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Der doppelte Blick Photographie und Malerei in Emile Zolas "Rougon-Macquart /Spieker, Annika. January 1900 (has links)
Texte remanié de : Dissertation : Literatur : Universität Freiburg : 2006 : Der photographische Blick bei Emile Zola. / Bibliogr. p. 249-255. Notes bibliogr.
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Femmes et violences dans les œuvres d'Artemisia Gentileschi et d'Elisabetta SiraniRatelle-Montemiglio, Catherine 10 1900 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche porte principalement sur l'analyse d'un corpus d'œuvres d'Artemisia Gentileschi et d'Elisabetta Sirani autour de la thématique des « femmes violentes ». Ces deux artistes italiennes ayant pratiqué la peinture au XVIIe siècle comptent parmi les premières femmes à s'être illustrées dans la représentation de sujets issus de l'histoire biblique et parfois même antique, un genre artistique dominé par leurs collègues masculins. En effet, les récits qu'elles interprètent sont parfois issus de la Bible, comme ceux de Judith ou Yaël, ou encore de l'histoire antique, dans les cas de Timoclée, Lucrèce ou Portia. Or, le thème de la violence au féminin s'avère fortement marqué par une tradition iconographique reflétant les angoisses et préoccupations masculines de l'époque, notamment par une emphase sur le potentiel érotique de ces récits. Ainsi, même les personnages autrefois associés à la chasteté se transforment avec l'ère baroque en véritables guerrières sexuelles. L'étude des œuvres de Gentileschi et de Sirani révèle des écarts iconographiques face à cette tradition, traduisant une prise de position des artistes sur leur sujet. Proposant une vision de la féminité active et parfois même féroce, leur interprétation de ces femmes « violentes » questionne la tradition picturale et ses préjugés sur les femmes. La notion « d'agentivité », prenant sa source dans les écrits de Judith Butler, nous permet alors de mettre en évidence la possibilité d'une resignification de la féminité grâce au travail de ces femmes peintres. À la lumière des approches féministes développées par des historiennes contemporaines comme Griselda Pollock, l'étude des œuvres de ces artistes nous permet d'enrichir notre compréhension de la création au féminin.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Artemisia Gentileschi, Elisabetta Sirani, histoire des femmes, femmes artistes, violence, peinture biblique, peinture baroque, XVIIe siècle, agentivité, Judith, Yaël, Timoclée, Lucrèce, Portia.
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Règles et jeux dans les pratiques artistiques contemporainesBerthou, Benoit 10 December 2004 (has links) (PDF)
Certaines pratiques artistiques du XXe siècle semblent faire un choix en matière de créativité : élaborer une œuvre à partir d'un ensemble de règles et la définir comme un espace de jeu où il s'agit d'associer et de combiner un certain nombre d'éléments. Le premier moment constitutif de l'œuvre est ainsi une " concertation ", une réflexion sur les prescriptions susceptibles d'être utilisées et adoptées. Notre hypothèse est la suivante : choisir la règle et le jeu comme vecteur de création permet de s'inscrire dans le possible. Devoir utiliser, en musique, un ensemble déterminé de sons oblige le compositeur à concevoir d'inédits rapprochements et à ne pas tenir compte, ainsi que le montre Arnold Schoenberg, des règles de l'harmonie classique. Se placer, en littérature, sous l'égide de prescriptions qu'il a lui-même élaboré permet à l'écrivain d'établir ce que Michel Leiris nomme un " dire différent ". Composition et écriture relèvent en ce sens d'une même volonté : se demander, à l'instar du peintre Gérard Gasiorowski, " Que faire ? " avec les éléments que l'on a à sa disposition.
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Les voies de la mélancolie et de la création chez Chaïm Soutine, le "violeur de couleurs" : radioscopie d'un acte de peintureCassata, Rafaella 25 November 2013 (has links) (PDF)
Chaïm Soutine paraît à beaucoup comme l'un des peintres les plus énigmatiques de l'École de Paris. Il trouve place dans ce moment de rupture artistique qui initie le 20ème siècle et il porte bien malgré lui l'étendard de l'expressionnisme et de l'art juif. Pourtant, l'exigence de son " acte de peinture " (Cf. Daniel Arasse) va bien au-delà de toute revendication d'appartenance à une quelconque communauté. C'est le propre rythme de sa vie d'exilé et de renégat qu'il dépose sur l'espace de la toile dans un instant de peindre qui le transperce et dans un geste de couleur qui l'anime. Ce dernier peintre maudit relie sa vocation de peinture à une scène traumatique originaire et à l'expression d'un cri inachevé. Cette scène fait écho à une mélancolie structurelle qui le porte sur l'une ou l'autre des deux berges de Styx et lui fait affronter le vide de la Chose. Cette confrontation aura des issues diverses : il deviendra alors soit génie créateur soit assassin de ses toiles.
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Nicolas Poussin, Charles Le Brun and the Royal Academy of Painting and Sculpture, Paris, 1648 : a kinship of aestheticsBlaney, Gerald W. January 1999 (has links)
This thesis examines the history, political climate and evolution of l'Academie royale de Peinture et de Sculpture, Paris (1648) as well as Nicolas Poussin's aesthetic contribution to its classical syllabus, and his influence on Charles Le Brun's classicizing perceptions via-a-vis the Academy during his tenure as Protector, Chancellor (for life), and Director. Explored too is the confrontation between the ancient guild system (la Maitrise), and the emerging idea of the ennoblement of the arts. Poussin's Israelites Gathering the Manna and Rebecca and Eliezer, analysed during les Conferences of the Academy, along with certain of the paintings of Charles Le Brun are considered to the conclusion that, at the outset, there was considerable flexibility with regard to les regles.
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Le toucher du visuel /Peláez, Ana María, January 2005 (has links)
Thèse (M.A.) -- Université du Québec à Chicoutimi, 2005. / Bibliogr.: f. [72]-73. Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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Petits musées en vers : épigramme et discours sur les collections antiques /Prioux, Evelyne. January 2008 (has links)
Überarb. des 2. + 3. Teils einer Diss. Univ. de Paris X-Nanterre, 2004. / Originaltitel: Le poète, l'artiste et le collectionneur, Titel der Diss.
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Production, commercialisation et entretien des vitraux entre la fin de la guerre de Cent Ans et la Fronde à l'est du Bassin parisien : aspects techniques et historiques / Production, installation and maintenance of windows between the end of the Hundred Years' War and the Fronde in the East Parisian Basin : historical and technical aspectsChossenot, Raphaëlle 27 March 2013 (has links)
Cette recherche a pour ambition d'étudier les vitraux, les commanditaires et les peintres-verriers de la fin du Moyen Age au début du XVIIe siècle dans l'Est du Bassin parisien, c'est-à-dire dans un secteur géographique couvrant des territoires où il reste parfois beaucoup de vitraux en place (pays troyen, par exemple) et d'autres où il ne subsiste presque rien, comme dans les Ardennes ou l'Aisne. Cependant, il est possible, grâce aux sources d'archives, de fournir un tableau des foyers de peinture sur verre dans des villes où l'absence de vestiges ne laisse pas supposer qu'on y ait produit du vitrail (Mézières, Laon). Ces sources, comptables, judiciaires, notariales, réglementaires ou techniques, permettent, d'une part, de suivre sur le long terme les mécanismes de commande, de pose et d'entretien des verrières et, d'autre part, d'étudier les familles de peintres-verriers qui ont été actives dans la plupart des cités du territoire couvert par notre étude. Nous avons donc tenté d'élaborer une définition du métier de peintre-verrier tenant compte des circonstances (métier réglementé ou non) ainsi que de la teneur exacte des activités des peintres-verriers qui sont, comme dans de nombreux autres pays, souvent polyvalents, les spécialisations dépendant du contexte artistique, économique et familial. Les source anciennes enrichissent aussi l'approche iconographique en contribuant à affiner notre connaissance des corpus de vitraux posés dans un espace géographique et pour une période donnés : si l'iconographie dépend pour une bonne part du statut du commanditaire et de sa culture, les dévotions locales, la nature de l'édifice et les modes ont aussi joué un rôle. / This project is a study of the stained-glass windows, patrons and painter-glassworkers of the end of the Middle Ages. It focuses on the east Parisian Basin at the 16th and 17th centuries, an area which encompasses regions (such as that around Troyes) where there are many extant windows, and others (such as the Ardennes and Aisne) where almost nothing survives. Using archival sources, however, it is possible to supply a picture of glassmaking centre where no material evidence suggests that glass was manufactured (for example in Mézières and Laon). On the one hand, these sources allow us to trace the processes of patronage, production, installation and maintenance of windows over a period of time. On the other, they provide an insight into the families of glassworkers which were active in most of the cities covered by this study. Drawing on this evidence, this thesis presents an account of the painter-glassworker's craft, taking into account socio-historical circumstances (including guilds), as well as the details of their activities given in the records, which are often, as in other countries, rather vague and general, depending on artistic, economic and familial context for clarification. The historical sources can also enrich an iconographic understanding of the glass by helping to refine our knowledge of the windows within their geographical and temporal contexts : if their subject-matter depends on the status and culture of patrons, the nature of local devotion, the nature of the edifice and fashion must all be taken into account.
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Peindre pour les milieux catholiques dans les Pays-Bas du Nord au XVIIe siècle / Paintings for Catholics in the Dutch Republic during the 17th centuryMarquaille, Léonie 21 November 2015 (has links)
Les enjeux de ce travail sont multiples et s’inscrivent dans le renouvellement de la recherche sur la peinture hollandaise. S’il est courant d’opposer un peu rapidement la Flandre catholique d’une part, associée à une production importante de peinture religieuse, et la Hollande calviniste de l’autre, cantonnée à la peinture de genre, on sait à quel point la situation historique et sociale des Pays-Bas était plus complexe. L’existence de milieux catholiques dans les provinces protestantes a entraîné la production non négligeable de peinture : tableaux religieux pour les églises ou pour la dévotion privée ; portraits de clercs ou de laïcs affichant leur confession ; peintures représentant des allégories de la foi catholique. C’est à l’étude de l’ensemble de cette production que je me suis consacrée, en tentant de cerner les besoins et usages des milieux catholiques, ainsi que les réponses des peintres. Je me suis en particulier efforcée de rendre compte le plus précisément possible de la diversité des situations rencontrées et de la difficulté à les faire entrer dans des schémas. Ainsi en est-il par exemple de la question des liens entre l’appartenance confessionnelle des artistes et celles des commanditaires comme des rapports entre sentiments religieux et production artistique ou encore de l’interprétation catholique d’une œuvre. Mon étude vise à enrichir la connaissance du regard des milieux catholiques sur la peinture à l’âge de la Contre-Réforme, par la mise en lumière d’une situation géographique et socio-politique très singulière, et à nuancer l’opposition traditionnelle entre les Pays-Bas du Sud et du Nord en matière d’œuvres d’art. / This research intends to be part of the Dutch art historiography’s renewal. The traditional opposition between North and South, Calvinism and Catholicism, History painting and Genre painting is no longer relevant. Although the Reformed church was the public church, the choice of personal religion permitted « sects », like Catholicism, Anabaptism, Lutheranism, to remain active. The presence of Catholics in the calvinist Dutch Republic during the 17th century maintains a demand for paintings : religious art works for churches or private devotion, portraits of the clergy or catholic lay, allegory of the catholic faith. I considered not only the expectations of Catholics in terms of painting, but also the responses of the painters whether they were Catholic or not. My aim is to extend the knowlegde of the production and reception of paintings during the age of the Counter-Reformation in an uncommon political and geographic situation.
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Eugène Delacroix et la critique, 1822 - 1885 / Eugène Delacroix and criticism, 1822 - 1885Cauchi-Fatiga, Virginie 22 September 2018 (has links)
L’artiste débute sa carrière au moment où le développement considérable de la critique en France s’explique par plusieurs facteurs : la centralisation parisienne de la vie artistique et littéraire, le prestige inhérent aux Salons de la capitale, et surtout la publication au début du siècle des Salons de Diderot, qui jusque-là n’ayant pas dépassé le cercle privé de l’auteur se retrouvèrent érigés en modèle d’un nouveau genre littéraire. Car il n’y a pas, et ce durant les quarante années de carrière de Delacroix, de critique professionnelle. C’est pourquoi celle-ci regroupe sous ce seul terme une multitude d’auteurs, une abondance de textes et de mediums. Un corpus considérable d’articles nous renseigne sur ce que fut la réception de Delacroix du début à la fin de sa carrière jusqu’à la fin du siècle, et nous montre comment l’esthétique de l’artiste put être appréhendée. La longévité de la carrière de Delacroix est l’un des intérêts majeurs d’une telle recherche, tant elle s’accompagne de bouleversements politiques, sociologiques, idéologiques et esthétiques. La critique qui découvre pour la première fois le jeune artiste en 1822 n’est plus celle qu’il quitte en 1859, tout comme celle de 1885 qui voit approcher l’aune d’un nouveau siècle. L’intérêt de ce travail sera non seulement de tenter de réunir l’intégralité des textes produits par la critique de 1822 à 1885, mais aussi et surtout de mettre en lumière -par l’analyse des textes et de leur contexte- les processus qui permirent à la critique non seulement d’évoluer vers la nouvelle discipline de l’histoire de l’art, mais aussi d’ériger un artiste en l’un des plus fameux symboles du XIXème siècle. / The artist began his career at the same time as the development of critics/criticism in France - this is explained by several factors: centralization of Parisian artistic and literary life, the inherent prestige of ‘Salons’ in the capital, and especially the publication at the beginning of the century of the ‘Salons of Diderot’, which were started as a model of a new literary genre, and which had not yet exceeded the private author's circle. Also, during the forty years of Delacroix’s career there had been no professional criticism. This is why this single term regroups a multitude of authors, an abundance of texts and media. There are a considerable number of articles provide information on the response to Delacroix from the beginning to the end his career until the end of the century, and inform us how the artist’s works were accepted and interpreted. The length of Delacroix’s career is one of the major interests of any research, as it was accompanied by political, sociological, ideological and artistic upheavals. The criticism that the young artist discovers for the first time in 1822 is very different to that in 1859, and again in 1885, at the approach of a new century. The interest of this work will not only attempt to bring together all of the critical texts produced between 1822 to 1885, but also to highlight - by analysis of the texts and their context - process which enabled them to move towards a new discipline of the History of Art, but also to create an artist who is one most famous symbols of the 19th century.
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