spontan zurückbilden. In dieser Studie wurde der Einfluss von Baypamune auf den Erkrankungsverlauf, die Immunantwort und die Persistenz des viralen Genoms nach experimenteller COPV-Infektion untersucht. Baypamune ist ein Immunmodulator, der das Immunsystem antigen-unspezifisch stimuliert; sein genauer Wirkmechanismus ist noch nicht geklärt. Zwölf Labrador-Retriever im Alter von ca. 15 Wochen wurden mit COPV experimentell im Bereich der Maulschleimhaut infiziert. Nach der Entwicklung der ersten Papillome wurde allen Hunden sechsmal Baypamune oder ein Plazebopräparat subkutan injiziert. Bei allen Hunden bildeten sich die Papillome im Verlauf von mehreren Wochen zurück, klinisch konnten keine signifikanten Unterschiede zwischen der Baypamune- und der Plazebo-Gruppe festgestellt werden (Klinik für Kleintiere, Universität Leipzig). Vor der experimentellen Infektion und 24 Stunden nach Plazebo- bzw. Baypamune-Gabe wurden Blutproben entnommen, in denen mittels quantitativer real-time RT-PCR der mRNA-Gehalt der Zytokine IL-18, TNFα und INFγ bestimmt wurde. In allen Proben wurde IL-18- und TNFα-mRNA nachgewiesen. Beobachtete Unterschiede im mRNA-Gehalt korrelierten jedoch nicht mit der vorherigen Behandlung mit einem bestimmten Präparat. INFγ-mRNA wurde in einigen, aber nicht in allen Proben detektiert. Ein Muster bezüglich der Behandlungsgruppe oder des Studientages war hier ebenfalls nicht erkennbar. Serumproben wurden in wöchentlichen Abständen vom Tag der Infektion bis zur Regression der Papillome sowie am letzten Studientag (Tag 147 post infectionem) entnommen. Diese wurden mittels eines dafür entwickelten COPV Capture ELISAs auf IgG-Antikörper gegen das Hauptstrukturprotein L1 von COPV untersucht. Die hierbei ermittelten Titer derjenigen Hunde, die mit Baypamune behandelt wurden, stiegen deutlich früher an als die der Plazebo-Gruppe. Am Ende der Studie waren jedoch die Titer in beiden Behandlungsgruppen ähnlich hoch. Einundzwanzig Wochen nach experimenteller Infektion wurden allen Hunden an zwei Stellen der Maulschleimhaut Bioptate entnommen: Ein Bioptat stammte aus einem Bereich, an dem sich zuvor ein Papillom befunden hatte, das andere von einer nicht-infizierten Stelle. Mittels PCR wurden die Proben auf das Vorhandensein persistierender COPV-DNA untersucht. Alle Proben, die von nicht-infizierten Stellen stammten, waren negativ. In den Bioptaten, die aus dem Bereich eines zurückgebildeten Papilloms entnommen worden waren, konnte abhängig vom verwendeten PCR-Protokoll in drei beziehungsweise vier von insgesamt sechs Hunden der Plazebo-Gruppe COPV-DNA nachgewiesen werden. In keinem Hund der Baypamune-Gruppe wurde COPV-DNA detektiert. Aus den hier vorgestellten Daten kann geschlossen werden, dass die wiederholte therapeutische Behandlung mit Baypamune zu einem schnelleren Anstieg der humoralen Immunantwort gegen das Hauptstrukturprotein L1 von COPV führt. Zudem konnte gezeigt werden, dass Baypamune das Immunsystem bei der Beseitigung persistierender Papillomvirus-DNA unterstützen kann. Sollten weitere Versuche mit COPV und anderen Papillomviren diesen Effekt bestätigen, könnte die Anwendung von Baypamune bei rezidivierenden, persistierenden oder progressiv verlaufenden Papillomvirus-induzierten Erkrankungen bei Mensch und Tier sinnvoll sein.
|
197 |
Untersuchungen zur Pharmakokinetik und Verträglichkeit von Doxycyclin bei Brieftauben nach oraler ApplikationWeilacher, Eva-Maria 29 September 2009 (has links)
In den letzten Jahren zeichnet sich bei der Behandlung der Ornithose der sportlich genutzten Brieftaube die Entwicklung ab, anstelle der traditionellen intramuskulären Applikation von Doxycyclin eine orale Applikation über das Trinkwasser vorzuziehen, wofür bisher eindeutig experimentell belegte Dosierungsschemata fehlen. Ziel der vorliegenden Arbeit war es, ein oral zu verabreichendes Doxycyclin-Präparat auf seine Pharmakokinetik und Verträglichkeit bei Brieftauben zu untersuchen und ein geeignetes Dosierungsregime für die Trinkwasserapplikation zur Behandlung der Ornithose zu etablieren. Die anzuwendende orale Therapiedosis wurde in verschiedenen Schritten ermittelt. Zuerst wurde die Plasmakinetik von Doxycyclin nach einmaliger intraingluvialer Applikation von 60 mg Doxycyclin/kg KM bei einer Gruppe von 15 Brieftauben gemessen, um die gastrointestinale Resorption zu bewerten und pharmakokinetische Daten zu berechnen. Im zweiten Teil der Untersuchungen sollte an einer Gruppe von 36 Brieftauben überprüft werden, ob mit einer oralen Dosis von 30 mg Doxycyclin-Hyclat/ kg KM pro Tag, verteilt auf zwei Dosen zu 15 mg/kg KM, über einen Zeitraum von 14 Tagen Plasmaspiegel oberhalb 1,0 µg/ml bei geringen Fluktuationen erreicht werden können. Außerdem wurden in diesem Versuch Gewebespiegel von Doxycyclin in den Zielorganen von Chlamydophila psittaci (Lunge und Leber) von 12 Tauben jeweils 2 und 5 Stunden nach der letzten Doxycyclin-Applikation gemessen. In weiteren Untersuchungen sollten die Akzeptanz von Doxycyclin-supplementiertem Trinkwasser durch die Brieftauben sowie die daraus resultierenden Doxycyclin-Plasmaspiegel getestet werden. Dazu wurden in einem orientierendem Versuch 4 Tieren über 3 Tage Doxycyclin-supplementiertes Trinkwasser in der Konzentration von 800 mg/l Doxycyclin, anschließend in einem Hauptversuch 18 Brieftauben über 10 Tage supplementiertes Trinkwasser in der Konzentration von 750 mg/l angeboten, dem jeweils 1,0 g Zitronensäure/l beigemischt war. Die Verträglichkeit von Doxycyclin bei Brieftauben wurde im letzten Teil der Studie überprüft. Jeweils 12 Brieftauben wurden 5 Versuchsgruppen zugeteilt. Über einen Zeitraum von 20 Tagen wurden jeder Taube täglich Doxycyclin-Lösungen in folgenden Dosierungen oral appliziert: 0 mg/kg (Placebogruppe), bzw. 30 mg/kg, bzw. 45 mg/kg, bzw. 60 mg/kg, bzw. 150 mg/kg KM; die Dosis wurde auf zwei gleiche Mengen pro Tag verteilt. Mittels klinischer, blutchemischer, hämatologischer und pathologischer Untersuchungen wurde der Gesundheitsstatus der Tiere überwacht. Es zeigte sich, dass Doxycyclin nach oraler Gabe von 60 mg/kg KM an Brieftauben gut aus dem Gastrointestinaltrakt resorbiert wurde. Eine maximale Plasmakonzentration von 8,1 µg/ml wurde 6 h post applicationem erreicht und es wurde eine Plasmahalbwertszeit von 11,3 h ermittelt. DiePlasmaspiegel erwiesen sich in Anbetracht des angestrebten Wertes von 1,0 µg Doxycyclin/ ml Plasma zur Ornithosetherapie als ausreichend hoch. Bei Gabe von 30 mg Doxycyclin/kg KM pro Tag, verteilt auf 2 gleiche Einzeldosen, über einen Zeitraum von 14 Tagen, wurden maximale Plasmakonzentrationen von durchschnittlich 2,4 µg/ml, minimale Plasmakonzentrationen von im Mittel 1,8 µg/ml gemessen. Die Versuchsergebnisse bestätigen, dass die verabreichte Dosis ausreichend ist, um mittels oraler Applikation einen Plasmaspiegel von > 1,0 µg/ml, entsprechend den Anforderungen der PSITTAKOSE-VERORDNUNG (2005), zu gewährleisten. Noch ausgeprägter als im Plasma, reicherte sich das stark lipophile Doxycyclin in den Zielgeweben Lunge und Leber zum zwei-(Lunge) bis 7-fachen (Leber) gegenüber dem Blutplasma an. Im dritten Teil der Untersuchungen wurde mit einer täglichen durchschnittlichen Aufnahme von 37 ml/kg KM Doxycyclin-medikierten Trinkwassers (Konzentration von 750 mg Doxycyclin/ l) eine gute Akzeptanz des Präparates beobachtet. Während die Mittelwerte der Doxycyclin-Plasmaspiegel sich immer oberhalb der angestrebten 1,0 µg/ml befanden, verfehlten einzelne Tiere, jedoch nur in der ersten Hälfte des Applikationszeitraumes, an einzelnen Messzeitpunkten knapp diese Grenze. Die Supplementierung des Trinkwassers mit Zitronensäure erwies sich als notwendig, um die Ausfällung von Doxycyclin durch mehrwertige Kationen im Leitungswasser zu verhindern. Eine ausgezeichnete Verträglichkeit von Doxycylin bei der Zieltierart Brieftaube und oraler Applikation konnte bei 20-tägiger Applikation bis zur 2-fachen Überdosierung (60 mg/kg KM pro Tag) bestätigt werden. Eine höhere Überdosierung ist zu vermeiden, da in der Fünffachdosisgruppe (150 mg/kg KM pro Tag) Nebenwirkungen in Form von Regurgitieren und Leberbelastungen mit Polydipsie, Polyurie, Körpermasseverlust und einem Anstieg der Leberenzyme auftraten. Zusammenfassend ist festzuhalten, dass anhand der vorliegenden Untersuchungsergebnisse bei Brieftauben eine tägliche orale Dosis von 30 mg/kg KM Doxycyclin über das Trinkwasser zu wirksamen Blutplasma- und Gewebespiegeln führt, bei guter Verträglichkeit, und somit zur Ornithosetherapie empfohlen werden kann. Eine mehr als 2-fache, akzidentelle Überdosierung des Präparates ist zu vermeiden.
|
198 |
Étude de la participation de l'enseignant en atelier d'accompagnement avec des élèves de 4e année en français langue secondeComeau, Gaston January 2002 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
199 |
The Flood Myth, the Lone Ranger, and the re-centering of marginal masculinity in Green Grass, Running Water by Thomas KingDiamond, Alexis S. January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
200 |
Analyse de la performance réalisée dans une langue étrangère à travers des discussions tenues par des élèves de seconde au Gabon à la suite de présentations vidéo de contesNdong Ékouaga, Jérôme January 2002 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
Page generated in 0.0315 seconds