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Traduire une pluralité de discours : 'This Side Jordan' de Margaret Laurence

Lavoie, Caroline January 2014 (has links)
Premier roman de Margaret Laurence publié en 1960, This Side Jordan oppose monde ancestral et modernité par l'entremise de personnages ghanéens et anglais qui cherchent à affirmer leur identité à la veille de l’Indépendance du Ghana. Cette thèse présente la réflexion traductologique qui a accompagné notre traduction française de ce roman. Ce qui nous intéresse, c'est la pluralité des discours que tiennent les personnages du roman et le transfert de ces discours fictifs en traduction. La question fondamentale qui a motivé cet exercice est la suivante : est-il possible de substituer une pluralité de discours tenus en anglais en 1960 par d'autres discours pluriels tenus en français en 2013 et qui se voudraient identiques? Nous tentons d'y répondre grâce à l'analyse des différents discours qui dominent dans le roman, à de nombreuses illustrations de leur passage en traduction et aux pistes de réflexion proposées par les chercheurs, en traductologie comme dans d'autres disciplines.
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Identity, translation and embodiment in migrant and minority women's writings in Japan, English Canada and Québec

Yamade, Yuko January 2002 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Réception, traduction et retraduction des poèmes de S.T. Coleridge / Reception, translation and re-translation of the poems by S.T. Coleridge

Metzger, Florence 15 December 2017 (has links)
Meschonnic soulignait l’importance de l’« inséparabilité entre histoire et fonctionnement, entre langage et littérature », la nécessité de « reconnaître l’historicité du traduire, et des traductions » (poétique du traduire, introduction). En s’appuyant sur l’analyse des différentes traductions françaises de l’œuvre du poète-philosophe Coleridge, traductions publiées entre 1825 et 2015, nous tenterons de mettre en perspective ces traductions plurielles et les différentes théories de la traduction. Entre théorie de la traduction et pratique du traduire, comment peut-on définir le rôle et la place du traducteur ? La poésie est souvent considérée comme « intraduisible ». Pourtant, la poésie se traduit depuis des siècles. S’agit-il de traduction ou de « transposition créatrice », comme le pensait Jakobson ? Nous analyserons les différents procédés mis en œuvre pour compenser « what gets lost in translation », selon la formule de Robert Frost. En se plaçant dans une perspective comparative, nous examinerons le rôle joué par la traduction dans l’introduction de la poésie et de la pensée de Coleridge en France, ainsi que les échanges intellectuels entre France et Angleterre au moment de la naissance du Romantisme. / Meschonnic emphasized the importance of the "inseparability of history and modes of operating, between language and literature", the necessity of "recognizing the historicity of translating, and of translations" (Poetics of translating, introduction). By analyzing the different French translations of the work of the poet-philosopher Coleridge, published between 1837 and 2006, I will try to put these translations in the context of the different theories of translation and the different aesthetics of reception. Between the theory of translation and the practice of translating, how can the role and position of the translator be defined? Poetry is often considered as "untranslatable". Yet poetry has been translated for centuries. Is it translation or, what Jakobson calls a process of "creative transposition"? I will analyse the different processes used to make up for "what gets lost in translation" (Robert Frost). In a comparative perspective, I will discuss the role played by translation in the reception of Coleridge's poetry and thought in France and examine the intellectual exchanges between France and Great-Britain at the time of the birth of Romanticism.
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Validation d'un test de vocabulaire américain par un procédé multi-techniques de traduction

Tanguay, Michelle 27 November 2019 (has links)
"La traduction de toute méthode et de tout instrument de mesure développés par et pour un autre milieu culturel, doit être vérifiée afin d’éliminer l’erreur causée par la contamination des données de départ. La version de langue française des items 40 à 79 de la forme A du test de vocabulaire "P.P.V.T.” a été validée par une procédure multi-technigues. Après une technique de retraduction réalisée par deux groupes de traducteurs, une autre équipe de traducteurs a analysé les différentes versions obtenues pour choisir la meilleure traduction à chacun des items. Deux groupes de sujets anglophone et francophone ont passé ce test ou sa version et, après analyse de leurs résultats, leurs moyennes se sont avérées être comparables. La version en langue française de cette partie du *’P . P . V . T ., comparée au test original, est donc fidèle (selon le coefficient alpha de l’analyse de la fidélité) et valide (selon une analyse de la covariance)." / Québec Université Laval, Bibliothèque 2019
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L'humour verbal et sa traduction : une étude de la série télévisée française KAAMELOTT

Florentin, Valérie 17 April 2018 (has links)
Cette étude s'intéresse aux phénomènes inhérents à la traduction au confluent des deux domaines en plein essor que sont la traduction de l'humour et la traduction audiovisuelle. Elle s'attache, par l'analyse de la série télévisée française Kaamelott, à la traduisibilité de l'humour verbal malgré les restrictions techniques liées au sous-titrage. Plus particulièrement, cette étude décrit brièvement le contexte de production propre à la série ainsi que les concepts clés que sont l'humour et la traduction audiovisuelle avant d'établir une taxonomie des procédés d'humour verbal dans les dialogues originaux. Les neuf procédés retenus sont ensuite décrits et leur traduction analysée, afin de démontrer, entre autres, que l'humour verbal relevé dans Kaamelott est presque toujours traduisible selon les mêmes procédés.
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Découpage textuel dans la traduction assistée par les systèmes de mémoire de traduction / Text segmentation in human translation assisted by translation memory systems

Popis, Anna 13 December 2013 (has links)
L’objectif des études théoriques et expérimentales présentées dans ce travail était de cerner à l’aide des critères objectifs fiables un niveau optimum de découpage textuel pour la traduction spécialisée assistée par un système de mémoire de traduction (SMT) pour les langues française et polonaise. Afin de réaliser cet objectif, nous avons élaboré notre propre approche : une nouvelle combinaison des méthodes de recherche et des outils d’analyse proposés surtout dans les travaux de Simard (2003), Langlais et Simard (2001, 2003) et Dragsted (2004) visant l’amélioration de la viabilité des SMT à travers des modifications apportées à la segmentation phrastique considérée comme limitant cette viabilité. A la base des observations de quelques réalisations effectives du processus de découpage textuel dans la traduction spécialisée effectuée par l’homme sans aide informatique à la traduction, nous avons déterminé trois niveaux de segmentation potentiellement applicables dans les SMT tels que phrase, proposition, groupes verbal et nominal. Nous avons ensuite réalisé une analyse comparative des taux de réutilisabilité des MT du système WORDFAST et de l’utilité des traductions proposées par le système pour chacun de ces trois niveaux de découpage textuel sur un corpus de douze textes de spécialité. Cette analyse a permis de constater qu’il n’est pas possible de déterminer un seul niveau de segmentation textuelle dont l’application améliorerait la viabilité des SMT de façon incontestable. Deux niveaux de segmentation textuelle, notamment en phrases et en propositions, permettent en effet d’assurer une viabilité comparable des SMT. / The aim of the theoretical and experimental study presented in this work was to define with objective and reliable criterion an optimal level of textual segmentation for specialized translation from French into Polish assisted by a translation memory system (TMS). In this aim, we created our own approach based on research methods and analysis tools proposed particularly by Simard (2003), Langlais and Simard (2001, 2003) and Dragsted (2004). In order to increase the SMT performances, they proposed to eliminate a sentence segmentation level from SMT which is considered an obstacle to achieve satisfying SMT performances. On the basis of the observations of text segmentation process realized during a specialized translation made by a group of students without any computer aid, we defined three segmentation levels which can be potentially used in SMT such as sentences, clauses and noun and verb phrases. We realized then a comparative study of the influence of each of these levels on the reusability of WORDFAST translation memories and on the utility of translations proposed by the system for a group of twelve specialized texts. This study showed that it is not possible to define a unique text segmentation level which would unquestionably increase the SMT performances. Sentences and clauses are in fact two text segmentation levels which ensure the comparable SMT performances.
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Discours postcolonial et traduction de la littérature africaine subsaharienne après les années soixante : rémanences colonialistes

Kamgang, Emmanuel 29 November 2012 (has links)
La traduction postcoloniale de la littérature africaine europhone ne saurait s’inscrire dans le contexte colonial à proprement parler, où la traduction pouvait directement servir les intérêts de la colonisation. Les années 60 marquent la transition entre le discours du roman colonial, dimension essentielle du discours hégémonique occidental sur l’espace colonial africain, et celui du roman africain moderne. Si ce changement de perspective se reflète sur la traduction, celle de la littérature africaine reste le fait d’instances énonciatrices majoritairement occidentales. Or, le discours occidental sur l’altérité africaine s’étant constitué en un savoir qui subsiste à ce jour sous une forme ou une autre (rémanences), on peut s’interroger sur le positionnement d’une traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale par rapport à ce savoir dont la crise a présidé à l’éclosion de cette littérature anticoloniale qu’elle se propose de promouvoir. Autrement dit, la traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale est-elle à l’abri des représentations coloniales qui ont au fils des années voire des siècles façonné le regard de l’Occident sur l’Afrique? Pour aborder cette question, la traduction est posée ici, au-delà des considérations d’ordre linguistique et culturel – notamment l’hybridation de la langue d’écriture par les valeurs culturelles africaines – en termes de rapport à l’altérité. Dans une approche descriptive, les traductions française, anglaises et allemandes d’œuvres africaines représentatives de la postcolonialité ont été respectivement examinées dans une perspective comparative. Plus que de juger un acte de promotion de la littérature africaine au sein du canon universel, il faut d’abord voir ici l’occasion de revisiter le cadre théorique d’une traduction de soi, par opposition à une traduction de l’autre, la littérature africaine postcoloniale se définissant elle-même comme une écriture de soi, non pas en termes d’opposition binaire, mais bien dans une perspective hybride. Car, au-delà de sa dimension politique, la littérature africaine europhone assume la double identité propre à la postcolonialité.
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Contribution à une phénoménologie de la traduction : idée et possibilité d'une recherche phénoménologique de la traduction à partir de la phénoménologie d'Edmund Husserl / Contribution to a Phenomenology of Translation : idea and Possibility of a Phenomenological Investigation of Translation based on Husserl’s Phenomenology / Beitrag zu einer Phänomenologie des Übersetzens : idee und Möglichkeit einer phänomenologischen Übersetzungsforschung im Ausgang von Husserls Phänomenologie

Pourahmadali Tochahi, Masoud 14 December 2015 (has links)
La question directrice qui nous guide tout au long de ce travail est le "principium redendae rationis sufficientis" (le principe de la raison suffisante) sur la traduction duquel Heidegger mène ses réflexions au sujet de la traduction sans le mettre lui-même en relation avec la problématique de la traduction. En d’autres termes, la question que nous nous posons est de savoir si quelque chose comme la traduction est possible, quelle est la raison déterminante de cette possibilité et pourquoi en général une telle chose est possible plutôt qu’impossible. La question de la possibilité de la traduction au sens de ratio sufficiens, est une question qui porte sur l’essence de la traduction en tant que lieu où l’identité et la non-identité à la fois se thématisent et se problématisent. Nous nous référons afin de répondre à cette question directrice à la phénoménologie d’Edmund Husserl. Indépendamment du fait que Husserl lui-même, comme nous le montrons, pense à une telle possibilité de la traduction, l’intérêt de la phénoménologie de Husserl pour la théorie de la traduction consiste à proposer un instrument formidable d’analyse linguistique, dont la spécificité ne consiste pas dans l’analyse de la forme telle qu’elle est, mais dans l’analyse de la forme à partir du contenu de la conscience dans laquelle toute forme a soit son équivalent conscientiel conscient selon le mode intentionnel de la conscience, soit est explicable à partir d’un tel contenu. L’idée et la possibilité d’une recherche phénoménologique de la traduction se réalisent dans le présent travail à partir de l’exploration d’une telle conscience qui se présente en même temps comme une conscience traductionelle. / The central thought of the present work is the "principium redendae rationis sufficientis", the translation of which Heidegger himself dealt with in his reflections on translation, but without drawing these in relation to the issue of translation. In other words, we raise the following question: If something like translation is possible, what is then the decisive reason and why is translation more likely possible than impossible? The question with regard to the possibility of translation in the sense of ratio sufficiens enquires about the essence of translation as a specific location in which identity, but also non-identity, are simultaneously problematized and thematised. In order to elucidate our initial question, we refer to Edmund Husserl’s phenomenology. Irrespective of the fact that Husserl himself thought of a such possibility of translation, as we intend to show, the interest of Husserl’s phenomenology for a theory of translation consists in offering a formidable instrument of linguistic analysis whose specificity does not rely on a purely formal analysis, but on an analysis of form deriving from the content of consciousness, in which each form, according to the intentional mode of consciousness, is either disposing of its conscious equivalent or is explicable through a such content. The idea and the possibility of a phenomenological translation research is to carry out in this present work starting from the investigation of a such consciousness, that presents itself at the same time as a translation-consciousness. / Der dieser Arbeit zugrundeliegende Leitgedanke ist das "principium redendae rationis sufficientis", mit dessen Übersetzung sich Heidegger bereits in seinen Betrachtungen zu Übersetzung befasst hat, ohne jedoch diese selbst auf die eigentliche Übersetzungsproblematik zu beziehen. Mit anderen Worten fragen wir uns: Wenn etwas wie Übersetzung möglich ist, was ist der entscheidende Grund dafür und weshalb ist etwas derartiges vielmehr möglich als unmöglich? Die Frage nach der Möglichkeit der Übersetzung im Sinne der ratio sufficiens fragt nach dem Wesen der Übersetzung als Ort, an dem sich Identität und Nicht-Identität gleichzeitig thematisieren und problematisieren. Um unsere Ausgangsfrage zu erforschen, beziehen wir uns auf die Phänomenologie Edmund Husserls. Unabhängig davon, dass Husserl selbst, wie wir zeigen werden, bereits an eine solche Möglichkeit der Übersetzung gedacht hat, besteht das Interesse der Husserlschen Phänomenologie für die Übersetzungstheorie darin, ein ausgezeichnetes Instrument zur linguistischen Analyse vorzuschlagen, dessen Spezifizität nicht in einer reinen Formanalyse besteht, sondern in der Analyse der Form ausgehend vom Bewusstseinsinhalt, in dem jede Form entweder gemäß dem intentionalen Modus des Bewusstseins über ein bewusstseinsmäßiges Äquivalent verfügt oder von einem solchen Inhalt aus erklärbar ist. Die Idee und Möglichkeit einer phänomenologischen Übersetzungsforschung wird im Ausgang von der Erforschung eines solchen Bewusstseins, das sich auch als ein Übersetzungsbewusstsein darstellt, durchgeführt.
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Discours postcolonial et traduction de la littérature africaine subsaharienne après les années soixante : rémanences colonialistes

Kamgang, Emmanuel 29 November 2012 (has links)
La traduction postcoloniale de la littérature africaine europhone ne saurait s’inscrire dans le contexte colonial à proprement parler, où la traduction pouvait directement servir les intérêts de la colonisation. Les années 60 marquent la transition entre le discours du roman colonial, dimension essentielle du discours hégémonique occidental sur l’espace colonial africain, et celui du roman africain moderne. Si ce changement de perspective se reflète sur la traduction, celle de la littérature africaine reste le fait d’instances énonciatrices majoritairement occidentales. Or, le discours occidental sur l’altérité africaine s’étant constitué en un savoir qui subsiste à ce jour sous une forme ou une autre (rémanences), on peut s’interroger sur le positionnement d’une traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale par rapport à ce savoir dont la crise a présidé à l’éclosion de cette littérature anticoloniale qu’elle se propose de promouvoir. Autrement dit, la traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale est-elle à l’abri des représentations coloniales qui ont au fils des années voire des siècles façonné le regard de l’Occident sur l’Afrique? Pour aborder cette question, la traduction est posée ici, au-delà des considérations d’ordre linguistique et culturel – notamment l’hybridation de la langue d’écriture par les valeurs culturelles africaines – en termes de rapport à l’altérité. Dans une approche descriptive, les traductions française, anglaises et allemandes d’œuvres africaines représentatives de la postcolonialité ont été respectivement examinées dans une perspective comparative. Plus que de juger un acte de promotion de la littérature africaine au sein du canon universel, il faut d’abord voir ici l’occasion de revisiter le cadre théorique d’une traduction de soi, par opposition à une traduction de l’autre, la littérature africaine postcoloniale se définissant elle-même comme une écriture de soi, non pas en termes d’opposition binaire, mais bien dans une perspective hybride. Car, au-delà de sa dimension politique, la littérature africaine europhone assume la double identité propre à la postcolonialité.
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Discours postcolonial et traduction de la littérature africaine subsaharienne après les années soixante : rémanences colonialistes

Kamgang, Emmanuel January 2012 (has links)
La traduction postcoloniale de la littérature africaine europhone ne saurait s’inscrire dans le contexte colonial à proprement parler, où la traduction pouvait directement servir les intérêts de la colonisation. Les années 60 marquent la transition entre le discours du roman colonial, dimension essentielle du discours hégémonique occidental sur l’espace colonial africain, et celui du roman africain moderne. Si ce changement de perspective se reflète sur la traduction, celle de la littérature africaine reste le fait d’instances énonciatrices majoritairement occidentales. Or, le discours occidental sur l’altérité africaine s’étant constitué en un savoir qui subsiste à ce jour sous une forme ou une autre (rémanences), on peut s’interroger sur le positionnement d’une traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale par rapport à ce savoir dont la crise a présidé à l’éclosion de cette littérature anticoloniale qu’elle se propose de promouvoir. Autrement dit, la traduction occidentale de la littérature africaine postcoloniale est-elle à l’abri des représentations coloniales qui ont au fils des années voire des siècles façonné le regard de l’Occident sur l’Afrique? Pour aborder cette question, la traduction est posée ici, au-delà des considérations d’ordre linguistique et culturel – notamment l’hybridation de la langue d’écriture par les valeurs culturelles africaines – en termes de rapport à l’altérité. Dans une approche descriptive, les traductions française, anglaises et allemandes d’œuvres africaines représentatives de la postcolonialité ont été respectivement examinées dans une perspective comparative. Plus que de juger un acte de promotion de la littérature africaine au sein du canon universel, il faut d’abord voir ici l’occasion de revisiter le cadre théorique d’une traduction de soi, par opposition à une traduction de l’autre, la littérature africaine postcoloniale se définissant elle-même comme une écriture de soi, non pas en termes d’opposition binaire, mais bien dans une perspective hybride. Car, au-delà de sa dimension politique, la littérature africaine europhone assume la double identité propre à la postcolonialité.

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