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Widening gaps, productive spaces : the construction of Victorian identity in Thomas Carlyle, Lewis Carroll and George EliotSheckler, Catherine January 2007 (has links)
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Widening gaps, productive spaces : the construction of Victorian identity in Thomas Carlyle, Lewis Carroll and George EliotSheckler, Catherine A. January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Dickens excentrique : persistances du Dickensien / Eccentric Dickens : Afterlives of the DickensianFolléa, Clémence 28 November 2016 (has links)
Cette thèse examine des trajectoires imaginaires décrites dans l’œuvre de Charles Dickens et à partir d’elle. On y étudie le texte et les réincarnations de Great Expectations (1860-61), Oliver Twist (1837-39) puis The Mystery of Edwin Drood (1870), trois romans qui, depuis l’ère victorienne, pénètrent l’imaginaire collectif et alimentent des discours divers, toujours influencés par leurs conditions de production. Ainsi, cette thèse pratique des microanalyses de ses sources primaires tout en prêtant attention au contexte de chaque œuvre. Son corpus comprend des adaptations filmiques mais aussi des reprises plus indirectes, telles que des réécritures, séries télévisées ou jeux vidéo faisant apparaître des éléments identifiables comme « dickensiens ». Cet adjectif qualifie des objets imaginaires et des phénomènes culturels dont on s’attache ici à préciser la nature. En particulier, le dickensien et ses persistances sont étudiées au prisme de l’excentricité, un terme souvent utilisé pour évoquer la qualité truculente et insolite des écrits de Dickens. Mais ici, la définition de cette notion est approfondie : l’excentrique, toujours situé entre un centre et ses marges, sert à penser les ambivalences du dickensien. Au gré des contextes socio-culturels et esthétiques dans lesquels il s’incarne, l’imaginaire créé par Dickens nourrit des discours tantôt normatifs et maîtrisables, tantôt subversifs et déroutants. La cartographie chaotique dressée dans ce travail aboutit à une réflexion méthodologique : les persistances du dickensien forment des trajectoires discontinues et imprévisibles, qui contrarient les classements bibliographiques, périodisations et barrières disciplinaires / This thesis looks at the text and afterlives of Great Expectations (1860-61), Oliver Twist (1837-39) and The Mystery of Edwin Drood (1870), by Charles Dickens. Ever since the Victorian era, these three novels have penetrated our collective imagination and have fed into various kinds of discourses, which are always determined by their conditions of production and reception. Thus, this thesis both performs microanalyses of its primary sources and explores the context in which each work was published. Its corpus includes filmic adaptations as well as more indirect reincarnations, such as rewritings, TV series and videogames featuring elements identifiable as ‘Dickensian’. The latter adjective points to a variety of fictional objects and cultural processes, which are gradually circumscribed throughout this thesis. In particular, the Dickensian and its afterlives are defined in connection with the ‘eccentric’, a term often used to conjure up the colourful and sometimes queer quality of Dickens’s texts. Here, however, a broader definition of this notion is adopted: the eccentric, which always stands halfway between a centre and its margins, is used to examine the many ambiguities of the Dickensian. For, as they move into new aesthetic and socio-cultural contexts, the fictions created by Dickens feed into discourses which can be normative and/or subversive, stereotyped and/or disturbing. My cartography of Dickensian afterlives gradually appears as chaotic, which eventually leads me to reconsider some of my methodological assumptions: Dickens’s fictions move in irregular and unpredictable ways, which often upset bibliographical, periodical and disciplinary boundaries
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The elusive vampire : an examination of unfixed sexuality in Bram Stoker's DraculaBoudreau, Brigitte Suzanne January 2007 (has links)
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The elusive vampire : an examination of unfixed sexuality in Bram Stoker's DraculaBoudreau, Brigitte Suzanne January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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"The True and the False" : de la représentation de la vérité à celle de l’imaginaire dans les illustrations édouardiennes des Idylls of the King d’Alfred Tennyson (1859) / "The True and the False" : from picturing the truth to picturing dream worlds in Edwardian illustrated editions of Alfred Tennyson’s Idylls of the King (1859)Aubriet, Hélène 07 July 2016 (has links)
The Idylls of the King, d’Alfred Tennyson, fut dès sa parution (1859) très populaire. Son sous-titre initial, « The True and the False », constitue le fil directeur des quatre poèmes du recueil, qui se développent autour d’interprétations erronées. Lever le voile sur la véritable identité d’une personne, voir la réalité en face, ou même comprendre qui l’on est vraiment : les Idylls se résument à une longue et difficile recherche de la vérité à laquelle s’ajoute une question morale, le bien et le mal en chaque personne. Les Idylls mettent en garde le lecteur contre les apparences trompeuses et les êtres corrompus. Le recueil inspira de nombreux artistes, notamment préraphaélites. À l’époque édouardienne, les Idylls, devenues un « classique », firent à nouveau l’objet d’éditions illustrées. Comment les artistes (Eleanor Fortescue Brickdale, Florence Harrison, Jessie M. King et John Byam Shaw), généralement issus du Préraphaélitisme, illustrent-ils la thématique de la vérité ? La thèse montre comment le thème de la vérité est transposé et adapté dans les illustrations : malgré une apparente correspondance entre les Idylls et les images, les illustrateurs édouardiens se détachent des points de vue développés par le poète et ses personnages, et les critiquent implicitement. Par ailleurs, ils mettent en relief la dimension imaginaire du texte : leurs images permettent alors de s’évader des poèmes, en stimulant les facultés créatrices du lecteur. / Published in 1859, Alfred Tennyson’s Idylls of the King was an instant literary success. Its original subtitle, “The True and the False”, is the central theme of the four poems of the volume, which all deal with misperceptions, misunderstandings and misinformation. The Idylls can be seen as a long and challenging pursuit of the truth, since they show the heroes lifting the veil on their partner’s real identity, facing the truth, or trying to define their true selves. The poems also raise moral questions related to good and evil within men and women. In other words, the Idylls may be read as a warning against misperceptions and corrupt behaviours. The Idylls became a source of inspiration for many artists, including the Pre-Raphaelites. During the Edwardian era, Tennyson’s work, raised to the status of a classic, was again published in illustrated editions. How did the artists chosen here—Eleanor Fortescue Brickdale, Florence Harrison, Jessie M. King and John Byam Shaw, most of them affiliated to Pre-Raphaelitism—illustrate the question of Truth and Falsehood? This thesis shows how the theme of truth is depicted and adapted in the illustrations. Despite their apparent faithfulness to the poems, the Edwardian illustrators distance themselves from the poet’s or the characters’ point of view, while implicitly criticizing it. Besides, they highlight the imaginary dimension of the text. Thus, their illustrations stimulate the reader’s fancy and his or her inner dream world.
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L'imaginaire de la pathologie : discours médical et écrits romanesques chez Wilkie Collins et Charles Dickens / Imagining pathology : fiction and medical discourse in the novels of Wilkie Collins and Charles DickensCadwallader-Bouron, Delphine 12 December 2009 (has links)
Les études qui entreprennent d’évaluer la place de la maladie dans les romans de Dickens et Collins adoptent souvent le point de vue du médecin, montrant comment leurs peintures de la maladie constituent des diagnostics scientifiquement exacts. Or la médecine est d’abord un discours sur la maladie : diagnostiquer les personnages des romanciers reviendrait donc à considérer la grille de lecture médicale comme outil d’analyse valable pour évaluer la maladie dans leur œuvre. Cette thèse se propose d’interroger la pertinence d’une telle grille de lecture, qui semble anachronique [ce discours se construit tout au long du XIXe siècle, il n’est donc pas constitué au moment où les deux romanciers écrivent]. Il s’agit de comprendre comment le discours médical s’est imposé au fil du XIXe siècle : pour dire et écrire la maladie, la médecine s’est inspirée d’autres types de discours, et en premier lieu celui du roman, qu’elle a utilisé pour tenter de prendre place dans les esprits victoriens. Après avoir établi les conditions dans lesquelles est né ce nouveau discours normatif, cette thèse analyse la relation de Dickens et Collins avec ce discours. Conscients que les médecins tentent de passer d’un art à une science positive, les deux romanciers semblent se méfier des nouvelles catégories nosographiques et méthodes cliniques. Nous sommes alors fondés à lire leurs romans non plus seulement comme des documents qui questionnent la pathologie scientifique, mais aussi comme des prismes d’autres imaginaires du corps malade. L’étude de leur œuvre dévoile ainsi les soubassements imaginaires de la nouvelle médecine, mais aussi l’esthétique du morbide propre à chacun des deux auteurs. / Studies concentrating on the value of disease in novels by Collins or Dickens often adopt a medical point of view, showing that the novelists depict illness with the eyes of trained clinicians, offering surprisingly precise case studies and diagnoses. This approach sheds light on some episodes; yet, the “medico-realists” seem to overlook that by viewing literature through a medical prism, they are using the tools and rationale of a constructed discourse. Pathology, which is the science that studies the disease and not the disease itself, was created all long the 19th century. Viewing the novelists’ treatment of disease only through the filter of pathology gives a reductive image of the way they understand morbidity. This research aims at deconstructing the medical discourse, and at showing how, to take up Dickens’s words, “for theories, as for organised beings, there is also a Natural Selection and a Struggle for Life”, which str! uggle scientific medicine has apparently won. Doctors have used other types of discourse to create their own, and in so doing, novels have been a great source of inspiration. After positing that medicine creates a myth of positivism, this study goes on to analyse the way Dickens and Collins considered the rise of this new field. Unlike what medico-realists seem to take for granted, the novelists did not subscribe to the new medical methods and even denied understanding disease according to pathological categories. Their use of diseases unexpectedly unveils the way doctors wrote and imagined disease. Studying Dickens’s and Collins’s ways of conceiving pathology offers insight into the imaginary origins of a burgeoning science.
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A la croisée des genres : masculin et féminin dans la littérature et l'iconographie féériques victoriennes et édouardiennes / Genre meeting gender : the masculine and the feminine in Victorian and Edwardian fairy literature and iconographyDoussot, Audrey 04 July 2011 (has links)
Le genre féerique opère sous le règne de Victoria, un retour triomphant sur le devant de la scène littéraire et en profite pour s’immiscer dans les arts visuels. Sous la plume, le crayon ou le pinceau d’auteurs et d’artistes aussi bien masculins que féminins, textes et images prennent alors pour prétexte la peinture d’un monde merveilleux pour se jouer des conventions sociales et culturelles et examiner les idéaux, les angoisses, et les contradictions de la société de l’époque. D’un côté, les textes, visant un public tantôt juvénile, tantôt adulte, ou les deux à la fois, prolongent la tradition ancestrale du conte tout en la remettant au goût du jour. De l’autre, l’image, qui se met à envahir le quotidien, se charge, à travers la peinture et l’illustration, de doter le genre féerique d’une iconographie spécifique. A la croisée des deux, la littérature illustrée connaît un développement sans précédent. De par sa nature hybride, l’inspiration qu’elle tire du contexte socio-culturel, et son association privilégiée au domaine du féminin, la littérature féerique illustrée est propice à une analyse des rapports entre texte et image tout autant que des rapports entre genre masculin et genre féminin. En effet, la sexualité, tabou par excellence, et la question du genre (au sens anglo-saxon de gender, réalité sexuelle et construction, historique, sociale et artistique, d’un univers masculin et d’un univers féminin, avec tout ce que cela suppose comme normes, conventions, clichés, représentations…) devient, à cette époque, une thématique incontournable. Et elle a d’autant plus de pertinence en lien avec le féerique que ce genre n’inspire pas que les artistes et les auteurs masculins et qu’en tant que genre mineur il est traditionnellement, et symboliquement, considéré comme féminin – un statut qu’il partage d’ailleurs avec l’illustration. A plus d’un titre donc, la création féerique se trouve au croisement d’idées, complémentaires ou conflictuelles (masculin et féminin, texte et image, peinture et illustration, art et artisanat, culture savante et culture populaire, âge adulte et enfance, conformisme et subversion, tradition et innovation …). Cette étude, centrée sur le concept d’« entre deux » se propose, par conséquent, d’examiner le domaine féerique en tant qu’espace de rencontre entre toutes ces idées en considérant des toiles, des textes et des livres illustrés d’inspiration féerique et de confronter deux genres, gender et genre féerique, afin de mieux percevoir les liens qui ont pu être les leurs à l’époque victorienne, puis édouardienne. / Under the reign of Victoria, the fairy genre, after many years of banishment, is back on the literary scene and introduced as a major source of inspiration for the visual arts. Artists and authors create texts and pictures that turn the depiction of a fantasy world disregarding current cultural and social norms into an opportunity for the exploration of the ideals, anxieties and contradictions of the time. Original texts written for the adult and juvenile readerships keep the age-old tradition of the fairy tale alive, renewing its themes and representations in accordance with the current British tastes. Simultaneously, paintings and illustrations, at a time when pictures take an increasingly prominent place in everyday life and culture, provide the fairy genre with a specific iconography. At the crossroads of text and picture, illustrated literature goes through an unprecedented phase of popularity marked by two periods of golden age, in the 1860s and the 1890s. With its hybrid form, its inspiration derived from the social context and its privileged association with the feminine, the nineteenth-century and early twentieth century illustrated fairy literature is a cultural form most appropriate for the analysis of text/image relationships as well as the gender notions of the feminine and the masculine. Sexuality – the greatest taboo of the period – and gender matters are indeed key-topics at that time and they are all the more relevant in the fairy genre since, not only does it inspire both male and female creators, but, being a minor genre, it is traditionally and symbolically considered to be feminine. And so is illustration, for the same reason. In many respects, Victorian and Edwardian fairy creation is then at the crossroads of a number of notions, both complementary and antagonistic : masculine/feminine, text/image, painting/illustration, art/craftsmanship, high culture/low culture, adulthood/childhood, conformism/subversion, tradition/innovation…. Structured around the idea of an ‘in-between’ status, the present study shall therefore examine the field of literary and pictorial fairy creation as a space in which all these ideas meet through the analysis of fairy paintings, texts and illustrated books. Gender and fairy genre shall be considered jointly as an attempt to define and explore their relationships during the Victorian and Edwardian eras.
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Intrication textuelle, et déchiffrement du sens dans l'oeuvre de Charlotte Brontë / Textual intrication and deciphering of textual meaning in Charlotte Brontë's workHanser, Gaïane 08 December 2012 (has links)
L'enfance des jeunes Brontë a été marquée par leurs jeux littéraires : ils ont créé un monde imaginaire dans lequel s'affrontaient héros réels et fictifs, en consignant leurs aventures dans de minuscules manuscrits. L'étude de ces textes permet d'observer chez Charlotte Brontë le processus de formation d'une écriture dialogique, qui se maintient dans les romans de maturité. Sa nouvelle situation énonciative lorsqu'elle soumet ses écrits au public amène toutefois un changement dans son rapport au lectorat, car ses nouveaux critiques ne dissocient pas dans leur réponse la femme de l'artiste. Ceci se traduit par la construction de deux Lecteurs Modèles, qui se voient chacun attribuer un rôle spécifique au sein d'un même texte. Les narrateurs font appel à la clémence du Lecteur Modèle / Juge, tandis qu'ils sollicitent – parfois simultanément – l'aptitude au déchiffrement du Lecteur Modèle / Interprète. Cette thèse a pour ambition d'identifier et d'analyser les différentes stratégies narratives résultant de cette création textuelle d'un double Lecteur Modèle, ce qui permet dans un second temps d'éclairer le sens des romans. Ces stratégies incluent notamment l'insertion de textes seconds ou de références intertextuelles, ainsi que la sémantisation d'éléments non-textuels, tels que les arts visuels ou les artisanats féminins. Cette intrication de plusieurs objets de déchiffrement crée des espaces d'équivoque et d'indécidabilité, qui doivent alors être investis par le lectorat empirique. / The Brontës' childhood was informed by their literary games: they created an imaginary world where they staged the confrontations between their heroes, real or fictitious, and which they used as a setting for numerous tales. A close study of these early writings sheds light on the formation, in Charlotte Brontë's work, of a dialogical mode of writing, which remains present throughout her later novels. Her new enunciative situation as she submits her work to the public at large leads to a shift in her perception of her readership: her new critics do not dissociate in her the woman from the writer, and assess her texts accordingly. This results in the creation of two Model Readers, each of whom is given a specific role within the frame of a same text. Brontë's narrators ask for the leniency of the Model Reader / Judge, at the same times as they call upon the Model Reader / Interpretant's aptitude at deciphering signs. This thesis aims at identifying and analysing the narrative strategies resulting from the creation of a double Model Reader, which help understand the meaning of the novels. These strategies include the insertion within the text of secondary texts or intertextual references, as well as the semanticisation of non-textual elements, such as visual arts or accomplishments. This intrication of various cyphers creates a locus of equivocation and undecidability, which must be invested by the empirical readership.
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L'ironie dans l'oeuvre de Thomas de Quincey / Irony in Thomas De Quincey's worksLochot, Céline 28 November 2014 (has links)
L’œuvre de De Quincey s’inscrit à la croisée de trois concepts presque indéfinissables : autobiographie, romantisme, et une dimension trop souvent négligée, l’ironie. Qu’elle soit rhétorique, tragique ou « romantique », l’ironie exprime parfaitement les multiples contradictions du mangeur d’opium : outil rhétorique de confrontation et d’autodérision, individualiste et communautaire, sociable et provocatrice, l’ironie est à la fois l’instrument d’une rédemption et l’expression d’un profond malaise, une façon de se mettre en avant comme de s’effacer totalement. Entre Romantisme et Victorianisme, De Quincey interroge les limites de son identité et de son statut d’intellectuel, et reste réticent à exploiter le potentiel subversif de la parodie : l’ironie semble alors s’effacer derrière ses protestations nostalgiques et autocritiques. Pourtant elle sous-tend pour une bonne part la vitalité et la diversité de l’écriture des essais, dont elle manifeste une modernité largement sous-estimée, tant par les critiques que par De Quincey lui-même. L’ironie permet finalement d’esquisser une unité qui recentre les Confessions au cœur de la diversité de l’œuvre, plutôt qu’à la marge d’un ensemble hétéroclite au statut incertain. / Studying the works of De Quincey necessarily leads to three concepts almost impossible to define: autobiography, Romanticism, and all-too neglected irony. Whether rhetorical, tragic or “romantic”, irony expresses perfectly the many contradictions of the opium-eater. As the rhetorical tool of conflict and self-derision, claiming both individualistic and community values, sociable and provoking, irony is the way to redemption as much as the expression of deep unease, a way of pushing himself forward, or of withdrawing into the background. Caught between Romanticism and Victorianism, De Quincey questions the limits of his own identity and his status as an intellectual, and exploits reluctantly the potential subversion of parody, so that irony seems to yield to nostalgia and self-derogatory laments. And yet it can be said to underlie the vitality and diversity of the essays, whose modernity has been greatly underestimated by the critics and by De Quincey himself, as well. Finally, irony allows us to re-evaluate the Confessions as the centre of a unified, though diverse, set of writing, rather than as one of many, rather ill-assorted essays of unequal value.
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