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L'émergence des "intellectuels intermédiaires" en Iran dans le prolongement de la révolution islamique de 1979 / The coming out in Iran of the '' intermediary intellectuals '' in continuation of the Islamic revolution of 1979

Mousavi, Monika 27 June 2018 (has links)
Cette recherche se donne pour objet d’étudier une théorie récente, très discutée à l’heure actuelle, à savoir l’émergence des ‘‘ intellectuels intermédiaires ‘’ dont la finalité était un encouragement à la démocratie en Iran à partir des années 1990 jusqu’à nos jours. Ce courant d’idées, même s’il n’a jamais été perçu comme parfaitement structuré, comporte des spécificités concrètes qui la distingue des générations d’intellectuels précédentes, de sorte qu‘on pourrait dire que cette nouvelle génération de par ses idées, réflexions et par son engagement social, pose les bases d’une refondation de la notion et de l’identité de l’intellectuel en Iran. Il en émerge alors une nouvelle substance de l’intellectualité qui engendre, au fur et à mesure de son évolution, un passage des intellectuels classiques et ambitieux (« d’avant-garde ») aux intellectuels intermédiaires.La première partie de cette étude s’articulera autour de l’analyse et de la présentation du discours des quatre générations d’intellectuels, du contexte de leur apparition en Iran, et tout particulièrement de celle des intellectuels intermédiaires. Ensuite, nous aborderons les différents aspects et les nombreux facteurs qui ont permis la naissance de ce mouvement avec une attention tout d’abord pour les facteurs externes ; l’influence de l’environnement international et des différents écoles de la pensée, l’apparition de nouveaux discours sur la modernité puis sur la postmodernité, , l’accélération de la diffusion de leurs idées à travers l’usage d’internet et des réseaux sociaux (qui tissent et renforcent les liens entre les différentes forces sociales). Puis dans un second temps nous nous intéresserons aux facteurs internes; l’épreuve de bouleversements politiques choquants, entrainant un regard plus critique que les discours précédant et la mise en avant de valeurs démocratiques depuis les mouvements réformistes apparus pendant les années 1996 et 1997. Ces changements sociopolitiques sont pour beaucoup dans l’affaiblissement du courant des « intellectuels religieux ».La deuxième partie de cette étude portera sur les trois axes, autour desquels les intellectuels, au cours de l’histoire des idées en Iran, ont conçu les interactions sociales : Occident, état, et religion. Ils s’efforceront tout le long de l’histoire iranienne de répondre à des questions ayant trait à ces trois thèmes. Les réponses des intellectuels intermédiaires ont rencontrés beaucoup de succès en proposant des réponses à de réelles inquiétudes sociales. En effet, ils ont réussi à schématiser des plans d’action pour atteindre leurs objectifs et à mettre en relief une dimension plus pragmatique de la société iranienne contemporaine. On n’a pas souvent pu en dire autant pour les générations précédentes d’intellectuels.Le but principal de cette recherche est d’étudier comment ces intellectuels intermédiaires fondent leurs convictions et leurs actions, avec en toile de fond une marche déterminée vers la démocratie. La démarche de ces intellectuels est marquée par cet engagement pour la démocratie, et la coexistence des différents courants d’idées dans la société iranienne. Pour ces intellectuels toutes réflexions ou action doit prendre en compte le caractère indissociable des notions de démocratie, d’occident et de religion au sein d’une sphère politique ou l’état possède tous les attributs de la souveraineté. D’ailleurs leur orientations se conforment à la plupart des principes démocratiques; la tolérance, la liberté de pensée, la liberté d’expression et le pluralisme, le sécularisme, la souveraineté du peuple, le droit de citoyenneté, le dialogue entre tous les force sociales, une société libre et sans censure. Ce contexte sera abordé au cours de la dernière partie de la recherche. / The aim of this research is to study a recent theory, much discussed at present, namely the emergence of "intermediary intellectuals" whose purpose was to encourage democracy in Iran from the 1990s to the present. 'nowadays. This stream of ideas, even though it has never been perceived as perfectly structured, has concrete specificities that distinguish it from previous generations of intellectuals, so that one could say that this new generation by its ideas, reflections and by its social commitment, lays the groundwork for a refoundation of the notion and identity of ‘the intellectual’ in Iran. Eventually, a new form of intellectuality emerges that gradually witnesses the creation of an evolution in itself which is a transition from classical and ambitious ("avant-garde") intellectualism to the intermediary intellectualism. The first part of this study will articulate the presentation as well as the analysis of the discourse of four generations of intellectuals, the context of their appearance in Iran, and especially that of the intermediary intellectuals. Then we will discuss the different aspects and the many factors that led to the birth of this movement with the main focus laid on external factors; these factors include the influence of international environment and different schools of thought, the appearance of new discourses on modernity followed by postmodernity, the acceleration of the diffusion of their ideas through the use of the Internet and social networks (which weave and reinforce the links between the different social forces). This part will be followed by a focus on internal factors such as shocking political upheavals, leading to a more critical perspective and the promotion of democratic values since the reformist movements that appeared during the years 1996 and 1997. One of the reasons for these socio-political changes is the weakening of the notion of "Religious intellectualism" which is happening along the mentioned changes. The second part of this study will focus on the three axes around which intellectuals, during the history of ideas in Iran, have conceived social interactions: the West, the state, and religion. They will strive throughout Iranian history to answer questions related to these three themes. Intermediary intellectuals' responses have been very successful in providing answers to real social concerns. Indeed, they have succeeded in schematizing action plans to achieve their goals and highlighting a more pragmatic dimension of contemporary Iranian society. It has not often been said so for previous generations of intellectuals. The main purpose of this research is to study how these intermediary intellectuals base their convictions and actions, against the backdrop of a determined march towards democracy. The approach of these intellectuals is marked by this commitment to democracy and the coexistence of different currents of ideas in Iranian society. For these intellectuals all reflections or actions must be taken in light of the inevitable essence of the notion of democracy, the West and religion within a political sphere where the state has all the attributes of sovereignty. Moreover, their orientations conform to most democratic principles, such as tolerance, freedom of thought, freedom of expression and pluralism, secularism, the sovereignty of the people, the right of citizenship, dialogue among all social forces, and a free and uncensored society. This context will be addressed during the last part of the research.
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La société coopérative européenne (SCE) : entre identité coopérative et efficacité économique / The European Cooperative Society (SCE) : between cooperative identity and economic efficiency

Barsan, Iris M. 07 December 2013 (has links)
La société coopérative européenne (SCE), sœur cadette du GEIE et de la société européenne (SE), a vu le jour le 22 juillet 2003. Nouvelle forme sociale européenne, elle était censée combiner mobilité européenne et identité coopérative, tout en offrant des outils «modernes» de gouvernance et de financement destinés à relever les défis auxquels les coopératives font face. Hélas, en juxtaposant des outils tantôt des droits nationaux, tantôt empruntés à son aînée la SE, le législateur européen s'est perdu et porte ainsi la responsabilité de l'échec d'une SCE qui ne parvient ni à répondre aux besoins des coopératives, ni à créer une identité coopérative européenne, ni à permettre aux coopératives de tirer effectivement avantage du marché unique et à concourir à son développement. Les raisons à cet échec sont multiples. D'une part, la méthode utilisée consistant à s'inspirer largement du statut de la SE néglige la spécificité coopérative et ignore la complexité croissante des droits coopératifs nationaux. Ainsi, l'adoption d'un règlement-cadre offrant un grand nombre d'options aux législateurs nationaux et renvoyant excessivement aux droits coopératifs nationaux, non harmonisés et pour certains d'une complexité sans pareil, aboutit à la création de 30 variantes nationales de la SCE, qui ne conservent d'européen que l'étiquette. L'identité coopérative de la SCE apparaît ainsi comme une identité variable et plus proche de l'identité des coopératives nationales de l'État membre d'immatriculation que de celle des SCE immatriculées dans d'autres États membres. Le législateur européen, soucieux de ménager les susceptibilités nationales et l'autocompréhension nationale des mouvements coopératifs qui diverge fortement entre États membres, a ainsi négligé de doter la SCE d'une identité coopérative européenne assumée et discriminante. D'autre part, les atouts européens de la SCE, comme la constitution par voie de fusion ou le transfert du siège social, répondent mal aux besoins des coopératives, dont l'ancrage local est prononcé à raison du particularisme de leur objet. De même, les outils supposés procurer à la SCE une efficacité économique supérieure déçoivent car importés sans cohérence particulière de droits coopératifs nationaux. L'introduction de cette hétérogénéité aggrave le dilemme interne et externe des coopératives. Pour finir, le législateur communautaire néglige l'environnement disparate dans lequel évoluent les coopératives. En particulier, !'instrumentalisation du droit fiscal par certains États membres, adeptes du concept d'économie sociale, est préjudiciable à la SCE en termes de mobilité et de distorsion de concurrence sous l'angle des aides d'État.Dans ces conditions, la SCE ne paraît pas en mesure de remplir les objectifs fixés par le législateur européen et son échec ne saurait surprendre. Pourtant une autre voie était possible, consistant pour le législateur européen à proposer l'institution d'une coopérative européenne dotée d'une identité discriminante et de la flexibilité nécessaire à son efficacité, offrant ainsi une réelle alternative aux coopératives nationales et permettant de donner au mouvement coopératif européen un nouveau souffle. Pour ce faire, il aurait été nécessaire de se démarquer de la méthode adoptée pour la SE et des droits coopératifs nationaux, de réduire les renvois aux droits nationaux au maximum, de hiérarchiser les principes coopératifs et de recentrer la SCE sur son objet si particulier, tout en flexibilisant les principes coopératifs qui relèvent davantage d'une conviction idéologique que d'une nécessité juridique et qui, partant, ne contribuent pas à conférer à la SCE une identité propre. / The European Co-operative Society (SCE), younger sister of the European Economic Interest Grouping (EEIG) and the European Company (SE), was born on July 22, 2003. New European legal form, the SCE was supposed to combine European mobility with a European co-operative identity, whilst offering co­operatives "modern" tools to improve co-operative governance and financing, the long lasting co-operative dilemma of the last century. Alas, by juxtaposing tools borrowed from national laws or from its predecessor, the SE, the European legislator loses himself and thus bears the responsibility for the failure of the SCE that does not respond ta co-operative needs, nor does it create a European co-operative identity, nor does it allow co-operatives ta effectively benefit from the single market and contribute to its development. Various reasons explain this failure. On the one hand, the method used to draw broadly on the SE statute neglects co-operative features and ignores the increasing complexity of national co-operative laws. Thus, the adoption of a framework regulation offering too many options for national legislators and excessive references ta national co-operative laws that lack harmonization and are for some of them very camplex, results in the creation of 30 national variations of SCE with a European label. The co-operative identity of the SCE appears to be variable and closer to the national identity of co-operatives in the Member State of registration. The European legislator, anxious to spare national sensitivities and the self-understanding of national co-operative movements which strongly differs among Member States, has failed to provide the SCE with an assumed and discriminating European co-operative identity. On the other hand, the European advantages of the SCE like the constitution by way of merger or the transfer of seat do not take into account co-operative needs. Co-operatives have strong local roofs and a very special legal purpose. Similarly, the tools made available to the SCE that are supposed to provide higher economic efficiency disappoint as they are imported from national co-operative law without any consistency. The introduction of this heterogeneity exacerbates the internal and external dilemma of co-operatives. Finally, the European legislator ignores the disparate environment in which co-operatives evolve. In particular, the instrumentalisation of tax law in some Member States who are attached to the concept of social economy is detrimental to the SCE's mobility and distorts competition between SCEs. Under these circumstances, the SCE does not seem able to fulfill the objectives set by the European legislator and its failure is not surprising.Yet another way would have been possible, consisting for the European legislator to propose the creation of a European co-operative with a distinct and discriminating identity and the necessary flexibility to improve efficiency, providing a real alternative to national co-operatives and giving the European co-operative movement new life. To do this, it would have been necessary to stand out from the method adopted for the SE and reduce references to national co-operative law to a maximum, prioritize co-operative principles and refocus the SCE on its particular purpose, white giving more flexibility to co-operative principles which are more of an ideological belief than a legal requirement and therefore do not contribute to give the SCE its own identity.
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Politiser la technicité : une analyse spatiale de la mise en ordre de la société de l'information au moyen du commerce électronique

Charrier, Francis 12 April 2018 (has links)
Ce mémoire a pour objectif d'analyser les manières selon lesquelles les récentes transformations dans la gouvernance du réseau des réseaux affectent les productions locales, régionales et nationales de la société de l'information. Nous ferons l'argument que les nouvelles technologies de l'information et de la communication sont présentement en voie de proposer un mode de relations sociales inédit, la nouvelle économie, informant l'insertion et les déplacements des individus et des groupes dans le cyberespace. Par une présentation des tactiques et des stratégies sociotechniques utilisées par les organisations internationales, les entreprises en ligne et les gouvernements occidentaux, nous avons l'intention de cerner par quels moyens ces acteurs actualisent les logiques du commerce électronique dans la virtualité et dans la matérialité de la réalité.
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Nanodramas : Identity Pills : l'identité et la consommation lue à travers l'oeuvre d'art Web

Mundviller, Mathieu 17 April 2018 (has links)
Ce mémoire est le résultat d’une recherche multidisciplinaire suivant les voies de la philosophie, de la sociologie et des études médiatiques afin de saisir le discours et les particularités uniques de l’œuvre d’art Web Nanodramas : Identity Pills de l’artiste d’origine brésilienne Rodrigo de Toledo. Dans l’optique de bien analyser le discours thématique de l’artiste, présentant l’identité comme un produit de consommation accessible par le biais d’un site de vente pastiche, il fut nécessaire de plonger dans l’analyse du média même, afin d’y puiser des ressources et des modalités uniques permettant de parfaire la réflexion sur l’œuvre. C’est ainsi que l’analyse juxtapose, en une seule enquête, une réflexion thématique à caractère sociologique à un examen philosophique et formel du Web, afin de dépeindre un portrait complet de l’œuvre et des attributs médiatiques singuliers employé par l’artiste. / This thesis follows a multidisciplinary approach using the branches of philosophy, sociology and media studies, with the intention of comprehending the singular aspects of the Web artwork Nanodramas : Identity Pills by the Brazilian artist Rodrigo de Toledo. In order to understand correctly the message transmitted by the artist, the presentation of identity as a consumable product accessible via a fake commercial website, it was necessary to delve into the analysis of the media itself, and draw upon its unique resources to improve the reflection of the work. Following this line of though, the analysis is able to combine, in a single investigation, a sociological reflection of the artwork to a philosophical and formal examination of the Web, so that it was possible to depict a complete picture of Nanodramas and the unique media attributes used by the artist.
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L'inclusion de la société civile dans l'enseignement démocratique du Canada dans les Amériques le cas de la diplomatie canadienne aux sommets des Amériques

Khoury, Nadine January 2010 (has links)
Suite à son entrée à l'Organisation des États américain, le Canada a intensifié son action en matière de renforcement démocratique dans les pays des Amériques. Au sein des institutions régionales, son action s'est notamment concrétisée par un appui à une plus grande collaboration avec les organisations de la société civile (OSC). Dans ce contexte, cette recherche s'intéresse à la relation que le Gouvernement du Canada a développée avec les OSC, tant dans l'élaboration que dans la mise en oeuvre de la politique étrangère canadienne pour la région des Amériques. Elle expose comment s'est construit, puis matérialisé à l'échelle régionale, un discours en faveur de la démocratie qui privilégie une plus grande participation des OSC. Plus particulièrement, cette recherche se penche sur le rôle du Canada dans le processus des Sommets des Amériques pour étudier la transposition de ce discours au niveau des institutions interaméricaines.
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Études de cas mesurant l'efficacité d'interventions psychologiques offertes à des aidantes de personnes atteintes d'une démence de type alzheimer

Raymond, Marc-André January 2014 (has links)
L’efficacité du soutien professionnel apporté aux aidants de personnes atteintes d’une démence de type Alzheimer (DTA) est un enjeu crucial de l’organisation des services de santé et des services sociaux au Québec (Bergman, 2009). Plusieurs composantes du bien-être, telles que le sentiment de fardeau, les symptômes dépressifs ou anxieux et le sentiment d’efficacité personnelle, seraient particulièrement touchées chez ces aidants (Dura, Stukenberg, & Kiecolt-Glaser, 1991, Pinquart & Sörensen, 2003). Afin de soutenir les aidants dans leur rôle, des programmes d’interventions, comme le counseling individuel proposé par Adam, Quittre et Salmon (2009), présentent des pistes intéressantes. Un plan de recherche quantitatif à cas uniques de type ABACA et ABA a été adopté de façon à effectuer des comparaisons intra-individuelles. Les études de cas uniques réalisées décrivent trois types de soutien chez quatre aidantes d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer : la participation à un groupe de soutien pour les aidants seulement, la participation à une intervention de counseling individuel seulement et la participation à une intervention combinée (intervention de groupe suivie d’une intervention individuelle). La structure du counseling proposé est basée sur une démarche de résolution de problèmes à laquelle sont ajoutées des stratégies thérapeutiques cognitives et comportementales de la thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT). Les aidantes ont été évaluées à leur entrée dans chacune des conditions à l’étude et à la terminaison de celle-ci. Les données recueillies ont été soumises à des analyses et ont été interprétées en fonction d’un seuil-critère. Il était attendu : (1) que l’intervention individuelle permette d’observer une amélioration du bien-être (à une majorité de ses composantes), (2) que l’intervention combinée permette d’observer une amélioration du bien-être (à une majorité de ses composantes), (3) que l’intervention individuelle permette d’observer une plus grande amélioration du bien-être (4) et que l’intervention de groupe permette uniquement d’observer une diminution du sentiment de fardeau et une augmentation du niveau de connaissances. Il a été possible d’observer que l’intervention individuelle et que l’intervention combinée ont semblé favoriser une amélioration du bien-être (à la majorité des indicateurs). De plus, l’intervention individuelle a semblé favoriser davantage le bien-être en comparaison à la phase des rencontres de groupe, particulièrement au sein du programme combiné. Les rencontres de groupe de soutien ont semblé favoriser un nombre plus grand d’améliorations que prévu. Les résultats semblent appuyer la nécessité de développer des programmes d’intervention individuels personnalisés afin de soutenir les aidantes d’une personne atteinte de DTA. Enfin, malgré les limites de l’étude, celle-ci semble suggérer que le counseling individuel peut être efficace pour protéger le bien-être des aidantes même si le suivi est de courte durée.
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Les choses intellectuelles plutôt que la broderie : la Société d'étude et de conférences de l'entre-deux-guerres à la révolution féministe

St-Laurent, Fanie January 2012 (has links)
Jusqu'à maintenant, peu d'études ont été consacrées à la question des regroupements de femmes dans le milieu du livre et de la culture. Pourtant, les femmes se sont souvent montrées très actives et ont posé des gestes significatifs. L'objectif général de cette Thèse consiste à retracer l'évolution d'un regroupement culturel féminin, la Société d'étude et de conférences, et de comprendre son rôle dans l'histoire du livre et des femmes, des années 1930 aux années 1970. La Thèse propose d'abord une réflexion sur les regroupements culturels et sur la sociabilité vue et pratiquée par les femmes, qui permet de mieux comprendre l'évolution de la Société d'étude et de conférences. Le deuxième chapitre présente les fondateurs du regroupement ainsi que la structure mise en place dans les années 1930. La suite offre une description et une analyse des principales réalisations de la Société d'étude et de conférences. L'audition de conférences, la tenue d'un concours littéraire annuel, l'octroi de bourses d'études en France, la publication d'un bulletin d'informations, l'organisation des deux premiers salons du livre à Montréal et la participation à des consultations publiques nationales sont autant de projets réalisés par les membres de la Société d'étude et de conférences. Le quatrième chapitre, consacré aux cercles d'étude, montre le succès qu'a connu la Société d'étude et de conférences à Montréal comme en région. L'analyse du fonctionnement des réunions a permis de mieux connaître les habitudes et les intérêts des membres. À cet égard, l'étude du cercle Récamier et de ses procès-verbaux fait ressortir les liens amicaux qui se tissent dans les cercles, mais qui ne sauraient surpasser l'importance accordée au partage des connaissances. Enfin, le cinquième chapitre dresse le portrait général des membres de la Société d'étude et de conférences en présentant les différents paramètres qui les caractérisent. Les parcours exceptionnels de trois membres, Annette Doré, Marie Raymond et Jeannette Boulizon, qui ont su réaliser des projets importants à la Société d'étude et de conférences de même que dans le milieu culturel québécois viennent clore cette Thèse.
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La carrière publique de la consolidation des garanties d'indépendance de la justice : un phénomène social et politique dans la Roumanie post-communiste

Coman, Ramona 07 May 2008 (has links)
Il y a un siècle, en 1903, un jeune étudiant roumain présentait à la Faculté de droit de l’Université de Paris une dissertation intitulée « Etude sur la magistrature roumaine ». Son travail s’attachait à montrer « la crise de l’institution judiciaire » ainsi que les nombreux « espoirs de réformes (…) pour constituer une magistrature capable de rendre tous les services nécessaires à la stabilité et au progrès » du pays. Descriptive et normative, cette thèse se terminait par la phrase suivante : « Nous courrons à l’abîme, à l’écroulement de nos institutions et de nos lois (…) et cela justement parce que nous n’avons pas su assurer à notre magistrature l’indépendance nécessaire pour la défense et pour le châtiment ». La présente dissertation se situe certes dans la prolongation de cette recherche, mais ce n’est pas le désir de la continuer qui justifie notre intérêt pour la réforme de la justice dans le contexte de l’adhésion de la Roumanie à l’Union européenne. Un siècle plus tard, d’autres raisons nous ont poussée à convertir une question médiatisée en problématique de recherche en science politique. Dans les années 2000, le processus de « retour à l’Europe » de la Roumanie a été sérieusement ralenti. La crise de l’institution judiciaire roumaine était d’une actualité évidente. Elle se présentait, d’ailleurs, comme le dernier bastion de résistance aux changements imposés par la transition vers la démocratie et par la nécessité de s’adapter aux exigences formulées par l’Union européenne. Devant une littérature récente qui met l’accent sur l’exceptionnalisme du communisme et du post-communisme roumain, la question qui a stimulé au départ notre réflexion a été de savoir comment et pourquoi ce pays, dont les réformes sont lentes et difficiles, s’adapte aux exigences de l’Union européenne. A partir de cet encadrement générique, quelques précisions méthodologiques s’imposent. Construire un objet scientifique consiste d’abord à réaliser une mise en problématique de la réalité que l’on souhaite observer et analyser. Dans le cas qui nous intéresse, ce qu’on appelle « la réforme de la justice » est un champ d’action publique extrêmement vaste, mais ce qui fédère les différentes mesures de réforme est leur finalité : une indépendance plus affirmée de l’institution judiciaire vis-à-vis du pouvoir politique. Que doit-on expliquer et en quoi doit consister l’explication lorsque l’on veut comprendre et expliquer une réforme dans ce domaine ? Pour nous, l’exercice de reconstruction de l’émergence et du développement de ce processus législatif consiste à mettre en lumière à la fois ses étapes et ses phases, mais aussi les interactions entre des facteurs qui accélèrent ou freinent le mouvement de réforme. Cette dissertation traite de la façon dont la consolidation des garanties d’indépendance de la justice a été envisagée comme problème public dans la Roumanie post-communiste, des significations ainsi que des réponses politiques et institutionnelles qui ont été données à travers le temps à ce problème. La dissertation se propose de voir comment et dans quelles conditions on passe, lors de l’adhésion à l’UE, d’une justice « aveugle » et asservie au pouvoir politique vers ce qu’un magistrat qualifiait récemment de « paradis de la démocratie de la magistrature ». Cette première opération de problématisation s’est poursuivie par la formulation d’une série d’hypothèses. Comme toute étude sur le policy change se focalise sur un ou plusieurs facteurs explicatifs, au départ, nous avons envisagé d’analyser cette décision politique dans une double perspective : comme l’effet de la conditionnalité de l’Union européenne et comme le résultat de la compétition partisane. Au fur et à mesure que la vérification de ces deux hypothèses avançait, nous en avons testé une 3ème à partir de laquelle nous avons analysé la consolidation des garanties d’indépendance de la justice comme le résultat de la compétition des acteurs nationaux dans la définition politique et sociale du secteur à réformer. Nous avons opérationnalisé ces 3 hypothèses en utilisant des concepts propres à trois littératures distinctes : le néo-institutionnalisme historique, la littérature sur l’européanisation et l’approche cognitive des politiques publiques. Précisons d’abord que cette recherche a été commencée dans le contexte d’un apparent « renouveau » conceptuel dans l’étude des transformations post-communistes. Vers la fin des années 1990, la littérature sur l’européanisation lançait de nouvelles pistes de recherche et offrait de nouveaux outils d’analyse et hypothèses de recherche. C’est dans cette perspective que nous avons inscrit notre réflexion en postulant que dans l’étude de la consolidation des garanties d’indépendance de la justice en Roumanie, l’Union européenne met la question de l’indépendance de la justice à l’agenda du pays et qu’elle impulse le changement par un large éventail de mécanismes d’européanisation. Ensuite, une deuxième hypothèse a été formulée - centrée sur le rôle des élites politiques nationales - pour expliquer la résistance au changement. Si par le rôle de l’UE on se proposait d’expliquer le changement, la lenteur de la réforme de l’institution judiciaire résultait à nos yeux de l’absence au niveau national d’une matrice cognitive et normative qui conduise à un renouveau de l’institution judiciaire. Mais, le test de ces deux hypothèses a révélé un certain nombre de surprises. La première survalorisait le rôle de l’UE, la portée de sa conditionnalité et des mécanismes d’européanisation tandis que la deuxième minimalisait le rôle du législateur roumain et la modernité de sa réflexion sur une indépendance plus affirmée de l’institution judiciaire. Qui plus est, en formulant ces deux hypothèses, la recherche se focalisait uniquement sur la période post-communiste. La longue durée était écartée et le processus de réforme était analysé comme une réponse des élites politiques de Bucarest à un paquet de normes prédéfinies à Bruxelles. Nous avons observé que, d’une part, il fallait « faire de l’histoire » pour comprendre le changement, car la méconnaissance du passé de l’organisation judiciaire roumaine nous empêchait d’avancer dans la compréhension du présent et que, d’autre part, les deux axes d’analyse - la conditionnalité de l’UE et les réponses données par les élites politiques de Bucarest – s’avéraient insuffisantes pour comprendre l’émergence et le développement de cette politique publique. En testant ces deux hypothèses, combinées avec la prise en considération de la longue durée, nous sommes arrivée à un ensemble de conclusions dont les plus importantes sont les suivantes : Premièrement, le chapitre consacré à l’histoire moderne de l’institution judiciaire roumaine permet d’observer que les dysfonctionnements actuels de la justice sont similaires à ceux signalés par les élites politiques et judiciaires roumaines à la fin du 19ème siècle, et pointés justement par ce docteur de 1903. La réforme de la justice, dans le sens qu’on lui donne en 2004, est exigée depuis 1859. En dépit de la reprise de modèles d’organisation politique occidentaux, la création de la Roumanie moderne est la période de la formation et de la reproduction d’un pattern institutionnel qui ne sort pas l’institution judiciaire de son archaïsme et de son retard. Dans une perspective néo-institutionnaliste, nous pouvons dire que l’institution judiciaire roumaine connaît deux points de bifurcation : l’instauration du communisme et sa chute en 1989. L’institution judiciaire a fait l’objet d’une longue série de réformes, plus ou moins ambitieuses, mais qui n’ont jamais été à la hauteur des attentes sociales ou politiques. La deuxième série de conclusions se rapporte au rôle des élites politiques post-communistes, les principaux acteurs qui participent à la redéfinition du cadre institutionnel roumain. Après 1989, leur vision normative sur le rôle et le fonctionnement de l’institution judiciaire s’impose. En 1992, une large majorité politique soutient la reprise du modèle d’organisation judiciaire instauré lors de la création de la Roumanie moderne, modèle largement critiqué à l’époque pour l’étendue des prérogatives du pouvoir exécutif en matière d’administration de la justice. Malgré le fait que l’indépendance de la justice s’impose comme un thème central des répertoires critiques de la politique, malgré les recommandations formulées par les organisations internationales qui exigent une indépendance plus affirmée des juges, les partis politiques post-communistes procèdent tous à une consolidation des pouvoirs de l’exécutif sur l’institution judiciaire. C’est à ce stade de la recherche que l’hypothèse relative au rôle de l’Union européenne est avancée et décortiquée. C’est ainsi qu’on découvre les points forts et les faiblesses de la conditionnalité européenne et des mécanismes d’européanisation. On observe que la conditionnalité ne peut pas être utilisée comme variable uniforme, que l’UE n’impose pas un modèle d’organisation de la justice et que la principale caractéristique de la conditionnalité en la matière est la fluidité. Son inconsistance s’explique par la diversité des modèles de justice existants dans les pays européens. Tous les systèmes manient les mêmes principes : efficacité, indépendance et responsabilité de la justice et tous les systèmes les abordent dans des termes similaires. Mais quand il s’agit de les interpréter et de les mettre en œuvre à travers des institutions et des pratiques concrètes, chaque pays produit un modèle différent. C’est ainsi que nous sommes arrivée à la conclusion que la conditionnalité informelle de l’UE est un construit politique et social. Pour toutes ces raisons, une fois ces deux premières hypothèses testées, au lieu de terminer le travail, nous l’avons continué en rajoutant une nouvelle séquence analytique. Dans le processus étudié, à savoir l’élaboration des lois sur l’indépendance de la justice, le véritable législateur, « n’est pas le rédacteur de la loi », ni la Commission européenne, mais un ensemble d’acteurs « qui, dans des champs différents, élaborent des aspirations, les font accéder à l’état de problèmes sociaux, organisent les expressions et les pressions pour faire avancer » des normes et des valeurs par des algorithmes et des images. Des lors, une troisième hypothèse a été rajoutée pour étudier ce processus de décision politique comme le résultat d’une compétition entre des acteurs politiques et sociaux nationaux dans le processus de définition politique et sociale de la réalité sur laquelle le législateur roumain a dû intervenir. Ce troisième niveau d’analyse nous amène aux résultats suivants. Dans les années 2000, la consolidation des garanties d’indépendance de la justice a suscité des passions politiques et médiatiques incontrôlables. Ce processus de décision politique a eu lieu dans une situation de crise. Et les récits (une série d’histoires causales) ont été le principal vecteur par lequel ils ont été diffusés. Un récit de délégitimation des institutions politiques et judiciaires a été forgé par les médias, par un nombre réduit de professionnels de droit et par des représentants de la société civile. Ces récits synthétisent « le paradigme de la dégradation », le « déficit de modernité » de la démocratie roumaine et les aspects défectueux de son fonctionnement. Les conditions de la démocratie roumaine sont difficiles mais leur interprétation et narration leur donne un élan décisif sur la critique radicale du système. Ces récits visent tant les institutions politiques que les institutions judiciaires. La classe politique roumaine est discréditée. Mais ces critiques n’ont en rien empêché ceux à qui elles étaient adressées de maintenir leurs positions dans les dispositifs du pouvoir. C’est dans ces conditions qu’on exige de doter la magistrature d’une capacité d’intervention dans l’espace politique pour sanctionner les illégalismes des classes dirigeantes et pour pouvoir « participer à la distribution des titres d’opprobre ou de légitimité sur le marché politique ». Mais la justice roumaine et les professionnels du droit ne bénéficient pas d’une attitude plus clémente. Selon les récits, tant les uns que les autres sont corrompus et ont fait partie des anciennes administrations coercitives du régime communiste. Quelle indépendance peut-on donner à ces juges dont on dit qu’ils ne sont « pas des anges », mais des anciens cadres de la Securitate ou des anciens tortionnaires ? Dans ce contexte, l’indépendance de la justice est mise en avant comme la solution miracle pour résoudre un large éventail de problèmes de la société post-communiste, des problèmes du passé toujours présents ou des problèmes du présent provoqués par la transition vers la démocratie. La mission qu’on souhaite que l’institution judiciaire roumaine accomplisse est avant tout axiologique. Tant au milieu du 19ème siècle qu’après la chute du communisme, la justice est appelée à contribuer à la reconnaissance des valeurs sociales et à la séparation du « bon grain » de « l’ivraie ». En dépit de ses faiblesses et de ses propres difficultés, l’institution judiciaire est appelée à apaiser les tensions sociales et à restaurer au sein de la vie politique la moralité et la transparence. C’est dans ce contexte que des membres de ce corps professionnel parviennent à blanchir leur image en se représentant comme des victimes du pouvoir politique et de la hiérarchie interne de la magistrature. Des communautés de politique publique se constituent qui dialoguent avec les représentants des institutions internationales, discutent des problèmes et réfléchissent à des solutions. A partir du moment où le gouvernement de Bucarest n’est plus crédible, les médias et les membres de ces communautés de politique publique deviennent de véritables interlocuteurs des organisations internationales. La crédibilité deviendra l’atout des magistrats, des journalistes et de tous ceux qui se sont autoproclamés les représentants de la société civile. Ces récits, qui parlent de la déroute d’un régime qualifié de démocratique et par lesquels on exige la moralisation de la vie publique, ont influencé la perception des élites politiques européennes lors de l’adhésion de la Roumanie à l’UE. Les acteurs politiques et sociaux roumains procèdent tous à la construction de la « vérité du moment » sur le fonctionnement de l’institution judiciaire, sur ses problèmes et ses besoins de réforme. Ils mobilisent des normes et des valeurs, des images et des causes qui jouent fort dans la définition d’un modèle institutionnel de consolidation des garanties d’indépendance de la justice. C’est par la multiplication de ces récits diffusés par des magistrats, des journalistes et des représentants de la société civile qu’on parvient à passer d’un système où la justice est soumise au pouvoir politique à une institution judiciaire qui, d’un point de vue institutionnel, vit dans « le paradis de la démocratie ».
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La "cybertélévision" ou La télévision à l'heure du numérique, les contours sociotechniques d'une transition

Montagut-Lobjoit, Myriam 25 October 2007 (has links) (PDF)
La caractéristique principale de la télévision, symbole emblématique des médias de masse depuis les années 50, est de proposer une distribution massive et rapide d'information à une audience étendue et hétérogène. La télévision, en devenant numérique, continue de présenter certaines caractéristiques propres aux médias de masse, mais propose désormais dans un même temps un certain nombre d'éléments (de l'ordre du choix ou des pratiques) propres aux nouvelles technologies offrant à l'usager un passage de la réception d'une diffusion indifférenciée à une navigation individualisée. Ces nouvelles caractéristiques m'ont amenée à observer les contours de cette évolution, et à m'interroger sur cette nouvelle relation entre télévision et usagers (et notamment sur la pérennité d'une forme de « culture télévisuelle »). En effet, l'exposition sélective aux messages télévisuels du fait du choix, l'usage des nouveaux outils associés, le rapprochement entre les médias neufs et anciens, etc. déterminent potentiellement de nouvelles pratiques télévisuelles qui tendent à s'individualiser et se techniciser. Le développement de cette « cybertélévision » entraînerait, entre autres, une atténuation probable des fonctions d'acculturation auprès d'un public large et s'éloignerait en cela du concept de média de masse.
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L'intertexte épique moderne dans la théorie et la pratique de l'épopée chez Chateaubriand

Gallo, Pierino 20 April 2012 (has links) (PDF)
Les diverses formes de l'intertextualité (citation, allusion, résumé, traduction), appliquées aux mécanismes du premierdes genres (l'épopée), et analysées chez un auteur imprégné de révolutions, vont bien au-delà d'un simple exerciced'érudition. Interrogé dans un traité à vocation apologétique comme le Génie du christianisme, puis dans le rejetonpoétique de deux épopées capitales, Les Natchez et Les Martyrs, l'intertexte épique moderne- car c'est la modernitéqu'il faut construire au tournant de l'Ancien Régime à la Révolution et de cette dernière à l'Empire- dessine une grillede lecture qui relève à la fois du statut générique et de l'histoire des mentalités. Les poètes convoqués parChateaubriand dans le tissu textuel de l'épopée deviennent alors les interlocuteurs idéaux pour développer un discourssur l'Histoire. En suivant une démarche tripartie suggérée par l'auteur (sujet, caractères/passions, paysages), lamosaïque intertextuelle de Chateaubriand s'assemble tantôt pour révéler une connivence culturelle, tantôt pour ouvrirune contestation à la fois poétique et politique. L'analyse de ces mêmes tensions nous aide enfin à construire l'image laplus représentative du poète dans son Temps.

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