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La Main ou le théâtre de l'identité trafiquée chez Michel Tremblay

Sareault, Guillaume 12 1900 (has links)
Ce mémoire veut, de prime abord, porter un regard sur la rue Saint-Laurent qui, depuis ses débuts, joue un rôle fondamental dans le tissu montréalais. Grâce à son visage bigarré et à son hétérogénéité, elle a su marquer l’histoire de la métropole et alimenter l’imaginaire d’un bon nombre d’écrivains. Michel Tremblay demeure un de ceux qui, dans l’ensemble de son oeuvre, explore le plus abondamment les clairs-obscurs et l’étrangeté de ce corridor urbain. Son écriture à la fois crue, marginale et théâtrale, s’inscrit pertinemment dans l’univers de la Main et, plus particulièrement, dans la partie du Redlight où aboutissent et se meuvent ses personnages les plus colorés. Ayant délaissé leur milieu d’origine, ces derniers s’imposent des changements radicaux afin de mieux cadrer avec la nature et les activités de leur terre d’accueil. Ce mémoire visera donc à penser l’« identité trafiquée » des personnages de Tremblay comme condition de leur inscription sur la rue Saint-Laurent. En outre, il sera question de l’esprit théâtral de cette artère qui pousse les travestis et les artistes en tout genre à se donner « en représentation » et à incarner un rôle de composition. Par l’entremise des masques – notamment celui du déguisement, du maquillage et du travestissement, mais aussi celui de la langue qu’ils modulent afin de mieux coller à leur personnage –, ils projettent une identité individuelle instable qui dévoile l’ambiguïté qui les habite. Plus largement, la présente étude s’intéressera à l’ensemble des marginaux qui arpentent la Main et qui cherchent à (re)définir leur identité culturelle, au milieu des cultures américaine et française. Bien qu’elle essaie de se forger une identité propre, cette collectivité peine à se définir sans calquer les modèles dont elle tente de se dissocier. Une telle contradiction évoque à bien des égards le paradoxe auquel se sont heurtées les communautés immigrantes de la rue Saint-Laurent, dont la lente adaptation à la culture nord-américaine s’est faite non sans un difficile constat de pertes et de gains face à la culture d’origine. Il s’agira donc de voir comment ces groupes, en apparence irréconciliables, trouvent dans le même univers un contexte favorable pour mener leur quête identitaire. / The primary objective of this thesis is to examine St. Laurent Street, which has played, since its early stages, a fundamental role in the city of Montreal. Due to its motley face and its heterogeneousness, this street marked the history of the metropolis and fed the imagination of many writers. Michel Tremblay is one who, within his work, explores most abundantly the twilight and the oddness of this urban corridor. His writing, which is considered controversial, raw and theatrical, pertinently frameworks the universe of The Main and, more specifically, the world of the Redlight District where his most colourful characters find themselves. Having left their place of origin, the characters bring about radical changes in order to fit in with the nature and the activities of their new neighborhood. This thesis will therefore aim to think out the « trafficked identity » (identité trafiquée) of Tremblay’s characters as the condition of their belonging on St. Laurent Street. Moreover, it will take a keen interest in the theatrical spirit of this main road, which influences transvestites and artists of all kinds to play a role and embody a made-up persona. Through the use of masks – notably disguises, make-up and cross-dressing, as well as language which they modulate in order to fit with their character –, they project an unstable identity that unveils the ambiguity that lies in them. The present study will also focus on the marginalized individuals who pace The Main as a group of people who look forward to (re)defining their cultural identity, due to the feeling of being stuck between the American and French culture. Although this community tries to build up its own identity, it struggles to define itself without imitating the models from which it attempts to dissociate itself. Such a contradiction evokes the paradox that faced immigrant communities on St. Laurent Street, whose slow adaptation to North-American culture took place with many gains and losses of their culture of origin. It will therefore be interesting to examine how these apparently irreconcilable groups find in the same universe a favorable context to lead their quest for identity.
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Les nouvelles représentations dramaturgiques de la femme au Québec (2000-2010) : Fanny Britt, Evelyne de la Chenelière et Jennifer Tremblay, un féminisme diversifié

Grondines, Véronique 08 1900 (has links)
Peut-on qualifier la dramaturgie féminine contemporaine québécoise de féministe ? Ce mémoire répond par l’affirmative. Il montre que la dramaturgie féminine québécoise actuelle participe d’une nouvelle prise de parole féministe, plus complexe et plus diversifiée que celle des années 1970-1980, et qui tend notamment à conjuguer discours social et poétique de l’intime. Chaque jour de Fanny Britt (2011), L’Imposture d’Evelyne de la Chenelière (2009) et La Liste de Jennifer Tremblay (2008) proposent en effet des éléments novateurs quant à la représentation dramaturgique de la femme, tournant autour de trois imaginaires significatifs : l’imaginaire médiatique, l’imaginaire maternel et l’imaginaire du rapport hommes-femmes. En comparant les pièces entre elles ainsi qu’à quelques pièces charnières des décennies antérieures, il sera démontré que Chaque jour, L’Imposture et La Liste proposent de nouvelles représentations de la femme dans le paysage théâtral et social québécois. Enfin, ce mémoire vise à déterminer si la prise de parole féministe de ces pièces correspond au féminisme de la troisième vague. / Can contemporary Quebec feminine drama be considered feminist? This master’s dissertation answers in the affirmative. It demonstrates that the new women’s theatre is still feminist, but more complex and more diversified than in the 1970s and 80s, as it tends to blend the intimate and the social. The plays of Fanny Britt (Chaque jour, 2011), Evelyne de la Chenelière (L’Imposture, 2009), and Jennifer Tremblay (La Liste, 2008), offer innovative elements in their dramatic portrayal of women, as they focus on three themes: the media, motherhood and men-women relations. By comparing the plays with one another, as well as with important plays from past decades, it will be shown that Chaque jour, L’Imposture and La Liste renew the representation of women in Quebec theatre and society. Finally, this dissertation will address the links between this contemporary feminist theatre and the third wave feminist discourse.
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La québécité dans le théâtre contemporain Mythanalyse de Scotstown, Yukonstyle et Félicité

St-Jean-Raymond, David 09 1900 (has links)
Ce mémoire aborde trois oeuvres du théâtre québécois contemporain, Scotstown de Fabien Cloutier, Yukonstyle de Sarah Berthiaume et Félicité d’Olivier Choinière dans le but de les comparer. Cette comparaison doit alimenter une réflexion sur le concept de québécité, que le présent mémoire définit comme la mise en place d’un traitement de l’identité qui encourage le développement d’une certaine ambivalence identitaire. En stipulant que les discours identitaires sont empreints de ce que Gérard Bouchard appelle les mythes sociaux, ce mémoire analyse le corpus proposé pour en extraire les parts rationnelles de ces mythes, mais aussi les parts émotionnelles, qui agissent comme fondation de l’identité au même titre que la raison. Ce faisant, ce mémoire a pour ambition de déplacer une perception de la québécité ancrée dans une tradition historique et politique influencée par le nationalisme pour ramener ce concept vers une définition plus large, mais aussi plus polysémique pour interpréter l’histoire de la dramaturgie québécoise, qui entretient depuis la Révolution tranquille un rapport ironiquement ambivalent à l’égard des discours identitaires. / This memoir addresses three works of contemporary Quebec theatre, Fabien Cloutier’s Scotstown, Sarah Berthiaume’s Yukonstyle and Olivier Choinière’s Félicité, for the purpose of comparing them. This comparison must fuel a reflection on the concept of Quebec-ness, herein defined as the establishment of a treatment of identity promoting the development of an ambivalent identity. By providing that identity discourses are marked by what Gérard Bouchard calls “social myths”, this memoir analyses the proposed corpus with the intent of extracting the rational part of such myths along with their emotional parts, with both parts considered equally significant in the foundation identity. This memoir seeks to move away from common conceptions of Quebec-ness that are rooted in a political and historical tradition influenced by nationalism and proposes a more global definition of this concept, a definition that takes into account various meanings, allowing us to revisit the history of Quebec dramaturgy, as said dramaturgy ironically maintains an ambivalent position in regards to identity discourses since the Quiet Revolution.
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Visions de la vie Québécoise: Gélinas, Dubé et Tremblay

Bishop, Neil 26 October 2007
none
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Visions de la vie Québécoise: Gélinas, Dubé et Tremblay

Bishop, Neil 26 October 2007 (has links)
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La Main ou le théâtre de l'identité trafiquée chez Michel Tremblay

Sareault, Guillaume 12 1900 (has links)
Ce mémoire veut, de prime abord, porter un regard sur la rue Saint-Laurent qui, depuis ses débuts, joue un rôle fondamental dans le tissu montréalais. Grâce à son visage bigarré et à son hétérogénéité, elle a su marquer l’histoire de la métropole et alimenter l’imaginaire d’un bon nombre d’écrivains. Michel Tremblay demeure un de ceux qui, dans l’ensemble de son oeuvre, explore le plus abondamment les clairs-obscurs et l’étrangeté de ce corridor urbain. Son écriture à la fois crue, marginale et théâtrale, s’inscrit pertinemment dans l’univers de la Main et, plus particulièrement, dans la partie du Redlight où aboutissent et se meuvent ses personnages les plus colorés. Ayant délaissé leur milieu d’origine, ces derniers s’imposent des changements radicaux afin de mieux cadrer avec la nature et les activités de leur terre d’accueil. Ce mémoire visera donc à penser l’« identité trafiquée » des personnages de Tremblay comme condition de leur inscription sur la rue Saint-Laurent. En outre, il sera question de l’esprit théâtral de cette artère qui pousse les travestis et les artistes en tout genre à se donner « en représentation » et à incarner un rôle de composition. Par l’entremise des masques – notamment celui du déguisement, du maquillage et du travestissement, mais aussi celui de la langue qu’ils modulent afin de mieux coller à leur personnage –, ils projettent une identité individuelle instable qui dévoile l’ambiguïté qui les habite. Plus largement, la présente étude s’intéressera à l’ensemble des marginaux qui arpentent la Main et qui cherchent à (re)définir leur identité culturelle, au milieu des cultures américaine et française. Bien qu’elle essaie de se forger une identité propre, cette collectivité peine à se définir sans calquer les modèles dont elle tente de se dissocier. Une telle contradiction évoque à bien des égards le paradoxe auquel se sont heurtées les communautés immigrantes de la rue Saint-Laurent, dont la lente adaptation à la culture nord-américaine s’est faite non sans un difficile constat de pertes et de gains face à la culture d’origine. Il s’agira donc de voir comment ces groupes, en apparence irréconciliables, trouvent dans le même univers un contexte favorable pour mener leur quête identitaire. / The primary objective of this thesis is to examine St. Laurent Street, which has played, since its early stages, a fundamental role in the city of Montreal. Due to its motley face and its heterogeneousness, this street marked the history of the metropolis and fed the imagination of many writers. Michel Tremblay is one who, within his work, explores most abundantly the twilight and the oddness of this urban corridor. His writing, which is considered controversial, raw and theatrical, pertinently frameworks the universe of The Main and, more specifically, the world of the Redlight District where his most colourful characters find themselves. Having left their place of origin, the characters bring about radical changes in order to fit in with the nature and the activities of their new neighborhood. This thesis will therefore aim to think out the « trafficked identity » (identité trafiquée) of Tremblay’s characters as the condition of their belonging on St. Laurent Street. Moreover, it will take a keen interest in the theatrical spirit of this main road, which influences transvestites and artists of all kinds to play a role and embody a made-up persona. Through the use of masks – notably disguises, make-up and cross-dressing, as well as language which they modulate in order to fit with their character –, they project an unstable identity that unveils the ambiguity that lies in them. The present study will also focus on the marginalized individuals who pace The Main as a group of people who look forward to (re)defining their cultural identity, due to the feeling of being stuck between the American and French culture. Although this community tries to build up its own identity, it struggles to define itself without imitating the models from which it attempts to dissociate itself. Such a contradiction evokes the paradox that faced immigrant communities on St. Laurent Street, whose slow adaptation to North-American culture took place with many gains and losses of their culture of origin. It will therefore be interesting to examine how these apparently irreconcilable groups find in the same universe a favorable context to lead their quest for identity.
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Adopter Tchekhov : étude sociolinguistique de trois traductions québécoises d'Oncle Vania (1983-2001)

Gamache, Rachel 08 1900 (has links)
Depuis le début des années 1980, le milieu théâtral québécois manifeste un intérêt croissant pour Tchekhov. Pourtant, les pièces traduites ne répondent pas à la tendance qui, dans le Québec des années 1970-1980, consistait à adapter les classiques du théâtre étranger de façon ethnocentrique, notamment en les traduisant en québécois. Pour Tchekhov, les traducteurs et les praticiens semblent davantage préoccupés par la dimension dramaturgique de la langue que par l'adaptation au contexte sociolinguistique d'accueil. Intriguée par ce phénomène, nous avons cherché à le vérifier et à le comprendre dans le présent mémoire en analysant trois traductions québécoises d’Oncle Vania, représentées entre 1983 et 2001. Notre travail se trouve au carrefour de deux disciplines : la traductologie et l’analyse dramaturgique. Il cherche à démontrer l’ancrage proprement dramaturgique des différentes stratégies de traduction d’Oncle Vania en étudiant la série de leurs concrétisations, du texte source jusqu’à la mise en jeu cible. Le corpus se compose de deux traductions à visée mimétique et d’une réécriture. Dans l'Oncle Vania de Michel Tremblay (1983), l'idiolecte du personnage de Marina a été traduit en joual de façon à recréer l'effet dramaturgique source. Dans Uncle Vanya (1993), une production anglaise du Théâtre du Centaur, les répliques de Sérébriakov ont été traduites en français par Jean-Louis Roux, l'interprète du personnage, et mettent en valeur plusieurs traits distinctifs de celui-ci. La troisième pièce à l'étude est une réécriture de la pièce par Howard Barker, (Uncle) Vanya, traduite au Québec par Paul Lefebvre (2001). La vulgarité de la langue de cette pièce a été traduite de façon sémantique pour recréer la relation déstabilisante spectacle/spectateur propre au Théâtre de la Catastrophe de Barker. Très différentes les unes des autres, ces versions d'Oncle Vania démontrent que la traduction peut s'inscrire, en tant que processus d'analyse dramaturgique, au sein de la critique et de la réflexion sur l'œuvre de Tchekhov. En effet, ces traductions semblent participer davantage de l'histoire globale de l'interprétation du théâtre de Tchekhov en français que d’un projet sociopolitique. Ce mémoire contribue ainsi aux études de traductologie, en y intégrant des modalités d’analyse dramaturgique et apporte un nouvel éclairage à l’histoire de la traduction théâtrale au Québec. / Since the beginning of the 1980’s, Quebec's theatrical milieu interest for Chekhov plays is growing. However, the translated plays do not reflect the tendency which, in the 1970’s and the 1980’s, consisted in adapting the foreign classics of theater in an ethnocentric way, especially by translating them into québécois French. For Chekhov, the translators and the practitioners seemed more worried about the dramaturgic aspects of the language than by the sociolinguistic adaptation of the plays to the context of reception. Intrigued by this phenomenon, we tried to verify and understand it by analyzing three Uncle Vania plays translated and produced in Quebec between 1983 and 2001. Our work is at the crossroads of two disciplines : traductology and dramaturgical analysis. It tries to demonstrate the strictly dramaturgic roots of the various translations strategies for Uncle Vania by studying the series of their concretizations, from the source text to the target mise en jeu. The corpus consists of two mimetic translations and a rewriting. The first play is Oncle Vania, translated by Michel Tremblay (1983), where the idiolect of Marina, one of the characters, was translated in joual in order to recreate the dramaturgic effect of the source text. In the second translation, Uncle Vanya, played in English at the Centaur Theater (1993), the lines of professor Serebryakov were translated into French by Jean-Louis Roux, the character's interpreter, and emphasize several of his characteristics. The third play of the corpus is a rewriting of Chekhov's, (Uncle) Vanya by Howard Barker, translated in Quebec by Paul Lefebvre (2001). The vulgarity of the language of this last play was translated in a semantic way, in order to recreate the show/spectator relation particular to the Barker’s Theatre of Catastrophe. These Uncle Vania’s versions are very different from one another and demonstrate that translation, as a process of dramaturgic analysis, can contribute to the criticism and the reflection on the work of Chekhov. In fact, these translations seem to participate more in the global history of the interpretation of Chekhov’s theater in French, than in a sociopolitical reading of theatrical translation in Quebec. In contributing top translation studies by the mean of dramaturgical analysis, this work also sheds new light on the history of theatrical translation in Quebec. / Réalisé en codirection avec Hélène Buzelin
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Croyances populaires dans le théâtre québécois : entre le procédé ludique et le catéchisme dissimulé (1870-1900)

Sansregret, Rachel January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Visions de la vie Québécoise: Gélinas, Dubé et Tremblay

1972 October 1900 (has links)
No description available.
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Le Québec en autoreprésentation : le passage d'une dramaturgie de l'identitaire à celle de l'individu

Leroux, Patrick 12 March 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse trace et interroge le passage qui s'est opéré au cours des quarante dernières années dans la dramaturgie québécoise, soit le passage d'une écriture de l'identitaire à celle de l'individu. La lecture privilégiée sera de l'ordre de la sociocritique du texte dramatique et elle permettra d'identifier les stratégies discursives et poétiques autoréflexives d'une pratique théâtrale qui puise ses tropes aux littératures de l'intime. Ainsi, les pièces à caractère biographiques et les relectures historiques sont étudiées au même titre que celles qui se revendiquent de l'autobiographie, de l'autofiction et de l'autoreprésentation. Ces dernières caractérisent la production théâtrale québécoise récente. Après avoir été résolument politique et axée sur la langue, la dramaturgie québécoise, longtemps considérée écriture-miroir d'un peuple dont la nation est en perpétuel devenir, aujourd'hui s'intéresse d'abord à elle-même, à sa littérarisation, voire à ses praticiens préoccupés par la place qu'ils occupent dans un milieu plus exiguë, plus marginalisé dans l'ensemble de la société québécoise. Le devenir sociétal a-t-il été substitué par la préoccupation du devenir individuel, non pas comme exemplum, mais comme manifestation d'un sentiment d'unicité? La thèse examine l'émergence d'une dramaturgie tributaire des pratiques autographiques de ses praticiens. Le discours théâtral est à nouveau en accord avec le discours social, sauf que cette fois, le reflet que renvoie le miroir est celui d'une société d'individus préoccupés par leur propre devenir.

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