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Hirnstrukturelle Veränderungen bei schizophren Ersterkrankten – der Einfluss von Cannabis und familiärer Belastung / Structural brain changes in first episode schizophrenia - influence of cannabis and familial loadingMalchow, Berend 09 September 2013 (has links)
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Prescrire dans la parole : écoute analytique et prescription médicamenteuseGuillermain, Yves 13 November 2013 (has links) (PDF)
La prescription médicamenteuse est l'un des principaux outils thérapeutiques utilisé par le médecin. Si la médecine somatique décline sa clinique selon l'enchaînement symptômes- diagnostic-traitement, la psychiatrie se démarque d'une telle linéarité. En effet, bien qu'elle se soit calquée sur le modèle médical depuis la découverte des psychotropes en 1952, elle relève d'une clinique spécifique : en psychiatrie, d'une part le symptôme constitue une adresse à l'Autre, il contient donc une dimension relationnelle essentielle, d'autre part, le soin psychique implique une participation active du sujet, toute thérapie étant aussi auto-thérapie. La neuropharmacologie, en plein essor depuis 1952, propose un schéma thérapeutique se voulant plus scientifique car de plus en plus éloigné de la psychopathologie clinique. Le psychiatre est alors convoqué en tant que technicien de la prescription de psychotropes, le médicament se suffisant à lui-même d'un point de vue thérapeutique. Face à une telle évolution de la psychiatrie, comment préserver un abord clinique ?Notre pratique esquisse la possibilité de dégager l'acte de prescrire d'une technicité exclusive. En effet, sous certaines conditions, la prescription de psychotropes constitue un acte psychothérapeutique à part entière. Pour cheminer dans notre réflexion, nous sommes passés par le paradigme du pharmakon afin de complexifier la question du prescrire. La clinique suggère une possible alliance entre parole et médicament. Prescrire dans la parole, au-delà de la molécule, consiste à qualifier la substance par la parole, de façon à ce qu'elle devienne un médicament spécifique de la rencontre clinique. La molécule, guidée par la magie des mots, sera plus efficace. L'acte de prescrire se conçoit donc comme une création à deux, à réinventer à chaque nouvelle rencontre, le moment de la prescription relevant d'un cheminement intime du côté du clinicien. Ainsi, loin de s'exclure mutuellement, psychothérapie analytique et pharmacothérapie ont tout intérêt à croiser leurs regards sur la question du prescrire. Penser conjointement effet pharmacologique et relation clinique permet au clinicien de s'engager dans une authentique rencontre humaine avec le patient. La psychopathologie s'ouvrira, peut-être, sur de nouvelles perspectives thérapeutiques.
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La représentation de la catalepsie dans le récit fantastique du XIXe siècleBergeron, Marjorie 06 1900 (has links)
Au XIXe siècle, la science et le fantastique produisent le même effet chez les gens : en mettant ceux-ci en contact avec des phénomènes inouïs, ils les inscrivent dans un rapport dialectique – entre le connu et l’inconnu – qui doit déboucher sur le non-encore-connu, comme s’ils recelaient la promesse d’une révélation. En effet, à la fois les sciences de l’esprit et le récit fantastique permettent de franchir les frontières entre le moi et l’autre, la vie et la mort, le corps et l’esprit. Explorant autant de domaines inconnus relatifs à l’homme, ils redéfinissent les contours de celui-ci. C’est donc en tant que moyens de savoir que ce mémoire met en relation ces sciences (psychiatrie, psychophysiologie, hypnotisme…) et trois récits fantastiques, « Onuphrius » de Théophile Gautier, « La Mort d’Olivier Bécaille » d’Émile Zola et « L’Homme voilé » de Marcel Schwob, où une crise de catalepsie subie par le héros déclenche le processus dialectique. / In the 19th century, science and the fantastic generated the same effect in people’s minds: by making them encounter incredible phenomena, they place them in a dialectical relation – between what is known and the unknown – which leads to the not-yet-known, as if they were concealing a promise of revelation. Indeed, both sciences of the mind and fantastic narratives enable the crossing of frontiers between the self and the other, life and death, body and mind. Exploring all these unknown territories related to man, they redefine his contours. Therefore, it is as means of knowledge that this dissertation is establishing a link between these sciences (psychiatry, psychophysiology, hypnotism...) and three fantastic narratives, “Onuphrius” by Théophile Gautier, “La Mort d’Olivier Bécaille” by Émile Zola and “L’Homme voilé” by Marcel Schwob, where catalepsy crises trigger the dialectical process.
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Frontières invisibles. Expériences de personnes prises en charge au long cours par la psychiatrie publique en FranceGrard, Julien 25 October 2011 (has links) (PDF)
S'appuyant sur une ethnographie d'environ quatre ans, effectuée au sein d'un GEM (Groupe d'Entraide Mutuelle) d'une grande ville française, l'enquête présentée ici interroge la construction sociale et institutionnelle de l'expérience et des subjectivités de personnes souffrant de troubles psychiques. Objets de savoir, celles-ci sont " étudiées " par de nombreuses disciplines. Mais c'est généralement la maladie qui est l'objet des recherches. Objets de pouvoir, elles sont ou ont été prises en charge par de nombreuses institutions : travail social, psychiatrie, protection des majeurs pour certaines. Grâce à un terrain de longue durée, au plus près de l'ordinaire et dans un lieu non médicalisé, j'aborde leurs parcours en partant de ce qui importe pour eux. Renversant la perspective, j'approche les " usagers ", " malades " ou " patients " comme des personnes, et envisage la question de l'expérience de la maladie en la replaçant dans le contexte des parcours de vie et des autres expériences sociales, et dans la tension entre contraintes structurelles et agentivité. En questionnant les relations dialectiques entre ces expériences, les technologies et dispositifs institutionnels ainsi que les réseaux sémiotiques, politiques et moraux dans lesquels elles s'inscrivent, je montre comment les différents statuts sociaux interagissent, et comment le vécu de la maladie est à la fois multiple chez un même sujet, et variable selon les parcours biographiques dans lesquels elle s'inscrit. Peu à peu se dévoile, dans l'ordinaire des pratiques et discours quotidiens, des manières d'être à soi, aux autres et au monde, le modelage social, moral et institutionnel des subjectivités.
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Le traitement social de l'autisme : étude sociologique du diagnostic médicalBorelle, Celine 27 June 2013 (has links) (PDF)
La notion de " traitement social " permet de considérer que l'autisme présente une certaine forme de réalité avant de faire l'objet d'un certain nombre de savoirs et de pratiques. La notion de traitement social a été privilégiée par rapport à la notion de " construction sociale " pour éviter l'idée que l'autisme acquiert une forme de réalité uniquement par le biais de sa construction sociale. Le choix de ce titre marque donc une volonté de déplacement par rapport au constructivisme. Toutes les catégories ont une origine sociale, dans la mesure où elles reposent sur un cadre socialement produit, mais les catégorisations sont sans cesse mises à l'épreuve de la matérialité du monde par le biais nos expériences. Le présupposé de cette thèse est que la réalité de l'autisme fait l'objet d'un constant processus collectif de réaffirmation et de révision. L'autisme est désigné comme un diagnostic médical car c'est l'autisme en tant qu'il fait l'objet d'une connaissance humaine, et parce qu'il devient de ce fait une réalité socialement produite, qui devient analysable par le sociologue. Cette thèse vise à saisir l'accomplissement pratique et continu de la catégorisation de l'autisme. Cette thèse s'appuie méthodologiquement sur une démarche ethnographique et théoriquement sur la sociologie pragmatique pour proposer une étude sociologique du diagnostic médical à partir du cas de l'autisme. La première partie traite du diagnostic médical comme catégorie et vise à montrer que cette catégorie est prise dans différents enjeux socio-politiques. Ces enjeux socio-politiques sont mis en évidence en distinguant quatre dimensions qui travaillent le diagnostic d'autisme : son institution, son institutionnalisation, sa politisation et sa controverse. Ces dimensions permettent de saisir les enjeux qui façonnement le diagnostic tels qu'ils se structurent dans le monde médical, mais également en dehors de ce monde. Cette partie montre comment la catégorie diagnostique est construite au croisement de plusieurs logiques qui circulent dans différents mondes, dans des rapports de pouvoir qui s'établissent entre des acteurs de différentes natures, dans une configuration susceptible d'évoluer au fil du temps. La deuxième partie traite du diagnostic comme processus de qualification. À partir de l'observation menée dans un centre de diagnostic spécialisé sur l'autisme, cette partie propose une sociologie de l'opération de qualification médicale. Dans cette perspective, le diagnostic est appréhendé comme une activité, un travail que l'on peut suivre pas à pas. Ce sont bien les pratiques en elles-mêmes, témoignant de la manière dont le diagnostic médical est produit en situation, qui sont étudiées. Après avoir inscrit la démarche dans une approche pragmatique de l'expertise médicale et proposé une grille d'analyse de l'opération de qualification, cette partie étudie l'enchaînement des différentes étapes de la démarche diagnostique pour penser le diagnostic comme un processus déterminé par la configuration et les supports de la qualification, et situé dans un contexte marqué par la pluralité des pratiques diagnostiques. La troisième partie traite des implications pratiques du diagnostic. Cette partie permet de faire sortir le diagnostic d'autisme du monde médical pour saisir ses implications non seulement dans d'autres contextes d'actions, dans le monde scolaire et le monde administratif, mais également sur la famille, à travers l'étude de la production domestique de soin. Cette partie propose également de saisir les implications du diagnostic sur le traitement de la subjectivité de l'enfant. Elle se termine sur le constat d'un phénomène de dualisation des parcours, en termes d'arrangements pratiques de soin et de quête diagnostique, qui peut être analysé selon différentes grilles de lecture n'appuyant pas la même forme de critique des inégalités sociales.
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" NE PLUS ETRE UN MONDE A PART " LA TRANSFORMATION D'UN HOPITAL PSYCHIATRIQUE : SAINTE-GEMMES-SUR-LOIRE (1910-1977)Guérin, Vincent 08 December 2011 (has links) (PDF)
Cette étude observe le " processus de changement " dans l'hôpital psychiatrique de Sainte-Gemmes-sur-Loire (49) entre 1910 et 1977, de l'arrivée du Dr Baruk aux débuts de la sectorisation. Ce changement conceptuel, thérapeutique et institutionnel fait progressivement basculer l'asile vers un autre modèle. La transformation s'amorce dans les années 1920-1930 avec l'amélioration des conditions de vie du personnel soignant. Dans l'après Deuxième Guerre mondiale, les conditions de vie des malades s'harmonisent progressivement avec la Cité. Les dispensaires, suivis bientôt par les neuroleptiques puis par le service libre, ouvrent des brèches dans l'édifice asilaire en autorisant une prise en charge différenciée. Dans le même temps, dans certains services, la psychothérapie institutionnelle vise à libérer la parole et les initiatives. A l'issue de la grève de mai-juin 1968, un certain nombre de revendications locales et nationales de la psychiatrie sont entérinées. Avec la sectorisation, une accélération du changement se produit dans l'hôpital, faisant voler en éclat le principe de la coupure intérieure, avec la mixité des pathologies, des soignants et des patients. A la fin des années 1970, le foyer postcure, les appartements thérapeutiques, l'hôpital psychiatrique de Cholet, amplifient le soin dans le lieu de vie du patient et contribuent à décentraliser l'hôpital.
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Krank oder böse? : die Schuldfähigkeit und die Sanktionenindikation dissozial persönlichkeitsgestörter Straftäter und delinquenter "Psychopaths" sowie die Zusammenarbeit von Jurisprudenz und Psychiatrie bei der Beurteilung der Schuldfähigkeit /Schmid, Daniel January 2009 (has links) (PDF)
Zugleich: Diss. jur. Basel, 2008. / Im Buchh.: Basel : Helbing Lichtenhahn. Bibliogr.
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L'histoire de la folie criminelle au Québec de 1840 à 1945Grenier, Guy January 1998 (has links) (PDF)
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Prescrire dans la parole : écoute analytique et prescription médicamenteuse / Prescribing through words : psychotherapy and psychotropic drugsGuillermain, Yves 13 November 2013 (has links)
La prescription médicamenteuse est l’un des principaux outils thérapeutiques utilisé par le médecin. Si la médecine somatique décline sa clinique selon l’enchaînement symptômes- diagnostic-traitement, la psychiatrie se démarque d’une telle linéarité. En effet, bien qu’elle se soit calquée sur le modèle médical depuis la découverte des psychotropes en 1952, elle relève d’une clinique spécifique : en psychiatrie, d’une part le symptôme constitue une adresse à l’Autre, il contient donc une dimension relationnelle essentielle, d’autre part, le soin psychique implique une participation active du sujet, toute thérapie étant aussi auto-thérapie. La neuropharmacologie, en plein essor depuis 1952, propose un schéma thérapeutique se voulant plus scientifique car de plus en plus éloigné de la psychopathologie clinique. Le psychiatre est alors convoqué en tant que technicien de la prescription de psychotropes, le médicament se suffisant à lui-même d’un point de vue thérapeutique. Face à une telle évolution de la psychiatrie, comment préserver un abord clinique ?Notre pratique esquisse la possibilité de dégager l’acte de prescrire d’une technicité exclusive. En effet, sous certaines conditions, la prescription de psychotropes constitue un acte psychothérapeutique à part entière. Pour cheminer dans notre réflexion, nous sommes passés par le paradigme du pharmakon afin de complexifier la question du prescrire. La clinique suggère une possible alliance entre parole et médicament. Prescrire dans la parole, au-delà de la molécule, consiste à qualifier la substance par la parole, de façon à ce qu’elle devienne un médicament spécifique de la rencontre clinique. La molécule, guidée par la magie des mots, sera plus efficace. L’acte de prescrire se conçoit donc comme une création à deux, à réinventer à chaque nouvelle rencontre, le moment de la prescription relevant d’un cheminement intime du côté du clinicien. Ainsi, loin de s’exclure mutuellement, psychothérapie analytique et pharmacothérapie ont tout intérêt à croiser leurs regards sur la question du prescrire. Penser conjointement effet pharmacologique et relation clinique permet au clinicien de s’engager dans une authentique rencontre humaine avec le patient. La psychopathologie s’ouvrira, peut-être, sur de nouvelles perspectives thérapeutiques. / Prescribing medication is one of the main therapeutic tools used by physicians. If somatic medicine clinically acts according to a 'symptom-diagnosis-treatment' model, psychiatry does not follow this linear pathway. Although it has copied the medical model since the discoveryof psychoactive drugs in 1952, it possesses a specific clinical approach. First of all, in psychiatric care, the symptom is an address to the Other, it contains an essential social dimension. Moreover, it implies the subject's active participation, each therapy also being a self-therapy. Neuropharmacology, in full expansion since 1952, has taken a therapeutic scheme aiming at more scientificity by moving away from clinical psychopathology. Hence psychiatrists are seen as technicians of psychoactive drugs prescription, drugs being considered as self sufficient therapeuticaly. With regard to this evolution in psychiatric care, how can a clinical approach be maintained ? In practice, the act of prescribing can free itself from being exclusively technical. Prescribing psychoactive drugs can indeed, under certain conditions, be a true psychotherapeutic act. To guide us through this reflection, we used the pharmakon paradigm to make the issue of prescribing more complex. Clinical practice suggests a possible alliance between patients'words and medication. Beyond molecular action, prescribing through talking qualifies the substance by words, so it becomes a clinical-interaction-specific drug. The molecule, guided by the magic of words, will be more efficient. The act of prescribing is thus conceived as a creation made possible by two people, that must be reinvented at each encounter. The moment for prescribing is rather the fruit of the clinician intimate decision process. Thus, far from excluding each other, analytical therapy and pharmacotherapy would gain much from sharing their views on the issue of prescribing. Integrating both the pharmacological effect and the clinical interaction would allow clinicians to engage in an authentic human encounter with patients. Psychopathology may then open up to new therapeutic perspectives.
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L’expérience infirmière en psychiatrie et santé mentale : enquête sur les dynamiques de professionnalisation et de construction du rapport au métier / Psychiatric and mental health nurses’ experience : inquiry on dynamics of professionalisation and building relationship with the craftMiribel, Julien de 05 December 2017 (has links)
Cette recherche traite des préoccupations de professionnalisation des infirmiers en psychiatrie et santé mentale. Elle s’inscrit dans un contexte commandité via sa mise en œuvre en convention industrielle de formation par la recherche (CIFRE). Commanditaire de ce travail, l’établissement public de santé mentale Lille-Métropole a développé un dispositif dit de « professionnalisation et tutorat » pour compléter une formation initiale jugée insuffisante après que le diplôme d’infirmier de secteur psychiatrique, et la formation y conduisant, aient été supprimés en 1992. La portée de ce dispositif est analysée à trois échelles, à partir d’une démarche compréhensive. D’abord, celle de son inscription dans l’évolution historico-culturelle du groupe professionnel. Ensuite, celle des acteurs mobilisés pour son fonctionnement. Enfin, celui de son appropriation par les néo-infirmiers destinataires de ce travail éducatif institué par le dispositif. Il est montré que le dispositif exprime une intention de (re)professionnalisation du groupe social par l’institution d’une relation entre travail et formation. Celle-ci est mobilisée comme axe analytique permettant d’examiner comment, dans l’expérience des néo-infirmiers, se construit le rapport au métier. La question de la violence en psychiatrie est aussi examinée à l’aune de cette relation pour étudier la manière dont elle est prise en compte dans les pratiques infirmières. Enfin, le caractère commandité de cette recherche la positionne dans un système d’attentes à plusieurs niveaux. Le chercheur est alors conduit à penser son implication et lui donner une dimension interventionniste, ceci par la formation de certains acteurs du terrain. / This research confronts the concerns surrounding the professionalisation of psychiatric and mental health nurses. It takes place in a financed context through its implementation as a CIFRE programme (research and training agreement). As its sponsor, the mental health care facility of the Lille Metropolitan area has set up a plan called “professionalisation and tutoring” in order to complete nurses’ initial training, judged insufficient since the psychiatric nurses’ degree and its associated training were shut down in 1992. The plan’s significance is analysed through three levels and from a comprehensive approach. The first level regards its situation in the historical and cultural evolution of the professional group. The second, that which concerns the plan’s actors getting involved to make it work. The final level refers to the neo-nurses appropriation of the educative work instituted by the plan. It is shown that the plan expresses an intention of (re)professionalising the social group by establishing a relation between work and training. This third level is used as an analytical line allowing the study of how, in neo-nurses’ experience, the relationship with the craft is built. The theme of violence in psychiatry is also examined through the relation between work and training to study how it is taken into account in the nurses’ practices. Finally, the typicality of this research, financed by a sponsor’s funds, implies that it has to deal with a system of expectations composed of different levels. Here, the researcher is made to consider its involvement and give an interventionist dimension by training some actors of the field.
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