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Les poèmes en langue française mis en musique par des compositeurs brésiliens

Souza, David 30 August 2022 (has links)
Le style artistique parisien et la langue française ont tous deux attiré des artistes du monde entier à travers l'histoire. Suivant cette tendance, de nombreux compositeurs brésiliens du début du XXe siècle se sont inspirés de cette culture pour créer des oeuvres pour voix et piano à partir de poèmes en français. Cette thèse nous permet de découvrir une large collection de pièces de ce type de répertoire. Cela nous aide également à localiser l'emplacement de chaque composition. Ce document révèle aussi l'influence du sens musical parisien sur les compositeurs brésiliens tels que Villa-Lobos, Mignone, Nepomuceno et plusieurs autres. L'auteur décrit la relation entre le texte et la musique et explique le défi que représente la mise en musique de la langue française. Il appuie ses données sur des discussions de musiciens et d'experts. Son expérimentation personnelle sur des sujets tels que la prononciation et les subtilités de la langue française à travers son exploration de cette musique fournit une preuve significative des résultats de ses recherches. Cette recherche vise principalement les chanteurs brésiliens qui ressentent un intérêt particulier pour les collections musicales de ce type. / The Parisian art style and the French language have both attracted artists around the world through history. In that tendency, many Brazilian composers of the turn of the 20th century were inspired by that culture to create works for voice and piano using poems in French. This dissertation enables us to discover a large collection of pieces of that kind of repertoire. It also helps us to track down the location of each composition. This document also discloses the influence of the Parisian musical savvy on Brazilian composers such as Villa-Lobos, Mignone, Nepomuceno and many others. The author describes the relationship between text and music and explains the challenge that setting the French language to music represents. He supports his information on discussions of musicians and experts. His personal experimentation on matters such as pronunciation and the French language subtleties through his exploration of this music provides significant evidence of the results of his research. The main target of this research is Brazilian singers who feel a particular interest for music collections of this kind.
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Testing equivalence classification : the acquisition of French L2 phones by St. Lucian Creole French and St. Lucian Creole English speakers

Cadette-Blasse, Antheia 11 April 2018 (has links)
Cette étude a évalué la classification par équivalence (CE) de Flege (1987b, 1991), auprès de 49 participants: deux groupes de locuteurs natifs du créole saint-lucien à base lexicale française (CSLF) et deux groupes du créole saint-lucien à base lexicale anglaise (CSLA) qui étaient des apprenants de français langue étrangère. Cette étude a aussi inclus un groupe contrôle de 11 locuteurs natifs du français (NF). La CE postule qu'un apprenant d'une langue seconde ou étrangère (L2) a plus de difficultés à produire les phones de la L2 qui sont similaires (i.e. ceux ayant un phone équivalent en Ll) que ceux qui sont nouveaux (i.e. ceux n'ayant pas d'équivalent dans la Ll). A travers une tâche de lecture, nous avons comparé la prononciation des phones français [u], [y] et [â] de ces deux groupes. Selon la CE, les locuteurs du CSLF et du CSLA devraient avoir plus de difficultés à produire le [u] français (phone similaire) que le [y] (nouveau phone). Par ailleurs, le groupe CSLA devrait avoir plus de facilité à produire le nouveau phone [à] que le groupe CSLF. Aucune de ces hypothèses n'a toutefois été confirmée. La prononciation des participants a été évaluée par trois locuteurs natifs du français de la Martinique, qui ont accordé plus de scores natifs au groupe CSLF qu'au groupe CLSA pour leur production des trois phones. La différence entre ces deux groupes a été significative pour [u] et [y] mais pas pour [â]. Nous avons aussi mené des analyses acoustiques de productions de certains mots, en vue de comparer la prononciation des groupes expérimentaux à celle du groupe contrôle et de vérifier les évaluations des juges. Pour ces analyses, les participants des groupes CLSF et CLSA ont été sélectionnés de façon aléatoire. Les résultats des analyses acoustiques ont révélé que pour le phone [u], la fréquence moyenne du F2 du groupe CLSA se rapprochait davantage de celle du groupe contrôle que celle du groupe CLSF. Quant aux phones [â] et [y], la fréquence moyenne du F2 du groupe CLSF se rapprochait plus de celle du groupe NF que celle du groupe CLSA. La différence entre les groupes expérimentaux et le group NF n'était significative que pour le phone [y]. / This study tested Flege's (1987b, 1991) equivalence classification (EC) with 49 participants; two groups of St. Lucian Créole French (SLCF) speakers, and two of St. Lucian Créole English (SLCE) speakers, ail of whom were learning French as a foreign language. It also included a native control group of 11 Martiniquan French speakers (NF). According to the EC, in learning a second or foreign language (L2), "new" sounds are more easily mastered than those that are deemed to be "similar". We compared the two language groups on their pronunciation mastery of the French sounds [u], [y] and [à], via a reading task. On the basis of the EC, we hypothesized that both SLCF and SLCE speakers would have more difficulty in producing the sound [u] as compared to [y]; both groups would produce the French phone [y] with more ease. With regard to the phone [à], a similar phone to SLCF speakers, but a new one to SLCE speakers, SLCE speakers would have more difficulty than SLCF speakers. In no cases are the predictions of the EC borne out. In a blind scoring task, 3 native (Martiniquan) French speaker judges awarded nativelike scores to more SLCF speakers than SLCE speakers on ail three sounds. The differences between the 2 groups were significant for [u] and [y], but not [à]. We also carried out acoustic measurements of the productions of randomly selected participants, in order to compare the formant frequencies of the two experimental groups to those of the NF group, and to verify the native speaker judges' evaluations. For the sound [u], both groups produced formant frequencies that fell within native speaker range, with the F2 mean frequency of the SLCE group being closer to that of the NF group, than did that of the SLCF group. In the case of [à], the F2 values of both experimental groups fell within the NF range, with the mean F2 frequency of SLCF more closely approximating that of the NF group than did the SLCE group. For the phone [y], the mean F2 value of the SLCF group approximated NF values, more closely than did that of the SLCE group. Only in the case of [y] was the difference in mean F2 values between the experimental groups and the NF group significant.
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Schwa initial en français laurentien : distribution et nature

Picard, Marie-Pier 25 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / En français laurentien (FL), il existe un phénomène d’apparente interversion du schwa et de la consonne qui le précède. On le retrouve dans certains clitiques et en syllabe initiale de certains mots. À titre d’exemple, on peut entendre le prononcé [œl], je [œʒ] ou regarde [œʁgard]. L’absence de schwa à l’initiale absolue du mot est une généralisation classique de la distribution du schwa en français de référence (Dell 1973 ; Martinet 1960), mais celle-ci est indéniablement contredite en FL. Si le schwa initial laurentien a été remarqué par les linguistes au moins depuis La Follette (1960), il n’a encore jamais fait l’objet d’études spécifiques, notamment quantitatives. À première vue, le schwa à l’initiale absolue semble provenir d’une métathèse, qui consiste en une interversion de phonèmes, et certains linguistes l’ont déjà expliqué comme telle. Toutefois, d’autres linguistes analysent ce phénomène comme étant l’épenthèse d’un schwa prothétique. Par l’étude des productions de 48 locuteurs québécois, ce travail vise à établir la distribution du SI laurentien au regard de facteurs internes et externes pertinents ainsi qu’à en comprendre la nature phonologique. Nous verrons que le SI apparait principalement dans le pronom je, le pronom le et le préfixe re- et qu’il est sensible à la nature des contextes segmental, lexical et prosodique. Il s’avèrera aussi que le lieu d’origine des locuteurs a une influence considérable sur sa production. Pour ce qui est de la nature phonologique, il apparaitra que certains SI sont prothétiques, alors que d’autres sont lexicalisés.
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Étude de la prononciation d'apprenant(e)s du français : que travailler en classe pour améliorer la compréhensibilité ?

Côté, Benjamin 13 December 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 16 juin 2023) / Depuis l'étude de Munro et Derwing (1995), qui a mis en lumière les relations qu'entretiennent la compréhensibilité, l'intelligibilité et l'accent perçu entre eux, plusieurs chercheuses et chercheurs se sont intéressé(e)s à découvrir les éléments linguistiques les plus contributoires à une meilleure compréhensibilité dans une langue additionnelle (Lx) afin que l'on accorde plus de temps en classe à ces éléments qu'à ceux n'ayant que peu d'impact. Cependant, peu de recherches se sont réalisées en d'autres langues que l'anglais. La présente recherche s'inspire en partie des travaux de Munro et Derwing (2006) et de Suzukida et Saito (2019), mais aussi de ceux de Brown (1988), afin d'identifier les écarts de prononciation en français Lx qui nuisent le plus à la compréhensibilité et d'établir quelques priorités pour l'enseignement de la prononciation. Le deuxième objectif principal est d'explorer les effets de la fréquence syllabique des syllabes du français sur la production d'erreurs chez des apprenant(e)s du français et aussi sa possible relation avec la compréhensibilité. Pour y arriver, les données de deux corpus ont été utilisées : le corpus d'extraits de parole d'apprenant(e)s du français de Beaulieu et al. (2021) et la banque de données d'unités sublexicales du français québécois SyllabO+ de Bédard et al. (2017). Nos données montrent l'importance de travailler les voyelles antérieures arrondies et les nasales auprès d'apprenant(e)s du français et que la confusion de certaines oppositions phonologiques neutralisables dans d'autres variétés de français n'a pas d'impact sur la compréhensibilité. Nous apportons quelques commentaires critiques sur la façon d'étudier la relation entre le rendement fonctionnel d'une opposition phonologique et l'impact de sa confusion sur la compréhensibilité. Enfin, nos résultats suggèrent que les syllabes dont la fréquence est faible sont plus l'objet d'écarts de prononciation. / Since Munro and Derwing (1995) study, which shed light on the relationships between comprehensibility, intelligibility and accentedness, several researchers have been interested in identifying the linguistic dimensions that contribute the most to better comprehensibility in an additionnal language (Lx) so that more time in class is allocated to these dimensions rather than to those having little impact. However, little research has been done in languages other than English. This research is partly inspired by the work of Munro and Derwing (2006) and Suzukida and Saito (2019), but also by that of Brown (1988), in order to identify the pronunciation mistakes in French as Lx that affect the comprehensibility and to establish some priorities for teaching pronunciation. The second main objective is to explore the effects of the syllabic frequency of French syllables on the production of mistakes in French learners and also its possible relationship with comprehensibility. To achieve this, data from two corpora were used: Beaulieu et al.'s (2021) corpus of speech extracts from French learners and Bédard et al.'s (2017) SyllabO+ database of Québec French sublexical units. Our data shows the importance of working on rounded front vowels and nasals with learners of French and that the confusion of certain phonological contrasts that can be neutralized in other varieties of French has no impact on the comprehensibility. We provide critical comments on how to study the relationship between the functional load of a phonological contrast and the impact of its confusion on comprehensibility. Finally, our results suggest that syllables with a low frequency are more subject to pronunciation mistakes.
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L'apprentissage de la langue seconde dès la prématernelle et la maîtrise de la prononciation à l'âge de neuf ans

Affes, Amina 24 April 2018 (has links)
L’objectif de notre étude était d’examiner le lien entre l’âge du début de l’apprentissage de l’anglais langue seconde (L2) (quatre ans vs six ans) et la maîtrise de la prononciation de cette langue à neuf ans, au primaire, dans une école d’immersion. Afin d’atteindre cet objectif, nous avons mené une étude corrélationnelle auprès de deux groupes d’élèves francophones inscrits au début du deuxième cycle du primaire (4e année), ainsi qu’auprès d’un groupe témoin d’élèves anglophones (âge moyen de neuf ans). Le premier groupe était composé de 16 élèves francophones ayant commencé l’apprentissage de l’anglais L2 à 4 ans, alors que les enfants étaient à la prématernelle. Le deuxième groupe était composé de 12 élèves francophones ayant commencé l’apprentissage de l’anglais L2 à six ans, alors que les enfants étaient en 1re année du primaire. Les tests utilisés visaient à évaluer la prononciation de l’anglais L2 de chaque élève au niveau segmental, l’accent étranger et l’intelligibilité. Les résultats de notre étude montrent qu’à neuf ans, le groupe ayant commencé l’apprentissage de l’anglais à quatre ans a obtenu de meilleurs résultats au niveau de la prononciation de certains sons et au niveau de l’absence d’un accent étranger, alors que pour l’intelligibilité les deux groupes expérimentaux avaient un seuil de performance semblable à celui du groupe témoin des anglophones. Nos résultats suggèrent qu’il y a un lien entre l’âge du début de l’apprentissage et le niveau de maîtrise de la prononciation concernant certains segments et le degré de l’accent étranger, variables pour lesquelles les apprenants précoces ont obtenu de meilleurs résultats. / The aim of our study was to examine whether there is a link between starting age of learning English as a second language (L2) (four years vs six years old) and the mastery of the pronunciation of this language at nine years of age in an immersion school. To achieve this goal, we conducted a correlational study of two groups of francophone students enrolled in 4th grade of elementary school, as well as a control group of English-speaking pupils. The first group consisted of 16 French-speaking students who began learning English L2 at four years old, while the children were in pre-kindergarten. The second group consisted of 12 Francophone students who began learning English L2 at the age of six, while the children were in the first year of elementary school. Tests evaluated the L2 pronunciation of each student at the segmental level, foreign accent and intelligibility. The results of our study show that at the age of nine, the group who began learning English at age four obtained better results in the pronunciation of certain sounds and in the lack of a foreign accent, whereas for intelligibility, the two experimental groups performed similar to the control group. Our results suggest that there is a link between starting age and the pronunciation of certain sound segments and the degree of foreign accent, variables on which the earlier learners obtained better results.
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Perception des voyelles nasales du français québécois : aspects acoustiques et perceptifs

Desmeules-Trudel, Félix 19 April 2018 (has links)
Nous effectuons une description acoustique des voyelles nasales (VN) du français québécois (FQ) et du portugais brésilien (PB), langues qui possèdent des VN dans leurs systèmes phonologiques. Nous montrons que les VN du FQ et du PB ont des timbres différents : celles du FQ sont plus dispersées, possèdent un contraste moins important (VN correspondantes) et une plus grande amplitude de mouvement formantique. Nous évaluons également la perception des VN du FQ chez des locutrices du PB. Nous montrons que [œ̃] est difficilement perçue car cette voyelle ne possède pas d’équivalent en PB; le timbre variable et la grande dispersion de [ẽ] rend difficile sa discrimination, mais le mouvement formantique contribue à son identification correcte; [ã] et [ɔ̃] sont plus facilement discriminées, mais [ã] est légèrement moins bien identifiée probablement parce qu’elle chevauche plusieurs catégories, et [ɔ̃] est bien identifiée étant donné ses similarités avec [õ] du PB. / We present an acoustic description of nasal vowels (NV) in Quebec French (QF) and Brazilian Portuguese (BP), languages that possess phonological NV in their inventories. We show that QF and BP NV have different vowel qualities: QF NV are more dispersed than BP’s, smaller contrast (for corresponding NV), and greater amplitude of formantic movement. We also assess discrimination and identification abilities of BP speakers for QF NV. We show that [œ̃] is difficult to perceive because it has no equivalent in Portuguese; variability of [ẽ]’s quality and its important dispersion makes it difficult to discriminate, while its formant movement contributes to its correct identification; [ã] and [ɔ̃] are more easily discriminated, but [ã] is misidentified in a greater proportion because it overlaps several categories, while [ɔ̃] is more easily identified because of its similarities with BP’s [õ].
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L'opposition de voisement des occlusives orales du français par des locuteurs taïwanais / Voicing opposition of the French oral stops by Taiwanese speakers

Landron, Simon 24 January 2017 (has links)
Cette thèse traite de l’acquisition des occlusives sourdes /p t k/ et sonores /b d g/ du français par 11 locutrices taïwanaises de niveau intermédiaire à avancé. La situation de Taïwan est qualifiée de diglossique, les locuteurs parlent généralement deux langues dont les principales sont le chinois mandarin et le taïwanais. Le chinois mandarin possède les occlusives /p t k ph th kh/ tandis que le taïwanais possède les occlusives /b g p t k ph th kh/. L’analyse acoustique des logatomes CVCVCVC où C=/b d g p t k/ et V=/a i u/ révèle une grande hétérogénéité entre les locutrices : les indices des natifs du français pour opposer entre sourdes et sonores sont parfois utilisés par les non-natifs, parfois non. On note l’influence du chinois mandarin. Un test de perception révèle une moins bonne discrimination des paires de consonnes /b p/, /d t/ et /g k/ en syllabe CV si V=/a/, comparé à /i u/. Ces résultats suggèrent une tendance générale chez ces auditrices à mieux discriminer les occlusives du français lorsque le VOT des sourdes est plus long et à ne pas tenir compte du VOT négatif des voisées. En perception, les indices pour discriminer les occlusives aspirées et non-aspirées du chinois mandarin semblent ainsi également être utilisés en français. Nous n’avons pas relevé de signe d’une influence du taïwanais, où l’opposition de voisement existe cependant. / This dissertation deals with the acquisition of French voiceless stops /p t k/ and voiced stops /b d g/ by 11 Taiwanese intermediate or advanced learners of L2 French. The linguistic situation in Taiwan is described as diglossia. Most speakers speak two languages, mainly Mandarin Chinese and Taiwanese. Mandarin Chinese has plosives /p t k ph th kh/ while Taiwanese has /b g p t k ph th kh/. An acoustic analysis of CVCVCVC logatoms where C = /b d g p t k/ and V = /a i u/ shows important heterogeneity among speakers. The cues used by French native speakers to oppose voiceless and voiced stops are irregularly used by non-native speakers. The influence of Mandarin Chinese is noted. A perception test shows poorer discrimination among pairs of consonants (/b p/, /d t/ and /g k/) in CV syllable when V = /a/, as compared to /i u/. The results show that non-native listeners tend to, firstly, better discriminate the voiceless plosives of French when the VOT is longer and secondly, ignore the negative VOT of voiced stops. As regards perception, the cues used in Mandarin Chinese to discriminate between aspirated and non-aspirated stops consonants seem to be used in French too. No clue to the influence of Taiwanese has been found, although the opposition of voicing exists.
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Perception et production des voyelles orales du français par des futures enseignantes tchèques de Français Langue Etrangère (FLE) / Perception and Production of French Oral Vowels in Pre-Service Czech Teachers of French as a Foreign Language (FFL)

Maurová Paillereau, Nikola 12 January 2015 (has links)
Cette étude acoustico-perceptive concerne les limites de la perception et de la production des voyelles orales du français [i, e, ɛ, a, u, o, ɔ, y, ø, œ], en isolation et en contextes consonantiques divers, chez dix tchécophones, futures enseignantes de Français Langue Étrangère (FLE). Les résultats montrent que (1) La maîtrise phonétique des voyelles dépend de leurs graphies et de l’entourage consonantique. (2) Les voyelles fermées [i, y, u] et le [a] sont globalement maîtrisées avec authenticité. (3) Les capacités de perception des contrastes entre les voyelles moyennes e/ɛ, ø/œ et o/ɔ ainsi que leur production sont limitées. Ces résultats ne sont que partiellement en accord avec les prédictions établies à partir du Speech Learning Model (SLM) de Flege (1995), basé sur la notion de similarité phonétique qui existe entre la langue maternelle (LM) et la langue étrangère (LE). / This acoustic-perceptual study concerns the limits of perception and production of French oral vowels [i, e, ɛ, a, u, o, ɔ, y, ø, œ], in isolation and in different consonantal contexts, in ten pre-service Czech teachers of French as a Foreign Language (FFL). The results show that (1) Phonetic proficiency in vowels depends on their spellings and consonantal context. (2) Vowels [i, y, u] and [a] are generally mastered with authenticity. (3) The ability to hear contrasts between the vowels e/ɛ, ø/œ and o/ɔ and pronounce them is limited. These results are only partially consistent with the predictions established in the Speech Learning Model (SLM) by Flege (1995), based on the notion of phonetic similarity between the mother tongue (MT) and the foreign language (FL).
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Perception et production des voyelles orales du français par des futures enseignantes tchèques de Français Langue Etrangère (FLE) / Perception and Production of French Oral Vowels in Pre-Service Czech Teachers of French as a Foreign Language (FFL)

Maurová Paillereau, Nikola 12 January 2015 (has links)
Cette étude acoustico-perceptive concerne les limites de la perception et de la production des voyelles orales du français [i, e, ɛ, a, u, o, ɔ, y, ø, œ], en isolation et en contextes consonantiques divers, chez dix tchécophones, futures enseignantes de Français Langue Étrangère (FLE). Les résultats montrent que (1) La maîtrise phonétique des voyelles dépend de leurs graphies et de l’entourage consonantique. (2) Les voyelles fermées [i, y, u] et le [a] sont globalement maîtrisées avec authenticité. (3) Les capacités de perception des contrastes entre les voyelles moyennes e/ɛ, ø/œ et o/ɔ ainsi que leur production sont limitées. Ces résultats ne sont que partiellement en accord avec les prédictions établies à partir du Speech Learning Model (SLM) de Flege (1995), basé sur la notion de similarité phonétique qui existe entre la langue maternelle (LM) et la langue étrangère (LE). / This acoustic-perceptual study concerns the limits of perception and production of French oral vowels [i, e, ɛ, a, u, o, ɔ, y, ø, œ], in isolation and in different consonantal contexts, in ten pre-service Czech teachers of French as a Foreign Language (FFL). The results show that (1) Phonetic proficiency in vowels depends on their spellings and consonantal context. (2) Vowels [i, y, u] and [a] are generally mastered with authenticity. (3) The ability to hear contrasts between the vowels e/ɛ, ø/œ and o/ɔ and pronounce them is limited. These results are only partially consistent with the predictions established in the Speech Learning Model (SLM) by Flege (1995), based on the notion of phonetic similarity between the mother tongue (MT) and the foreign language (FL).
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Apprentissage phonétique des voyelles du français langue étrangère chez les apprenants japonophones / Pronunciation of French vowels by Japanese speakers learning French as a foreign language

Kamiyama, Takeki 28 November 2009 (has links)
Ce travail s’intéresse à l’application de la phonétique expérimentale [acoustique et perceptive] à la didactique de la prononciation des langues étrangères. Le propos est illustré par les difficultés d’apprentissage par des japonophones des voyelles du français ; les expériences portent spécifiquement sur les voyelles -u y ø-. Le but est d’élucider les difficultés que présentent ces phones selon que leur statut phonémique et leur réalisation phonétique diffèrent ou non entre la langue maternelle et la langue apprise. Le -u- français diffère phonétiquement de son équivalent phonémique, le -u- japonais. L’étude confirme que le -u- français, phonémiquement « similaire » au -u- japonais, est plus difficile que la voyelle « nouvelle » -y-, qui n'a pas d'équivalent ni phonémique ni phonétique en japonais. La production du -ø-, qui est « nouveau » phonémiquement mais proche du -u- japonais au plan acoustique, semble présenter encore moins de difficulté. La thèse apporte également une réflexion sur la didactique de la prononciation. L’analyse de manuels généralistes de français publiés au Japon suggère que les apprenants et les enseignants sont rarement conscients de la différence de difficultés des -u y ø-. Quelques méthodes d’enseignement de la prononciation – certaines traditionnelles, d’autres innovantes – sont proposées, dans l’idée de favoriser la conscientisation de ces difficultés. Le but de cette thèse est une contribution à l’éclaircissement des processus d’apprentissage de la prononciation des langues étrangères, et à l’amélioration de son apprentissage et de son enseignement. / This dissertation deals with the application of experimental [acoustic and perceptual] phonetics to the teaching of pronunciation. The issue is illustrated by Japanese speakers’ difficulties in learning French vowels in general. Experiments were specifically conducted on the vowels -u y ø-. The objective is to elucidate the case of individual phones depending on whether or not their phonemic status and their phonetic realisation differ in the two languages under study. French -u- differs phonetically from its phonemic counterpart, Japanese -u-. The present study confirms that French -u-, which is phonemically “similar” [to Japanese -u-], turns out to be more difficult than the “new” vowel -y-, which has no phonemic or phonetic counterpart in Japanese. The production of -ø-, which is phonemically “new” but acoustically close to Japanese -u-, seems to present still less difficulty. The dissertation also brings a reflection on t! he teaching of pronunciation. The analysis of general French textbooks published in Japan suggests that learners and teachers are seldom aware of the difference in the difficulties caused by the three vowels -u y ø-. Also, some methods of pronunciation teaching [some traditional, others new] are presented in terms of how they foster learners’ awareness of these difficulties. The goal of this dissertation is to help to shed light on the learning processes of the pronunciation of foreign languages, and to improve its learning and teaching.

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