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Sphère oro-faciale des enfants porteurs de microdélétion 22q11 recherche de liens entre troubles de succion-déglutition précoces et troubles d'articulation et/ou des praxies bucco-linguo-faciales à l'acquisition du langage oral /

Israël-Sarfati, Nathalie Montaudon, Manon January 2009 (has links) (PDF)
Mémoire d'orthophonie : Médecine : Nancy 1 : 2009. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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La pronunciación de ELE en los alumnos quebequenses : dificultades concretas y pautas de corrección

Molinié, Luisa 02 1900 (has links)
Mon sujet de recherche traite sur la prononciation de l'espagnol comme langue étrangère chez les élèves québécois, sur leurs difficultés concrètes et lignes de correction qui peuvent leur être attribuées. Dans une première partie plus générale, nous traiterons sur l'enseignement de la prononciation, de la place qu'elle occupe dans l'enseignement d'une langue étrangère. Nous croyons que la prononciation est un aspect de la langue qui a été mis de côté pour mettre en valeur la communication. Si une "mauvaise" prononciation n'entrave pas à la compréhension ou à la communication, elle n'est pas corrigée ni travaillée. Nous pouvons donc nous retrouver avec des étudiants ayant un haut niveau d'espagnol mais dont la prononciation connaît certaines lacunes. Nous déterminerons également ce que nous entendons par "meilleure" ou "mauvaise" prononciation, nous nous interrogerons également sur la pertinence de l'enseignement de la phonétique. Nous nous poserons aussi la question sur la place de la prononciation selon la méthodologie didactique utilisée, et analyserons la quantité et qualité des exercices de prononciation présents ou pas dans les manuels scolaires, et s'ils correspondent aux exigences des documents officiels tels le Cadre commun européenne de référence, ou le Plan curricular de l'institut Cervantès. Dans une deuxième partie nous nous questionnons sur les facteurs qui conditionnent l'apprentissage d'une langue et le perfectionnement de la prononciation dans une langue étrangère, car nous croyons que peut importe l'âge de l'étudiant, il y a toujours place à l'amélioration dans la prononciation. Nous nous interrogeons ensuite sur les tendances générales des francophones lors de leur prononciation de l'espagnol, nous ferons une étude contrastive des phonèmes espagnols et français, puis nous étudierons plus en détail les tendances des élèves québécois, car nous croyons que ces derniers sont dotés de certains atouts en comparaison à d'autres francophones. Dans une troisième partie, nous proposons des exercices visant à améliorer la prononciation chez nos élèves, et afin de vérifier l'efficacité de ces exercices, nous enregistrerons des étudiants ayant bénéficié de ces exercices, et d'autres qui n'y auront pas eu droit. Cette étude comparative cherche à prouver que ces exercices aident réellement et qu'ils, ou d'autres exercices de ce genre, devraient être inclus dans l'enseignement. Le questionnaire dont il s'agit s'attarde principalement au phénomène du [r], que nous croyons être un, ou le son le plus difficile à prononcer en espagnol (autant la vibrante simple comme multiple). Bien entendu, une partie de ce chapitre sera consacrée à l'analyse de résultats. / My subject of study is about Spanish as a second language, in French Canadian students, about their difficulties and the correction aid. In a first part, more general, we discuss about teaching pronunciation, the place it has in teaching as a second language. We believe that pronunciation is an aspect in a language that has been left out to emphasize on communication. If a “bad” pronunciation does not interfere in the comprehension or communication, it is not corrected or worked on. We can then find ourselves with students having a very high level in Spanish, but their pronunciation is not as good. We also define what we intend by “better” or “bad” pronunciation, and we also ask ourselves about the pertinence of teaching phonetics. We also interrogate ourselves on the question of the place of pronunciation depending on the didactic methodology, and we analyze the quantity and quality of the pronunciation exercises we find, or not, in scholar manuals, and if they correspond to the demands of the official documents as the Common European Framework of Reference for Languages or the Curricular Plan of Cervantes Institute. In a second part, we ask ourselves about the factors that condition the learning experience of a language, and that is because we believe that no matter the student’s age, there’s always place for amelioration in the pronunciation of a second language. We we’ll also see the French general tendencies in their Spanish pronunciation, and we’ll make a contrastive study on Spanish and French phenomena and then elaborate on French Canadian tendencies, and that is because we believe that they have some sort of vantages in comparison to other French speaking people. In a third and last part, we propose exercises that tend to help our student’s pronunciation, and to verify the efficiency of those exercises, we will record students that beneficiated of those exercises, and others who did not practice. That study wants to prove that those exercises really help, and that they should be included in the teaching and learning experience. The questionnaire we use is especially dedicated to the [r] phenomenon, because we believe it is a, or the most difficult sound to pronounce in Spanish (simple and multiple vibration forms). Of course, a part of this study will be dedicated to the results analysis.
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La enseñanza de la pronunciación en ELE : una asignatura pendiente

Ahumada, Gladys P. 09 1900 (has links)
Cette mémoire a pour objectif de mettre en évidence le délaissement dont a souffert et souffre encore dans l’actualité l’enseignement de la prononciation dans les cours d’espagnol comme langue étrangère (ELE), réaffirmer son importance et défendre la nécessité de son intégration dans les salles de classe. C’est un fait qu’avec l’actuelle approche communicative et « par devoirs », les étudiants acquièrent des connaissances supérieures en langue écrite et des résultats peu satisfaisants dans la prononciation. D’autre part, les enseignants ne comptent pas sur des méthodes d’intégration de la prononciation de ces approches, et la carence de matériels se fait plus qu’évidente. Les conceptions curriculaires actuelles n’ont pas intégré de forme naturelle l’enseignement de la prononciation dans ses exposés méthodologiques. La sélection et analyse de certains des manuels d’enseignement d’ELE, avec ce dont on travaille actuellement dans la province du Québec, confirme ces carences. Dans la dernière partie du travail on présente une sélection d’exercices que l’on considère utiles pour l’enseignement et le développement de la prononciation, incluant les éléments suprasegmentaires, d’une façon ludique, dans un contexte réel et communicatif et de manière intégrée. Une didactique de l’enseignement qui prête attention au système formel de la langue, la grammaire et le lexique, peut aussi contempler l’enseignement de la prononciation depuis la même perspective. L’important c’est qu’elle soit intégrée comme une phase supplémentaire du processus d’apprentissage, et cesse d’être une matière à repasser dans les curriculums. / This memory aims to highlight the renunciation that suffered, and still do nowadays, the teaching of the pronunciation in the Spanish courses as foreign language (SFL), to reaffirm its importance and to defend the need for its integration in the classrooms. It is a fact that with the current communicative approach and with the different duties, the students acquire higher knowledge in written language but do not have very satisfactory results in their pronunciation. In addition, the teachers don’t count on the integration of pronunciation methods in their approaches, and the deficiency of this material is more than obvious. The current curricular designs did not integrate a natural form of pronunciation teaching in its methodological talks. The selection and analyzes of some IT teaching handbooks, that are currently use in the province of Quebec, confirms these deficiencies. In the last part of this work, we present a selection of exercises that we consider useful for the teaching and the development of pronunciation, including the elements supra segmentary in a real and communicative context and in an integrated way. Didactic of the teaching that pays attention to the formal language system, grammar and the lexicon, can also contemplate pronunciation teaching by using the same prospect. Important it is that this perspective should be integrated like an additional phase of the training process, and stop to be a matter to be passed by in the curriculums.
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Apprentissage phonétique des voyelles du français langue étrangère chez les apprenants japonophones

Kamiyama, Takeki 28 November 2009 (has links) (PDF)
Ce travail s'intéresse à l'application de la phonétique expérimentale [acoustique et perceptive] à la didactique de la prononciation des langues étrangères. Le propos est illustré par les difficultés d'apprentissage par des japonophones des voyelles du français ; les expériences portent spécifiquement sur les voyelles -u y ø-. Le but est d'élucider les difficultés que présentent ces phones selon que leur statut phonémique et leur réalisation phonétique diffèrent ou non entre la langue maternelle et la langue apprise. Le -u- français diffère phonétiquement de son équivalent phonémique, le -u- japonais. L'étude confirme que le -u- français, phonémiquement " similaire " au -u- japonais, est plus difficile que la voyelle " nouvelle " -y-, qui n'a pas d'équivalent ni phonémique ni phonétique en japonais. La production du -ø-, qui est " nouveau " phonémiquement mais proche du -u- japonais au plan acoustique, semble présenter encore moins de difficulté. La thèse apporte également une réflexion sur la didactique de la prononciation. L'analyse de manuels généralistes de français publiés au Japon suggère que les apprenants et les enseignants sont rarement conscients de la différence de difficultés des -u y ø-. Quelques méthodes d'enseignement de la prononciation - certaines traditionnelles, d'autres innovantes - sont proposées, dans l'idée de favoriser la conscientisation de ces difficultés. Le but de cette thèse est une contribution à l'éclaircissement des processus d'apprentissage de la prononciation des langues étrangères, et à l'amélioration de son apprentissage et de son enseignement.
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Accentuation et prononciation des suffixés en -ous en anglais contemporain. / Word stress assignment and pronunciation of words suffixed with -ous in contemporary english

Fournier, Pierre 08 December 2011 (has links)
L’influence du suffixe -ous sur le système phonologique de l’anglais est considérable. Son impact se matérialise tant au niveau de l’assignation des accents lexicaux, qu’au niveau de la matérialisation phonétique des voyelles accentuées. L’étude de ce suffixe offre une perspective globale du fonctionnement du système anglais puisque -ous se situe à la croisée des principes fondamentaux qui régissent le système accentuel anglais.Cette étude s’inscrit dans une perspective morphophonologique, cadre théorique privilégiant une interaction entre les domaines de la morphologie et de la phonologie. La prise en considération des frontières morphologiques dans le calcul de l’accent constitue le fondement même de cette théorie. Cependant, l’influence du suffixe -ous sur la structure accentuelle et phonétique des termes a fait l’objet d’une multitude d’approches dont nous présentons les résultats les plus significatifs dans la partie théorique. En contrepartie, les théories phonologiques sont confrontées les unes aux autres afin de déterminer leurs avantages et leurs inconvénients.L'assignation des accents lexicaux ne constitue toutefois pas le seul versant de ce travail. Le placement de l'accent sur la syllabe a une conséquence directe sur la réalisation phonétique de la voyelle appartenant à cette syllabe. Elle est pleinement réalisée, et l'alternance des syllabes accentuées et non accentuées participe à la notion de rythme en anglais. ..... Cette étude se veut avant tout un état des lieux du comportement du suffixe -ous. Elle vise également à confronter les règles précédemment établies à la réalité d'une étude quantitative, dans le but de faire émerger de nouveaux phénomènes imputables au suffixe / The influence of the suffix -ous on the English phonological system is considerable. Its impact is materialized on word-stress assignment, as well as on the phonetic realisation of stressed vowels. The study of this particular suffix generates a global perspective on the functioning of the English system since -ous is a blend of the fundamental principles which rule the English stress system. This analysis falls within the framework of the morphophonological theory, which favours an interaction between the morphological and phonological levels. The concept of morphological boundary is essential to the operation of word-stress assignment and represents a key-notion inside this theoretical framework. However, the impact of the suffix -ous on word-stress assignment and on the pronunciation of stressed vowels has already been investigated through several theoretical approaches. The most significant results of these previous studies are expounded in the theoretical part. The phonological frameworks are then compared in order to determine their assets and their drawbacks. Word-stress assignment only represents the first side of this work. Indeed, the assignment of primary stress on the syllabic structure of a word has a consequence on the phonetic realisation of stressed vowels. They are "fully" realised, and the succession of stressed and unstressed syllabes creates the notion of rythm in English. Resorting to spelling enables to predict the pronunciation of stressed vowels through the application of a hierarchical system of rules. These rules, elaborated on the particularities of English spelling, operate a transfer from spelling to sounds......
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L'accent secondaire en anglais britannique contemporain / Secondary accent in contemporary british english

Dabouis, Quentin 28 November 2016 (has links)
Cette étude de l’accent secondaire en anglais britannique contemporain s’inscrit dans l’approche développée par Lionel Guierre et se compose d’un volet théorique et d’un volet empirique. Dans un premier temps, nous présentons cette approche et la comparons à d'autres théories contemporaines. Dans un second temps, après une revue de littérature, nous menons l'analyse d'un corpus de 5829 mots portant un accent secondaire. Cette étude confirme que la présence et la position de l'accent secondaire sont largement déterminées par des contraintres d'ordre rythmique. Elle révèle également des éléments nouveaux tels que le rôle joué par les préfixes sémantiquement opaques dans le placement de l'accent secondaire dans les mots dérivés et non-dérivés, le rôle de la fréquence relative entre dérivant et dérivé pour les dérivés accentués /021 (-) : ou encore l'existence d'une règle de détermination de la valeur de la voyelle accentuée dans la position initiale prétonique / This study of secondary accent in contemporary British English stands in the approach developed by Lionel Guierre and is composed of a theoretical section and an empirical section. First, we present this approach and compare it to other contemporary theories. Secondly, after a literature review, we conduct the analysis of a corpus of 5829 words carrying a secondary accent. This study confirms that the presence and position of secondary accent are largely determined by rhythmical contraints. It also reveals new elements such as the role of opaque prefixes in the placement of secondary accent in both derived an non-derived words, the role of the relative frequency of the base and its derivatives accented :021 (-)/or the existenza of a rule determining the value of the accented vowel in the initial pretonic position
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Approche plurielle des liens musique-parole pour la didactique de la prononciation du français comme langue étrangère/seconde / Pluralistic approach of the links between music and speech in the learning and teaching of the pronunciation of French as a foreign/second language

Miras, Gregory 02 December 2014 (has links)
Cette thèse s’intéresse aux utilisations de la musique instrumentale pour la didactique de la prononciation du français comme langue étrangère/seconde (FLES). Elle s’inscrit dans une perspective plurielle et un cadre théorique émergentiste et socioconstructiviste. La thématique est abordée par trois études (1) psychosociale, (2) psychoacoustique et (3) didactique permettant de questionner à plusieurs niveaux les apports potentiellement développementaux de la musique instrumentale pour la prononciation du français en contexte FLES.Le but de cette thèse est une contribution à la didactique des langues afin d’apporter des réponses empiriques à des pratiques pédagogiques présentes depuis longtemps mais peu questionnées scientifiquement. Elle permet également de prendre du recul sur les récents résultats en neurocognition et notamment leurs applications pour un développement langagier.L’étude 1 psychosociale, par questionnaire, montre que la didactique de la musique peut nous aider à amener les apprenants à se focaliser sur le son plutôt que sur le sens des unités sonores langagières. L’étude 2 psychoacoustique révèle que les musiciens ont de meilleurs temps de réaction que les non- musiciens chez des apprenants du français pour un test AXB d’oppositions fines des phonèmesvocaliques du français. Grâce à l’étude 3, didactique interventionniste et quasi-expérimentale, nous avons montré qu’une association entre notes de piano et aperture suggère une potentialité développementale des phonèmes vocaliques du français mais que cette dernière n’est pas supérieure à d’autres approches plus conventionnelles. Cependant, elle semble être un apport cognitif pour certains apprenants même si cet apport montre une tendance bimodale. Ces trois études permettent de montrer que la musique instrumentale peut trouver sa place dans la « boîte à outils » de l’enseignant. / This work deals with the use of instrumental music in the teaching and learning of French as a foreign language. It is part of a pluralistic theoretical framework and an integrated approach of emergentism and social cultural theories. The topic is discussed through three studies: (1) a psychosocial study, (2) a psychoacoustic study and (3) an applied linguistics study – questioning at different levels the potentially developmental intake of instrumental music for French pronunciation as a foreign language.The aim is a contribution to applied linguistics in order to bring empirical data to long-lasting pedagogical practices but also to question recent neurocognitive results in an applied perspective. The first study, which is psychosocial and was led by questionnaires, shows that music learning and teaching can help us to have students focus on sound rather than meaning. The second study, which is psychoacoustic, reveals that, among learners of French, musicians have better reaction times than non-musicians to an AXB discrimination test of close French vowels. The third study, which is quasi- experimental and in intervention, suggests that associating piano notes and vowel aperture doesn’t lead to bigger developmental intake compared to more conventional approaches. However, it seemsto point out to the fact that some learners experience cognitive input even if such impact evokes bimodal tendencies. These three studies prove that instrumental music can be a tool to assist teachers.
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Difficultés de prononciation et de perception de voyelles du français par des apprenants jordaniens / Pronunciation and perception difficulties of French vowels by Jordanian learners

Nawafleh, Ahmad 24 May 2012 (has links)
Cette étude s’inscrit dans le cadre de l’application des connaissances acquises grâce à des expériences de phonétique expérimentale à l’enseignement de la prononciation des voyelles dans le cadre du FLE. Les formants des voyelles orales françaises et arabes prononcées par des natifs indiquent que les voyelles /iː aː uː/ de l’arabe diffèrent phonétiquement des /i a u/ du français, en particulier /iː uː/ qui se rapprochent plutôt de /e o/ du français. L’étude acoustique des voyelles du français montre que la voyelle /u/ perd son identité quand elle est réalisée par des apprenants jordaniens : les formants de /u/ réalisée par des débutants sont proches de /ø/ et ceux par des apprenants avancés sont proches de /o/. Les études perceptives confirment que /u/ est confondue avec /o ø/ et indique que les apprenants réalisent seulement un timbre des paires: [e-ɛ], [ø-œ] et [o-ɔ] et qu’ils réussissent à reproduire et identifier /y/ et /ø/ pourtant absentes de leur système phonologique. En revanche, les voyelles nasales représentent, pour eux, une grosse difficulté. Ils les confondent entre elles et avec des voyelles orales. L’étude aérodynamique des voyelles /ɑ̃ ɛ̃ ɔ̃/ des apprenants jordaniens montrent qu’ils synchronisent différemment l’arrivée du débit d’air nasal et qu’ils répartissent différemment sa quantité sur les voyelles par rapport aux natifs. La mesure des formants au début des voyelles nasales montre que les apprenants ne possèdent pas les mêmes cibles articulatoires pour /ɑ̃ ɛ̃ ɔ̃/ que les natifs. Notre thèse s’achève par une réflexion portant sur des stratégies de correction phonétique, des propositions matérielles et techniques d’entraînement à la prononciation. / The dissertation deals with the application of knowledge acquired from experimental phonetics to the teaching of vowels pronunciation within the framework of French as a foreign language. The formants of French and Arabic oral vowels pronounced by natives indicate that Arabic vowels /iː aː uː/ differ phonetically from French /i a u/, in particular /iː uː/, which were realized more like /e o/ of French. The acoustic study of French vowels shows that the French /u/ loses its identity when it is produced by the Jordanian learners: The formants of /u/ realized by beginners are close to those of /ø/, and close to /o/ in the realization of advanced learners. The perceptive studies confirm that the learners merge /u/ with /ø o/ and reproduce only a single sound for the following pairs: /e-ɛ/, /ø-œ/ and /o-ɔ/ whereas they realize and identify correctly /y ø/ in spite of the absence of /y ø/ in their phonological system. By contrast, the nasal vowels /ɑ̃ ɛ̃ ɔ̃/ pose a serious problem for the learners. They are mutually merged and also confused with oral vowels. The aerodynamic study of French nasal vowels, pronounced by Jordanians learners indicates that they synchronize differently the onset of nasal airflow and distribute in different manner its quantity on the vowels with regard to the realization of natives. The formants measured at the beginning of /ɑ̃ ɛ̃ ɔ̃/ show that the learners do not have the same articulatory targets for the nasal vowels as the natives. The dissertation ends up with a reflection concerning strategies of phonetic correction, materials and technical propositions for pronunciation teaching
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Représentations phonologiques dans la prononciation et l'identification des mots écrits alphabétiquement

Peereman, Ronald January 1989 (has links)
Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Étude des voyelles antérieures non-arrondies en allemand, français et finnois, et applications en vue d'une didactique de la prononciation. / Study of the front non-rounded vowels in German, French and Finnish and applications in the perspective of pronunciation teaching

Ibarrondo, Ludovic 26 November 2013 (has links)
Cette thèse s’inscrit dans une réflexion sur les apports potentiels de la phonétique expérimentale à la didactique et à l’enseignement de la prononciation. Son objectif est d’examiner les préférences perceptives des locuteurs du finnois, de l’allemand et du français, pour les voyelles antérieures non-arrondies /i e ɛ/ ; et de prolonger cette démarche dans le cadre de l’enseignement de la prononciation du français, en s’interrogeant sur la nécessité de continuer à considérer le contraste existant entre les voyelles moyennes /e/ et /ɛ/. La première partie de ce travail dresse un portrait des trois langues concernées, et introduit les principales hypothèses de processus cognitifs impliqués dans la perception. La deuxième partie de ce travail aborde la perception des voyelles /i e ɛ/, à travers trois tests de perception permettant 1) de définir les prototypes privilégiés par chacune des populations, 2) de mesurer l’effet d’un aimant perceptif spécifique à la langue, et 3) d’évaluer l’importance accordée à l’abaissement de la mandibule pour le choix des exemplaires de chacune des catégories concernées. L’analyse d’un corpus de parole spontanée nous permet enfin d’examiner la robustesse du contraste /e/~/ɛ/, et de mesurer l’intérêt didactique d’enseigner la différenciation et l’acquisition du timbre ouvert et du timbre fermé de ces voyelles en français langue étrangère. La troisième partie de ce travail s’intéresse enfin à la place accordée à la phonétique dans l’enseignement des langues, et offre une revue des principales tendances méthodologiques qui ont contribué à sa diffusion. L’intérêt d’investir différents outils issus de la phonétique expérimentale, du support multimédia, ou de disciplines non-linguistiques, y est discuté. / This work has its place within the context of reflection on the potential input of experimental phonetics to pronunciation teaching. Its aim is to compare the perceptual preferences of native speakers of Finnish, German, and French, for the front non-rounded vowels /i e ɛ/ ; and to extend this approach to French pronunciation teaching, by analyzing the contrast between the middle vowels /e/ and /ɛ/. The first part of this dissertation presents a picture of the phonological systems and phonotactics of the three languages and recalls the main theories about the cognitive processes involved in the perception of phonetic categories. Based on this comparison, the second part examines the perception of the vowels /i e ɛ/. Three studies have been conducted, in order to 1) determine the category’s prototypes for the three populations studied, 2) measure the impact of a language-specific perceptual magnet [Kuhl, 1991], and 3) assess the involvement of mouth opening, to ensure the contrast between the categories in the three languages. The robustness of the contrast /e/~/ε/ through the acoustic analysis of 633 occurrences of /E/ in a spontaneous speech corpus by one French native speaker has been evaluated and the interest to systematically distinguish the sounds of these two vowels in French as a foreign language has been assessed. The diverse conditioning factors, as the trends highlighted in our corpus, are compared to a similar study carried out by Léon and Tennant [1990] on 100 occurrences of /E/ taken from television broadcasts of Bernard Pivot. The third part of this work finally deals with the place granted to phonetics in language teaching and provides a review of the main methodological tendencies which have contributed to its diffusion. The potential of applying different tools resulting from experimental phonetics research, multimedia or non-linguistic disciplines is also discussed.

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