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Le débat CNDP et ses publics à l'épreuve du numérique : entre espoirs d'inclusion et contournement de la critique sociale / NCDP and its public in front of digital participation : between hopes of inclusion and social criticism bypass

Mabi, Clément 28 November 2014 (has links)
L'objectif de cette thèse est d'étudier les débats publics tels qu'organisés par la Commission Nationale du Débat Public (CNDP), et plus particulièrement les usages du numérique pour venir « équiper » les dispositifs participatifs mis en place. Le travail mené en Sciences de l'information et de la Communication (SIC) interroge le rôle de la configuration des dispositifs de médiation dans la constitution des publics. Il s'agit d'observer comment les choix techniques effectués pour organiser la discussion contribuent à la sélection des publics, dans la mesure où ils leur permettent plus ou moins d'exprimer le lien qui les relie à l'objet du débat. Nous parlerons de leur « concernement » pour qualifier ce lien. Pour mener à bien notre enquête, nous avons mis en place une méthodologie originale de comparaison des espaces « en ligne » et « hors ligne », mobilisée sur trois études de cas : le débat Ivry Paris-XIII sur la rénovation d'un incinérateur de déchets ménagers, celui sur le projet de Parc éolien en mer des Deux Côtes et enfin celui sur le projet CIGEO, le centre d'enfouissement des déchets nucléaires à Bure. L'enjeu de la thèse est de montrer qu'en fonction des situations, la méthodologie du débat public est plus ou moins mise à l'épreuve par l'objet débattu. Les usages du numérique diffèrent également : s'il est parfois porteur d’espoirs d'inclusion de nouveaux publics dans le débat, il peut également être utilisé pour contourner l'expression de la critique sociale. Dans ces derniers cas, nous montrerons comment une forme de « gouvernementalité numérique » contribue à mettre à distance les critiques les plus radicales pour que le débat puisse se tenir, malgré tout. / The goal of this thesis is to study public debate as organized by the Commission of Public Debate (Commision Nationale du Débat Public – CNDP), and more specifically how they have employed digital solutions to “augment” the traditional channels of public participation. The manuscript is a work of Information and Communication Sciences and analyzes the role of the mediating technological devices, their configuration, and the public commons that they create. More precisely, we will discuss the technological choices that were made during the organization of the debate and to what degree these choices help or hinder the public to express their relationship and their point of view to the object of debate. Approaching the discussion in this manner will require an in depth understanding of the public’s line of concern and degree of investment. At the center of our investigation, we have designed a methodology that allows for the comparison of digital forums of debate to their traditional counterparts. This has been put into practice through three case studies : first, the debate Ivry Paris-XIII regarding the modernization of the municipality’s waste incinerator ; another on the wind farm in the “Mer des Deux Côtes” ; and finally, the debate concerning the project CIGEO, the landfill for nuclear waste in Bure, France. The main contribution of this thesis is to show that regardless of how the process is organized, the public debate depends more or less to the subject of debate. The medium through which the debate takes place shares the same quality : even if technological platforms for debate may sometime bring hope for a fair argumentation, it can just as easily be abused so as to mischaracterized the true nature of the public’s grievances. In these cases, we show how a form of digital governmentality will arise to expel the most radical ideas so that the debate can go on, nonetheless.
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L'éducation à la citoyenneté comme forme de socialisation juridique: pour une prise de conscience de ses droits et devoirs fondamentaux dans une perspective contemporaine

Surprenant, Hugues 08 1900 (has links)
L'éducation à la citoyenneté comme forme de socialisation juridique est un moyen parmi d'autres qui nous permet de concevoir un possible dépassement de la «raison paresseuse» dans laquelle sont engagés les modèles politiques occidentaux. Les bases d'un nouveau code moral proposant à la fois une identité individuelle et collective pour le citoyen sont nécessaires. Ainsi, les énergies consacrées à la meilleure formation possible des futurs acteurs de la société québécoise, au partage d'idées et de perceptions dans une perspective contemporaine, ne peuvent être que bénéfiques pour l'avancement et l'avènement d'une société où l'équité coexiste avec la différence. C'est en réfléchissant et en échangeant sur le sujet avec notre entourage que nous avons décidé de concentrer nos recherches dans le domaine de 1'« éducation à la citoyenneté» avec comme contenu le droit. Naturellement, l'analyse à proprement positiviste du droit est ici mise de côté. Comme nous le verrons plus loin, une étude qui aborde la vision que se font les jeunes de l'univers juridique qui les entoure commande plutôt une approche sociologique. Les conclusions tirées de notre projet de recherche contribueront au débat entourant les concepts de citoyenneté, de droits fondamentaux et de responsabilités sociales dans une dynamique d'apprentissage. En tenant compte de la dimension culturelle de la citoyenneté, nous décrirons les différences d'interprétation et de représentation des droits fondamentaux et des responsabilités sociales dans la conscience d'« initiés» et de « non initiés» à une activité de socialisation juridique organisée par le Centre de développement pour l'exercice de la citoyenneté (CDEC), Débats de citoyens. Ce n'est qu'une fois cet exercice complété que nous tenterons d'évaluer le bienfondé et la validité d'une telle approche pédagogique. Mots clés: Éducation, citoyenneté, droits, responsabilités, socialisation, culture, débat, différence. / Citizenship education as a form of legal socialization is a way to conceive a possible overtaking of the «lazy reason » that embodies western political paradigms. The basis of a new moral code proposing an individual and collective identity for each citizen is necessary. Thus, the efforts invested in the best possible development of future actors in the province of Québec, in the sharing of ideas and views in a contemporary perspective, can only benefit the promotion and the upcoming of a society where equity coexists with difference. It is through reflection and while exchanging on the subject with others that we decided to concentrate our research on citizenship education with law as its content. Naturally, a positivistic analysis of the law is absent in such work. As we will see, a study that tackles young individuals' view of the legal universe they live in, rather commands a sociological approach. The conclusions we reached will contribute to the debate on the concepts of citizenship, fundamental rights and social responsibilities in a learning environment. Taking into account the cultural dimension of citizenship, we describe the differences in the interpretation and the representation of fundamental rights and social responsibilities in the conscience of "initiated" and "non-initiated" to a legal socialization activity organized by the Centre de développement pour l'exercice de la citoyenneté (CDEC). This activity is called Débats de citoyens, which translates to Citizens' debate. Only once this work is done will we attempt to evaluate the value and worth of such a pedagogical approach.
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Nature-Culture et développement de l'anxiété chez l'enfant

Daneault, Véronique January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Enseignement introductif de l'algèbre et validation

Barallobres, Gustavo January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Facteurs génétiques et environnementaux du développement émotionnel chez le nourrisson : la réactivité chez des jumeaux de 5 mois

Dugas, Erika January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Dynamique interactionnelle et potentiel acquisitionnel des activités communicatives orales de la classe de français langue étrangère. Analyse comparative de deux types d'activités avec des apprenants algériens.

Mahieddine, Azzeddine 28 June 2009 (has links) (PDF)
La thèse s'inscrit dans le champs de l'analyse des interactions verbales en contexte scolaire. Elle a pour objet deux situations d'interaction orales en français langue étrangère avec des apprenants algériens : un débat et une tâche de rédaction collaborative (coopération à visée fonctionnelle). L'objectif est de décrire la dynamique interactionnelle qui se développe dans ces activités et d'évaluer leur potentiel acquisitionnel ; ce dernier étant défini comme l'ensemble des comportement communicatifs ou évènements interactionnels particulièrement prometteurs pour l'acquisition. A cet effet, les travaux qui s'inscrivent dans le cadre de l'approche interactionniste de l'acquisition des langues constituent une référence théorique de base. L'analyse est menée grâce à une approche qualitative où dominent la description méthodique et l'interprétation des conduites des interactants. Elle s'appuie sur le plan méthodologique sur les principes de l'analyse conversationnelle d'inspiration ethnométhodologique. Enfin, cette recherche, inscrite dans une perspective didactique, a pour but de mieux comprendre le fonctionnement interactionnel des activités communicatives orales de la classe de langue, et de cerner les schémas interactionnels favorables à l'apprentissage. Cela pourrait constituer un éclairage pour concevoir des activités didactiques plus pertinentes et optimiser leur mise en œuvre.
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Problématisation, activités langagières et apprentissage dans les sciences de la vie. Étude de quelques débats scientifiques dans la classe dans deux thèmes biologiques : nutrition et évolution

Lhoste, Yann 04 December 2008 (has links) (PDF)
À partir d'une analyse épistémologico-langagière de trois débats scientifiques mettant au travail des concepts relevant de la biologie fonctionnaliste (nutrition dans une classe de 3e) et de la biologie historique (mécanismes de l'évolution dans une classe de première ES ; ancêtre hypothétique commun dans un groupe d'étudiants préparant le concours de recrutement de professeur des écoles), notre recherche vise à comprendre comment les pratiques de savoir et les pratiques langagières des élèves s'articulent étroitement pour permettre une problématisation scolaire visant des apprentissages biologiques. Le type d'analyse mené a permis d'expliciter les liens qui existent entre l'activité de problématisation des élèves, la dynamique de construction d'une explication en biologie et la secondarisation des textes produits oralement par les élèves. Nous avons distingué plusieurs niveaux de problématisation et précisé la fonction des obstacles par rapport au processus de problématisation.
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L'Argumentation dans les débats politiques télévisés. Négociations identitaires et co-construction d'un monde commun. D'une logique informationnelle à une sociolinguistique de l'action.

Fortin, Gwenole 30 June 2004 (has links) (PDF)
Le débat politique télévisé, qui semble rester un élément attendu du discours politique, a paradoxalement mauvaise presse : actualisé sur le mode agonistique, il est stigmatisé autant pour ses lourdeurs formelles que pour son caractère inauthentique et mensonger.<br /> En s'appuyant sur un corpus constitué des quatre débats présidentiels (1974 à 1995) ainsi que de débats issus de l'émission 100 Minutes pour convaincre, ce travail vise à mettre à jour les enjeux et les conséquences de cette lecture du débat politique télévisé. Par une recherche fondée sur une méthodologie résolument socio-pragmatique et transdisciplinaire (depuis les travaux en ethnographie de la communication jusqu'aux science studies), il s'agit donc ici – sans nier la dynamique conflictuelle – d'adopter une autre perspective : considérer que l'affrontement n'est qu'un fait de surface et qu'il s'agit davantage d'un processus de co-construction du sens et de co-construction d'une réalité. Les débattants n'interagissent pas seulement l'un sur l'autre mais aussi l'un pour l'autre. Ils ont besoin l'un de l'autre pour s'affronter et faire exister la polémique, synonyme de pratique démocratique. Il y a donc une forme de coopération dans le discours conflictuel lui-même. Et cette dimension contractuelle des interactions n'est pas sans rapport non plus avec le caractère médiatique, télévisuel, des débats.<br /> L'homme politique, ainsi assimilé à un comédien, doit donc consentir à s'aligner sur l'image que sa propagande répand. L'essentiel, pour les débattants, consiste ainsi à endosser des rôles conversationnels et à dire qui ils sont. La dynamique interlocutoire s'articule en fait autour de négociations identitaires qui fonctionnent comme des situations argumentatives.<br /><br /> Les théories modernes de l'argumentation – d'inspiration largement néo-platonicienne – s'ancrent dans une sorte d'anthropologie du convaincre : argumenter serait chercher à convaincre les interlocuteurs, directs ou indirects.<br /> C'est pourquoi – constatant que les hommes politiques visent davantage à séduire, à se conformer à l'image de ce qu'il sont censés être plutôt qu'à convaincre – les critiques « traditionnelles », savantes et communes, formulées à l'encontre de ces derniers sont aisément comparables à celles essuyées hier par les sophistes ; à tel point que la parole politique est assimilée à une sorte de nouvelle sophistique : celle-ci serait inauthentique, trompeuse, mensongère, etc. On assisterait au triomphe de la doxa sur le logos, de la séduction sur l'argumentation rationnelle. Cela témoigne du fait que l'ancien débat qui oppose Platon aux sophistes est toujours d'actualité et combien il a consacré notre rapport, en occident, du langage au politique.<br /> Afin de re-questionner la dichotomie platonicienne (logos/doxa) – qui émerge historiquement comme un trait visant à déconsidérer le discours des sophistes – on revisite l'allégorie de la Caverne de Platon qui construit, dans un même mouvement, une certaine idée de la Science (rationnelle, neutre, objective) et un monde social et politique en proie au chaos.<br /> Il s'agit de dé-construire l'ancienne opposition du logos et de la doxa et mettre en lumière qu'il n'y a pas qu'un seul monde (déjà là), mais des mondes à « négocier » par l'interaction langagière. Et que c'est donc la parole politique, qui construit le « réel », le monde dans lequel on dit vouloir vivre. L'effet de vérité ne résulte donc plus de l'adéquation entre le réel et le représenté (théorie du signe et logique informationnelle) mais de la co-incidence entre deux discours, deux identités socio-langagières, qui donnent forme au monde, le crée (même rétrospectivement). Les mots, les discours, les débats n'ont donc de signification, que dans un enlacement mutuel aux contextes et au monde. Rompant avec la linguistique structurale interne, et dans la perspective d'une sociolinguistique de l'action, on envisage ainsi le langage comme acte politique : l'instrument de l'invention/négociation du monde. Il sert, non plus seulement à communiquer ou à transmettre de l'information, mais à concrétiser un monde en devenir – et non un monde déjà là.
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Clones 3D pour communication audio et vidéo

Elisei, Frédéric 15 November 1999 (has links) (PDF)
Pour la téléconférence, on peut remplacer l'image des correspondants distants par des modèles 3D animés de leurs visages. En plus de taux de compression avantageux, cette approche offre les libertés du virtuel : on peut par exemple composer à l'écran l'impression d'un lieu unique, virtuel, où débattent les représentants 3D. Cette thèse présente un algorithme de rendu spécifique, applicable à des clones 3D photo-réalistes de visages. En restreignant les angles de vue autorisés, il permet un rendu simple et rapide, même avec des ordinateurs peu puissants ou sur des machines virtuelles. On propose aussi une architecture de régie automatique, reliée à des caméras virtuelles qui réagissent aux interventions des participants et en proposent une image synthétique. En alternant plusieurs vues (éventuellement partielles) de la scène, on autorise plus de participants simultanés, sans compromettre la qualité de l'image proposée ni l'intelligibilité du débat restitué. Automatique, cette approche libère l'utilisateur du système, qui peut se concentrer sur un débat rendu plus attractif, à la fois comme spectateur et comme participant. Cette thèse rend aussi compte de la réalisation d'un prototype de communication qui intègre les éléments précédents et permet de juger la qualité de la communication obtenue. À cette occasion, l'utilisation d'un environnement sonore qui intègre les interventions distantes et leur localisation (dans ou hors de l'image) est discutée, avec plusieurs expérimentations sur l'association entre l'image et le son spatialisé. Enfin, on introduit une solution hybride (3D et vidéo) pour animer les clones des visages. En incrustant à la surface d'un clone statique l'image des yeux, des sourcils et de la bouche vues par une caméra, on laisse aux spectateurs la responsabilité d'interpréter les expressions originales, dans toute leur dimension vidéo (forte résolution spatiale et temporelle). Un second prototype permet de juger de l'empathie visuelle.
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L'éducation à la citoyenneté comme forme de socialisation juridique : Pour une prise de conscience de ses droits et devoirs fondamentaux dans une perspective contemporaine

Surprenant, Hugues 08 1900 (has links)
L'éducation à la citoyenneté comme forme de socialisation juridique est un moyen parmi d'autres qui nous permet de concevoir un possible dépassement de la « raison paresseuse» dans laquelle sont engagés les modèles politiques occidentaux. Les bases d'un nouveau code moral proposant à la fois une identité individuelle et collective pour le citoyen sont nécessaires. Ainsi, les énergies consacrées à la meilleure formation possible des futurs acteurs de la société québécoise, au partage d'idées et de perceptions dans une perspective contemporaine, ne peuvent être que bénéfiques pour l'avancement et l'avènement d'une société où l'équité coexiste avec la différence. C'est en réfléchissant et en échangeant sur le sujet avec notre entourage que nous avons décidé de concentrer nos recherches dans le domaine de 1'« éducation à la citoyenneté» avec comme contenu le droit. Naturellement, l'analyse à proprement positiviste du droit est ici mise de côté. Comme nous le verrons plus loin, une étude qui aborde la vision que se font les jeunes de l'univers juridique qui les entoure commande plutôt une approche sociologique. Les conclusions tirées de notre projet de recherche contribueront au débat entourant les concepts de citoyenneté, de droits fondamentaux et de responsabilités sociales dans une dynamique d'apprentissage. En tenant compte de la dimension culturelle de la citoyenneté, nous décrirons les différences d'interprétation et de représentation des droits fondamentaux et des responsabilités sociales dans la conscience d'« initiés» et de « non initiés» à une activité de socialisation juridique organisée par le Centre de développement pour l'exercice de la citoyenneté (CDEC), Débats de citoyens. Ce n'est qu'une fois cet exercice complété que nous tenterons d'évaluer le bienfondé et la validité d'une telle approche pédagogique. / Citizenship education as a form of legal socialization is a way to conceive a possible overtaking of the « lazy reason » that embodies western political paradigms. The basis of a new moral code proposing an individual and collective identity for each citizen is necessary. Thus, the efforts invested in the best possible development of future actors in the province of Québec, in the sharing of ideas and views in a contemporary perspective, can only benefit the promotion and the upcoming of a society where equity coexists with difference. It is through reflection and while exchanging on the subject with others that we decided to concentrate our research on citizenship education with law as its content. Naturally, a positivistic analysis of the law is absent in such work. As we will see, a study that tackles young individuals' view of the legal universe they live in, rather commands a sociological approach. The conclusions we reached will contribute to the debate on the concepts of citizenship, fundamental rights and social responsibilities in a learning environment. Taking into account the cultural dimension of citizenship, we describe the differences in the interpretation and the representation of fundamental rights and social responsibilities in the conscience of "initiated" and "non-initiated" to a legal socialization activity organized by the Centre de développement pour l'exercice de la citoyenneté (CDEC). This activity is called Débats de citoyens, which translates to Citizens' debate. Only once this work is done will we attempt to evaluate the value and worth of such a pedagogical approach.

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