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Pax terra mariqve : rhetorics of Roman victory, 50B.C.- A.D.14Cornwell, Hannah Elizabeth January 2013 (has links)
This thesis focuses on a short period of time between 50 B.C. to A.D. 14, which is marked by the increased prominence of pax as a central concept within the victory rhetoric of the period. The period is one of immense political and social upheaval and change that was to dictate the power structures of the Roman world, and one of the ways in which this change was conceptualised was through the language of peace. In this thesis I examine pax as a concept within the Roman empire and as part of an discourse on the nature of Roman imperialism. This examination considers not just the development of pax as a concept over time, but also how it was variously conceptualised and presented to different audiences and in different locations. This focuses the examination of pax on understanding what the term as an expression of Rome’s imperium meant to various peoples within the Roman empire, how it was expressed and for what reasons. As David Mattingly has recently emphasised the nature of Roman imperialism changed radically over time (‘Imperialism, Power, and Identity: Experiencing the Roman Empire’ (2011)). This study of the different rhetorics of peace offers new insight into this changing nature. Beyond the specific examination of pax as a part of imperial discourse within the late Republic and early Principate, this study raises questions about the way we think about concepts in the ancient world. Rather than talking about a single development or evolution over time, we should rather consider concepts as constantly active and changing in time. Our view of the ancient world and the way in which it was conceptualised should not be a static one, but one where the meaning and value of words give us insights into how individuals and communities expressed and explained changing social and political conditions.
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Le récit de bataille. Coripp. Ioh. 5*,49-396 [5,1-348 Petsch.]. Commentaire, traduction et texte latin / Battle's report : coripp. Ioh. 5*,49-396 [=5,1-348 Petsch.]. Introduction, text, translation and commentaryCaramico, Giulia 16 April 2010 (has links)
Cette thèse se propose d'offrir un commentaire linguistique, philologique, rhétorique des vers 49-396 [ = 1-348 Petsch.] du livre V, qui est le livre de la bataille d’Antonia Castra, et une analyse de l'œuvre, qui montre in primis son importance littéraire. Le cœur de ma thèse est l'édition du texte latin présenté selon une nouvelle numérotation et avec quelques différences par rapport au texte de Diggle-Goodyear (Cambridge 1970). Une importante découverte philologique nous a permis d'établir le véritable incipit du livre V de la Iohannis, jusqu’à présent reconnu traditionnellement dans en un endroit déterminé par une conjecture de G. Loewe, accueillie par l'édition Petschenig et après Diggle-Goodyear. Dans une riche introduction divisée en deux sections et qui précède le commentaire, on parle de la tradition du texte et on encadre historiquement l'activité du poète. Après, nous décrivons les formes d'écriture épique du livre V de la Iohannis, livre par excellence de la Bataille, entre histoire et clichés littéraires (furor bellicus comme Erinys, cohortationes des généraux aristiai, similitudes conduisent à la même idée de guerre sainte, dans une lignée héroïque et mythologique). / Subject of this thesis is the commentary to Coripp. Ioh 5*,49-396 [=5,1-348 Petsch.], that is the description of Antonia Castra’s battle. My intention is to offer a study on Corippus’ work, where first is clear its literary importance. The heart of my thesis is the edition of the Latin text that is based on a new numbering of the verses and with some differences compared with the Diggle-Goodyear’s edition (Cambridge 1970). A very important philological discovery has allowed us to establish the real beginning of Iohannis’ book V, traditionally recognized until Diggle-Goodyear in a point determined by a G. Loewe's conjecture. In a rich introduction, divided into two sections and which precedes the commentary, we talk about the tradition of the Iohannis, through the Trivultianus 686, the only surviving manuscript, and we introduce the poet's historical background. After that, we describe the epic shapes of the book V, the very book of the Battle, between concrete history and literary stereotypes (furor bellicus like Erinys, generals’ cohortationes, aristiai, similies lead us to the same idea of “crusade” ante litteram, following an heroic and mythologic line).
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Montesquieu et le monde romain : étude politique et morale / Montesquieu and the Roman world : a political and ethical studyJebahi, Nejia 28 February 2019 (has links)
Au cours de sa longue histoire, Rome a soumis de nombreux peuples et augmenté singulièrement la taille de son territoire au point de devenir le centre de gravité de tout l’univers antique. L’essor extraordinaire de cette cité a toujours intrigué les penseurs. Rien d’étonnant dès lors si Montesquieu, philosophe français des Lumières, a étudié à son tour le monde romain et son développement dans un grand nombre de ses ouvrages. Afin de faire comprendre les raisons de la grandeur des Romains ainsi que de leur décadence, Montesquieu a examiné l’évolution de la politique et de la morale romaines depuis la fondation de l’Vrbs jusqu’à sa chute. L’auteur analyse attentivement les institutions civiles et militaires romaines afin de déterminer leur excellence – sans oublier de signaler leurs limites. Dans sa démarche sociologique et critique, cet écrivain s’appuie sur une riche documentation livresque qui révèle la grande influence de Machiavel et de Bossuet. Néanmoins, de son œuvre se dégage un point de vue novateur qui ouvre la voie à des champs d’investigation inédits. / During its long history, Rome has subjugated numerous peoples. Its territory increased so much that it became the center of gravity of the whole antique world. The extraordinary expansion of that city has therefore always surprised the thinkers. Understandably Montesquieu, a French philosopher of the Age of Enlightenment, has himself studied the Roman world and its development in a number of his works. In order to explain the reasons behind the magnificence and the decadence of the Romans, Montesquieu examined the evolution of Roman politics and ethics from the foundation of the Vrbs until to its decline. The author carefully analyses the Roman civil and military institutions in order to establish their excellence and even to point out their limits. In his sociological and critical approach, this writer uses a rich literature that reveals the influence of Machiavel and Bossuet. Nevertheless from his work emerges an innovative standpoint that opens up for original fields of investigation.
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Penser le corps social en situation à Rome et dans le monde romain : perceptions et représentations de l'atteinte physique du 1er siècle avant notre ère au IVe siècle de notre ère / "Conceiving the social body position in Rome and in the Roman world : perceptions and representations of the physical damage from the first century BC to the fourth century AD"Husquin, Caroline 03 December 2016 (has links)
« Penser le corps social en situation à Rome et dans le monde romain : perceptions et représentations de l’atteinte physique du Ier siècle avant notre ère au IVe siècle de notre ère » est une thématique de recherche qui s’inscrit pleinement dans un champ historiographique développé outre-Atlantique, mais également en France, depuis les années 1970-1980 : celui des disability studies (selon les propos tenus par F. Collard dans son avant-propos de l’ouvrage Handicaps et sociétés dans l'histoire : L'estropié, l'aveugle et le paralytique de l'Antiquité aux temps modernes, F. Collard [dir.], l'Harmattan, Paris, 2010, p. 5-8.), qui ont surtout regardé vers l’époque contemporaine sans pour autant négliger les périodes antérieures. Le but d’un tel projet est de rassembler et d’interpréter les vestiges du passé, qui permettent d’ouvrir des perspectives plus larges sur la compréhension des sociétés anciennes, en vue de cerner à la fois les aspects physiques du handicap et ses perceptions sociales et culturelles. Si la présence du handicap dans l’histoire peut sembler un invariant, il n’en est pas de même de sa perception. Si l’on se penche sur le corpus de sources qui permettent d’aborder une telle question, on remarque très vite qu’en dehors des restes osseux, que seul le regard d’un spécialiste de paléopathologie peut faire parler, l’historien est confronté à une subjectivité qu’il doit prendre en compte pour traiter un tel sujet. Et c’est là, pour une fois, tout leur intérêt car c’est bien d’elle qu’il s’agit : saisir cette subjectivité permet de rendre la perception du handicap et des êtres qui en sont atteints au sein d’une société donnée. Le regard de l’autre est l’élément qui conditionne l’existence d’un individu à Rome, sa capacité à être pleinement un homme, notamment pour un citoyen romain, de sa naissance à sa mort. Dès lors, la répugnance de la société romaine pour les atteintes au corps, et donc la perception de ceux qui en sont victimes, semblent être la condition de l’inclusion ou de l’exclusion des citoyens dans le corps social. Cette importance de la perception et du regard de l’autre dans la définition d’un corps social apte à exercer pleinement ses fonctions est, d’ailleurs, bien visible à différentes échelles ; par exemple, en considérant la place fondamentale dans la vie publique qui est accordée à l’éloquence et à la rhétorique. Si l’on se réfère à de grandes figures telles que Cicéron, Fronton ou Quintilien, la gestuelle, la voix et la capacité à en user constituent des éléments tout à fait primordiaux de l’exercice du « métier de citoyen » à Rome tel qu’il a été défini par Claude Nicolet (Le métier de citoyen dans la Rome républicaine, Gallimard, Paris, 1976). Ceci n’est pas sans incidences, car « l’œil du spectateur » n’est pas, à Rome et dans les cités de l’Empire, un simple vecteur de préjugés mais peut donner lieu à des définitions juridiques comme celle du « monstre », avec des répercussions politiques, sociales et religieuses. Le but de notre thèse est de montrer comment ce projet, à partir d’un large dépouillement des sources littéraires et de la documentation archéologique, épigraphique, juridique…, associe à la fois approche historique et démarche anthropologique afin d’étudier les perceptions et représentations des êtres infirmes à Rome et les évolutions de celles-ci ; le but étant à terme de pouvoir dépeindre comment furent considérées et assistées les personnes physiquement atteintes, à Rome et dans le monde romain, au travers de problématiques qui, pour certaines, sont toujours d’une saisissante actualité dans nos sociétés contemporaines. / "Conceiving the social body position in Rome and in the Roman world: perceptions and representations of the physical damage from the first century BC to the fourth century AD" is a research topic that fully lies within the scope of a historiographical field that has been developed overseas but also in France since the 1970-1980’s: the field of disability studies (according to the words of F. Collard in his foreword to the book Handicaps et sociétés dans l'histoire : L'estropié, l'aveugle et le paralytique de l'Antiquité aux temps modernes, F. Collard [ed.], L'Harmattan, Paris, 2010, p. 5-8.), which especially concentrated on contemporary times, without however neglecting prior periods. The purpose of such a project is to collect and interpret the remains of the past that open broader perspectives on the understanding of ancient societies, in order to identify both the physical aspects of disability and its social and cultural perceptions. The presence of disability in history may seem invariant, but its perception does not. If one looks at the corpus of sources that allow adressing such a question, one quickly notes that outside of the bone remains that only a specialist in paleopathology can analyze, the historian is confronted with a subjectivity that must be considered in order to study such a subject. And this is where lies the heart of the matter: seizing this subjectivity allows us to highlight the perception of disability and of those being affected by it in a given society. The gaze of the other is the element that determines the existence of an individual in Rome, its ability to be fully a man, especially for a Roman citizen, from his birth to his death. Consequently, the reluctance of the Roman society to consider the violations of the body, and therefore the perception of those who are its victims, appears to be the condition for the inclusion or exclusion of citizens in the society. The importance of the perception and the gaze of others in the definition of a social body fully able to exercise its functions is, however, clearly visible at different scales; for example, relating to the fundamental function in public life given to eloquence and rhetoric. If one refers to great figures such as Cicero, Quintilian and Fronton, gestures, voice and the ability to use it are essential factors to exercise the "craft of citizenship" in Rome as defined by Claude Nicolet (The World of the Citizen in Republican Rome, University of California Press, Berkeley, 1980). This is not without consequences, because "the eye of the beholder" is not, in Rome and in the cities of the Empire, a simple vector of prejudice, but may result in legal definitions such as the "monster", with political, social and religious repercussions. The aim of our thesis is to show how this project, using a wide assessment of literary sources and archaeological, epigraphic, legal documentation, combines both a historical and an anthropological approach to study the perceptions and representations of disabled beings in Rome, and their evolution. The aim is to be able eventually to portray how people physically affected were considered in Rome and in the Roman world, through issues that, for some at least, are still strikingly relevant in our contemporary societies.
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Espace et pouvoir dans l'Ab Vrbe Condita de Tite-Live : représentation de l'espace dans le récit de la conquête romaine / Space and power in Livy's Ab urbe condita : representation of space in the narrative of Roman conquestMiquel, Marine 11 December 2017 (has links)
S'il est établi que les historiens romains effectuent un travail important de sélection et de mise en forme de leurs sources, les descriptions et mentions géographiques font encore l'objet d'un regard hypercritique. Tite-Live se voit ainsi reprocher son incompétence ou sa négligence en la matière. Nous montrons qu'une telle conception méconnaît les conditions et les motivations qui président à l'écriture de l'histoire dans l'Antiquité. Pour comprendre les enjeux de la représentation livienne de l'espace, il faut nous abstraire d'une conception strictement géographique et topographique qui conduit, sur le plan des études narratives, à n'envisager l'espace que comme un arrière-plan. Nous mettons en évidence, dans une Ière partie,que la représentation de l'espace livien relève d'un travail de composition à partir des traditions annalistique et antiquaire, des histoires d'Alexandre, d'intertextes poétiques mais aussi d'un horizon d'attente construit autour de l'irruption, au coeur même de Rome, d'images liées à la conquête romaine. La représentation de l'espace obéit alors à différents enjeux, chacun attaché à des formes particulières et à des moments-clé qui permettent d'établir une typologie des représentations de l'espace dans l'oeuvre. Dans notre IIème partie, nous montrons que le passage, au sein d'un même épisode, d'un type d'espace à un autre et le recours à des épisodes récurrents permettent d'établir un discours sur la conquête et sur l'empire. Notre IIIème partie souligne que l'Ab Vrbe condita, en articulant espaces et peuples conquis autour de l'Vrbs, ne relève pas que d'une vision « nationaliste » mais propose des éclats d'histoire universelle pour interroger le pouvoir romain et sa pérennité. / While it is now aknowledged that Roman historians choose and shape theirsources, geographical descriptions and notes are still blamed. Livy is thus criticized for his lack of knowledge or neglect of geographical matter. We show that such a conception doesn't understand the writing of ancient history's conditions and motives.To understand well the purposes of the livian representation of space, we have to cut ourselves off from a strictly geographical and topographical conception and, on thenarrative level, from a vision of space as a single background. In our first part, we evidence that Livian representation of space is the result of a work of composition from annalistic and antiquarian traditions, Alexander's histories, poetic intertexts and the ''horizon d'attente'' which is built with the coming of images from the Roman conquest within the city of Rome. Representation of space has different purposes that are linked to different goals and various forms or key moment in the work'sarrangement, so that we can establish a typology. In our second part, we underlinethat the shift from a spatial type to another and the use of a specific terminologyleave to establish a discourse on Roman conquest and empire. Our third part showsthat the Ab Vrbe condita is not only a ''national'' work but also offers parts of universal history to question Roman power and its empire.
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Martin Avenarius, Cosima Möller (Hrsg.), Okko Behrends, Zur römischen Verfassung. Ausgewählte Schriften: Buchbesprechungen AltertumLundgreen, Christoph 14 July 2020 (has links)
Nachdem 2004 bereits unter dem Obertitel „Institut und Prinzip“ eine über eintausend Seiten starke Auswahl der Schriften von Okko Behrends zum römischen Privatrecht erschienen ist, folgt nun anlässlich des 75. Geburtstages des Göttinger Emeritus für Römisches Recht, Bürgerliches Recht und Neuere Privatrechtsgeschichte eine Auswahl seiner Aufsätze zur römischen Verfassung. Insgesamt neun Aufsätze, mit teils fast monographischer Länge, erwarten den Leser, der sicher nicht immer alles sofort nachvollziehen, aber vielfach angeregt und durch die Lektüre stets bereichert
wird.
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Comparing Ancient History Textbooks of Imperial Germany and the Weimar RepublicBunge, Hans-Henning 07 December 2007 (has links)
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Geography and the Construction of Character in Sallust’s JugurthaRyan, John Joseph 21 April 2009 (has links)
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Cassius Dio, human nature and the late Roman RepublicRees, William J. January 2011 (has links)
This thesis builds on recent scholarship on Dio’s φύσις model to argue that Dio’s view of the fall of the Republic can be explained in terms of his interest in the relationship between human nature and political constitution. Chapter One examines Dio’s thinking on Classical debates surrounding the issue of φύσις and is dedicated to a detailed discussion of the terms that are important to Dio’s understanding of Republican political life. The second chapter examines the relationship between φύσις and Roman theories of moral decline in the late Republic. Chapter Three examines the influence of Thucydides on Dio. Chapter Four examines Dio’s reliance on Classical theories of democracy and monarchy. These four chapters, grouped into two sections, show how he explains the downfall of the Republic in the face of human ambition. Section Three will be the first of two case studies, exploring the life of Cicero, one of the main protagonists in Dio’s history of the late Republic. In Chapter Five, I examine Dio’s account of Cicero’s career up to the civil war between Pompey and Caesar. Chapter Six explores Cicero’s role in politics in the immediate aftermath of Caesar’s death, first examining the amnesty speech and then the debate between Cicero and Calenus. Chapter Seven examines the dialogue between Cicero and Philiscus, found in Book 38. In Section Four is my other case study, Caesar. Chapter Eight discusses Caesar as a Republican politician. In Chapter Nine, I examine Dio’s version of the mutiny at Vesontio and Caesar’s speech. Chapter Ten examines Dio’s portrayal of Caesar after he becomes dictator and the speech he delivers to the senate. The Epilogue ties together the main conclusions of the thesis and examines how the ideas explored by Dio in his explanation of the fall of the Republic are resolved in his portrait of the reign of Augustus.
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A historical and historiographical commentary on Cassius Dio's Roman History book 57.1-17.8Mallan, Christopher Thomas January 2015 (has links)
This thesis is a historical and historiographical commentary on Book 57 (Chs. 1-17.8) of Cassius Dio's Roman History. It comprises two sections, an Introduction followed by the Commentary itself. The introduction is sub-divided into three chapters. The first of these introductory chapters (The Roman Historian at Work) presents a discussion of the historical material available for Dio's Tiberian narrative, and a discussion of the factors which were instrumental in Dio's writing and shaping his narrative of the reign of Tiberius. The second chapter (Dio on Tiberius) is an analysis of Dio's portrayal of Tiberius and of the historian’s understanding of Tiberius in the historical context of the early Principate. These chapters are followed by some brief Notes on the Text of Book 57, which considers the manuscript tradition of Book 57, and comments on portrayal of the reign of Tiberius in the Dionian tradition, and in particular the Excerpta Constantiniana, Xiphilinus, and Zonaras. The second part of the thesis, the commentary, presents an analysis of Dio's narrative from both historical and historiographical perspectives.
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