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Tempus och transitivitet i dövas andraspråk /Wennerberg, Jeanna January 2004 (has links)
Thèse Stockholm : Univ., 2004. / Résumé en anglais.
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L'approche communicative dans l'enseignement du français langue seconde et la francophone plurielle : quelle langue enseigner? /Guidigbi, Michel. January 2006 (has links)
Thèse (M.A.)--York University, 2006. / Comprend des réf. bibliogr.: f. 158-169.
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Élaboration d'un programme relatif à l'enseignement du français langue seconde /Harvey, Ginette, Fradette, Suzanne, January 1987 (has links)
Mémoire (M.Ed.) -- Université du Québec à Chicoutimi, 1987. / Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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Étude du transfert des apprentissages en techniques de bureautique le cas de l'anglais langue seconde.Chouinard, Georges. January 2002 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2002. / Titre de l'écran-titre (visionné le 30 août 2006). Publié aussi en version papier.
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A theory of second language acquisition within the framework of natural phonology : a Polish-English contrastive study /Dziubalska-Kołaczyk, Katarzyna, January 1990 (has links)
Texte remanié de: Diss. Ph. D.--English--Poznań--Adam Mickiewicz University, 1988. / Bibliogr. p. 72-79.
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Universalgrammatik und gesteuerter Zweitsprachenerwerb /Haas, Birgit, January 1993 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Universität zu Köln, 1992.
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L'assignation du genre grammatical en français langue seconde : transfert ou terminaisons des noms?Gareau, Frédéric January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire traite de l'assignation du genre grammatical, élément particulièrement difficile à maîtriser par les apprenants du français langue seconde. II vise à déterminer si le transfert de la langue première (LI) est un facteur majeur (transfert positif ou négatif) pour cette question et à comparer cette stratégie potentielle à celle du recours aux terminaisons des noms. Plus spécifiquement, une comparaison a été faite entre les résultats d'assignation du genre pour une variété de substantifs français par des hispanophones et des sinophones (mandarin) apprenant le français. Une telle étude est d'un grand intérêt puisque l'espagnol possède deux genres, comme en français, mais distribués différemment, alors que le mandarin n'a pas de genre. Les participants étaient tous des adultes. Leur niveau de connaissance du vocabulaire de nos tests a été mesuré et il a déterminé, entre autres, le classement des participants. Il a ensuite été pris en considération lors de l'analyse des résultats. D'autres variables ont été observées (par ex. : l'influence du sexe des participants sur l'assignation du genre grammatical). Pour répondre à nos questions de recherche, les participants (60) ont été conviés à passer deux tests individuels, présentés sur support informatique: un de reconnaissance des noms et un d'assignation du genre grammatical. Les principales questions de recherche étaient de savoir quel serait le groupe qui obtiendrait les meilleurs résultats au test d'assignation du genre grammatical et concernaient le transfert et les terminaisons des noms. Les deux groupes linguistiques ont obtenu des scores globaux d'assignation du genre similaires, mais avec des résultats distribués très différemment. Nous avons confirmé nos hypothèses principales: les hispanophones ont obtenu des résultats reflétant systématiquement un transfert de leur LI, et ce, surtout lorsque les noms observés étaient congénères avec leurs homologues en espagnol. Si les congénères étaient du même genre, l'assignation correcte était de 96,0 %, donc un effet de transfert positif très évident. Par contre, si les congénères étaient d'un genre différent, l'assignation correcte du genre français était de 33,7 %, donc un effet évident de transfert négatif (un haut taux d'erreurs). Pour les sinophones, les résultats ont coïncidé avec une attribution du genre masculin lorsque les noms français ne possédaient pas de -e muet final et du genre féminin lorsque les noms français possédaient un -e muet final. Nous en avons conclu des retombées pédagogiques qui favorisent un enseignement différent du genre grammatical selon le groupe linguistique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Acquisition, Chinois, Congénères, Didactique, Espagnol, Français, Genre grammatical, Langue seconde, Lexique, Linguistique, Terminaisons, Transfert.
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Observation des pratiques pédagogiques qui facilitent la négociation du sens dans les classes de langue secondeZuniga, Michael January 2008 (has links) (PDF)
La recherche dans le domaine de l'interactionnisme démontre que la négociation du sens est une forme de discours propice à l'acquisition d'une langue seconde. Depuis le début des années 1980, plusieurs études portant sur les tâches (e.g. Anton, 1999; Doughty & Pica, 1996; Duff, 1985; Gass & Varonis, 1985; Gass, Mackey & Ross-Feldman, 2005) ont révélé que les tâches et les pratiques pédagogiques qui facilitent la négociation du sens sont celles où il y a un échange d'informations requis. Cependant, jusqu'à aujourd'hui, très peu d'études ont examiné l'intégration des ces pratiques dans le milieu scolaire. Le présent mémoire se veut une étude exploratoire qualitative des pratiques pédagogiques favorables à la négociation du sens. Pour ce faire, nous avons construit un instrument de mesure, soit une grille d'observation, avec des catégories dérivées de la recension des écrits interactionnistes sur la négociation du sens et les pratiques pédagogiques qui la promeuvent. Nous avons ensuite mis en pratique cette grille afin d'observer empiriquement les classes d'enseignement de langues secondes. Nous avons observé 64 heures de temps d'enseignement partagées entre 8 enseignants en anglais langue seconde et en français langue seconde. Nos résultats démontrent que les enseignants ont consacré 6,6 % de leur enseignement aux tâches considérées comme les plus propices à la négociation du sens. Par contre, ils ont accordé près de la moitié (47,0 %) de leur enseignement à des tâches considérées comme modérément favorables à la négociation du sens. Environ la même proportion (46,4 %) de temps a été consacrée aux tâches générant très peu ou aucune négociation. Nous avons trouvé des différences mineures entre les groupes selon la langue d'enseignement: dans les classes d'anglais, les tâches sont plus interactives. Les résultats obtenus par notre étude suggèrent la nécessité d'intégrer davantage de tâches interactives dans les classes de langue seconde, étant donné l'effet positif cité dans les recherches en acquisition d'une langue seconde. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Acquisition des langues secondes, Négociation du sens, Entrant, Input, Output, Tâches pédagogiques, Pratiques pédagogiques, Interaction, Interactionnisme, Observation en salle de classe.
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Étude de la relation entre la compétence en langue seconde et la réussite à des tâches langagièresGauthier, Mélanie January 2009 (has links) (PDF)
Plusieurs recherches (p.ex., Anderson, Clapham et Steel, 1997; EIder et Manwaring, 2004; Renou, 2001) se sont intéressées à la relation entre la compétence en langue seconde (désormais L2) et la réussite à des tâches considérées par ces auteurs comme étant métalinguistiques chez des apprenants adultes de L2, mais une seule de ces études (Renou, 2001) a tenu compte de la demande cognitive de la tâche, c'est-à-dire des niveaux d'analyse des connaissances linguistiques et de contrôle des traitements langagiers requis par la tâche à effectuer. L'objectif de cette étude était donc de reprendre l'étude de Renou (2001) en modifiant certains aspects de la tâche expérimentale utilisée dans l'étude source (Renou, 2001) que nous croyons problématiques telles l'interdépendance entre les résuItats et la disparité des éléments langagiers examinés. La question de recherche à laquelle nous avons tenté de répondre était la suivante: y a-t-il une relation entre la compétence en L2 et la réussite à des tâches langagières exigeant différents niveaux d'analyse des connaissances linguistiques et de contrôle des traitements langagiers? Afin, de répondre à cette question, nous avons mené une étude corrélationnelle dans laquelle les vingt-huit participants (n=28), des étudiants inscrits à un cours de français L2 de niveau intermédiaire avancé dans un cégep anglophone, ont été soumis à deux instruments de mesure. Le premier était constitué d'une tâche de jugement de grammaticalité et d'une tâche de correction de l'erreur. Le deuxième était constitué du test de compétence en français L2 de l'Université d'Ottawa. Les résultats de celle étude vont dans le même sens que ceux obtenus par Renou (2001) et indiquent que la réussite à la tâche de correction de l'erreur est significativement corrélée à la compétence en L2. Par ailleurs, les résultats indiquent que la tâche de jugement de grammaticalité a été significativement mieux réussie que la tâche de correction de l'erreur appuyant ainsi le modèle de Bialystok (2001 a, 2001 b) selon lequel la tâche de jugement de grammaticalité et la tâche de correction de l'erreur requièrent différents niveaux d'analyse des connaissances linguistiques et de contrôle des traitements langagiers. Les résultats obtenus nous donnent des indications quant à la relation entre la compétence en L2 et la réussite à des tâches langagières exigeant différents niveaux d'analyse des connaissances linguistiques et de contrôle des traitements langagiers. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Acquisition du français langue seconde, Tâche métalinguistique, Compétence en langue seconde.
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Existe-t-il un lien entre les activités et les contacts hors classe et le niveau de compréhension pragmatique chez les apprenants adultes allophones de français langue secondeBilodeau, Ariane January 2009 (has links) (PDF)
Nous avons, dans le cadre de cette étude, vérifié si les activités et les contacts hors classe sont en lien avec la compréhension écrite d'énoncés liés, reflet du niveau de compétence pragmatique en enseignement des langues secondes, et ce, chez des apprenantst adultes allophones de français L2. Pour répondre à notre question de recherche « Y a-t-il un lien entre les activités et les contacts hors classe et le niveau de compréhension des énoncés liés, reflet de la compétence pragmatique, chez les apprenants adultes allophones en français L2? Si oui, quelle est la nature de ce lien?», nous proposons l'hypothèse suivante: «Les activités et les contacts hors classe réalisés par les apprenants adultes allophones de français L2 sont corrélés avec le niveau de compréhension d'énoncés liés.» Cette étude empirique quantitative ne comporte qu'un seul moment de mesure où les participants sont soumis aux mêmes conditions expérimentales. Les participants représentent des apprenants adultes hispanophones de français L2 de niveau avancé. Nous avons recours à deux instruments de mesure. Un premier consiste en un questionnaire écrit servant à recueillir des informations sur les activités et les contacts hors classe des participants, traduction d'un questionnaire utilisé par, entre autres, Freed, Dewey et Segalowitz en 2004, modifié pour les besoins spécifiques de cette étude, et comportant 21 questions, la plupart constituées sur une échelle de Likert. Le deuxième s'inscrit comme une tâche de compréhension pragmatique composée de 20 énoncés liés ayant la forme du Vocabulary Knowledge Scale, employé par Bardovi-Harlig en 2007. Après quelques modifications, nous en sommes arrivée à quatre (4) niveaux distincts de compréhension. Nous avons saisi les données obtenues au questionnaire écrit sur les activités et les contacts hors classe et celles de la tâche de compréhension pragmatique au moyen d'un chiffrier électronique de type Excel et nous les avons par la suite soumises à des analyses statistiques descriptives et inférencielles. Les résultats montrent que les activités et les contacts hors classe ne sont pas corrélés avec le niveau de compréhension pragmatique, confirmant les conclusions de certaines études (p. ex., Freed et Segalowitz, 2004; Taguchi, 2008). La discussion des résultats et les limites de cette recherche alimentent les idées pour de futures études qui pourraient se consacrer à vérifier les liens qui existent entre les activités et les contacts en L2 et le niveau de développement de la compétence pragmatique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Français L2, Compétence pragmatique, Activités et contacts hors classe.
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