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Générateur de phrases basé sur une ontologie syntaxiqueSzymoniak, Karl 05 1900 (has links) (PDF)
Loin des automates du début du XVIIe siècle, le traitement automatique de la langue connaît dernièrement une évolution rapide notamment dans le domaine de l'analyse de corpus. Dans le cadre de la génération, les travaux restent cependant plus rares, principalement en raison de la complexité de leur implémentation. En plus des difficultés propres à la création de phrases ou de textes, un tel outil doit être en mesure d'effectuer une analyse du thème de l'interaction afin d'y conformer sa production. L'objectif de mon mémoire est la génération de phrases aléatoires, donc sans analyse de thème, syntaxiquement et sémantiquement correctes. Pour le côté syntaxique, j'ai décidé de construire mon programme autour d'une ontologie syntaxique basée sur un corpus du journal « Le Monde ». Le but de cette ontologie syntaxique est de permettre la génération de phrases ayant une structure syntaxique correcte. Le côté sémantique devait s'effectuer par l'ajout à cette structure d'un lexique marqué et permettre la génération de phrases sémantiquement correctes. Ce lexique devait être marqué à l'aide des structures de traits des grammaires syntagmatiques guidées par les têtes. Malheureusement, certains problèmes logistiques m'ont obligé à utiliser un vocabulaire marqué catégoriellement et, par là même, à abandonner la partie sémantique de la génération. Mon projet de mémoire traite donc de la création d'un générateur de phrases, de sa conception à sa réalisation.
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Approche phonologique, morphologique et syntaxique du breton du Grand Lorient (basvannetais)Cheveau, Loïc 12 October 2007 (has links) (PDF)
Le présent travail consiste en une description structurale de la phonologie, de la morphologie et de la syntaxe du breton bas-vannetais du pays de Lorient. Notre étude se base sur un corpus d'une quarantaine d'heures d'enregistrements sonores réalisés auprès de 19 bretonnants natifs des communes de Lorient, Caudan, Ploemeur, Quéven ou Guidel. Une partie de ces enregistrements nous a été fournie par Radio Bro-Gwened, l'autre a été réalisée par nous dans le cadre de plusieurs enquêtes de terrain. Ce dialecte n'a fait l'objet d'aucune étude approfondie jusqu'à présent, les seuls renseignements disponibles à leur sujet figurant dans les atlas linguistiques. Dans un premier temps, nous avons étudié la phonologie du dialecte en procédant à l'inventaire de ses phonèmes. Ensuite nous nous sommes penchés sur les alternances phonologiques que sont les mutations initiales. Le breton lorientais possède un système de mutations beaucoup plus complexe et étendu que les autres langues celtiques en général. En morphologie, nous avons observé que les pronoms objets directs présentaient quatre séries différentes selon la forme des verbes auxquels ils étaient reliés, fait typologiquement rare. La morphologie verbale également présente nombre de différences par rapport aux autres dialectes bretons. Enfin nous avons tenté de décrire les faits principaux de la syntaxe du dialecte, en insistant sur le verbe être et sur les structures complexes (complémentation, relativisation). En conclusion, nous avons insisté sur l'urgence des campagnes de collectage linguistique en Basse-Bretagne, eu égard à l'âge de la majorité des bretonnants de naissance, et à l'ampleur de la tâche qui reste à accomplir.
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Français et diglossieMassot, Benjamin Barra Jover, Mario. January 2009 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Sciences du langage. Linguistique générale : Paris 8 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p. 311-319.
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Infinite syntax !Ross, John Robert. January 1900 (has links)
Texte remanié : Doctorat en Philosophie : Massachusetts Institute of Technology : 1977. / parue sous le titre " Contraints on variables in syntax " Bibliogr. p. 298-304. Index.
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Exploration de la relation entre les habiletés métasyntaxiques et la capacité de mémoire phonologique chez des enfants de langues d'origineFortier, Véronique 03 1900 (has links) (PDF)
Dans de nombreuses études présentant une comparaison entre les résultats obtenus par des enfants de langues d'origine et des locuteurs natifs à des tâches de mesure de leurs habiletés métasyntaxiques, les enfants de langues d'origine obtiennent souvent des résultats inférieurs à ceux de locuteurs natifs (p.ex., Armand, 2000; Da Fontoura et Siegel, 1995). Étant donné les liens étroits unissant les habiletés métasyntaxiques et la compétence en lecture, dont l'importance est capitale pour le succès scolaire (Bialystok, 2001a), il importe de mieux comprendre ce qui sous-tend la réalisation de tâches métasyntaxiques, particulièrement chez les enfants de langues d'origine. La littérature présente certes des études ayant démontré des relations entre les connaissances langagières, telles les connaissances lexicales (p.ex., Davidson, Raschke et Pervez, 2010) et la compétence en lecture (p.ex., Simard, Portier et Foucambert, 2013), ou certaines variables contextuelles, comme l'influence de la langue maternelle (p.ex., Lipka, Siegel et Vukovic, 2005) pouvant expliquer les performances des enfants de langues d'origine à des tâches métasyntaxiques, mais peu semblent s'être intéressées à l'étude de variables cognitives. Notre étude s'intéresse ainsi à la contribution d'une variable cognitive, soit la capacité de mémoire phonologique, lors de la réalisation de tâches métasyntaxiques. Les quelques études ayant exploré cette relation ont offert des résultats peu concluants (p.ex., Simard, Foucambert et Labelle, à paraître). Cependant, étant donné certaines observations empiriques indirectes liant d'une part les habiletés métasyntaxiques aux connaissances syntaxiques (p.ex., Bowey, 1986a; Cain, 2007) et, d'autre part, les connaissances syntaxiques et la capacité de mémoire phonologiques (p.ex., French et O'Brien, 2008), nous considérons que la question doit être approfondie. Nous avons donc formulé les questions de recherche suivantes : 1) La capacité de mémoire phonologique contribue-t-elle à la réalisation de tâches métasyntaxiques par des enfants de langues d'origine? 2) Si oui, dans quelle mesure la capacité de mémoire phonologique contribue-t-elle à la réalisation de tâches métasyntaxiques, chez des enfants de langues d'origine, au-delà de l'influence des connaissances lexicales et syntaxiques? Afin de répondre à ces questions, nous avons mené une étude auprès de 83 enfants de langues d'origines âgés d'en moyenne 10.5 ans. Les participants ont effectué deux tâches de mesure de leurs habiletés métasyntaxiques, soit une tâche de répétition de phrases agrammaticales et une tâche de réplication de l'erreur. Afin d'obtenir une mesure de la capacité de mémoire phonologique des participants, nous les avons soumis à une tâche de répétition de non-mots, soit celle de Poncelet et Van der Linden (2003). Dans le but de contrôler l'influence des connaissances langagières des participants pouvant intervenir lors de la réalisation des tâches métasyntaxiques ou de la tâche de répétition de non-mots, les participants ont aussi été soumis à des tâches de mesure des connaissances lexicales réceptives et syntaxiques, en plus d'avoir répondu à un questionnaire de données sociodémographiques. Diverses analyses ont été menées sur les résultats obtenus, dont des analyses de régression standard qui nous ont permis d'affirmer que la capacité de mémoire phonologique est une indicateur important de la performance des participants à la tâche de répétition de phrases agrammaticales et ce, même lorsque l'influence des connaissances lexicales et syntaxiques est contrôlée. Cependant, la contribution de la capacité de mémoire phonologique à la réplication d'erreur s'est avérée non significative. Notre étude permet de faire ressortir le caractère multifactoriel de la réalisation de tâches métasyntaxiques en plus de mettre en lumière les liens étroits unissant la capacité de mémoire phonologique et les autres systèmes de la mémoire de travail.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : habiletés métasyntaxiques, capacité de mémoire phonologique, enfants de langues d'origine.
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Étude électroencéphalographique des premiers processus syntaxiques impliqués lors de la compréhension de la phrase en français québécoisMartel, Guillaume January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les segments averbaux, unités syntaxiques de l'oral / Verbless segments as syntactic units in spoken FrenchTanguy, Noalig 07 December 2009 (has links)
Différentes études sur de larges corpus oraux ont permis ces dernières années de mettre en lumière des structures bien particulières tout en élaborant différents modèles articulés autour de nouvelles unités opératoires censées remplacer avec efficacité la notion de phrase. Nous pensons à l’inverse que la notion de phrase comme prédication assortie d’une modalité énonciative peut aisément être conservée pour traiter du français parlé, à condition cependant d’être perçue en temps réel. La phrase, désormais analysée en « noyau + affixes », est en effet avant tout une unité de traitement et de production n’ayant qu’une existence temporaire dans le flux de l’activité productive et interprétative. Ce postulat nous permettra d’expliquer certains phénomènes averbaux typiques de l’oral comme les réalisations de compléments différés, les répétitions, les reformulations, les recatégorisations de prédicats en affixes. Nous nous sommes donc intéressée plus particulièrement aux différents fonctionnements des segments sans verbe dans un corpus oral. Un premier ensemble rassemble les segments sans verbe fonctionnant en tant que phrases selon des degrés de prédicativité plus au moins élevés : prédications averbales, prédications interjectives et réalisations averbales d’une prédication verbale implicite. Cependant, pour de nombreux segments sans verbe, l’interprétation est moins sûre et ces segments dits « flottants », en marge des emplois canoniques, nous renvoient à la problématique de la phrase. C’est par exemple le cas de compléments différés, constituants averbaux oscillant entre trois pôles : éléments intégrés, éléments détachés et éléments autonomes. / Over the last few years, various studies on large corpora in spoken French have shed light on quite specific structures and have come up with various patterns which resort to new operating units. These units are alleged to efficiently replace the notion of sentence. However, we have chosen to keep the word 'sentence', which we define as the association of a predication and of an enunciative modality. We therefore think that this definition needn’t be replaced to analyse spoken French, provided the segment under scrutiny is deciphered at the time of its utterance. In this study, we will consider that the sentence is composed of a “nucleus plus affixes” and that it is above all a means of analysis as well as a production unit which are both temporary within the process of the productive and interpretative activity. This postulate will enable us to explain why some verbless structures are only found in spoken French, such as the product! ion of deferred complements, repetitions, rewordings and the re-categorizing of predicates into affixes. We took special interest in the various functions performed by verbless segments in a spoken French corpus. A first subgroup includes verbless segments which work like sentences in so far as they express various levels of predicability, such as verbless predications, interjectional predications, or verbless realisations of an implicit verbal predication. Yet, this analysis does not seem to work when applied to many verbless segments called floating segments since they do not correspond to the canonical definitions of the sentence. We thus have to reconsider what a sentence is, especially when we tackle postponed complements, or verbless constituents which partake of the three following categories: integrated elements, detached elements and autonomous elements.
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Description du ɓaka, une langue oubanguienne du Cameroun / A description of ɓaka, an Ubangian language of CameroonDjoupee, Bertille 23 November 2017 (has links)
Il s’agit d’une description grammaticale du ɓaka, une langue oubanguienne (Niger-Congo). L’analyse se fonde sur un corpus recueilli sur le terrain, dans la région de l’Est-Cameroun (département du Haut-Nyong). Le corpus représente 1h 36mn de paroles spontanées qui ont été traitées sous Toolbox, Elan et Praat puis analysées dans une perspective structurale fonctionnaliste. La thèse comprend trois parties. La première regroupe une introduction et l’analyse phonologique. La seconde partie est consacrée à l’établissement des catégories grammaticales. Le ɓaka étant une langue à faible morphologie, c’est à partir de critères syntaxiques que quinze catégories ont été identifiées : Verbe, Nom, Nom relationnel, Pronom personnel, Pronom, Adjectif, Adverbe, Numéral, Prédicatif, Préposition, Subordinatif, Coordinatif, Interjection, Onomatopée et Modalité. Je présente, pour chaque catégorie définie, une étude des formes et de son fonctionnement. La troisième partie qui porte sur la syntaxe présente le syntagme nominal, le syntagme verbal et la prédication non verbale qui sont les éléments fondamentaux de la structuration de cette langue. La prédication non verbale combine le recours à des prédicatifs non verbaux et à la construction d’énoncé sans prédicatif dédié fondée sur la juxtaposition de deux éléments dont j’analyse les caractéristiques. J’aborde ensuite l’énoncé complexe, et traite en particulier des connecteurs entre propositions que sont les coordinatifs et les subordinatifs, puis des procédés de topicalisation et de focalisation qui manifestent la hiérarchie dans l’énoncé. Une bibliographie et une annexe présentant la transcription de trois textes du corpus terminent ce travail. / Ɓaka is an Ubangian language of the Niger-Congo language family. The grammatical description is based on a text corpus that was collected during fieldwork in the department of Haut Nyong in the East Province of Cameroon. The corpus consists of recordings (1h and 36 min) of spontaneous speech, which were annotated in Toolbox, Elan and Praat and then analyzed from a structuralist-functionalist perspective. The thesis is divided into three parts. Part 1 contains the introduction and the phonological analysis. Part 2 is dedicated to defining the word classes. As Ɓaka is a language with little morphology, the following 15 word classes were identified through syntactic criteria: verb, noun, relational noun, personal pronoun, pronoun, adjective, adverb, numeral, predicator, preposition, subordinator, coordinator, interjection, onomatopoeia and modal. For each of these defined word classes, a study of their forms and functions is presented. Part 3 deals with the syntax of Ɓaka, more precisely with the noun phrase, the verb phrase and non-verbal predication, which are the fundamental structuring units of this language. Non-verbal predication encompasses both the use of non-verbal predicators as well as constructions that contain no dedicated predicators and are based on two juxtaposed elements, whose characteristic features are analyzed in detail. Part 3 is also concerned with complex sentences. It examines coordinating and subordinating connectors as well as topicalization and focalization strategies, which reflect hierarchical relations in the sentence. The thesis concludes with a bibliography and an appendix containing three transcribed texts from the corpus.
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Acquisition de schémas prédicatifs verbaux en japonais / Verbal predicate-frame acquisition in JapaneseMarchal, Pierre 15 October 2015 (has links)
L'acquisition de connaissances relatives aux constructions verbales est une question importante pour le traitement automatique des langues, mais aussi pour la lexicographie qui vise à documenter les nouveaux usages linguistiques. Cette tâche pose de nombreux enjeux, techniques et théoriques. Dans le cadre de cette thèse, nous nous intéressons plus particulièrement à deux aspects fondamentaux de la description du verbe : la notion d'entrée lexicale et la distinction entre arguments et circonstants. A la suite de précédentes études en traitement automatique des langues et en linguistique nous faisons l'hypothèse qu’il n’y a pas de distinction marquée entre homonymes et quasi-synonymes ; de même, nous posons qu’il existe un continuum entre arguments et circonstants. Nous proposons une chaîne de traitement complète pour l'acquisition de schémas prédicatifs verbaux en japonais à partir d'un corpus non étiqueté de textes journalistiques. Cette chaîne de traitement intègre la notion d'argumentalité au processus de création des entrées lexicales et met en œuvre une modélisation de ces deux continuums. La ressource produite a fait l'objet d'une évaluation comparative qualitative, qui a permis de mettre en évidence la difficulté des ressources linguistiques à décrire de nouvelles données, plaidant par là même pour une lexicologie s'inscrivant dans le cadre épistémologique de la linguistique de corpus. / Lexical knowledge acquisition of verbal constructions is an important issue for natural language processing as well as lexicography, which aims at referencing emerging linguistic usages. Such a task implies numerous challenges, technical as well as theoretical. In this thesis, we had a closer look at two fundamental aspects of the description of the verb: the notion of lexical item and the distinction between arguments and adjuncts. Following up on studies in natural language processing and linguistics, we embrace the hypothesis that there is no clear distinction between homonyms and quasi-synonyms, and the hypothesis of a continuum between arguments and adjuncts. We provide a complete approach to lexical knowledge acquisition of verbal constructions from an untagged news corpus. The acquisition process makes use of the notion of argumenthood, and builds models of the two continuums. Our lexicon has been evaluated on a qualitative and comparative basis. Siding with lexicography anchored in the theoretical framework of corpus linguistics, we show the difficulty of using lexical resources to describe as yet unseen data.
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Étude des emplois de l'adjectif invarié en français / A study of the invariable Adjective in FrenchCoiffet, Benoît 28 September 2018 (has links)
Dans cette étude, nous analysons des combinaisons formées d’un verbe à droite duquel se trouve un adjectif invarié (du type manger + bio, acheter français). Dans cette position, il est incident au verbe d’un point de vue syntaxique. Cependant, en tant qu’élément caractérisant, il requiert sémantiquement des éléments supports, mais ceux-ci sont systématiquement absents de l’énoncé. L’absence de ces supports sémantiques entraîne son invariabilité, et c’est la raison pour laquelle on propose de parler d’adjectif « invarié ». On peut par ailleurs constater que l’adjectif, dans cet environnement syntaxique, fonctionne comme un adverbe, unité de langue avec lequel il partage cette position prototypique à droite du verbe. Il apparaît que dans ce contexte syntaxique, l’adjectif invarié peut porter sur plusieurs éléments. Dans certains cas, il peut s’agir d’éléments appartenant à la structure argumentale du verbe, tels que l’objet non exprimé ; dans d’autres cas, il peut porter sur des éléments qui n’appartiennent pas forcément à la structure argumentale (dans une combinaison du type pédaler + utile). Dans cette étude, nous postulons qu’il peut alors être complément de manière. / In this study, we analyze verb combinations formed by placing an adjective to the right of a verb (such as "to eat organic" or "to buy French"). Placed in this position, the adjective is incidental to the verb from a syntactical point of view. However, as a defining element, it requires supporting elements, which are systematically absent from the statement. The absence of these semantical supports causes the adjective to be grammatically invariable, and for that reason, we speak of "invariable" adjectives. It can be maintained that, in this syntactical environment, an adjective finds itself in the place of another linguistic structure of which it is the prototypical function and with which it appears to be in competition: the adverb.It appears that, in this syntactical contest, an invariable adjective bears upon several elements. In certain cases, it can be a matter of elements belonging to the argumental structure of the verb, such as the unexpressed object. In other cases, it can involve elements that do not necessarily belong to the argumental structure (as in the combination "to bike + useful"). In this study, we postulate that it can thus be a complement describing the manner.
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