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Comparison of Reasons for University Attendance Between Traditional and Non-Traditional Female Students

Sparkman, Lila Gillis 05 1900 (has links)
The aim of this study was to identify the characteristics of non-traditional female students and their perceived reasons for university studies.
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Le commerce d'alimentation de détail à Sherbrooke

St-Onge, Cléomène January 1974 (has links)
No description available.
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Effets des normes sur le commerce extérieur

Lapointe, Hélène January 1991 (has links)
Si les normes n'étaient qu'une source d'entraves au commerce, on essayerait par tous les moyens d'arriver à les éliminer, comme on tente de le faire avec les tarifs douaniers. Mais ce n'est pas le cas. Les normes apportent des bienfaits. Nous savons qu'elles peuvent faciliter la production, la consommation et le commerce. S'il ne peut être question de les éliminer, il faut arriver à les utiliser de façon à pouvoir profiter des bienfaits qu'elles procurent tout en essayant d'éliminer les problèmes qu'elles peuvent aussi créer. L'objectif de cette recherche sera donc d'évaluer les effets de la normalisation sur les échanges du Canada avec ses partenaires commerciaux et leurs répercussions sur les différents agents économiques. Dans un premier temps, nous regarderons l'implication du Canada dans l'élaboration d'un système de normalisation qui se doit de répondre aux besoins des différents agents économiques. A l'intérieur de la présentation du cadre institutionnel, nous ferons la description des différents organismes visés par la normalisation. Que ce soit au niveau national ou international, des intervenants de plusieurs milieux participent aux diverses étapes de la normalisation (élaboration des normes, essais ou certification). Les responsabilités face à l'élaboration et au fonctionnement du système de normalisation ont, en général, été distribuées selon l'intérêt de ceux qui sentaient une carence dans ce domaine. Dans un deuxième temps, nous ferons état des principales études théoriques et empiriques qui ont traité des effets économiques de la normalisation. D'un côté, il est reconnu, par plusieurs auteurs, que les normes sont essentielles à toutes les activités économiques (production, consommation, échanges). Cependant, plusieurs faits, relevés par différents auteurs, révèlent également qu'elles peuvent nuire, entre autres, aux échanges commerciaux. La troisième étape aura pour objet, d'une part, d'estimer l'effet des normes étrangères pour les exportateurs canadiens et d'autre part, d'évaluer l'effet des normes canadiennes pour les exportateurs étrangers. Ces résultats seront tirés d'une enquête que nous avons réalisée auprès d'entreprises canadiennes et étrangères. Finalement, à partir des résultats de l'enquête, nous estimerons la valeur des exportations dans deux secteurs spécifiques qui ne se réalisent pas en raison de l'imposition de normes qui affectent les coûts de production.
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Communication et animalité : cartographie d'un commerce

Jaclin, David 05 1900 (has links)
Thèse réalisée en co-tutelle avec le Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris. / Cette thèse opère principalement à deux niveaux, un niveau ethnographique et un niveau communicationnel. Je m’intéresse ici à l’étrange cas des jungles de garage nord-américaines et aux dizaines de milliers d’animaux dits « exotiques » qui les composent. Au cours de l’année 2011, j’ai parcouru plus de 25 000 kms à travers le continent, à la rencontre précisément de ces espaces postnaturalisés qui constituent désormais une part non négligeable (et pourtant souvent négligée) de nos paysages écologiques contemporains. Plus tout à fait sauvages, ni pour autant complètement domestiques, ces modes d’existence pionniers hantent désormais une zone grise de nos savoirs zoologiques, de nos avoirs culturels. En effet, ces humanimalités en devenir ne vont pas sans brouiller certaines de nos conceptions dichotomiques traditionnelles (telles nature/culture, humain/non-humain, proie/prédateur, dominant/dominé, émetteur/récepteur). À une époque où l’animal est régulièrement objet de débats théoriques, légaux, sociaux, politiques ou encore épistémologiques, la prise en compte renouvelée de ces singularités animales fournit ici d’importants précédents en matière d’adaptation, d’évolution et d’émergence. En livrant de la sorte les résultats d’ethnographies transpécifiques originales, j’offre ainsi à la discussion un matériel éthologique inédit touchant à la vie d’animaux a priori connus, mais dont les modalités existentielles actuelles restent encore largement méconnues. Ainsi, plutôt que de considérer l’animal d’un simple point de vue substantialiste ou bien encore depuis une stricte perspective hylémorphique, c’est-à-dire s’attachant essentiellement à des questions de forme et de matière (un tigre né et élevé en captivité, nourri de viande de supermarché et sous pilule contraceptive est-il toujours un tigre ?), je me concentre plutôt sur ces mouvements complexes d’information et de communication qui donnent forme à la matière et matière à la formation (et font du tigre d’aujourd’hui non plus l’alter ego du roi de la jungle, mais l’égal du chat de gouttière). Dans une perspective simondonienne, je conceptualise alors une certaine logique de l’individuation animale, que je rapporte à la part d’indétermination que comprend tout processus de communication. J’émets ainsi l’hypothèse que l'animalité, bien plus qu'une simple collection d’attributs, constitue en réalité un enchevêtrement toujours mouvementé de relationalités transductives. Ici, teckné et anima opèrent de manière disparate mais conjointe, pour alimenter partie de nos processus anthropogéniques. En puisant constamment dans un tel réservoir de differentialités, notre espèce ne cesse ainsi de se réinventer. Dès lors, les biomedia ne seront plus considérés comme la dernière itération de notre modernité technologique, se déplaçant lentement de matérialités inorganiques en potentialités organiques, mais bien plutôt compris tel un nouveau registre d’écriture du vivant opérant au cœur d’un potentiel d’inscription animatif continuellement remis en je(u). Parce que nos relations avec les animaux ont toujours été inséparables de nos devenirs respectifs, la manière dont nous sommes aujourd’hui aux prises avec certains de nos (anciens) prédateurs dit beaucoup, me semble-t-il, de notre à-venir et de cet animal-medium que nous logeons tous. Ici conceptualisées, ces jungles de garage renvoient à de puissants champs expérientiels, non pas dénaturés mais renaturalisés, au cœur desquels certains organismes démontrent, en réaction précisément à des pressions sélectives renouvelées, non seulement des réponses adaptatives surprenantes, mais initient aussi des processus innovants impliquant plusieurs niveaux d’individuations créatrices. / This thesis operates mainly on two levels: one is ethnographical, the other is communicationnal. I explore the curious case of North American jungle backyards in which « used-to-be-wild » animals are experiencing « almost-domesticated » existences while their daily lives are merged with that of Homo sapiens. As pets, guinea pigs or postnatural totems, these pioneer organisms not only feed the third most important black market in the world, they also blur our traditional zoological and philosophical apparatus (often driven by dichotomies between nature/culture, human/nonhuman, prey/predator, dominant/dominated, transmitter/receiver). In 2011, I traveled 16 000 miles all around the continent to explore some of these contemporary humanimal modalities. Hence, I examine important transpecific aspects of these modified ecological landscapes, in which known living organisms experience unknown reorganizations of life. In a Simondonian perspective, I reconceptualize animality and communication activities in order to readdress, along with the question of the animal, individuation processes and their inherent indetermination qualities – the kind, yet unseen, that contemporary jungle backyards silently nurture. At a time when animal rights and bioethics are regularly at stake (and indeed a serious preoccupation for societies that strive to leave behind medieval practices, but also attempt to cope with their biotechnological becomings), jungle backyards provide an original ethological dataset based not only on what an animal is or should be, but rather on what real animal existences actually consist of. In that respect, I offer firsthand material that may help to better navigate our common Ark, possibly facing a new environmental flood. Instead of considering animals from a reductive substancialist point of view or from a strict hylemorphic perspective, focusing on matters of form or forms of matter, I concentrate on movements that give form to matter and matter to form. I then suggest that animality, more than a simple collection of mere attributes or even a basic manifestation of an elaborate biochemical complex, constitutes an enmeshment constantly in motion made of transductive relationalities. Here, biomedia are not considered the latest bourgeon of our technological modernity, slowly shifting from inorganic materialities to organic potentialities, but rather an ancient deviation of natural forces (too quickly restricted to domestication). Instead teckné and anima operate jointly and disparately to propel what I call aniculture and which I consider to be not only a part of our anthropogenic processes, but also a mutagenic pool of differentialities from which humanity constantly draws in order to reinvent itself. Then, along with a specific textual mode of organization (as transpecific as its topic), writing is here even envisaged as another possible expression of animality, maybe even a powerful re-intensification. Because our traditional dealings with animals have always been inseparable from our becomings, the (yet untold) ways we are now dealing with some of our ex-predators and preys reveal a great deal about our postnatural futures and that “animal-medium” we all inhabit. In fact, jungle backyards are less denaturalized places than renaturalized spaces in which animals demonstrate not only adaptive responses to selective pressures but initiate creative processes at a number of levels from which fertile lines of thought can eventually stem.
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La régulation du commerce électronique global

Seffar, Karim 07 1900 (has links)
Le déroulement du commerce électronique sur un marché global suscite de nombreux questionnements juridiques. D'une part, le droit est conçu à l'échelle nationale en fonction d'un milieu social tributaire de son histoire et de sa culture et d'autre part, le commerce électronique global présente des caractéristiques très singulières : dématérialisation, ubiquité et dimension transfrontalière. Or, une telle confrontation est susceptible de menacer la sécurité juridique des parties dans leurs transactions commerciales en ligne mais aussi la confiance nécessaire à leur développement. Les territoires nationaux, en limitant le pouvoir d’action effectif des États, pose un problème d’échelle : réglementer un phénomène global confronté à des souverainetés territoriales multiples. L’encadrement normatif du commerce électronique global se développe désormais, en partie, à un niveau extra étatique, confirmant l’érosion du monopole des États dans la régulation des rapports juridiques globalisés. La normativité devient le résultat d’un jeu normatif ouvert non seulement quant aux acteurs de la régulation, mais également quant à la qualification des normes impliquées dans cette régulation. Prenant la mesure de la complexité croissante de la normativité, les États interviennent pour tenter de concilier les pratiques nouvelles avec la règle de droit dans une logique de définition des règles du jeu et d’harmonisation du comportement des acteurs économiques. Les systèmes de droit nationaux apprennent à interagir avec des normes multiples de sources différentes. Cette évolution reflète l’articulation des dynamiques de mutation de la normativité avec le phénomène de globalisation du commerce électronique. / The roll out of e-commerce on a global market gives rise to a number of legal questions. On one hand, the law is conceived on a national scale based on the social context, which itself is dependent on its history and culture, and on the other hand, global e-commerce has very unique characteristics: dematerialization, ubiquity and a cross-border dimension. Such a confrontation is likely to jeopardize the legal security of parties in their online commercial transactions, in addition to the trust necessary for their development. National territories, by limiting the effective State power, present a scale issue: regulating a global phenomenon confronted by multiple territorial sovereignties. The normative framework of global e-commerce is now starting to develop, partly, at the non-state level confirming the erosion of States monopoly in the regulation of the global legal relations. Normativity becomes the result of a normative game, open not only as for regulation actors, but even as for the qualification of the norms involved in this regulation. With regard to the growing complexity of normativity, States intervene in order to attempt to reconcile new practices with the rule of law, while aiming to define the playing fields and to harmonize the behaviour of the economic players. National law systems are learning to interact with multiple norms from different sources. This evolution reflects the articulation of changes in normativity dynamic with the phenomenon of e-commerce globalization.
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Vie privée en commerce électronique

Mani Onana, Flavien Serge January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Centralités urbaines et concentrations de commerces

Lebrun, Nicolas 10 December 2002 (has links) (PDF)
Le phénomène urbain est souvent défini comme une concentration d'activités. Une de ces activités, une de ces fonctions, est peut-être un reflet de la dynamique urbaine, voire un moteur de la régénération urbaine. La fonction commerciale, particulièrement le commerce de détail (y compris les services marchands), pourrait jouer ce rôle dans la ville. La répartition intra-urbaine du commerce répond à des logiques de concentration, qu'il est intéressant d'étudier pour dégager des lieux plus centraux que d'autres. L'auteur appelle "concentrations de commerces" ces espaces privilégiés. Peuvent-elles être importantes pour saisir les centralités urbaines? Cette recherche vous propose d'étudier cela en utilisant trois "agglomérations-témoins". L'auteur a retenu trois agglomérations françaises de tailles différentes (de 200 000 à plus d'un million d'habitants), mais aussi de configurations différentes : Lille-Roubaix-Tourcoing, Nancy, Reims. L'approche de l'appareil marchand de chacune de ces agglomérations permet la bonne illustration d'une approche théorique.<br />Pour cela, cette recherche propose une mesure de la centralité marchande. Cela implique une bonne évaluation d'éléments quantitatifs et qualitatifs. Cela suppose aussi d'envisager les difficultés théoriques et pratiques de la diffusion du potentiel marchand. L'objectif est de connaître quelle place donner à l'urbanisme commercial dans l'aménagement urbain. la cristallisation marchande est-elle un bon outil de régénération urbaine ? Quelles modalités d'implantation et quels critères de localisation doivent être respectés par les concentrations de commerces pour qu'elles participent avec cohérence à une politique globale d'aménagement ? De fait, il est impératif, comme dans toute opération d'aménagement, d'être attentif aux éléments formels et au contexte autant qu'à la fonction injectée.
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Le commerce équitable : un outil de développement ?

Balineau, Gaëlle 06 September 2010 (has links) (PDF)
Le Commerce Équitable (CE) est défini par les principaux acteurs qui s'en réclament comme un partenariat commercial dont l'objectif est de parvenir à une plus grande équité dans le commerce mondial. Il contribue au développement durable et à la lutte contre la pauvreté en offrant de meilleures conditions commerciales aux producteurs des pays en développement (prix d'achat couvrant les coûts de production, accès au crédit, engagement { long terme), ainsi qu'une assistance technique à leurs organisations. Dans ce contexte, plusieurs gouvernements considèrent le CE comme un instrument au service du développement. Le CE peut-il réellement être un outil de développement ? L'objectif de cette thèse est d'apporter quelques éléments de réponse à cette question. Le chapitre 1 décrit en détail l'histoire, les principes et le fonctionnement du CE contemporain. Le chapitre 2 évalue l'impact du projet de coton équitable au Mali. Il est basé sur une enquête de terrain réalisée par l'auteur et montre que le CE a d'autant plus de bénéfices qu'il est intégré dans les stratégies locales de développement. Le chapitre 3 analyse la consommation de produits équitables { partir d'une base de données recensant les achats quotidiens de 12 000 ménages français. L'estimation d'un système de demande de type Working-Leser montre que les biens équitables sont des biens de luxe, dont la consommation dépend très clairement de la perception que les consommateurs ont du CE. Le chapitre 4 fait une nouvelle proposition quant à la nature des biens équitables : s'ils peuvent effectivement être considérés comme des biens de confiance, comme c'est systématiquement le cas dans la littérature ({ une exception près), c'est surtout leur caractère « indéterminé » au sens de Lupton (2005) qui nous semble déterminant pour l'avenir du CE. En effet, tant que le CE ne précisera pas davantage ses objectifs, ses moyens et ses résultats, il est soumis à un risque de disparition.
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Contract in electronic commerce

Steves, Douglas Howard 28 August 2008 (has links)
Not available / text
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Communication et animalité : cartographie d'un commerce

Jaclin, David 05 1900 (has links)
Cette thèse opère principalement à deux niveaux, un niveau ethnographique et un niveau communicationnel. Je m’intéresse ici à l’étrange cas des jungles de garage nord-américaines et aux dizaines de milliers d’animaux dits « exotiques » qui les composent. Au cours de l’année 2011, j’ai parcouru plus de 25 000 kms à travers le continent, à la rencontre précisément de ces espaces postnaturalisés qui constituent désormais une part non négligeable (et pourtant souvent négligée) de nos paysages écologiques contemporains. Plus tout à fait sauvages, ni pour autant complètement domestiques, ces modes d’existence pionniers hantent désormais une zone grise de nos savoirs zoologiques, de nos avoirs culturels. En effet, ces humanimalités en devenir ne vont pas sans brouiller certaines de nos conceptions dichotomiques traditionnelles (telles nature/culture, humain/non-humain, proie/prédateur, dominant/dominé, émetteur/récepteur). À une époque où l’animal est régulièrement objet de débats théoriques, légaux, sociaux, politiques ou encore épistémologiques, la prise en compte renouvelée de ces singularités animales fournit ici d’importants précédents en matière d’adaptation, d’évolution et d’émergence. En livrant de la sorte les résultats d’ethnographies transpécifiques originales, j’offre ainsi à la discussion un matériel éthologique inédit touchant à la vie d’animaux a priori connus, mais dont les modalités existentielles actuelles restent encore largement méconnues. Ainsi, plutôt que de considérer l’animal d’un simple point de vue substantialiste ou bien encore depuis une stricte perspective hylémorphique, c’est-à-dire s’attachant essentiellement à des questions de forme et de matière (un tigre né et élevé en captivité, nourri de viande de supermarché et sous pilule contraceptive est-il toujours un tigre ?), je me concentre plutôt sur ces mouvements complexes d’information et de communication qui donnent forme à la matière et matière à la formation (et font du tigre d’aujourd’hui non plus l’alter ego du roi de la jungle, mais l’égal du chat de gouttière). Dans une perspective simondonienne, je conceptualise alors une certaine logique de l’individuation animale, que je rapporte à la part d’indétermination que comprend tout processus de communication. J’émets ainsi l’hypothèse que l'animalité, bien plus qu'une simple collection d’attributs, constitue en réalité un enchevêtrement toujours mouvementé de relationalités transductives. Ici, teckné et anima opèrent de manière disparate mais conjointe, pour alimenter partie de nos processus anthropogéniques. En puisant constamment dans un tel réservoir de differentialités, notre espèce ne cesse ainsi de se réinventer. Dès lors, les biomedia ne seront plus considérés comme la dernière itération de notre modernité technologique, se déplaçant lentement de matérialités inorganiques en potentialités organiques, mais bien plutôt compris tel un nouveau registre d’écriture du vivant opérant au cœur d’un potentiel d’inscription animatif continuellement remis en je(u). Parce que nos relations avec les animaux ont toujours été inséparables de nos devenirs respectifs, la manière dont nous sommes aujourd’hui aux prises avec certains de nos (anciens) prédateurs dit beaucoup, me semble-t-il, de notre à-venir et de cet animal-medium que nous logeons tous. Ici conceptualisées, ces jungles de garage renvoient à de puissants champs expérientiels, non pas dénaturés mais renaturalisés, au cœur desquels certains organismes démontrent, en réaction précisément à des pressions sélectives renouvelées, non seulement des réponses adaptatives surprenantes, mais initient aussi des processus innovants impliquant plusieurs niveaux d’individuations créatrices. / This thesis operates mainly on two levels: one is ethnographical, the other is communicationnal. I explore the curious case of North American jungle backyards in which « used-to-be-wild » animals are experiencing « almost-domesticated » existences while their daily lives are merged with that of Homo sapiens. As pets, guinea pigs or postnatural totems, these pioneer organisms not only feed the third most important black market in the world, they also blur our traditional zoological and philosophical apparatus (often driven by dichotomies between nature/culture, human/nonhuman, prey/predator, dominant/dominated, transmitter/receiver). In 2011, I traveled 16 000 miles all around the continent to explore some of these contemporary humanimal modalities. Hence, I examine important transpecific aspects of these modified ecological landscapes, in which known living organisms experience unknown reorganizations of life. In a Simondonian perspective, I reconceptualize animality and communication activities in order to readdress, along with the question of the animal, individuation processes and their inherent indetermination qualities – the kind, yet unseen, that contemporary jungle backyards silently nurture. At a time when animal rights and bioethics are regularly at stake (and indeed a serious preoccupation for societies that strive to leave behind medieval practices, but also attempt to cope with their biotechnological becomings), jungle backyards provide an original ethological dataset based not only on what an animal is or should be, but rather on what real animal existences actually consist of. In that respect, I offer firsthand material that may help to better navigate our common Ark, possibly facing a new environmental flood. Instead of considering animals from a reductive substancialist point of view or from a strict hylemorphic perspective, focusing on matters of form or forms of matter, I concentrate on movements that give form to matter and matter to form. I then suggest that animality, more than a simple collection of mere attributes or even a basic manifestation of an elaborate biochemical complex, constitutes an enmeshment constantly in motion made of transductive relationalities. Here, biomedia are not considered the latest bourgeon of our technological modernity, slowly shifting from inorganic materialities to organic potentialities, but rather an ancient deviation of natural forces (too quickly restricted to domestication). Instead teckné and anima operate jointly and disparately to propel what I call aniculture and which I consider to be not only a part of our anthropogenic processes, but also a mutagenic pool of differentialities from which humanity constantly draws in order to reinvent itself. Then, along with a specific textual mode of organization (as transpecific as its topic), writing is here even envisaged as another possible expression of animality, maybe even a powerful re-intensification. Because our traditional dealings with animals have always been inseparable from our becomings, the (yet untold) ways we are now dealing with some of our ex-predators and preys reveal a great deal about our postnatural futures and that “animal-medium” we all inhabit. In fact, jungle backyards are less denaturalized places than renaturalized spaces in which animals demonstrate not only adaptive responses to selective pressures but initiate creative processes at a number of levels from which fertile lines of thought can eventually stem. / Thèse réalisée en co-tutelle avec le Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris.

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