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L'écriture comme intensité : la vision métaphorique à travers l'oeuvre de Reinaldo Arenas

Labarias, Eva 04 1900 (has links)
En observant le foisonnement de métaphores de la lumière et de la vision dans l’œuvre de Reinaldo Arenas – l’accentuation de la couleur, l’éblouissement, la brûlure et le dédoublement – cette thèse s’interroge sur la vision de l’écriture formulée dans et à partir de ces images, et sur les implications de cette vision. Constatant à travers cette réflexion l’inscription à même le langage des images de la lumière et de la vision – de la réflexion à la clarté, en passant par l’image et la lucidité – cette thèse délibère, à travers l’œuvre de Reinaldo Arenas et celle de Jorge Luis Borges, sur une définition de l’écriture comme intensité, notion et image empruntées au registre du sensible par le détour de la physique. Le premier chapitre s’intéresse à la couleur comme phénomène de la vision, du sensible, de l’affect et de la nuance, ainsi qu’à la métaphore de la cécité abordée par Borges et par Paul de Man comme phénomène de la lecture, points d’entrée à une réflexion sur l’écriture. Le second chapitre aborde la notion d’éblouissement en tant qu’intensité de la lumière et temporalité de la prise de conscience lucide, définissant ainsi une vision du temps et les affinités entre la temporalité de l’écriture et celle de l’image poétique. Le troisième chapitre, réitérant la question de la relation au temps – historique et narratif –, réaffirme les inflexions du langage en fonction de la lumière, c’est-à-dire la relation entre l’aspect « lumineux » du langage, l’intensité de la lumière et l’intensité de l’écriture (entendue comme écriture littéraire), en explorant le seuil (la destruction par le feu) mis en lumière par l’image du phénix, figure mythique et littéraire de la transformation des images, selon la définition de l’imagination proposée par Gaston Bachelard. Enfin, la double conclusion (une conclusion en deux parties, ou deux conclusions réfléchies l’une dans l’autre), relie les images poétiques de la lumière évoquées et leurs implications en examinant la portée d’une vision de l’écriture comme intensité. Cette idée est élaborée à travers l’image finale du double, figure littéraire constitutive et omniprésente à la fois chez Arenas et chez Borges, image non seulement de la relation entre le personnage et son double (qui relève de l’hallucination ou de l’imagination, images, encore une fois, de la vision), mais aussi de la relation entre l’auteur et le texte, le lecteur et le texte, l’écriture et le temps. La double conclusion vise le dédoublement et redoublement comme figures de l’intensité dans l’écriture. Le lien entre la vision métaphorique et l’écriture comme intensité est donc articulé par la métaphore, telle qu’entendue par Borges, élargie à l’image poétique dans la perspective de Gaston Bachelard ; elle s’appuie sur la vision de la littérature pensée et écrite par Arenas. La réflexion est double : dans le texte et sur le texte, au plan poétique et au plan d’une réflexion sur l’écriture d’Arenas ; sur l’écriture et, implicitement, sur la littérature. / Plunging into the work of Cuban writer Reinaldo Arenas, this thesis examines the connection between Arenas’ exuberant choice of metaphors related to light and vision – such as color, dazzle, fire, the double – and the potential meanings and implications of a narrative strategy based on such images. By underlining the persistence, within language itself, of images related to light and vision – such as reflection, clarity, lucidity and illumination –, as well as by examining the work of Reinaldo Arenas as well as of Jorge Luis Borges, this thesis offers a definition of writing as an experience characterized by intensity. The first chapter analyzes how color as a visual phenomenon relates to the emotional realm and to the senses, as well as to their nuances ; following which, it exposes the metaphor of blindness within the experience of reading, as evoked by Borges and Paul de Man, leading to a reflection on writing. The second chapter deals with the notion of dazzle as being, at once, a visual experience, and the very moment of awareness, thus reflecting on the concept of time, and on the understanding of writing, although perceived as linear, as grounded in a temporality similar to that of the poetic image. The third chapter expands on the notion of a relationship between historical time, fictional time, narration, and light, emphasis being placed on the parallel between light intensity and narrative intensity, based on the “igniting” origins of language. Drawing on Gaston Bachelard’s definition of imagination, it discusses the notion of threshold (where ignition leads to destruction) symbolized by the Phoenix, a mythical and literary figure of the transformation of images. Finally, the two-fold conclusion (a double conclusion or two reflecting conclusions) brings together the metaphors related to light that have been discussed in the previous chapters within the perspective of writing as an experience characterized by intensity. Through the metaphor of the double that pervades and informs Arenas’ as well as Borges’ works, the relational and double nature of narration comes to life at the intersection between the character and his doubles (also an effect of vision as a creation of imagination or hallucination), between the author’s expression and the reader’s interpretation, between literature and time. The metaphors related to doubling recurring in Arenas’ work offer a sense of intensification which summons up a vision of writing characterized by intensity. Thus, the connection between poetic thinking and narration is established through a metaphor, as defined by Borges and expanded through Gaston Bachelard’s notion of poetic imagery, and it is grounded in Reinaldo Arenas’ constant play between formal expression and narrative content. Implicit is a double reflection, on literature and time.
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L'écriture comme intensité : la vision métaphorique à travers l'oeuvre de Reinaldo Arenas

Labarias, Eva 04 1900 (has links)
En observant le foisonnement de métaphores de la lumière et de la vision dans l’œuvre de Reinaldo Arenas – l’accentuation de la couleur, l’éblouissement, la brûlure et le dédoublement – cette thèse s’interroge sur la vision de l’écriture formulée dans et à partir de ces images, et sur les implications de cette vision. Constatant à travers cette réflexion l’inscription à même le langage des images de la lumière et de la vision – de la réflexion à la clarté, en passant par l’image et la lucidité – cette thèse délibère, à travers l’œuvre de Reinaldo Arenas et celle de Jorge Luis Borges, sur une définition de l’écriture comme intensité, notion et image empruntées au registre du sensible par le détour de la physique. Le premier chapitre s’intéresse à la couleur comme phénomène de la vision, du sensible, de l’affect et de la nuance, ainsi qu’à la métaphore de la cécité abordée par Borges et par Paul de Man comme phénomène de la lecture, points d’entrée à une réflexion sur l’écriture. Le second chapitre aborde la notion d’éblouissement en tant qu’intensité de la lumière et temporalité de la prise de conscience lucide, définissant ainsi une vision du temps et les affinités entre la temporalité de l’écriture et celle de l’image poétique. Le troisième chapitre, réitérant la question de la relation au temps – historique et narratif –, réaffirme les inflexions du langage en fonction de la lumière, c’est-à-dire la relation entre l’aspect « lumineux » du langage, l’intensité de la lumière et l’intensité de l’écriture (entendue comme écriture littéraire), en explorant le seuil (la destruction par le feu) mis en lumière par l’image du phénix, figure mythique et littéraire de la transformation des images, selon la définition de l’imagination proposée par Gaston Bachelard. Enfin, la double conclusion (une conclusion en deux parties, ou deux conclusions réfléchies l’une dans l’autre), relie les images poétiques de la lumière évoquées et leurs implications en examinant la portée d’une vision de l’écriture comme intensité. Cette idée est élaborée à travers l’image finale du double, figure littéraire constitutive et omniprésente à la fois chez Arenas et chez Borges, image non seulement de la relation entre le personnage et son double (qui relève de l’hallucination ou de l’imagination, images, encore une fois, de la vision), mais aussi de la relation entre l’auteur et le texte, le lecteur et le texte, l’écriture et le temps. La double conclusion vise le dédoublement et redoublement comme figures de l’intensité dans l’écriture. Le lien entre la vision métaphorique et l’écriture comme intensité est donc articulé par la métaphore, telle qu’entendue par Borges, élargie à l’image poétique dans la perspective de Gaston Bachelard ; elle s’appuie sur la vision de la littérature pensée et écrite par Arenas. La réflexion est double : dans le texte et sur le texte, au plan poétique et au plan d’une réflexion sur l’écriture d’Arenas ; sur l’écriture et, implicitement, sur la littérature. / Plunging into the work of Cuban writer Reinaldo Arenas, this thesis examines the connection between Arenas’ exuberant choice of metaphors related to light and vision – such as color, dazzle, fire, the double – and the potential meanings and implications of a narrative strategy based on such images. By underlining the persistence, within language itself, of images related to light and vision – such as reflection, clarity, lucidity and illumination –, as well as by examining the work of Reinaldo Arenas as well as of Jorge Luis Borges, this thesis offers a definition of writing as an experience characterized by intensity. The first chapter analyzes how color as a visual phenomenon relates to the emotional realm and to the senses, as well as to their nuances ; following which, it exposes the metaphor of blindness within the experience of reading, as evoked by Borges and Paul de Man, leading to a reflection on writing. The second chapter deals with the notion of dazzle as being, at once, a visual experience, and the very moment of awareness, thus reflecting on the concept of time, and on the understanding of writing, although perceived as linear, as grounded in a temporality similar to that of the poetic image. The third chapter expands on the notion of a relationship between historical time, fictional time, narration, and light, emphasis being placed on the parallel between light intensity and narrative intensity, based on the “igniting” origins of language. Drawing on Gaston Bachelard’s definition of imagination, it discusses the notion of threshold (where ignition leads to destruction) symbolized by the Phoenix, a mythical and literary figure of the transformation of images. Finally, the two-fold conclusion (a double conclusion or two reflecting conclusions) brings together the metaphors related to light that have been discussed in the previous chapters within the perspective of writing as an experience characterized by intensity. Through the metaphor of the double that pervades and informs Arenas’ as well as Borges’ works, the relational and double nature of narration comes to life at the intersection between the character and his doubles (also an effect of vision as a creation of imagination or hallucination), between the author’s expression and the reader’s interpretation, between literature and time. The metaphors related to doubling recurring in Arenas’ work offer a sense of intensification which summons up a vision of writing characterized by intensity. Thus, the connection between poetic thinking and narration is established through a metaphor, as defined by Borges and expanded through Gaston Bachelard’s notion of poetic imagery, and it is grounded in Reinaldo Arenas’ constant play between formal expression and narrative content. Implicit is a double reflection, on literature and time.
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Reinaldo Arenas: encarceramento no mundo, voz no exílio

Olivio, Mariana Peters [UNESP] 26 February 2009 (has links) (PDF)
Made available in DSpace on 2014-06-11T19:29:49Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2009-02-26Bitstream added on 2014-06-13T19:18:25Z : No. of bitstreams: 1 olivio_mp_me_sjrp.pdf: 538365 bytes, checksum: 1dd2bf23f7e11204b3b407a602c72522 (MD5) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / A autobiografia do escritor cubano Reinaldo Arenas, intitulada Antes que Anoiteça (Antes que Anochezca, 2006), é o objeto de estudo deste trabalho que tem como objetivo analisar como se processa a representação do sentimento de encarceramento, experimentado pelo autor diante do contexto sócio-político do regime socialista de Fidel Castro em Cuba, no foco narrativo desta obra e de sua adaptação cinematográfica (Antes do Anoitecer – Before Night Falls, 2000) pelo diretor americano Julian Schabel. O contexto do século XX, chamado por Márcio Seligmann-Silva como a “Era das Catástrofes” (2003) por ter sido palco de guerras, revoluções e genocídios, demonstra a necessidade de um conceito de história, baseada na memória e não no progresso linear da história oficial. A obra autobiográfica de Arenas, se entendida como um testemunho dos eventos históricos que tiveram lugar em Cuba a partir da implantação do regime pós-Revolução de 1959, servirá como base para um novo olhar sobre a história de Cuba, na medida em que será capaz de revelar acontecimentos que não foram registrados pela história oficial. / The object of this study is Cuban writer Reinaldo Arenas’ autobiography, entitled Antes que Anoiteça, 1994 (Antes que Anochezca, 2006), and its aim is to analyze how this book represents the sense of imprisonment, experienced by the author because of the sociopolitical context of Fidel Castro’s socialist system in Cuba. Such aspect is investigated in the narrative focus of both the book and its film adaptation (Antes do Anoitecer - Before Night Falls, 2000) by American director Julian Schnabel. The twentieth century context, called the “Era of Disaster” by Márcio Seligmann-Silva (2003), due to its having been the scene of wars, revolutions and genocides, suggests the need for a concept of history based on memory and not on official history linear progress. Arenas’ autobiographical work, if seen as a testimony of the historical events which took place in Cuba during the regime established after 1959 Revolution, will serve as the basis for a new look at Cuban history, since it may disclose events which were not reported by official history.
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Dos ilustraciones del neobarroco hispanoamericano en la novela : El mundo alucinante (1969) y Pantaleon y las visitadoras (1973)

García Sánchez, Franklin. 20 April 2024 (has links)
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