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Le vraisemblable dans les Contes de Perrault.Bourbonnais, Roger. January 1971 (has links)
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Le vraisemblable dans les Contes de Perrault.Bourbonnais, Roger. January 1971 (has links)
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Essai d'analyse de quatre contes de fées de Madame d'AulnoySimpson, Danièle January 1975 (has links)
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Essai d'analyse de quatre contes de fées de Madame d'AulnoySimpson, Danièle January 1975 (has links)
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Les contradictions dans La belle au bois dormant de Charles Perrault : une étude de la morale et de la moralité / Contradictions in "La belle au bois dormant" by Charles Perrault : a study of morals and moralityRyrholm, Maria January 2018 (has links)
Storytelling has existed since the beginning of humanity, in every culture. Today, we are still telling stories that are hundreds of years old. Sleeping Beauty, or La belle au bois dormant, is a classic fairy-tale. In the original version by Charles Perrault it is a story in two parts with a morality poem in the end. In this work, the relation between the story and the lessons that can be drawn from it and its final morality are examined. The aim of this work is to find out if the morality confirms or contradicts the story in La belle au bois dormant, and in what way, and secondly if La belle au bois dormant fulfil our expectations of a fairy tale. In order to give a deeper understanding of the key words, fairy-tale, as a genre, and the role of moral in literature two books aimed for literary education in French schools are used. By defining fairy-tale as a genre and the role of moral messages in literature, they can be compared to our story. Furthermore, by using examples from the story and analysing the story and the morality poem of Sleeping Beauty respectively, thus this essay spreads light on the contradicting messages in this fairy-tale. At the end of this work the conclusion is reached that the morality poem is not in any way confirmed by the story and that the two differ in terms of theme, content, and message, and thus La belle au bois dormant differ from traditional fairy tales because its morality does not support the story.
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Práticas discursivas, redes de memória e identidades do feminino: entre princesas, bruxas e lobos no universo publicitárioWitzel, Denise Gabriel [UNESP] 20 May 2011 (has links) (PDF)
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witzel_dg_dr_arafcl.pdf: 2958035 bytes, checksum: 7aa34705f3d0ccb5d962377a6a0e2b8b (MD5) / Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / La construction d’identités du féminin est la question centrale de ce travail, développé à la lumière de l'analyse du discours fondée par Michel Pêcheux, plus précisément à partir de la contribution de Michel Foucault incorporée dans ce domaine. Le but est de contribuer avec une réflexion sur le fonctionnement discursif du langage publicitaire traversé et constitué de l’interdiscursivité avec le discours de contes de fées, tout en envisageant les jeux de vérités qui, historiquement, ont subjectivé / objectivé l’ être femme. On part du principe que face à l'immense orchestration des médias dans la vie quotidienne et le fait que la publicité est une des voix les plus actives dans les espaces publics dans la société de consommation, son langage (séducteur et de persuasif), ses multiples significations et les traces de son histoire, qui forgent des identités, doivent être étudiés, décrits et analysés afin d’expliciter le processus de prise et de production du sens. Le matériel pour l'analyse s’est composé des pièces publicitaires, en version imprimée, à trois reprises: (i) début du XXe siècle, une période où la publicité a été largement constituée du discours médical et de celui de la nature fragile, douce, paisible et maternelle des femmes (ii) les années 60 et 70, lorsque la ´publicité ennoblissait l'image de la maîtresse de maison, niant les postulats des féministes qui commençaient à avoir la visibilité et la disibilité dans les pratiques quotidiennes, (iii) actuellement, quand il est possible d'observer, au croisement de la mémoire avec la publicité d’autrefois, les continuités, les déplacements et les suppressions des sens qui parlent de la femme, ce qui permet de décrire et d’analyser les contours identitaires du féminin de nos jours. Le geste analytique face à ces matérialités et à l’ espace de mémoire... (Résumé complet accès électronique ci-dessous) / A construção de identidades do feminino é a questão central deste trabalho que se desenvolve à luz da Análise do Discurso derivada de Michel Pêcheux, mais precisamente a partir dos aportes de Michel Foucault incorporados nesse campo do saber. O objetivo é contribuir com uma reflexão sobre o funcionamento discursivo da linguagem publicitária atravessada e constituída interdiscursivamente pelo discurso dos contos de fadas, focalizando os jogos de verdades e as redes de memória que historicamente subjetivaram/objetivaram o ser mulher. Parte-se do princípio de que, diante da imensa orquestração da mídia no cotidiano das pessoas e diante do fato de que a publicidade figura como uma das vozes mais ativas na ocupação dos espaços públicos na sociedade de consumo, sua linguagem (sedutora e persuasiva), suas múltiplas significações e os vestígios de sua historicidade, que forjam identidades, precisam ser investigados, descritos e analisados, de modo a se explicitarem os processos de apreensão e de produção de sentidos. O material de análise é constituído por peças publicitárias veiculadas, na mídia impressa, em três momentos: (i) início do século XX, época em que era bastante expressiva a circulação de anúncios de medicamentos, exaltando a natureza frágil da mulher; (ii) anos 1960 e 1970, momento em que a publicidade enaltecia a imagem de rainha do lar, contrariando os postulados feministas que começavam a ganhar visibilidade e dizibilidade nas práticas cotidianas; (iii) na atualidade, quando, então, é possível observar, no entrecruzamento da memória com as publicidades do passado, a permanência, o deslocamento e o apagamento de sentidos que falam da/sobre a mulher, possibilitando uma descrição e análise sobre os contornos identitários do feminino nos novos tempos. O gesto analítico diante dessas materialidades e do espaço de memória...
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La littérature-monde de J.R.R. Tolkien : pertinence, discours et modernité d'une oeuvre originale / J.R.R. Tolkien's world-literature : pertinence, discourse and modernity of an original workSpadaro, Enrico 30 November 2018 (has links)
Ce travail de thèse se focalise sur l'écrivain anglais John Ronald Reuel Tolkien et sur son oeuvre littéraire. Celle-ci est composée de plusieurs écrits et surtout des romans The Hobbit (1936) et The Lord of the Rings (1954-1955). L'intention que Tolkien avait au début de sa carrière littéraire était la création d'une mythologie pour son pays, l'Angleterre. Cette profonde ambition primaire s'unit à sa passion de jeunesse pour les langages imaginaires et à sa profession de philologue et d’enseignant d ’anglo-saxon à l’université d’Oxford. La Terre du Milieu, le monde que Tolkien dessine pour sa mythologie, devient alors le lieu où ses contes, qu'il définira de contes de fées, se déroulent et où ses langages peuvent se développer. Nous allons démontrer dans ce travail, qui est formé de trois parties, la pertinence de l’oeuvre de Tolkien dans le contexte de la littérature contemporaine et le fait que sa production littéraire implique plusieurs éléments qui relient mythologie, philologie, fantaisie et modernité. Nous nous concentrons sur certains aspects thématiques de la littérature européenne qui ont inspiré la création mythologique par Tolkien. La deuxième partie du travail encadre le point de vue linguistique au sein de l’oeuvre de Tolkien. Finalement, la troisième partie a la fonction de résumer les aspects précédents et d'analyser la théorisation des contes de fées par Tolkien, tout comme il la développe dans son célèbre essai "On Fairy-Stories", pour conclure avec la réception critique que notre auteur a reçue dans le monde moderne et contemporain, et qui lui a aussi permis d’être l’un des auteurs les plus lus et influents du XXe siècle. / This thesis focuses on the English writer John Ronald Reuel Tolkien (1892-1973), the famous author of The Lord of the Rings. Tolkien’s literary work gathers many writings, stories and two famous novels, such as The Hobbit (1936) and The Lord of the Rings (1954-1955), that achieved a great succes all over the world. At the beginning of his literary career Tolkien aimed at the creation of a mythology to his country, England. This ambition was matched with his juvenile passion of inventing languages and his profession as a philologist and Anglo-Saxon teacher at Oxford University. Middle-earth, Tolkien’s secondary world, becomes the place where his fairy tales occurs and his languages may develop. This work shows how Tolkien’s work fits in the context of contemporary literature and that his production involves many elements collecting mythology, philology, fantasy and modernity.It consists of three parts: in the first part, some of the themes and the mythological sources of Tolkien’s tales are analyzed, in particular the Finnish sources, the Medieval and poetic ones. Thesecond part, the linguistic matters concerning Tolkien's work are taken into consideration and, in particular, the way how languages may create a world and the relation between reality and the perception of such reality, which will inevitably influence the language referred to it.Finally, in the third part, the Fairy element, which is one of the bases of Tolkien’s work is discussed, as well as the reception of our author, both from the critique point of view and the audience one, so as to demonstrate why he may be considered as one of the greatest writers of the twentieth century.
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Le conte cité à comparaître : hybridation et réflexivité dans les transfictions policières de contes de féesMichaud, Alexandra 27 January 2024 (has links)
La combinaison du conte de fées et du roman policier peut sembler surprenante lorsqu’on pense aux écarts entre les deux genres et aux nombreuses règles qui les régissent. Pourtant, plusieurs auteurs ont entrepris de les combiner pour offrir des textes qui ont la particularité de reprendre des personnages et des histoires de contes de fées tout en les inscrivant dans le genre policier. C’est aux conséquences de cette hybridation transfictionnelle que ce mémoire entend s’intéresser. Plus précisément, il montre la manière dont la lecture policière est affectée par la présence au sein de l’enquête d’éléments provenant de récits merveilleux célèbres. Dans un premier temps, par une observation détaillée de l’hybridation, nous dégageons le rôle joué par chacun des genres impliqués afin de vérifier notre hypothèse selon laquelle les textes étudiés se situent davantage du côté du roman policier que de celui du conte de fées et proposent ainsi un contrat de lecture policier. Nous proposons ensuite une description de la lecture attendue par le roman policier classique avant de nous intéresser à la manière dont le caractère énigmatique du lien transfictionnel redéfinit le jeu policier dans les textes à l’étude et cherche de cette manière à accentuer la vigilance du lecteur face à l’acte de lecture qu’il est en train d’effectuer. Nous nous attardons finalement à la dimension métafictionnelle du jeu policier qui, couplé à la reprise d’éléments diégétiques des contes de fées, mène, dans les oeuvres du corpus, à un effort de dévoilement du processus de création transfictionnelle et de sa réception. / The combination of fairy tale and detective fiction may seem surprising when one thinks about the differences between the two genres, each one being structured by an important number of rules. However, several writers have undertaken to combine them and offer texts that fit characters and plot elements from fairy tales into the detective genre. This study intends to focus on the consequences of this transfictional combination. More specifically, it shows how the reading contract of the detective genre is affected by the presence of elements from famous magical stories within the investigation. First, by a detailed observation of the amalgamation process, we highlight the role played by each genre involved in order to verify our hypothesis that the texts studied are meant to be read as detective stories and thus propose the particular reading contract associated with it. We then offer a description of the reading act expected by the detective novel, described as a game, before focusing on the way in which the enigmatic nature of the transfictional link redefines the game that is being played in the texts under study and seeks this way to accentuate the reader's vigilance about the reading they are doing. Finally, we focus on the metafictional dimension of the game which, coupled with the recycling of diegetic elements from fairy tales, leads to an effort to unveil the process of transfictional creation and its reception.
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Féeries pour une autre fois : réécritures et renouvellement des paradigmes des contes de fées (1808-1920) / Fables to another time : rewrites and renewal of fairies tales’ paradigms (1808-1920)Pernoud, Hermeline 03 February 2017 (has links)
Cette thèse, qui recense plus de mille contes de fées composés entre 1808 et 1920, s’intéresse au renouveau du merveilleux, un registre vieillissant faisant face au désenchantement. Ce travail montre comment le conte, en juxtaposant la modernité et l’imaginaire, bascule dans le comique (parodie des auteurs du Grand Siècle, désacralisation des héros, sapement des valeurs chevaleresques). En même temps, les figures masculines chutent de leur piédestal en engendrant une modification des représentations du féminin.Dans la première moitié du XIXe siècle, les fées et les princesses sont réduites aux stéréotypes de genre : elles sont seulement belles, riches et bienfaisantes. Puis l’esprit fin-de-siècle impose de nouveaux canons, attribuant aux héroïnes les vices de leurs contemporains. Notre thèse dissèque cette vision misogyne afin de montrer comment la crainte de l’extinction de la « race » est née : les pouvoirs magiques des fées et la considération qu’on leur porte diminuent ; les princesses constatent que l’heureux dénouement promis n’est plus. Désormais, ces femmes au cœur de glace deviennent la source des souffrances masculines.Notre travail engage également une réflexion sur les perversions au XIXe siècle et démontre comment les auteurs de contes décadents se servent de motifs propres au merveilleux (manducation, servage des héroïnes) afin d’esthétiser la souffrance et la transformer en plaisir. Enfin, les réécritures de « La Belle au bois dormant » sont emblématiques de la fin-de-siècle. Cette princesse endormie incarne à la fois l’intouchable virginité et la pire des perversités. Sa passivité illustre les violences physiques et psychiques que la société lui impose et justifie ; son éveil revendique les droits des citoyennes et annonce le féminisme. / This thesis, taking an inventory of more than one thousand fairies tales written between 1808 and 1920, examines the marvellous’ renewal, an outmoded register facing disenchantment. This study shows how the fairy tale, placing modernity next to imagination, turns to comic (parody of the authors of the XVIIe century, deconsecration of heroes, destruction of chivalrous values). At the same time, male characters fall from their pedestal, making an alteration of the female’s representations.In the first half of the XIXe century, fairies and princesses are reduced to gender stereotypes : they are only beautiful, wealthy and benevolent. But the fin-de-siècle’s mind imposes new models, assigning to heroines the contemporaries’ vices. Our thesis reviews this misogynous representation to show how the fear the “race’s extinction” was born : the fairies’ magic power and the esteem for them decrease; the princesses notice that the promised happy end is not anymore. Henceforth, these ice-hearted women become the origin of male sufferings.Our work develops a thought about perversions in the XIXe century and shows how the decadent authors of tales use marvellous subjects (erotic devouring, serfdom of the heroines), in order to anesthetize suffering and transform it into pleasure. Finally, rewritings of “Sleeping Beauty” are emblematic to the fin-de-siècle. This sleeping princess personifies the untouchable virginity and the worst of the perversities both. Her passivity illustrates the physical and mental violence that society imposes her and justifies; her awakening claims female citizens’ rights and announces feminism.
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A la croisée des genres : masculin et féminin dans la littérature et l'iconographie féériques victoriennes et édouardiennes / Genre meeting gender : the masculine and the feminine in Victorian and Edwardian fairy literature and iconographyDoussot, Audrey 04 July 2011 (has links)
Le genre féerique opère sous le règne de Victoria, un retour triomphant sur le devant de la scène littéraire et en profite pour s’immiscer dans les arts visuels. Sous la plume, le crayon ou le pinceau d’auteurs et d’artistes aussi bien masculins que féminins, textes et images prennent alors pour prétexte la peinture d’un monde merveilleux pour se jouer des conventions sociales et culturelles et examiner les idéaux, les angoisses, et les contradictions de la société de l’époque. D’un côté, les textes, visant un public tantôt juvénile, tantôt adulte, ou les deux à la fois, prolongent la tradition ancestrale du conte tout en la remettant au goût du jour. De l’autre, l’image, qui se met à envahir le quotidien, se charge, à travers la peinture et l’illustration, de doter le genre féerique d’une iconographie spécifique. A la croisée des deux, la littérature illustrée connaît un développement sans précédent. De par sa nature hybride, l’inspiration qu’elle tire du contexte socio-culturel, et son association privilégiée au domaine du féminin, la littérature féerique illustrée est propice à une analyse des rapports entre texte et image tout autant que des rapports entre genre masculin et genre féminin. En effet, la sexualité, tabou par excellence, et la question du genre (au sens anglo-saxon de gender, réalité sexuelle et construction, historique, sociale et artistique, d’un univers masculin et d’un univers féminin, avec tout ce que cela suppose comme normes, conventions, clichés, représentations…) devient, à cette époque, une thématique incontournable. Et elle a d’autant plus de pertinence en lien avec le féerique que ce genre n’inspire pas que les artistes et les auteurs masculins et qu’en tant que genre mineur il est traditionnellement, et symboliquement, considéré comme féminin – un statut qu’il partage d’ailleurs avec l’illustration. A plus d’un titre donc, la création féerique se trouve au croisement d’idées, complémentaires ou conflictuelles (masculin et féminin, texte et image, peinture et illustration, art et artisanat, culture savante et culture populaire, âge adulte et enfance, conformisme et subversion, tradition et innovation …). Cette étude, centrée sur le concept d’« entre deux » se propose, par conséquent, d’examiner le domaine féerique en tant qu’espace de rencontre entre toutes ces idées en considérant des toiles, des textes et des livres illustrés d’inspiration féerique et de confronter deux genres, gender et genre féerique, afin de mieux percevoir les liens qui ont pu être les leurs à l’époque victorienne, puis édouardienne. / Under the reign of Victoria, the fairy genre, after many years of banishment, is back on the literary scene and introduced as a major source of inspiration for the visual arts. Artists and authors create texts and pictures that turn the depiction of a fantasy world disregarding current cultural and social norms into an opportunity for the exploration of the ideals, anxieties and contradictions of the time. Original texts written for the adult and juvenile readerships keep the age-old tradition of the fairy tale alive, renewing its themes and representations in accordance with the current British tastes. Simultaneously, paintings and illustrations, at a time when pictures take an increasingly prominent place in everyday life and culture, provide the fairy genre with a specific iconography. At the crossroads of text and picture, illustrated literature goes through an unprecedented phase of popularity marked by two periods of golden age, in the 1860s and the 1890s. With its hybrid form, its inspiration derived from the social context and its privileged association with the feminine, the nineteenth-century and early twentieth century illustrated fairy literature is a cultural form most appropriate for the analysis of text/image relationships as well as the gender notions of the feminine and the masculine. Sexuality – the greatest taboo of the period – and gender matters are indeed key-topics at that time and they are all the more relevant in the fairy genre since, not only does it inspire both male and female creators, but, being a minor genre, it is traditionally and symbolically considered to be feminine. And so is illustration, for the same reason. In many respects, Victorian and Edwardian fairy creation is then at the crossroads of a number of notions, both complementary and antagonistic : masculine/feminine, text/image, painting/illustration, art/craftsmanship, high culture/low culture, adulthood/childhood, conformism/subversion, tradition/innovation…. Structured around the idea of an ‘in-between’ status, the present study shall therefore examine the field of literary and pictorial fairy creation as a space in which all these ideas meet through the analysis of fairy paintings, texts and illustrated books. Gender and fairy genre shall be considered jointly as an attempt to define and explore their relationships during the Victorian and Edwardian eras.
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