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Premières productions de céramiques turques en Anatolie occidentale : Contextualisation et études techniques / The First Production of Turkish Ceramics in Western Anatolia : Contextualisation and Technical Studies

Burlot, Jacques 11 September 2017 (has links)
Depuis les années 1990, des études archéométriques ont permis d’attester la production de nouveaux types céramiques en Anatolie occidentale, liée à l’installation de populations turques dans la région à partir de la fin du XIIIe siècle. Parmi ces nouveaux types figurent des céramiques dont les formes et les décors, très répandus dans le monde islamique, témoignaient de l’introduction de nouvelles techniques de fabrication.Sur la base d’un échantillonnage de 87 tessons découverts sur cinq sites turcs et trois sites de Crimée, l’étude, associant approche archéologique et analyses physico-chimiques, a permis de proposer des cadres chronologiques pour ces premières productions turques et de déterminer les techniques de fabrication de leurs revêtements – engobes et glaçures – servant au décor. La définition de ces techniques repose essentiellement sur des analyses élémentaires et structurales par MEB-EDS et par spectrométrie Raman, dont les résultats permettent de confirmer l’utilisation de nouvelles recettes et de nouveaux matériaux.Alors que les décors des céramiques byzantines étaient essentiellement constitués d’une glaçure plombifère transparente, colorée par une gamme réduite d’oxydes métalliques et reposant sur un engobe argileux, les décors des premières céramiques turques, d’époque beylik, produites dans la région, étaient bien plus variés. Leurs glaçures, témoignent d’une plus grande diversité, aussi bien dans la nature des fondants et des opacifiants, que dans celle des colorants utilisés.Considérée comme l’un des premiers types de céramiques ottomanes, la Miletus Ware présente le décor le plus élaboré. L’engobe n’est plus argileux, mais synthétique, préfigurant ainsi les productions plus tardives à pâte synthétique d’Iznik qui feront la renommée de la céramique ottomane au XVIe siècle. Notre étude a ainsi permis de caractériser et de contextualiser les évolutions techniques qui marquent la transition entre céramiques byzantines et ottomanes en Anatolie occidentale. / Since the 1990s, archaeometric studies have attested to the production of new types of ceramic in Western Anatolia, linked to the arrival of Turkish populations in the region from the end of the 13th century. Among these new types are ceramics whose shapes and decoration are very commonly found in the Islamic world, and which show the introduction of new techniques of fabrication.Taking a sample of 87 sherds discovered at five Turkish sites and three sites in the Crimea, this study, combining an archaeological approach with physicochemical analyses, enabled us to propose a chronological framework for these initial Turkish productions and to determine the techniques of fabrication of their coatings – slips and glazes – used for the decoration. The definition of these techniques relies in the main on elementary and structural analyses by SEM-EDS and by Raman spectroscopy, the results of which permit us to confirm the use of new recipes and new materials.While the decoration of Byzantine ceramics was essentially constituted of a high-lead transparent glaze, coloured by a reduced range of metallic oxides resting on a clay slip, the decoration of the initial Turkish ceramics, from the Beylik period, produced in the region, were much more varied. Their glazes attest to a greater diversity in the nature of the fluxes and opacifiers, as well as in the colorants used. Considered to be one of the first types of Ottoman ceramics, the Miletus Ware shows the most elaborate decoration. The slip is no longer clay-based but synthetic, prefiguring in this way the later production using synthetic paste of the Iznik Fritwares upon which the fame of 16th century Ottoman ceramics was based. Our study thus enabled us to characterise and contextualise the technical evolution which marked the transition from Byzantine to Ottoman ceramics in Western Anatolia.
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Action édilitaire et artistique des conseillers du roi de France (1270-1328) / Royal councillors, art and architecture under the reigns of the last Capetians (1270-1328) / Consiglieri reali, arte e architettura sotto gli ultimi Capetingi (1270-1328)

Berger, Sabine 01 December 2012 (has links)
L’action des conseillers du roi de France dans le domaine artistique, et notamment architectural, au tournant des XIIIe et XIVe siècles, a été abordée dans le cadre d’études monographiques, mais n’a jamais été envisagée dans un souci de synthèse. Recenser les bâtiments et les œuvres d’art réalisés à l’initiative de ces individus dans l’ancien royaume de France, les confronter avec les entreprises et les commandes royales permet de comprendre les motivations et l’impact d’un milieu alors en plein essor, celui des grands officiers royaux et des hommes de confiance qui assistaient quotidiennement le roi et l’aidaient à gouverner. L’époque retenue couvre les règnes des derniers Capétiens, Philippe le Bel (1285-1314) et ses trois fils (1314-1328). Il a semblé souhaitable d’étendre l’étude en amont au règne de Philippe le Hardi (1270-1285), afin de prendre en compte les prémices d’un véritable phénomène, par ailleurs très diversifié : lancement de projets architecturaux de grande ampleur destinés à l’usage propre du conseiller et de sa famille, embellissement d’édifices existants, participation à de grands chantiers en cours (cathédrales), commandes de tombeaux, d’œuvres d’art destinées à orner des fondations pieuses, réalisation d’hôpitaux ou d’édifices utilitaires ; beaucoup d’exemples témoignent de l’ambition comme de la piété de ces hommes. Dans les textes mais également dans le paysage monumental français actuel, il a été possible de retrouver de nombreuses traces de cette action, dont une typologie a été établie. L’étude a pour but de répondre aux questions suivantes : les conseillers du roi partageaient-ils le même mode de vie et avaient-ils des goûts communs ? Leur action fut-elle en tout point semblable à celle des membres de la famille royale et de la haute noblesse ? Peut-on mesurer la portée de ces réalisations ? / The action of the councillors of the French king in the artistic domain, particularly architectural, at the turn of the XIIIth and XIVth centuries, aroused a large number of monographic studies, but has never been envisaged in a concern of synthesis. Listing buildings and works of art commissioned by these individuals in the realm of France, confronting them with those patronized by the king, let us understand the motivations and the influence of an environment then in full development, that of the royal officers who assisted the king and helped him to govern. The chosen period covers the reigns of the last Capetians, Philip the Fair (1285-1314) and his three sons (1314-1328). It seemed worthwhile to widen the study area to include the reign of Philip the Bold (1270-1285) in order to take into account the beginnings of the phenomenon, besides very diversified : launch of large-scale architectural projects intended for the councillor and his family, embellishment of existing buildings (like cathedrals), production of gravestones, execution of works of art made to “decorate” pious foundations, construction of hospitals or utilitarian buildings ; many examples show the ambition as the devotion of these men. In texts but also in current French architectural landscape, it has been possible to find numerous traces of this action, a typology of which has been proposed. The study aims at answering the following questions : did the king’s councillors share the same lifestyle, the same tastes ? Was their action completely similar to that of the members of the royal family and the nobility ? Can we measure the reach of these creations ?
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Étude et édition de l'Estoire d'Outremer, d'après le manuscrit Firenze, Biblioteca Medicea Laurenziana, pluteus LXI.10, f.274-336 / Study and edition of the Estoire d’Outremer from the Firenze, Biblioteca Medicea Laurenziana Pluteus LXI.10 manuscript, f. 274-f. 336

Helou, Kasser-Antton 08 December 2017 (has links)
L’Estoire d’Outremer, vaste fresque historique constituée de la traduction française de l’Historia rerum in partibus transmarinis gestarum de Guillaume de Tyr prolongée par la compilation de diverses chroniques, retrace l’histoire du royaume latin de Jérusalem jusqu’en 1277 et représente l’une des principales sources franques de l’histoire des croisades. Relevant autant du genre didactique que de la littérature aristocratique, l’Estoire d’Outremer est également un des tous premiers monuments de l’historiographie en prose de langue française et manifeste l’émergence, de la fin du XIIe siècle à la fin du XIIIe siècle d’un nouveau public, lettré mais non savant, avide de découvrir son passé. Le manuscrit Pluteus LXI. 10 de la bibliothèque laurentienne de Florence dont nous présentons ici l’édition, dans sa partie de la Continuation copiée outremer et couvrant les années 1185-1247, prend place dans un ensemble complexe et hétérogène de plus de cinquante manuscrits et constitue à bien des titres un témoin particulièrement précieux. Copié dans le français d’Outremer, dialecte d’oïl formé en Terre sainte, il est le dernier manuscrit fabriqué à Saint-Jean d’Acre avant la chute de la ville et du royaume, couronnement de toute une tradition historiographique. Complet, luxueux et richement décoré, il témoigne des pratiques propres aux ateliers ultramarins et du savoir-faire de ses ornemanistes, et nous présente les œuvres les plus abouties de l’artiste nommé maître de Paris et d’Acre. L’édition que nous en donnons comprend un apparat critique complet, une présentation littéraire, des études codicologiques, linguistiques et paléographiques, un glossaire, un index et une chronologie. / The Estoire d’outremer is a sweeping historical account that represents one of the main Frankish sources for the history of the crusades. It contains the French translation of William of Tyre’s Historia rerum in partibus transmarinis gestarum, to which is added a compilation of several chronicles retracing the history of the Latin kingdom of Jerusalem until 1277. The Estoire d’outremer is rooted in the didactic genre as well as in aristocratic literature, and represents one of the first testaments of prose hagiography in the French language. It is evidence of the well read, although not scholarly public which emerged during the 12th and the 13th centuries, and which was keen to uncover its past. We present here the edition of the Pluteus LXI.10 manuscript at the Laurentian Library in Florence, from the f. 274 to the f. 336 (the period 1185-1247). It is part of a complex and heterogeneous ensemble of more than fifty manuscripts, and is a particularly precious testimony on several counts. Copied in Outremer French – an oïl dialect shaped in the Holy Land – it was the last manuscript to have been completed at St.-Jean d’Acre before the fall of the city and kingdom, and was the crowning achievement of a long historiographical tradition. The manuscript is complete, sumptuous and richly decorated, showcasing the particular practice of ultramarine workshops and the mastery of their ornementists. Its pages display the most consummate works produced by the Paris-Acre Master. Our text edition is presented with a comprehensive critical apparatus, a literary presentation, some codicological, linguistic and paleographical studies, a glossary, an index and a chronology.

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