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Traduction de At a Loss for Words de Diane Schoemperlen suivie d’une analyse de l’intertextualité en traduction dans le romanMiglionico, Florence 06 November 2012 (has links)
La traduction de la littérature n'est pas chose aisée. Malgré toutes les possibilités de créativité qui s'offrent au traducteur, la traduction littéraire présente aussi le plus de contraintes. Cette thèse se focalisera sur un problème important auquel fait face le traducteur lors de la traduction de textes littéraires dits postmodernes : l'intertextualité, qui n'est pas toujours traduisible de façon directe. Il est donc important que le traducteur se pose les bonnes questions lorsqu'il traduit un intertexte : la référence à un texte antérieur parlera-t-elle au lecteur de la culture de réception? L'intertexte existe-t-il dans la culture cible? Ne serait-il pas mieux d'avoir recours à une adaptation ou à d'autres procédés dans certains cas? Pour illustrer l'enjeu de l'intertextualité en traduction, on trouvera d’abord la traduction du roman At a Loss for Words de l’auteure canadienne Diane Schoemperlen, qui sera suivie d’une étude du roman dans lequel on retrouve un haut niveau d'intertextualité. Cette analyse se composera en trois parties : un aperçu historique et théorique de l'intertextualité; une section sur la question de l'intertextualité en traduction où on reprendra les théories de Geneviève Roux-Faucard, Lawrence Venuti, Delphine Chartier, Peter Bush et Eleonora Frederici; l'analyse de la notion d'intertextualité dans le roman de Schoemperlen presque entièrement constitué d'intertextes et une explication des choix de traduction.
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Traduction de At a Loss for Words de Diane Schoemperlen suivie d’une analyse de l’intertextualité en traduction dans le romanMiglionico, Florence 06 November 2012 (has links)
La traduction de la littérature n'est pas chose aisée. Malgré toutes les possibilités de créativité qui s'offrent au traducteur, la traduction littéraire présente aussi le plus de contraintes. Cette thèse se focalisera sur un problème important auquel fait face le traducteur lors de la traduction de textes littéraires dits postmodernes : l'intertextualité, qui n'est pas toujours traduisible de façon directe. Il est donc important que le traducteur se pose les bonnes questions lorsqu'il traduit un intertexte : la référence à un texte antérieur parlera-t-elle au lecteur de la culture de réception? L'intertexte existe-t-il dans la culture cible? Ne serait-il pas mieux d'avoir recours à une adaptation ou à d'autres procédés dans certains cas? Pour illustrer l'enjeu de l'intertextualité en traduction, on trouvera d’abord la traduction du roman At a Loss for Words de l’auteure canadienne Diane Schoemperlen, qui sera suivie d’une étude du roman dans lequel on retrouve un haut niveau d'intertextualité. Cette analyse se composera en trois parties : un aperçu historique et théorique de l'intertextualité; une section sur la question de l'intertextualité en traduction où on reprendra les théories de Geneviève Roux-Faucard, Lawrence Venuti, Delphine Chartier, Peter Bush et Eleonora Frederici; l'analyse de la notion d'intertextualité dans le roman de Schoemperlen presque entièrement constitué d'intertextes et une explication des choix de traduction.
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Traduire la métafiction dans Dressing Up for the Carnival de Carol ShieldsFournier-Lévêque, Élise 27 March 2014 (has links)
Le projet de cette maîtrise en traduction littéraire comporte deux grands volets. Le premier volet, créatif, est une traduction intégrale vers le français d’un recueil de nouvelles de Carol Shields, intitulé Dressing Up for the Carnival (2000). Le deuxième volet, celui-ci théorique, est une analyse de cette traduction – de quatre nouvelles en particulier – portant sur l’aspect métafictionnel et autoréférentiel de l’écriture de Shields. Cette analyse s’intéresse particulièrement aux manières dont la figure de l’auteur est présentée et déconstruite. Elle montre en quoi cet aspect important de l’œuvre de Shields peut avoir une incidence sur la traduction ou la réception de la traduction, puisque l’auteure se prononce sur l’acte d’interprétation. L’analyse souligne également les défis qui découlent de la traduction d’une auteure comme Shields, qui tend à privilégier la langue et non l’intrigue comme point de départ de l’écriture, notamment par l’imposition de contraintes stylistiques sévères.
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La stylistique comparée et l'interprétation comme outils de délimitation du style individuel dans la traduction littéraire, étude des problèmes stylistiques soulevés par la traduction de Storm glass, de Jane UrquhartCôté, Nicole January 1998 (has links) (PDF)
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Traduction de At a Loss for Words de Diane Schoemperlen suivie d’une analyse de l’intertextualité en traduction dans le romanMiglionico, Florence January 2012 (has links)
La traduction de la littérature n'est pas chose aisée. Malgré toutes les possibilités de créativité qui s'offrent au traducteur, la traduction littéraire présente aussi le plus de contraintes. Cette thèse se focalisera sur un problème important auquel fait face le traducteur lors de la traduction de textes littéraires dits postmodernes : l'intertextualité, qui n'est pas toujours traduisible de façon directe. Il est donc important que le traducteur se pose les bonnes questions lorsqu'il traduit un intertexte : la référence à un texte antérieur parlera-t-elle au lecteur de la culture de réception? L'intertexte existe-t-il dans la culture cible? Ne serait-il pas mieux d'avoir recours à une adaptation ou à d'autres procédés dans certains cas? Pour illustrer l'enjeu de l'intertextualité en traduction, on trouvera d’abord la traduction du roman At a Loss for Words de l’auteure canadienne Diane Schoemperlen, qui sera suivie d’une étude du roman dans lequel on retrouve un haut niveau d'intertextualité. Cette analyse se composera en trois parties : un aperçu historique et théorique de l'intertextualité; une section sur la question de l'intertextualité en traduction où on reprendra les théories de Geneviève Roux-Faucard, Lawrence Venuti, Delphine Chartier, Peter Bush et Eleonora Frederici; l'analyse de la notion d'intertextualité dans le roman de Schoemperlen presque entièrement constitué d'intertextes et une explication des choix de traduction.
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Traduire la métafiction dans Dressing Up for the Carnival de Carol ShieldsFournier-Lévêque, Élise January 2014 (has links)
Le projet de cette maîtrise en traduction littéraire comporte deux grands volets. Le premier volet, créatif, est une traduction intégrale vers le français d’un recueil de nouvelles de Carol Shields, intitulé Dressing Up for the Carnival (2000). Le deuxième volet, celui-ci théorique, est une analyse de cette traduction – de quatre nouvelles en particulier – portant sur l’aspect métafictionnel et autoréférentiel de l’écriture de Shields. Cette analyse s’intéresse particulièrement aux manières dont la figure de l’auteur est présentée et déconstruite. Elle montre en quoi cet aspect important de l’œuvre de Shields peut avoir une incidence sur la traduction ou la réception de la traduction, puisque l’auteure se prononce sur l’acte d’interprétation. L’analyse souligne également les défis qui découlent de la traduction d’une auteure comme Shields, qui tend à privilégier la langue et non l’intrigue comme point de départ de l’écriture, notamment par l’imposition de contraintes stylistiques sévères.
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Nos autres: Écrits du Montréal anglophoneMilner, Valérie January 2016 (has links)
Cette thèse prend la forme d’un recueil de nouvelles littéraires de langue anglaise récentes (publiées entre 2002 et 2015), traduites vers le français; les œuvres, au nombre de dix, ont été sélectionnées en fonction du fait qu’elles prennent la ville de Montréal pour décor, et que leurs auteurs écrivent depuis, ou sur, cette ville. La thèse est donc sommairement divisée en deux parties : la première est constituée des traductions elles-mêmes, auxquelles on a tenté d’insuffler un ton et un registre proprement montréalais, étudiant de près le travail sur la langue effectué par chacun des auteurs. La seconde, de nature plus théorique, fait appel à certains principes traductologiques pour analyser la place de cette littérature de langue anglaise dans le paysage culturel du Québec d’aujourd’hui, ainsi que les implications sociolinguistiques et éthiques d’une telle entreprise. Une part importante de cette étude sera en outre consacrée à l’analyse littéraire de ces textes de l’urbanité, tant dans leur fond que dans leur forme, afin de mettre à jour les réflexions et les mécanismes ayant permis de mener à bien la re-création des nouvelles en français, langue avec laquelle, implicitement, elles cohabitent.
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Traduction française de récits autochtones du Canada comportant des mots empruntés aux langues indigènesThéberge, Sarah January 2009 (has links)
Canada's Native literature is rooted in an oral tradition, like many other aboriginal literatures. This literature's main characteristics are often distinct from those of the Western literary tradition. Throughout years and history, scholars and theorists from English Canada and Quebec have more or less ignored the members of the First Nations of this country, and their literature. However, since the late sixties, we have been witnessing a great revival of Native writing in Canada, which suggests a better and stronger image of the Native protagonist. Consequently, the contribution and image of Native literature on the English-Canadian and Quebec literary scenes have changed. The French translation of the literary works of Native authors contributes to the survival of this often marginalized literature. This transfer from one language to another implies, in this particular case, the keeping of borrowings from various Native languages used in the story. This is the central element of this M.A. thesis. The texts that I have here chosen to translate from English to French--stories from Brian Maracle, Basil Johnston, Alexander Wolfe and Marion Tuu'luq--originate from oral traditions, and all contain Native words. The same applies to their French translations, which adopt a"foreignizing" strategy by keeping those Native words in the target text. In order to help readers understand them, the authors have used various strategies which were maintained in the French translations. In addition, the specific rhythmic and syntactical characteristics of the source language, derived from the oral tradition of Native storytelling, have all been taken into account and explained in relation with translation studies.
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Le Canada traduit en deux temps : Œuvres littéraires d’auteurs canadiens traduites en russe pendant la Guerre froide et en Russie contemporaineSidorovskaya, Zoya 07 November 2018 (has links)
La présente thèse vise à analyser les traductions d’œuvres littéraires canadiennes en russe à l’époque soviétique (de 1945 à 1991) et à l’époque contemporaine (de 1991 à nos jours) pour voir dans quelle mesure le changement de régime politique a pu ou non influencer les traductions d’œuvres littéraires canadiennes dans l’État russe et, partant, les images qu’elles véhiculent.
En alliant certains principes de la théorie du polysystème à la théorie du monde social de Pierre Bourdieu et en s’appuyant sur de nombreuses recherches sur la censure et sur la pratique de la traduction littéraire dans des pays postcommunistes, la présente recherche explore les stades de sélection, de production et de réception d’ouvrages canadiens en URSS pendant la Guerre froide et en Russie contemporaine. Les trois stades étudiés sont comparés dans le but de montrer comment les différents systèmes sociaux pendant les deux époques aux idéologies grandement différentes influent sur les traductions littéraires d’œuvres d’auteurs canadiens. Les quatre études de cas figurant dans la thèse présentent des exemples d’interaction de différents systèmes sociaux et d’agents particuliers influant sur les traductions d’ouvrages canadiens et exposent les différentes stratégies de « cadrage » (notion et classification empruntées à Mona Baker) employées, s’il s’agit des traductions soviétiques, et des représentations qui découlent des traductions contemporaines, ainsi que des différences liées à la spécificité propre à chacune des deux époques quant à la sélection, la production et la réception des traductions. Mon analyse montre aussi où la littérature canadienne trouve accueil en URSS et en Russie et quelle place elle occupe au sein du système littéraire national.
Les résultats de mon étude enrichissent ainsi les connaissances en traductologie grâce à l’analyse comparée du rôle idéologique de la traduction dans un pays ayant connu deux régimes politiques différents, puis grâce à l’analyse de la manière dont le changement de régime a influé à son tour sur la traduction. Ma recherche est également pertinente pour les études canadiennes, car elle permet de dresser une liste exhaustive des ouvrages canadiens traduits en russe de 1945 à 2015. Enfin, ce projet revêt un intérêt particulier pour les études interculturelles, car il vise à étudier, à travers la littérature traduite, les représentations de la littérature canadienne (une culture qu’on associe souvent, pour ainsi dire, au « giron capitaliste américain ») dans une société tantôt anticapitaliste, tantôt capitaliste, qu’on identifie souvent comme l’autre « superpuissance » du 20e siècle.
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A paradigm of Earth : traduction performative et science-fiction queerArès, Mathieu January 2017 (has links)
L’utopie constitue l’un des genres de prédilection de la littérature féministe et queer, parce qu’elle permet de redéfinir certaines catégories, comme celle des représentations de sexe et de genre. La science-fiction, mégagenre dans lequel, selon moi, s’inscrit l’utopie, fait appel à une « distanciation cognitive » [cognitive estrangement] (Suvin, 2010 : 68), concept qui, dans le cas de l’utopie féministe et queer, participe à la déconstruction du binarisme dans le genre : elle introduit ce que l’on peut nommer un novum, un élément qui a pour socle la réalité créée par l’auteur, partagée par le lecteur, et qui vise à déstabiliser (Suvin, 2010 : 68). Le novum constitue un procédé narratologique qui domine la fiction à un point tel que tout aspect narratif de chaque oeuvre de science-fiction dérive de celui-ci (Csicsery-Ronay, Jr, 2008 : 49); le novum possède une influence, par le fait même, sur le plan traductif, puisque la traduction doit l’inscrire dans un contexte différent de celui du départ. Alors que le peu d’études disponibles sur la traduction de la science-fiction queer sont en général consacrées à la réception des stratégies traductives utilisées (Bérard, 2015), le présent mémoire se situe dans une perspective performative de la traduction. L’acte traductif est performatif, non neutre, et ainsi octroie une existence, une viabilité identitaire au texte, selon le contexte d’arrivée.
En prenant pour exemple le roman de science-fiction queer A Paradigm of Earth (2001) de l’auteure canadienne Candas Jane Dorsey, mon mémoire a pour objectif d’examiner, en s’inspirant de la généalogie de la traduction féministe (Lotbinière-Harwood, 1991; Simon, 1996; Von Flotow, 1997 et 1999) et des travaux sur la traduction du queer (Louar, 2008; Larkosh, 2011; Casagranda, 2013), de quelle manière s’effectuent certains changements de paradigme sur le plan traductif. La réflexion sur les désignations de genre dans le roman de Dorsey découle de Blou, l’alien au genre indéterminé, qui personnifie en quelque sorte le novum. D’où l’intérêt de proposer une approche performative de la traduction visant à faire éclater le binarisme de la langue française. / Abstract : Utopia is often used in feminist and queer literature, because it is a genre which questions some categories such as sex and gender representations. Science fiction concerns utopia since it provides cognitive estrangement, a concept that deconstructs gender binarism in feminist and queer utopias. Cognitive estrangement introduces a novum, a destabilizing element based on the author’s created reality, and shared by the reader (Suvin, 2010 : 68). The novum is a narratological device that so dominates its fiction that every science fiction narrative aspect derives from it (Csicsery-Ronay, Jr, 2008 : 49); this novum influences the translation process because the translator must reinsert it in a new context. Since the only studies which can be found today on translation in queer science fiction are generally dedicated to the reception of translation strategies (Bérard, 2015), this work situates translation within a performative approach. Translation is performative; it provides a viability to the text in another language-culture, another context. In studying an excerpt of Canadian Candas Jane Dorsey’s queer science fiction novel A Paradigm of Earth (2001), as well as my translation of it, my objective with this thesis is to consider how some translation paradigm shifts can be made according to feminist (Lotbinière-Harwood, 1991; Simon, 1996; Von Flotow, 1997 et 1999) and queer translation precepts (Louar, 2008; Larkosh, 2011; Casagranda, 2013). This work takes into consideration gender designations, which in Dorsey’s novel ensue from the character Blue, the ungendered alien; Blue represents the novum in A Paradigm of Earth, which allows the translator to take a performative approach in order to deconstruct gender binarism in French.
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