• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 46
  • 8
  • 6
  • 3
  • Tagged with
  • 68
  • 68
  • 40
  • 32
  • 18
  • 16
  • 11
  • 11
  • 10
  • 10
  • 9
  • 8
  • 7
  • 7
  • 7
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Henri Poincaré, des mathématiques à la philosophie. Étude du parcours intellectuel, social et politique d'un mathématicien au début du siècle. Thèse de doctorat de philosophie

Rollet, Laurent 27 April 1999 (has links) (PDF)
APRES LA MORT DE HENRI POINCARE EN 1912, SON OEUVRE SUSCITA UN GRAND NOMBRE D'ETUDES. GRACE A CES TRAVAUX ON CONNAIT SON OEUVRE SCIENTIFIQUE ET ON CONNAIT ASSEZ BIEN LE VERSANT TECHNIQUE DE SA PHILOSOPHIE ; EN REVANCHE, ON SAIT TRES PEU DE CHOSES SUR LA DIMENSION PROPREMENT PHILOSOPHIQUE DE SON EPISTEMOLOGIE ET SUR LES RELATIONS QU'IL POUVAIT ENTRETENIR AVEC LES ACTEURS DE LA COMMUNAUTE PHILOSOPHIQUE ET INTELLECTUELLE DE SON TEMPS. DE FAIT, L'ETAT DES PUBLICATIONS SUR LA PHILOSOPHIE POINCAREIENNE ACCUSE UNE SORTE DE DESEQUILIBRE CHRONIQUE, CETTE THESE A POUR PRINCIPALE AMBITION DE CONTRIBUER A RETABLIR CET EQUILIBRE EN MONTRANT QUE LES CONSIDERATIONS MATHEMATIQUES ET PHYSIQUES CONSTITUENT DES EXPLICATIONS NECESSAIRES MAIS NON SUFFISANTES DE LA PENSEE PHILOSOPHIQUE POINCAREIENNE ; ELLEENTEND MONTRER QU'UNE INTERPRETATION ADEQUATE DE CELLE-CI PASSE NON SEULEMENT PAR LA PRISE EN COMPTE DE SON ENRACINEMENT DANS LA PRATIQUE SCIENTIFIQUE ET DES DEBATS INTERNES A LA COMMUNAUTE SCIENTIFIQUE, MAIS EGALEMENT PAR LA MISE EN EVIDENCE DES LIENS PROFONDS QUI UNISSENT SON AUTEUR A LA COMMUNAUTE PHILOSOPHIQUE ET INTELLECTUELLE. A TRAVERS CE TRAVAIL, ON ABORDE CERTAINS THEMES QUI ONT PEU ATTIRE JUSQU'A PRESENT L'ATTENTION DES COMMENTATEURS DE POINCARE : L'ETUDE DES LIENS QUI UNISSENT LA PHILOSOPHIE POINCAREIENNE A CELLE DE BOUTROUX, LE RECIT DE L'ENTREE DU MATHEMATICIEN AU SEIN DU CHAMP PHILOSOPHIQUE, L'ANALYSE DE SES STRATEGIES DE PUBLICATION ET DE SON OEUVRE DE VULGARISATION OU L'ETUDE DE SES ENGAGEMENTS POLITIQUES CONSTITUENT QUELQUES-UNS DES MOMENTS ESSENTIELS D'UN CHEMINEMENT VISANT A CONSTRUIRE UNE BIOGRAPHIE INTELLECTUELLE DU MATHEMATICIEN ET PHILOSOPHE.
12

La genèse du sentir : essai sur Merleau-Ponty /

Gély, Raphaël, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Université catholique de Louvain.
13

Du conflit des légitimités

Rousseaux, Eric Daval, René. January 2006 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Philosophie : Reims : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p. 523-534. Index.
14

De la cybernétique aux sciences de la cognition

Bayatani, Mohsen Parrochia, Daniel January 2007 (has links)
Thèse de doctorat : Philosophie.Histoire des sciences : Lyon 3 : 2007. / 8 p. de bibliogr.
15

Ontologie, sciences cognitives et identité personnelle

Mugneret, Mikaël Pouivet, Roger January 2006 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Philosophie : Nancy 2 : 2006. / Bibliographie. Index.
16

Le problème philosophique des transferts épistémiques entre les sciences naturelles et les théories sociales et politiques

Lorange-Millette, Jonathan January 2015 (has links)
Cette thèse a pour objectif d’étudier les origines et les conséquences de l’usage par plusieurs chercheurs en sciences sociales de divers concepts et théories originellement formulés dans le champ des sciences naturelles. Il s’agira de modéliser cette pratique par l’élaboration du concept de « transfert épistémique ». La modélisation du transfert épistémique permettra de mettre en évidence les processus cognitifs qui sous-tendent cette pratique, en plus de donner des indications sur ses implications à l’endroit des sciences sociales. Il sera démontré que les transferts épistémiques ne permettent pas de tenir compte du caractère réflexif de la recherche sociale ou de l’importance de la question du libre arbitre. Afin d’illustrer notre propos, une attention particulière sera accordée à la théorie réaliste des relations internationales au regard des liens qu’elle entretient avec la biologie et la physique. Pour ce faire, il faudra analyser le programme de recherche biopolitique en tenant compte de ses origines sociobiologiques, pour ensuite s’intéresser aux similarités remarquables que l’on retrouve entre le réalisme et la physique classique.
17

Causalité et probabilités : réseaux bayésiens, propensionnisme

Drouet, Isabelle 15 December 2007 (has links) (PDF)
Les théories probabilistes de la causalité apparaissent dans les années 1960 corrélativement de la critique de l'idée selon laquelle la causalité serait une relation de nécessitation. Le présent travail traite de questions soulevées par l'état actuel du développement de ces théories. En ce qui concerne la causalité générique, on peut considérer que l'analyse conceptuelle de ses rapports avec les probabilités est achevée. Les questions qui se posent aujourd'hui sont donc épistémologiques. Plus exactement, les questions traitées dans ce travail portent sur l'inférence aux causes génériques en tant qu'elle est fondée sur les réseaux bayésiens causaux. De façon sensiblement différente, la question du rapport entre la causalité singulière et les probabilités n'est pas complètement réglée du point de vue conceptuel. Nous abordons cette question à partir d'une analyse de la relation entre la causalité et la théorie propensionniste des probabilités.
18

Individuation et philosophie du végétal

Hiernaux, Quentin 23 April 2018 (has links) (PDF)
Résumé de la thèse :Individuation et philosophie du végétalQu’est-ce qu’un individu végétal ?Comment définir cette notion et pourquoi poser une telle question ?Tout d’abord, d’un point de vue très général, l’individualité a trait autant à la philosophie qu’à la biologie. On peut donc se demander si l’acception traditionnelle de l’individu en philosophie est différente de celle(s) des biologistes. Ensuite, c’est une question dont on peut suivre l’évolution historique à travers les avancées scientifiques (non sans son lot de nouvelles questions philosophiques). La conception antique de l’individualité de la plante n’est pas la même que celle de la botanique de la Renaissance, du XIXe siècle ou de la biologie néoévolutionniste. Des approches spécifiques à la botanique existent au sein de la problématique de l’individualité biologique. Elles croisent à de nombreuses reprises la philosophie. De même, des philosophes contemporains du végétal ne sont-ils pas influencés par les avancées récentes de l’écologie et des sciences environnementales ?Les idées de certains philosophes de la tradition sont ainsi parfois convoquées en dialogue avec les découvertes scientifiques de leur temps. Du point de vue méthodologique, notre enquête philosophique sur l’individualité végétale repose sur un dialogue avec les sciences biologiques contemporaines. Pour commencer, nous introduisons les concepts, définitions et critères de départ à partir desquels nous pouvons comprendre ce que sont un végétal et un individu du point de vue des sciences biologiques. Cette entrée en matière est mise en perspective et problématisée avec les définitions philosophiques traditionnelles de l’individualité et les conceptions habituellement occupées par les plantes dans la philosophie occidentale. Dans ce cadre, nous introduisons la pensée de Simondon qui nous sera utile au fil de la réflexion. Sur un plan formel, nous élaborons une tripartition des critères de l’individualité biologique afin de structurer l’enquête. L’individualité végétale est ainsi investiguée dans un premier temps selon un axe morphologique et spatio-temporel. Celui-ci nous permet de résumer plusieurs grandes positions de l’histoire de la botanique sur la question qui nous occupe. Nous étudions aussi dans quelle mesure la botanique contemporaine peut nous instruire à ce sujet selon différents points de vue et échelles. Ensuite, nous abordons la question de l’individualité selon un axe évolutionniste et génétique. Nous montrons plus en détail comment la question de l’individualité est liée à des concepts comme le génome, l’espèce ou la sexualité et quelles implications bien particulières le végétal leur fait subir au sein de ce contexte. Enfin, une troisième partie est dédiée à l’étude de l’individualité selon une perspective physiologique et fonctionnelle. Outre le contraste que cette approche permet d’introduire à propos de certains des concepts susmentionnés, elle pose de façon plus générale la question des limites de l’individu végétal à travers la problématique des symbioses, du système immunitaire ou du système nerveux. Ces points nous conduisent à interroger l’individu végétal en le mettant à l’épreuve d’une possible unité comportementale. Il n’est en effet a priori pas certain que l’on puisse lui appliquer un tel concept avec son cortège de conséquences (la sensibilité, la mémoire, l’intelligence…).Ces questions épistémologiques ne manquent pas de soulever des problèmes et enjeux proprement philosophiques comme le lien de l’individualité à la subjectivité, la place des vivants non-animaux en philosophie ou le rapport essentiel du végétal à l’environnement. Finalement, nous nous demandons, dans une perspective plus simondonnienne, dans quelle mesure poser la question de l’individualité végétale en termes de processus d’individuation avec son milieu pourrait déplacer la problématique et apporter ou non quelque chose à la compréhension du végétal dans ses rapports aux sciences biologiques contemporaines. À cet effet, nous sommes amenés à nous positionner vis-à-vis de plusieurs thèses contemporaines d’auteurs, que l’on peut qualifier de façon très libérale de philosophes de la nature (Marder, Coccia…), pour en tirer des conclusions originales sur le statut de l’individu végétal.De manière plus transversale, l’une des spécificités de notre enquête consiste à partir de problèmes concrets et situés posés par l’individualité végétale. Nous montrons comment ceux-ci entrent en tension ou induisent des décalages et ambigüités avec les modèles théoriques préalablement proposés. La perspective végétale, par les résistances qu’elle suscite, se révèle un formidable moteur de la réflexion philosophique. Elle nous amène ainsi à remettre en question de nombreux points de vue sur l’individualité et sur les plantes. Sur cette base, cette thèse ouvre ainsi des perspectives philosophiques novatrices, parfois contre-intuitives au regard des préjugés dont le végétal a été victime dans notre tradition moderne occidentale. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
19

Objets théoriques : une perspective modale sur leur mode d'existence et sur leur rôle dans l'argumentation / Theoretical objects : a modal perspective on their mode of existence and their role in argumentation

Gallais, Matthieu 05 October 2018 (has links)
S’inscrivant dans la philosophie de la connaissance et des sciences, notre étude traite des objets théoriques, selon une perspective modale inédite. Les connaissances théoriques ont pour finalité de porter sur des vérités factuelles,et traditionnellement, on considère par conséquent que ces connaissances peuvent être formulées dans un cadre extensionnel : en termes d’adéquation ou tout au moins de relations avec des objets de notre monde actuel. Mais nous appuyant sur les avancées récentes de la philosophie de la logique modale,nous soutenons que l’entreprise scientifique conçoit des modèles théoriques qui portent sur tout un ensemble de situations, car ils postulent des objets qui sont à considérer dans une perspective modale : les objets théoriques sont intrinsèquement modaux, existant ou pouvant être reconnus dans une pluralité de situations actuelles ou possibles. Cet aspect modal des modèles scientifiques nécessite donc d’examiner l’identification des objets théoriques à travers diverses circonstances alternatives éventuelles. En effet, la question de l’application d’un modèle scientifique, liée au débat fondamental entre réalisme et instrumentalisme, prend selon nous racine dans le problème modal de la reconnaissance d’un objet théorique idéal en un objet actuel ou possible. La notion de modalité nous sera donc utile dans l’analyse fondamentale de l’argumentation scientifique. / In the field of the philosophy of knowledge and science, my study deals with theoretical objects in a new modal perspective. Theoretical knowledge is intended to cover factual truths and therefore one traditionally considers that this knowledge can be formulated in an extensional framework: in terms of adequacy, or, at least, of relationships with objects of our actual world. But basing my work on recent advances in the philosophy of modal logic, I will argue that scientific enterprise develops theoretical models about a variety of situations because they postulate objects that have to be considered in a modal perspective: theoretical objects are intrinsically modal, existing or recognizable in a plurality of actual or possible situations. Therefore, this modal aspect of scientific models requires that the identification of theoretical objects across various possible alternative circumstances should be examined. Indeed, the issue of the application of a scientific model, linked to the fundamental debate between realism and instrumentalism, lies with recognizing an ideal theoretical object in an actual or possible object. The concept of modality will also be useful in the fundamental analysis of scientific argumentation.
20

Crise des mathématiques et de la physique et réflexion philosophique de 1890 à 1910 en France / Mathematics and physics crisis and philosophical reflection between 1890 and 1910 in France

Chandelier, Cédric 17 June 2013 (has links)
La réflexion des épistémologues français, dans les années 1890-1910, auplus près des transformations que connaissent alors les mathématiques et laphysique, prend la forme de la réhabilitation d’un lien naturel entre les sciences et laphilosophie, et aboutit à l’institutionnalisation de ce lien. Les débats qui opposentl’intellectualisme à l’anti-intellectualisme révèlent un continuisme historiqueparadoxal. La conscience épistémologique se présente comme le reflet dumouvement qu’elle imprime à la base de toute théorie. L’union duconventionnalisme et du bergsonisme dans un nouveau positivisme, celui de« l’esprit », tend à faire de la thèse de la liberté une « doctrine ». Les résistancesmétaphysiques qui s’expriment face à la dogmatisation de la conscienceépistémologique, au lieu d’affaiblir la tendance à l’inachèvement d’un état critiqueessentiellement compréhensif et durable, nourrissent l’imperfection de la synthèsenaissante. L’intellectualisme et l’anti-intellectualisme se rejoignent dans unrenoncement définitif à l’hypothèse de la chose en soi. L’ambition conventionnalistede concilier création et accord éloigne le courant épistémologique « nouveau » deses sources poincaréenne et bergsonienne, qui permettent de mesurer la portéeontologique de la relativité scientifique. / Between 1890 and 1910, the reflection of French epistemologists – inspiredby the transformations in physics and mathematics – take the form of therehabilitation of a natural link between science and philosophy, which ends in aninstitutionalisation of that link. The debates that pit intellectualism against antiintellectualismreveal a paradoxical historical continuism. Epistemologicalconscience presents itself as a reflection of the movement which is imparted to thebasis of every theory. The union between conventionalism and Bergsonism in a newpositivism, the one of “spirit”, tends to turn the thesis of liberty into a “doctrine”.The metaphysical resistances which oppose dogmatisation of epistemologicalconscience, instead of weakening the tendency towards incompletion of anessentially comprehensive and enduring critical condition, nourish the imperfectionof the incipient synthesis. Intellectualism and anti-intellectualism concur in adefinitive renunciation of the thing-in-itself. The conventionalist ambition toreconcile creation and agreement estranges the “new” epistemological current fromits Poincarian and Bergsonian sources which make it possible to measure theontological range of scientific relativity.

Page generated in 0.0898 seconds