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Au fond de l'air ; suivi de L'intime lointain

Gagnon, Jean-Philippe January 2009 (has links) (PDF)
Conçu en deux volets, l'un poétique, intitulé Au fond de l'air, l'autre ayant la forme d'un essai, L'intime lointain, ce mémoire de création est l'étude et l'expression des modalités concrètes du regard d'un sujet sur les choses. Les vers s'articulent autour de trois apparitions: un buste dans un jardin, une statuette de Minerve et un corps immatériel. Dans ma tentative de les approcher pour ce qu'ils sont, tels qu'ils se donnent, ces objets me sont vite apparus indissociables de l'environnement immédiat et lointain à l'intérieur duquel ils baignent, environnement dont le sujet fait partie. Aussi, j'ai travaillé à partir de l'hypothèse que le symbolique et l'imaginaire, inhérents au regard de l'homme structuré par le langage, sont les véhicules par excellence pour atteindre le réel ou cette vie des choses en soi qu'on envisage à tort distincte de l'humain. Celle-ci, dans l'ordre naturel ou culturel qui la régit, n'est jamais constituée d'objets isolés les uns des autres: chacun est révélé, comme à l'intérieure d'une toile, par d'autres objets. De même, à l'intérieur du savoir, le principe de différenciation s'appuie sur une notion de rapport qui cherche à se faire oublier. C'est à partir de ces considérations que l'image poétique et les diverses figures de la substitution m'ont semblé à même de rendre le plus fidèlement possible notre expérience du monde et des êtres. Face à l'illusion du réalisme et de l'objectivité, lesquels sont nourris par le caractère dénotatif de la langue, la dimension hallucinatoire du regard est ce par quoi on peut prétendre toucher la vie dans sa vérité, en ouvrant un espace où le sujet et les objets sont préservés de l'abstraction en quoi consiste leur existence séparée. Elle est ce qui dévoile en nous la nature et les choses qui, au bout de nos connaissances, se présentent toujours comme des mystères inhumains. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Intime, Réel, Subjectivité, Vision.
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Écoutez-moi ; suivi de, Ça reste entre nous

Roberge, Valérie 04 1900 (has links) (PDF)
Écoutez-moi est un texte contrapuntique, une composition à quatre voix dans laquelle quatre personnages-narrateurs, membres d'une même famille, se partagent l'espace du récit. Chacun présente une vision particulière du monde, une pensée et une parole spécifiques. Dans la dynamique du récit, construit sans aucune intervention externe de narration, chaque personnage est envisagé comme une conscience : l'important n'est pas de connaître toutes ses caractéristiques, son nom, son statut social, bref la place qu'il occupe dans le monde, mais plutôt de se glisser à l'intérieur de lui pour savoir ce qu'il pense du monde et, par conséquent, de lui-même. Tel un contrepoint musical, les quatre voix expriment alors leur singularité, mais elles sont également étroitement liées. Ce sont ces relations de tension, d'assonance et de dissonance qui forment la cinquième mélodie, le chant harmonique du contrepoint. Dans tout ceci, j'aborde en somme l'écriture comme une instance de confidence. La confidence plutôt que la parole usuelle, parce que s'y logent une vérité, une vulnérabilité : une pensée si intime qu'elle côtoie le silence, mais à l'intérieur de la solitude et de la souffrance, elle explose comme des cris. Ça reste entre nous est lui aussi structuré comme un chant polyphonique, sur le principe de l'entrecroisement. Tout au long d'un parcours entre le passé et le présent, les voix se confrontent, alternent ou se superposent. Il y a celle qui cherche et qui doute, et celle qui découvre et qui s'autorise peu à peu... Entre voix intérieure et voix extérieures, hésitations et questionnements, lettres adressées à Émile Cioran et Antonin Artaud, échanges entre ma pensée et celles de différents auteurs, l'essai crée un espace pour la parole. Mon attention s'y oriente tantôt sur des concepts (la voix, le seuil, l'intime) tantôt sur des relations ou des oppositions (écrire/ne pas savoir écrire, le parlé/l'écrit, musique/écriture, résistance/abandon). Je tente de développer une position intérieure face à l'écriture, sans souci du bel effet. Je veux créer à partir d'une nécessité, à partir de ce qui résiste; me départir des formes usuelles pour aller vers une vérité intérieure, vers un battement interne : atteindre une qualité vibratoire dans l'écriture. Avec Artaud et Cioran, je cherche en fin de compte une réponse aux questions fondamentales qui animent ma démarche : comment construire tonalement dans l'écriture une subjectivité et une intimité non personnelle? Comment approcher le pulsionnel, inscrire le corps à partir de la voix? Comment créer une écriture musicale? Comment, en somme, devenir dans l'écriture une respiration, un chuchotement, un silence? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Voix, Création, Pluralité, Corps, Intime, Seuil, Polyphonie
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Des corps et des continents ; suivi de, Incitation à la révolte

Guerrette, François 12 1900 (has links) (PDF)
Un recueil de poèmes et un essai, dans ce mémoire, mettent en lumière la relation de proximité entre le travail créateur et la révolte. Plus spécifiquement, ce projet questionne les liens entre la poésie, la prise de parole et la volonté de comprendre le monde actuel. Le comprendre pour reconnaître ses contradictions, ses contraintes et son lot d'injustices. Puis se réapproprier, au moment du poème, une langue, un corps, ainsi qu'une certaine subjectivité; une part fragile de notre humanité que nos cultures contemporaines et nous-mêmes semblons continuellement mettre en danger. La poésie est affirmation et transformation du monde : la révolte aussi. Prendre la parole pour écrire et/ou se révolter, c'est précisément se porter à la défense d'un réel toujours en appel de sens, de formes et de légitimité. J'écris pour reconnaître autour de moi et en moi ce qui vaut encore la peine d'être défendu, d'être aimé. Me révolter est une manière d'espérer : le désastre du monde actuel n'est peut-être pas définitif. La langue du poème, pourtant, ne ment pas; l'anéantissement de l'homme par l'homme est réel et déjà bien entamé. Cet état d'urgence, en poésie, devient le point de départ d'une réflexion nécessaire sur la possibilité de vivre moins violemment dans ce qui nous tue : la culture, le corps, ainsi qu'une inquiétante communauté de destins. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Corps, Culture, Ensauvagement, Éthique, Espoir, Honte, Parole, Poésie, Révolte, Subjectivité
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Portrait d'homme ; suivi de, Cet homme blême qu'on porte en nous quand on est de la ville

Giasson-Dulude, Gabrielle 09 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'articule autour de la question suivante : comment le poème peut-il procéder à l'élaboration d'un langage dont le souffle, la voix et la présence dans l'espace non seulement s'ancrent dans le corps, mais se construisent à partir des arts du corps? Tout au long de mon travail d'écriture, j'approche cette question en la considérant au moyen de la pratique et de la théorie du mime corporel d'Étienne Decroux. En première partie du mémoire, le recueil Portrait d'homme met en scène une voix féminine. Dans un contexte urbain, celle-ci élabore le portrait d'un homme blessé, défait; sujet plus ou moins réduit au silence, et plus ou moins avalé par la ville qui l'englobe. C'est pourtant sur fond de mutisme que se dessine la relation de la femme à l'homme. Ce travail d'approche se lie pour elle et pour lui à l'expérience de la solitude devant l'autre, expérience d'où surgit la nécessité de la voix. Le mime, dans ce contexte, figure pour les sujets la possibilité de réapprendre à s'exprimer à partir de leur corps, tant en relation avec le corps de l'autre qu'avec la pluralité des corps que chacun porte en lui-même. De poème en poème, Portrait d'homme fait ainsi le récit de ce qui, par la souffrance et par l'amour (dévoilés dans leur clarté au travers du mime), rapproche les sujets à la fois de ce qui les constitue et les différencie. L'essai qui suit, intitulé Cet homme blême qu'on porte en nous quand on est de la ville, vise à présenter la trame de fond de mon écriture et la condition de la voix dans des contextes urbains saturés par la technologie, où le corps subit la pression des non-lieux reliés aux habitudes de la société de consommation. Je m'y intéresse avant tout à la perte de soi, et à la réappropriation de soi par le double biais d'une appartenance à la collectivité et d'une éthique du don, en prenant à témoin des œuvres telles l'essai de François Bon sur le travail de Edward Hopper, les livres de Kathy Acker, le travail de l'École de mime de Montréal et l'héritage d'Étienne Decroux. À l'intérieur de cette approche, le poème et le mime dévoilent un corps marqué par sa fragilité et par l'isolement, l'absence à soi-même, le retranchement ou l'effacement auxquels sans cesse on le reconduit. La reconstruction de la parole par l'écriture - recherche de la voix, de sa justesse et de sa subjectivité - conduit à reconnaître pourtant, au sein même de ces conditions difficiles, un lieu d'accueil pour le vivant. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : subjectivité, voix, mime, résistance, silence, mutisme, parole, écriture, engagement, corps.
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La voix en langue étrangère : une approche anthropologique et didactique. / The voice in the foreign language : anthropological and didactic approche.

Lazarevic, Isidora 30 November 2017 (has links)
La question de la voix, dans le domaine de la didactique des langues étrangères, est très souvent mal abordée surtout quand il s’agit d’étudier les réactions des apprenants devant cette matérialité de la langue et les affects qui y sont liés. Le domaine affectif par rapport aux langues étrangères a toujours été notre centre d’intérêt, car il exprime, entre autres, la singularité du rapport aux langues et la complexité des positions subjectives. Pourquoi le désir de langues étrangères est-il mis à l’abri, tandis qu’il peut susciter la fascination des langues autres, l’amour ou peut-être la haine, s’il s’agit, par exemple, de l’inhibition du désir ?Toutes ces questions nous ont amenée à prendre comme sujet principal de notre recherche le phénomène de la voix et de l’aborder à travers une anthropologie des voix. Nous avons voulu aussi aborder, dans notre recherche, la problématique des émotions dans l’apprentissage des langues étrangères ainsi que leur rôle dans la formation des attitudes et des représentations par rapport aux langues. / The voice in the field of the didactics of foreign languages is an issue which has been poorly examined, especially when it comes to studying students’ reactions in relation to this very important component of the language, as well as its affects. The complexity of affective relationships a subject can establish with foreign languages has always been at the center of our interest. Why is the concept of “desire” that is related to the acquisition of foreign languages neglected, when it actually depends on the desire whether the subject will love the language, be fascinated by it, or hate it, if the desire is inhibited?All these questions led us to choose the phenomenon of voice as the main topic of our research and to examine it, among other things, using an anthropological approach.In our research, we also dealt with the problem of emotions and their role in the formation of attitudes and ideas in relation to foreign languages."
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Se plaindre de la douleur. / complain of pain

Joussellin, Charles 28 March 2014 (has links)
Nous analysons ce qu'est la douleur pour l'homme. Expérience humaine radicalement subjective, la douleur ne peut pas s'objectiver. Pour l'appréhender nous préférons à l'auto évaluation quantitative de la douleur l'hétéro-évaluation de ce que l'homme douloureux montre de lui-même par la médiation de son corps et surtout ce qu'il dit de cette expérience : la mise en récit. D'où l'importance de se tourner vers l'homme douloureux, pour qui la douleur est une pensée et une souffrance.L'homme qui se plaint de douleur fait part à autrui d'un « mal-être » dans lequel le sens qu'il attribue à l'expérience vécue possède une grande importance. Douloureux, sa présence au monde est altérée. Se plaindre de douleur représente une adresse au cœur de l'intersubjectivité où de nombreux phénomènes subjectifs s'échangent, s'entrecroisent et s'influencent. La forme de la plainte dépendra de nombreux facteurs dont les enjeux et les circonstances. Pour s'apaiser, l'homme douloureux, surtout celui dit douloureux chronique, doit bénéficier d'une reconnaissance première, réciproque et mutuelle, et d'une recherche de sens.L'engagement réciproque sollicité par se plaindre de douleur représente une rencontre intersubjective tendue qui se déroule entre une indifférence redoutée et une reconnaissance espérée, au risque du ressentiment : un chemin audacieux vers un champ des possibles. Une mise à l'épreuve de l'humanisation de l'autre au cours de laquelle des échanges produisant une déshumanisation ou une réhumanisation se succèdent. / We analyze what pain feels like to humans. Radically subjective human experience, pain cannot be objectified. In order to apprehend it we prefer hetero-assessment rather than quantitative self-assessment of pain. What painful man shows from himself through the mediation of his body and especially what he says about his experience: the story-telling. This is what explains the importance of being more attentive to the painful man, to whom pain is a thought and suffering.The man who complains about pain expresses to others his bad feelings in which the meaning he attributes to the experience has a great importance. In pain, his presence in the world is altered. Complaining about pain represents a request in the heart of intersubjectivity where many subjective phenomena are exchanged, intersected and influenced. The form of the complaint will depend on many factors, including challenges and circumstances. To soothe, the painful man, especially for the patients with a chronic pain, must receive a first recognition, reciprocal and mutual, and a search for meaning.The mutual commitment sought by complaining of pain represents a tensed intersubjective meeting which takes place between a feared indifference and a hoped recognition, with the risk of experiencing resentment: a bold path to a field of possibilities. A testing of the humanization of the other while trades will pass through producing dehumanization or re-humanizing.
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Barbarie ou culture : l'éthique de l'affectivité dans la phénoménologie de Michel Henry / "Barbarism or culture" : the ethics of affectivity in Michel Henry's phenomenology

Seyler, Frédéric 22 October 2008 (has links)
La Phénoménologie de la vie de Michel Henry est-elle porteuse d’une éthique et, si tel est le cas, quelles sont les coordonnées principales de celle-ci ? C’est cette double question que se propose d’étudier la recherche menée ici. Alors que les textes que M. Henry consacre explicitement à l’éthique sont peu nombreux, il apparaît cependant que la distinction barbarie/culture représente le fil conducteur d’une critique qui ne peut être considérée comme axiologiquement neutre. L’analyse de la continuité de cette distinction dans le corpus de la Phénoménologie de la vie permet ainsi de clarifier le sens que pourrait prendre une « éthique de la culture ». Ce sens est intimement lié à la compréhension de la vie comme affectivité immanente et transcendantale. L’éthique de M. Henry peut alors se caractériser comme une éthique de l’affectivité dont l’enjeu se situe dans une possible reconnaissance de la vie. La question est cependant aussi de savoir dans quelle mesure un discours éthique peut non seulement être tenu sur ce qui, en raison de son immanence, échappe par principe à l’intentionnalité, mais peut également posséder une effectivité pratique à son égard. La discursivité éthique peut alors être pensée comme articulation de la theoria à la praxis, notamment à travers les concepts de quasi-performativité et de traduction. C’est finalement l’ensemble du texte de la Phénoménologie de la vie qui se révèle dans sa dimension éthique, dimension qu’il est également possible de mettre en perspective dans le champ du politique. / Does Michel Henry’s Phenomenology of life contain specific ethics and, in that case, what is their nature? The aim of this research is to bring an answer to this question. Although M. Henry has written only a small number of texts referring specifically to ethics, it nonetheless appears that his distinction between barbarism and culture provides a critique that cannot be considered axiologically neutral. Analyzing the continuity of that distinction throughout the body of Phenomenology of life clears the path to an understanding of the meaning that an “ethics of culture” could have. This meaning is directly linked to an understanding of life as immanent and transcendental affectivity. M. Henry’s ethics can thereby be characterized as the ethics of affectivity, the central stake of which lies in the recognition of life. However, the question is to what extent an ethical discourse can be held on a reality that, being immanent, is principally inaccessible for intentionality and how such discourse can have practical effectiveness with regard to that reality. Ethical discursivity may then be understood as articulating theoria and praxis, especially through the concepts of quasi-performativity and translation. Finally, the whole text of the Phenomenology of life appears in its ethical dimension, a dimension which can equally be put in perspective with the field of politics.
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Désapprendre l’art de « ne pas voir » la violence coloniale au Canada : cultiver des subjectivités relationnelles décolonisatrices

Savard, Marianne 28 April 2022 (has links)
Les structures du colonialisme d’occupation au Canada perpétuent encore aujourd’hui les dépossessions des Autochtones au bénéfice des occupant·es, ainsi que les tentatives de substitution des occupant·es aux peuples autochtones, suivant ce que Patrick Wolfe appelle une logique de l’élimination. Il ne suffit pas de déclarer notre reconnaissance du territoire autochtone. À titre de Zhaaganaash (occupante blanche sur un territoire Omàmìwinini/algonquin non cédé), il m’incomberait de « participer au processus de décolonisation », suivant l’appel à la justice 15.2 de l’ENFFADA (2019). Toutefois, la logique coloniale, incluant une épistémologie de l’ignorance, conditionne la population générale à naturaliser les hiérarchies désirées et à « ne pas voir » la violence coloniale — historique et contemporaine — au Canada. Alors que mon projet initial visait à cultiver des possibilités de subjectivité occultées par le patriarcat, à la lumière de la pensée de Luce Irigaray, mes études féministes m’ont fait voir l’urgence de la décolonisation. Je vois dans la pensée philosophique de Luce Irigaray une dimension déconstructrice (de la constitution du sujet, de son discours, et de ses « projet[s] téléologiquement constructeur[s] » d’un monde à son image et selon ses intérêts) et une dimension reconstructrice de possibilités alternatives (fondées sur ses concepts de la limite, l’intervalle, l’efflorescence, et l’éthique de la différence sexuelle, entre autres). Plus je lis son œuvre, et plus je lis de perspectives autochtones diverses, plus je vois comment les processus théoriques que décrit Luce Irigaray sont opérationnalisés contre les peuples autochtones sous le colonialisme d’occupation au Canada, et comment certaines nouvelles possibilités imaginées par Luce Irigaray — notamment pour les femmes — exist(ai)ent déjà, concrètement, chez certains peuples autochtones au Canada. Je soutiens que certaines théories irigaréennes sont ouvertes à des prolongements anticoloniaux et décolonisateurs utiles pour ouvrir la réceptivité d’occupant·es, au-delà des fragilités blanches et occupantes, à diverses perspectives autochtones essentielles au désapprentissage de nos aveuglements coloniaux et à la culture de subjectivités relationnelles qui sont spécifiquement décolonisatrices selon la définition de Tuck et Yang (2012). Le colonialisme d’occupation étant trop complexe pour s’expliquer à partir d’une seule théorie (Wolfe, 2006), mon projet consiste à développer un cadre d’analyse multidisciplinaire (incluant, mais non limité à la philosophie irigaréenne), dont la loupe de sélection se constitue de diverses perspectives autochtones. J’explore ce que voudrait dire la décolonisation en termes concrets dans mon quotidien de Zhaaganash.
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Solitude et sociétés contemporaines : une sociologie de la connaissance du solitaire

Doucet, Marie-Chantal January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Représentations de la maladie, des traitements et conduites thérapeutiques : l'expérience de l'asthme

Loignon, Christine January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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