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Argent et capitalisme : de Marx aux monnaies du commun / Money and Capitalism : from Marx to common’s coins

Gallo Lassere, Davide 27 November 2015 (has links)
Les analyses développées dans cette thèse de doctorat visent à mettre en évidence le rôle éminemment politique de la monnaie. À la différence de ce que soutient la doxa néoclassique, la monnaie n'est pas neutre du point de vue économico-politique. Elle matérialise des rapports de force qui traversent toute la société et qui s’avèrent riches d’implications variées.La recherche se divise en trois parties : « Argent et capitalisme », « Argent et néocapitalisme », « Argent et postcapitalisme ». Elles sont précédées par une préface, dans laquelle j’expose ma démarche épistémologique, et par une introduction ontologique, dans laquelle je me place du point de vue de la projectualité sociétale de subjectivités qui luttent pour réinventer l’argent en fonction de leurs besoins et de leurs exigences. La première partie de la thèse, à travers une analyse croisée de l’oeuvre de Marx, de Simmel et de Keynes, se focalise sur les caractéristiques principales de la monnaie capitaliste : outil de domination, facteur de mobilisation des passions et vecteur de transformation sociale. La deuxième partie explore les aspects cruciaux de la crise néocapitaliste : le redéploiement global du régime d’accumulation, la financiarisation de la vie quotidienne et l’institution de l’euro. La troisième partie, après avoir envisagé les conditions d’une transition postcapitaliste, examine deux pratiques susceptibles de déclencher des processus nouveaux de subjectivation politique : les revendications d’un revenu social garanti et les expérimentations de circuits monétaires complémentaires. Les conclusions sociopolitiques esquissent enfin quelques pistes qui visent à articuler une théorie générale des monnaies du commun. / The analyses developed in my doctoral dissertation intend to stress the eminently political function played by money. Unlike neoclassic economic theory, I argue that currency is not neutral in economic and political terms. It materializes the power relationships that influence society, producing effects of different nature. The research consists of three parts: “Money and capitalism”, “Money and neocapitalism”, “Money and postcapitalism”. They are introduced by a preface in which I present my epistemological approach and by an ontological introduction, in which I focus on the social projects of the subjectivities who struggle to reinvent money adapting it to their needs. The first part of the dissertation, through a reading of the works of Marx, Simmel and Keynes, focuses on the main features of capitalist money: a tool for domination, a mobiliser of passions and a vector of social transformation. The second part explores some key elements of the crisis of neocapitalism: the global redeployment of the regime of accumulation, financialization of everyday life and the institution of euro. The third part, after an evaluation of the conditions of postcapitalistic transition, examines two practices capable to trigger original processes of political subjectivation: claims for a guaranteed social income and experimenting complementary monetary circuits. Finally, in the socio-political conclusions I delineate some paths in order to articulate a general theory of the common’s coins.
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« Si j'étais prince ou législateur, je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu'il faut faire...» Écriture philosophique et transformation politique en France, 1750-1780 / Discursive practices and representations of politics : writing, transformation of man and modification of the public sphere in political philosophy in France between 1750 and 1790.

Revel, Ariane 07 December 2017 (has links)
Quelle est l’utilité du philosophe en politique ? L’objet du présent travail est d’interroger la manière dont cette question a pu être posée et la façon dont on a pu y répondre, en France, dans les années qui vont du milieu du XVIIIe siècle jusqu’à 1780 environ. Dans un contexte qui se caractérise à la fois par l’omniprésence du discours philosophique et par son absence d’autonomie, on se propose de cerner la façon dont sont identifiés les effets possibles des écrits politiques des philosophes. Deux problèmes se posent alors. D’une part, il s’agit de déterminer à quelles conditions le discours philosophique sur la politique est jugé utile, et quel type de prise il doit assurer sur son objet pour être évalué comme tel. D’autre part, la question des effets produits par le texte doit nous inviter à considérer la manière dont le rapport entre le philosophe et ses lecteurs s’établit à travers le texte : comment se fait la communication des idées, et quelles sont ses conséquences pratiques ? Quels liens faut-il établir entre connaissance et action ?Notre enquête a procédé en deux approches successives. Dans un premier temps, nous avons cherché à repérer les termes dans lesquels dont on pose, dans cette seconde moitié du XVIIIe siècle, la question des effets des ouvrages politiques écrits par des philosophes. Ce travail nous a permis notamment de mettre en évidence le fait que l’utilité d’un écrit est envisagé dans une double dimension : dans la mesure où il est susceptible d’affecter le monde mais aussi dans la mesure où il est susceptible de contribuer au progrès de la connaissance et d’alimenter un débat intellectuel. Dans un cas comme dans l’autre, la forme et le style de l’ouvrage sont considérés comme centraux pour assurer son effet auprès du lecteur et le faire, à son tour, penser. Dans un second temps, nous nous sommes intéressé à quelques exemples d’un genre particulier : les textes de conseil de Rousseau et de Diderot à propos de la Corse, de la Pologne et de la Russie nous ont permis d’analyser la manière dont le philosophe définit son rôle par rapport au législateur, mais aussi dont il s’essaie à élaborer un langage qui tout à la fois lui permette de saisir son objet dans sa singularité et de se faire entendre auprès de son lecteur. Nous avons vu à travers ces deux approches se dessiner une sphère propre de la parole du philosophe en politique. À distance de l’action, le philosophe est l’homme de la vérité ; la contestation progressive de la référence au philosophe-législateur laisse la place à un usage critique de la connaissance. La fécondité politique de la parole philosophique apparaît alors non dans sa capacité à instituer mais à faire imaginer d’autres institutions possibles. / What is the purpose of the philosopher in politics? We examine the way in which this question has been posed and the way in which it was answered in France in the years from the mid-18th century to about 1780. For a context characterized both by the omnipresence of philosophical discourse and its lack of autonomy, we put forward our understanding of the way the possible effects of the political writings of philosophers are identified. Two problems then arise. On the one hand, there is the question of determining under what condition philosophical discourse on politics is deemed useful, and what type of hold it must have on its object to be evaluated as such. On the other hand, the question of the effects produced by the text should invite us to consider how the relationship between the philosopher and his readers is established through the text: how are the ideas communicated, and what are the direct consequences? What is the relationship between knowledge and action?Our investigation has taken two subsequent approaches. First, we sought to identify the terms in which the question of the effects of political works written by philosophers was raised in the second half of the eighteenth century. This has enabled us to highlight the fact that the usefulness of writing is envisaged in two dimensions: insofar as it is likely to affect the world but also insofar as it is likely to contribute to the progress of knowledge and to fuel an intellectual debate. In either case, the form and style of the work are considered central to ensure its effect on the reader and encourage him to think. In a second phase, we sought out examples of a particular genre: Rousseau and Diderot's writing on Corsica, Poland and Russia allowed us to analyze how the counseling philosopher defines his role in relation to the legislator but also attempts to elaborate a language which at the same time allows him to grasp his object in its singularity and to make himself heard by his reader. These two approaches have shown us a distinct sphere of the philosopher's word in politics. While keeping his distance from action, the philosopher is the man of truth; the gradual contestation of the reference to the philosopher as legislator leaves room for a critical use of knowledge. The political fecundity of the philosophical word then appears not in its capacity to institute but rather to facilitate imagining other possible institutions.
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Cambios socio-espaciales en el centro de Santiago de Chile: Formas de anclarse y prácticas urbanas de los nuevos habitantes

Contreras, Yasna 19 March 2012 (has links) (PDF)
La thèse a comme objet géographique la commune de Santiago, située dans la partie centrale de la ville de Santiago, spécifiquement quatre zones caractérisées par une profonde transformation sociale, urbaine et territoriale, que ce soit en raison de l'arrivée de nouveaux habitants, de la construction de nouveaux édifices, des travaux urbains et de l'amélioration des infrastructures routières, et également de l'apparition de nouvelles offres commerciales et culturelles, autant d'indices de processus de changements socio-urbains. La thèse aborde donc les choix et ancrages résidentiels des habitants disposant de revenus moyens ou moyens supérieurs qui arrivent dans des logements nouveaux et recyclés dans quatre zones de transformation de la commune de Santiago depuis le début des années 90. Il ne faut pas perdre de vue que dans le centre de Santiago arrivent également des habitants disposant de revenus inférieurs, en particulier de jeunes pauvres urbains représentés par des immigrants internes et latino-américains pour qui le centre de Santiago est devenu un espace significatif dans les dix dernières années. Dans ces quatre zones se conjuguent un nombre significatif de mutations socio-urbaines qui révèlent l'arrivée d'habitants disposant de revenus plus élevés ou de revenus similaires à ceux des résidents pré-existants : verticalisation à travers la construction d'édifices en hauteur, recyclage et réhabilitation d'anciennes constructions et récupération d'espaces publics. A cela s'ajoutent la rénovation et la création d'offres commerciales comme les cafés, galeries d'art, restaurants, salons de thé, entre autres modalités de consommation de plus en plus sophistiquées qui seraient le signe d'un processus de gentrification résidentiel, culturel et de changement socio-spatial. La gentrification abordée par la thèse se réfère à un processus de changement socio-spatial, commercial et culturel des quartiers centraux. Toutefois, dans le cas de Santiago, la gentrification est différente : elle ne suppose pas une expulsion des habitants disposant de plus faibles ressources, sinon plutôt l'invasion, la succession ou le remplacement d'habitants disposant de revenus similaires ou supérieurs à ceux des habitants pré-existants, mais avec une plus forte demande en termes de biens et services de consommation culturelle et commerciale.
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[fr] FÓRUM SOCIAL MONDIAL: CONCEPTIONS SUR UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE / [pt] FÓRUM SOCIAL MUNDIAL: CONCEPÇÕES SOBRE UM OUTRO MUNDO POSSÍVEL

GLORIA MARIA VARGAS DE QUEIROZ 12 November 2003 (has links)
[pt] As concepções que circulam no interior do Fórum Social Mundial acerca de um outro mundo possível, isto é, acerca das possibilidades de construção de uma outra globalização, centrada no ser humano e não na mercadoria, constituem o objeto da presente pesquisa, para a qual foi utilizou-se o conceito de campo de Bourdieu como instrumento teórico-metodológico e a produção teórica voltada à interpretação das dimensões econômicas, políticas e sociais que caracterizam as transformações das últimas décadas. O material que serviu de base empírica para a pesquisa corresponde a 35 textos extraídos do conjunto de comunicações apresentadas nas 16 conferências que ordenaram as atividades do FSM realizado em Porto Alegre em 2001, os quais foram submetidos à análise de conteúdo, visando à identificação das estratégias e processos sociais, ou seja, das vias de transição concebidas pelos diferentes atores e movimentos internacionais que convergem para esse evento. Os resultados da análise indicam que as linhas de demarcação entre as diferentes análises, elaborações e perspectivas de construção de outra ou de outras formas societárias estão polarizadas por concepções regulatórias e não-regulatórias, tanto no que se refere às estratégias de transformação social, quanto aos mecanismos e processos sociais a serem privilegiados na sua construção. / [fr] Les conceptions discutées dans le cadre du Forum Social Mondial sur un autre monde est possible, cest-à-dire, sur les possibilites de construction dune autre globalisation, centrée sur lêtre humain et non sur la marchandise constituent lobjet de cette recherche pour laquelle nous avons utilisé, dune part, le concept de champ emprunté à Bourdieu comme instrument théorique et méthodologique et dautre part, la production théorique sur les dimensions économiques, politiques et sociales qui caractérisent les transformations qui se sont avérées pendant les dernières décénies. Le matériel qui a servi comme base empirique à la recherche correspond à trente cinq textes extraits de lensemble des communications présentées dans les seize conférences données dans le cadre des activités du FSM, qui ont eu lieu à Porto Ale gre en 2001, lesquels ont fait lobjet dune analyse de contenu dans le but didentifier les stratégies et les processus sociaux, cest-àdire, les voies de transition conçues par les différents acteurs et mouvements internationaux rassemblés pour lévénement. Les résultats de lanalyse indiquent que les lignes de démarcation entre les différents points de vue, élaborations et perspectives de construction dune autre ou dautres formes sociétales sont polarisées par des conceptions régulatrices et non régulatrices dans ce qui a trait aux stratégies de transformation sociale, quant aux mécanismes et processus sociaux qui seront privilegiés dans sa construction.

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