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Modèle de l’engagement et de l’abandon de traitement de l’adolescent avec trouble de personnalité limite

Desrosiers, Lyne 12 1900 (has links)
No description available.
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Negativity bias and instability in spontaneous and deliberate evaluations of others : the role of borderline personality disorder features

Gauthier Mongeon, Félix 11 1900 (has links)
Les dysfonctions interpersonnelles sont au cœur du trouble de la personnalité limite (TPL). La recherche passée a examiné différents mécanismes sous-jacents aux dysfonctions interpersonnelles dans la personnalité limite, incluant la dérégulation émotionnelle et l’impulsivité, les déficits dans la reconnaissance des expressions faciales émotionnelles, la mentalisation faible, la confiance et la coopération faibles, les difficultés concernant l’empathie et l’intimité ainsi que l’instabilité affective et interpersonnelle. Ainsi, la présente thèse vise à développer les connaissances sur les mécanismes socio-cognitifs sous-jacents aux dysfonctions interpersonnelles dans la personnalité limite. Dans ce but, cette thèse examine le rôle des évaluations d’autrui dans la personnalité limite. En effet, chacun forme des évaluations plus ou moins positives ou négatives à partir des premières interactions avec une nouvelle personne et ces impressions, tout en évoluant, demeurent fondamentales dans les interactions sociales, incluant dans les relations amoureuses. Ces évaluations peuvent se manifester de deux manières : en effet, il y a maintenant amplement de preuves empiriques suggérant que les évaluations peuvent résulter de processus relativement réfléchis et délibérés (c.-à.-d., évaluations délibérées) ou qu’elles peuvent émerger à partir de processus plus instantanés où il y a aucune ou peu d’intention consciente d’évaluer le stimulus (c.-à.-d., évaluations spontanées). Dans cette thèse, deux études mesurent les traits de la personnalité limite (PL) sur un continuum de sévérité et examinent si ces traits impliquent des évaluations d’autrui plus négatives ou clivées (c.-à.-d., instables et polarisées) aux niveaux spontané et délibéré. L’étude 1 (N = 204) examinait les évaluations d’un personnage de film à deux temps de mesure, c.-à.-d., après un extrait de film positif et après un extrait de film négatif. Les évaluations spontanées étaient mesurées à l’aide d’une tâche d’amorçage évaluatif et les évaluations délibérées étaient mesurées à l’aide d’une mesure auto-rapportée. L’étude 1 examinait deux hypothèses principales : si les traits du PL étaient liés à (1) plus d’instabilité et (2) plus de négativité dans les évaluations du personnage de film aux niveaux délibéré et spontané. Les résultats montraient que les participants évaluaient généralement positivement le personnage sur les deux types d’évaluations. Contrairement à l’hypothèse de l’instabilité, les traits du PL n’impliquaient pas d’alternance entre des évaluations positives et négatives ou entre des évaluations négatives et positives. Cela était vrai pour les évaluations spontanée et délibérée. Toutefois, les deux types d’évaluations impliquaient des biais négatifs contextuels. Spécifiquement, les traits PL étaient reliés à des évaluations relativement plus négatives du personnage de film. Ce patron de résultat est discuté à la lumière des considérations additionnelles suivantes : (1) il émergeait dans différentes conditions de l’étude selon le type d’évaluations, (2) il semblait avant tout déterminé par davantage de positivité chez les individus avec des traits PL faibles et (3) il était basé sur une interaction marginale à trois voies pour la mesure implicite. Pris dans leur ensemble, les résultats obtenus avec les mesures explicite et implicite dans l’étude 1 convergent partiellement avec les appuis empiriques et les théories cliniques sur les biais négatifs dans le TPL, mais il importe de nuancer les résultats sur la mesure implicite considérant qu’ils sont basés sur une interaction marginale. L’étude 2 (N = 292) examinait les évaluations du partenaire après que les participants aient imaginé soit (a) que leur partenaire les rejetait ou (b) qu’il cherchait une connexion (c) ou sans qu’ils aient imaginé aucun scénario (condition contrôle). Les évaluations spontanées du partenaire étaient mesurées avec une tâche de lettre-nom (name-letter task) et les évaluations délibérées du partenaire étaient mesurées à l’aide d’une mesure auto-rapportée. L’étude 2 examinaient deux hypothèses principales : si les traits PL étaient liés (1) à des évaluations plus polarisées du partenaire (c.-à.-d., alternance entre les valences positive et négative) ou (2) à des évaluations plus négatives du partenaire. Ces deux hypothèses étaient examinées au niveau des évaluations spontanées et délibérées. D’abord, conformément à la recherche passée, les résultats montraient que les participants avaient des évaluations à prédominance positives à l’endroit de leur partenaire et d’eux-mêmes. Deuxièmement, contrairement aux hypothèses, les manipulations de rejet et de connexion n’influençaient pas les évaluations spontanées du partenaire et leur influence sur les évaluations délibérées du partenaire était marginale et petite. Troisièmement, les résultats ne supportaient pas l’hypothèse de la polarité : les individus avec des traits PL élevés ne manifestaient pas davantage de positivité après la condition de connexion et ils ne manifestaient pas davantage de négativité après la condition de rejet. Plutôt, les individus avec des traits PL élevés avaient une préférence réduite pour les initiales de leur partenaire et rapportaient des réactions moins positives à l’endroit de leur partenaire indépendamment des conditions de l’étude, conformément à un biais négatif généralisé sur les deux types d’évaluations. La discussion nuance les implications des résultats pour prendre en compte le fait que les conditions expérimentales n’ont pas produit les effets principaux attendus sur les évaluations du partenaire. Prises dans leur ensemble, les deux études ont trouvé des évaluations généralement positives et les traits PL modulaient ces effets : les deux études comportent des preuves préliminaires suggérant que les individus avec des traits PL pourraient évaluer relativement plus négativement les autres et que ces biais négatifs pourraient se présenter au niveau de leurs évaluations spontanées et délibérées. Ces résultats suggèrent que de potentiels biais négatifs à l’endroit d’autrui pourraient être issus d’une combinaison de processus à la fois relativement précoces et tardifs dans les étapes de traitement de l’information. Toutefois, cette interprétation est nuancée et considérée avec prudence étant donné (a) qu’elle est basée en partie sur des effets marginaux, (b) que certains effets n’ont pas été répliqués à travers les conditions de chaque étude et d’une étude à l’autre et (c) que certains des effets principaux attendus des conditions expérimentales n’ont pas été observés dans l’étude 2. / Interpersonal dysfunctions are central to borderline personality disorder (BPD). Past research has examined different mechanisms underlying interpersonal dysfunctions in borderline personality, including emotion dysregulation and impulsivity, deficits in facial emotion recognition, low mentalization, low trust and cooperation, impairments in empathy and intimacy as well as affective and interpersonal instability. The present thesis also aims at obtaining deeper insights into the interplay of socio-cognitive mechanisms underlying interpersonal dysfunctions in borderline personality. Toward this goal, this thesis examined the role of evaluations of others in borderline personality. In fact, evaluations of others exist from the first moment when we meet someone and it remains one of the most fundamental impressions we have in our social interactions, including in romantic interactions. Such evaluations can present at two levels of evaluations; in fact, there is ample evidence that evaluations can be the result of relatively thoughtful, deliberate processes (i.e. deliberate evaluations) or of relatively instantaneous processes where there is no or little conscious intention to evaluate the stimuli (i.e. spontaneous evaluations). In this thesis, two studies assessed borderline personality (BP) features on a continuum of severity and examined whether these features are related with negative or split-off (i.e., unstable and polarized) evaluations of others at the spontaneous and deliberate levels of evaluations. Study 1 (N = 204) examined evaluations of a movie character at two different times, that is, after a positive clip and after a negative clip. Spontaneous evaluations were measured with an evaluative priming task and deliberate evaluations were measured with a self-report measure. Study 1 examined two main hypotheses: whether BP features are related with (1) more unstable or (2) more negative evaluations of the movie character at the spontaneous and deliberate levels of evaluations. Results showed that participants had overall positive evaluations of the movie character on both types of evaluations. Contrary to the instability hypotheses, BP features involved no switch from positive to negative evaluations or from negative to positive evaluations on either type of evaluations. However, we found evidence for context-specific negativity biases for both spontaneous and deliberate evaluations. Specifically, BP features were related with relatively more negative evaluations of the movie character. This effect was interpreted in light of the following additional considerations: (1) it emerged in different conditions of the study depending on the type of evaluations, (2) it appeared to be driven by greater positivity in individuals with low BP features and (3) it relied on a marginal three-way interaction regarding the implicit measure. Together, the results obtained on the explicit and implicit measures in Study 1 partially converge with empirical evidence and clinical theorizing about negativity biases in BPD and the result on the implicit measure should be considered with prudence given that it relies on a marginal three-way interaction. Study 2 (N = 292) examined partner evaluations after participants imagined either (a) that their partner rejected them or (b) sought connection or (c) imagined no scenario (control condition). Spontaneous partner evaluations were measured with a name-letter task and deliberate partner evaluations were measured with a self-report measure. Study 2 examined two main hypotheses: whether BP features are related with (1) more polarized partner evaluations (i.e., alternation between negativity and positivity) or (2) more negative partner evaluations at the spontaneous and deliberate levels of evaluations. First, replicating prior research, results showed that individuals had predominantly positive evaluations of themselves and of their partner. Second, contrary to expectations, the rejection and closeness manipulations did not influence spontaneous partner evaluations and their influence on deliberate partner evaluations was marginal and small. Third, the results did not support the polarity hypothesis: individuals with high BP features did not display greater positivity after the closeness condition and greater negativity after the rejection condition. Instead, individuals with high BP features showed a reduced preference for their partner’s initials and reported less positive reactions to their partner independent of study conditions, in line with a generalized negativity bias on both types of evaluations. The discussion nuances the implications of the results to take in consideration the fact that the experimental conditions did not produce the expected main effects on partner evaluations. Taken together, both studies found overall more positive evaluations, but BP features modulated this effect: we found preliminary evidence that individuals with high BP features had more negative evaluations (i.e., negativity biases) on both kinds of evaluations and in both studies. These results suggest that potential negativity biases toward others may be shaped both at relatively early and late processing stages in borderline personality. However, this interpretation is considered with prudence given that (a) it is partly based on marginal effects, (b) that some effects did not replicate across conditions of each study or across the two studies and (c) that the expected main effects of experimental conditions were not observed in Study 2.
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Étude de l’association entre les traits de la personnalité limite et la suicidalité chez les adolescents de 12 à 15 ans

Zavaglia, Elissa 08 1900 (has links)
La suicidalité (idéations suicidaires avec ou sans plan, tentatives de suicide) est une problématique très importante à l’adolescence. Les adolescents ayant des traits liés au trouble de la personnalité limite (TPL) constituent un sous-groupe à risque suicidaire. Il est aussi largement reconnu que le désespoir, les symptômes dépressifs, anxieux et extériorisés augmentent la vulnérabilité aux idéations et aux comportements suicidaires. Cependant, le rôle médiateur de ces problèmes de santé mentale, dans la relation entre les traits du TPL et la suicidalité n’a pas été vérifié dans les études antérieures. En s’inspirant des modèles théoriques sur l’émergence de la suicidalité, cette thèse propose un nouveau paradigme conceptuel concernant le rôle médiateur des problèmes intériorisés et extériorisés dans cette relation, chez les adolescents de 12 à 15 ans. L’objectif du premier article de la thèse était d’examiner le rôle de quatre médiateurs (désespoir, symptômes dépressifs, anxieux et extériorisés) dans l’association entre les traits du TPL et la suicidalité. Le deuxième article avait pour but d’approfondir cette question en explorant le rôle médiateur de sept problèmes spécifiques, chez les filles et les garçons : désespoir, symptômes dépressifs, de phobie sociale, d’anxiété généralisée, du déficit d’attention avec ou sans hyperactivité, symptômes oppositionnels et des conduites. L’intégration de certaines hypothèses provenant des modèles théoriques a permis de suggérer des trajectoires hypothétiques de médiation. Concernant la méthodologie, les problèmes de santé mentale ont été évalués par le Dominique Interactif pour Adolescents-Révisé (DIA-R) et l’Échelle de désespoir de Beck. La base de données utilisée pour effectuer l’analyse de cheminement incluait un échantillon de 446 adolescents francophones et anglophones âgés de 12 à 15 ans recrutés dans les écoles et les établissements cliniques de Montréal. Les modèles obtenus à partir des analyses de cheminement ont mis en évidence un bon ajustement des données suggérant la plausibilité des trajectoires hypothétiques proposées. Une association directe a été observée entre les traits du TPL et l’échelle de suicidalité du DIA-R. Tel que prévu, plusieurs problèmes de santé mentale interviennent comme variables médiatrices dans cette relation. Les symptômes dépressifs expliquent l’effet médiateur du désespoir, des symptômes anxieux et extériorisés. Cet effet était observé chez les filles et les garçons. De plus, les résultats mettent en évidence que le lien indirect entre les traits du TPL, le désespoir et la suicidalité était plus important chez les filles. Le lien indirect entre les traits du TPL, les symptômes de phobie sociale, le désespoir et la suicidalité était aussi plus important chez les filles. En conclusion, cette recherche doctorale contribue à enrichir les connaissances au sujet de l’association entre les traits du TPL et la suicidalité, chez les filles et les garçons de 12 à 15 ans. Le cadre conceptuel intégratif suggéré, dans chacun des articles de la thèse, pourrait aider les cliniciens à identifier précocement les problèmes de santé mentale afin de diminuer le risque suicidaire. / Suicidality (suicidal ideations with or without a plan, suicide attempts) is a very important issue in adolescence. Adolescents with borderline traits (BT) represent a high-risk group for suicidality. It is also widely recognized that hopelessness, depressive, anxiety and externalizing symptoms increase the risk of suicidal ideations and suicide attempts. Theoretical models suggested a mediating effect of mental disorders/symptoms between personality characteristics similar to BT and suicidality in adolescence. However, previous studies did not examine this research question. In this present thesis, the integration of theoretical considerations provides a new conceptual framework regarding the mediating role of internalizing and externalizing problems in the relation between BT and suicidality in adolescents aged 12 to 15 years. The objective of the first article of the thesis was to examine the role of four mediators (hopelessness, depressive, anxiety and externalizing symptoms) in the association between BT and suicidality. The aim of the second article was to extend this question by analyzing the role of seven specific problems in boys and girls: hopelessness, depression, social phobia, generalized anxiety, attention deficit/hyperactivity, opposition and conduct symptoms. The integration of certain hypotheses from theoretical models allowed to suggest hypothetical mediational pathways. With regard to the methodology, mental health problems were assessed by the Dominic Interactive for Adolescents-Revised and the Beck Hopelessness Scale. A path analysis was conducted using a sample of 446 adolescents aged 12 to 15 years recruited from school and clinical settings from Montreal. The model obtained from path analysis showed a good fit to the data suggesting the plausibility of pathways. A direct association was observed between BT and the DIA-R Sucidality Scale. As hypothesized, several mental health problems intervened as mediating variables in this relation. Depressive symptoms explained the mediating effect of hopelessness, anxiety and externalizing symptoms. This effect was observed in girls and boys. In addition, the results highlighted that the indirect association between BT, hopelessness and suicidality was more important in girls. The indirect relation between BT, social phobia symptoms, hopelessness and suicidality was also more important in girls. In conclusion, this doctoral thesis contributed to extend our knowledge about the association between BT and suicidality, in girls and boys aged 12 to 15 years. The suggested integrative conceptual framework could help clinicians to early identify mental health problems to prevent the suicidal risk.
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Associations entre les pratiques parentales et les caractéristiques du trouble de la personnalité limite à l'adolescence : la perspective de la théorie de l’auto-détermination

Armour, Jessie-Ann 01 1900 (has links)
No description available.
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La relation entre les traits de troubles de la personnalité limite et le fonctionnement socio-cognitif dans la population générale

Louis, Pascal 03 1900 (has links)
Des difficultés sociales sont liées au trouble de la personnalité limite (TPL). Pour les comprendre, le traitement de l’information lors de décisions sociales doit être étudié. Parmi ces informations sociales, les expressions faciales émotives sont moins bien identifiées chez les individus ayant un TPL (Daros et al., 2013) comparativement aux individus sains. Également, une étude rapporte que des participants ayant un TPL acceptent plus d’offres monétaires, indépendamment du degré d’équité, que les individus sains dans une tâche de prise de décision sociale simulant des interactions avec des individus (représentés par des visages joyeux ou colériques) divisant de l’argent avec les participants (Polgár et al., 2014). Cependant, ils rapportent aussi que pour les offres monétaires de 20 à 30 % du montant à diviser les participants sains acceptaient les offres des visages joyeux plus fréquemment, cet effet était absent pour les participants ayant un TPL. L’objectif de cette étude est donc de savoir si les différences de reconnaissance des émotions médient la relation de la sévérité des traits du TPL avec des décisions sociales d’acceptation d’offres monétaires accompagnées d’expressions faciales (joie, colère et neutre). Nos résultats corroborent l’association négative des traits du TPL avec la reconnaissance des émotions (Daros et al., 2013) et l’association positive entre l’acceptation des offres et les traits du TPL (Polgár et al., 2014). Cependant, aucun effet médiateur n’est observé. Ainsi, nous concluons que la reconnaissance des émotions et la prise de décision sociale représentent des aspects indépendants des profils sociocognitifs liés aux traits du TPL. / Social difficulties are linked to borderline personality disorder (BPD). To understand them, the processing of information during social decisions must be studied. A form of social information is emotional facial expressions which are less well identified in individuals with BPD (Daros et al., 2013) compared to participants without a diagnosed mental health issue. Also, one study reports that participants with BPD accept more monetary offers (regardless of the amount of money they were offered) participants without a diagnosed mental health issue in a social decision-making task simulating interaction with individuals (represented by happy or angry faces) dividing money with participants (Polgár et al., 2014). However, they also report that for monetary offers that represented 20-30% of the divided sum, participants without a diagnosed mental health issue participants accepted offers from happy faces more frequently. However, this effect was absent in participants with BPD. The aim of this study is to determine whether differences in emotion recognition abilities mediate the relationship of BPD trait severity with social decisions to accept monetary offers accompanied by facial expressions (joy, anger and neutral). Our results support the negative association of BPD traits with emotion recognition (Daros et al., 2013) and the positive association between offer acceptance and BPD traits (Polgár et al., 2014). However, no mediating effect is observed. Thus, we conclude that emotion recognition and social decision-making represent independent aspects of the sociocognitive profiles related to BPD traits.
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Symptomatologie du trouble de personnalité limite chez les adolescents suivis par les services de protection de la jeunesse et les services de santé mentale de première ligne = Borderline personality disorder symptomatology among adolescents involved with youth protection services and first-line mental health services

McLellan-Lamarche, Stéphanie 12 1900 (has links)
The objective was to evaluate differences in the severity and symptoms of borderline personality disorder (BPD) according to sex and service context among adolescents involved with youth protection services (YPS) and first-line mental health services (FLMHS) in Quebec. A total of 45 adolescents (14 to 17 years old) with BPD traits were recruited from YPS (n=35) and CLSCs (n=10). The Borderline Symptom List (BSL-23) measured the severity of symptomatology while the Life Problems Inventory (LPI) evaluated the intensity of BPD. Independent samples t-tests and Mann-Whitney U tests were used to analyze group differences. Analyses revealed that girls had significantly higher mean symptom severity scores (BSL-23) than boys and a significantly higher interpersonal chaos score (LPI). No other significant differences emerged from the primary analyses. Supplementary item-by-item analyses of the BSL-23 and LPI, indicated that girls endorsed several internalizing behaviours, while boys endorsed numerous externalizing behaviours. In terms of service context, the YPS group scored higher on several externalizing behaviours, while the FLMHS group scored higher on many internalizing behaviours. The results of this study provide initial insights into BPD symptomatology and severity in these understudied service contexts and can guide early detection and intervention. / L’objectif était d’évaluer les différences de sévérité et de symptômes du trouble de personnalité limite (TPL) selon le sexe et le contexte de service chez les adolescents suivis en protection de la jeunesse (PJ) et dans les services de santé mentale de première ligne au Québec. Un total de 45 adolescents (14 à 17 ans) présentant des traits du TPL ont été recrutés en PJ (n=35) et en CLSC (n=10). Le Borderline Symptom List (BSL-23) a mesuré la sévérité de la symptomatologie et le Life Problems Inventory (LPI) a évalué l'intensité du TPL. Des tests t d'échantillons indépendants et des tests Mann-Whitney U ont été utilisés pour analyser les différences entre les groupes. Les analyses ont révélé que les filles présentaient des scores moyens de sévérité (BSL-23) significativement plus élevés que les garçons et un score significativement plus élevé pour le chaos interpersonnel (LPI). Aucune autre différence significative n'est ressortie des analyses primaires. Des analyses complémentaires item par item du BSL-23 et du LPI, ont indiqué que les filles endossaient plusieurs comportements internalisés, et les garçons des comportements externalisés. Au niveau du contexte de service, le groupe PJ a obtenu des résultats plus élevés pour nombreux comportements externalisés, tandis que le groupe en première ligne a obtenu des résultats plus élevés pour plusieurs comportements internalisés. Les résultats de cette étude fournissent un premier aperçu des symptômes et de la sévérité du TPL dans ces contextes de service peu étudiés permettant de guider la détection et l'intervention précoces.

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