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Les livres d'artistes entre pratiques alternatives à l'exposition et pratiques d'exposition alternatives

Dupeyrat, Jérôme 30 November 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse envisage le phénomène du livre d'artiste tel qu'il se développe dans sa relation à la notion et à la pratique d'exposition depuis les années 1960. L'exposition est ici considérée selon un double point de vue : d'une part comme le dispositif institutionnel le plus courant de manifestation de l'art ; d'autre part comme une fonction se rapportant à la visibilité des oeuvres. Il apparaît alors que les livres et les éditions d'artistes peuvent s'appréhender entre pratiques alternatives à l'exposition et pratiques d'exposition alternatives. Pratiques d'exposition alternatives dans la mesure où le livre et l'imprimé sont potentiellement des modes de visibilité de l'art ; pratiques alternatives à l'exposition parce que ce moyen de visibilité est très différent de ce que l'on nomme usuellement une exposition. À travers l'étude de cette tension dialectique entre l'édition et l'exposition, il s'agit de préciser quelle est l'économie artistique et quelles sont les conditions de réception esthétique que proposent les livres et les éditions d'artistes, et ainsi de comprendre en quel sens et à l'égard de quelles normes ou de quelles instances ils ont une valeur dite " alternative ". De la sorte, il est également question de la place qu'occupentles livres d'artistes dans le système de l'art contemporain et des effets qu'ils exercent sur celui-ci
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La collection comme vivier réseaux réels et virtuels au sein de la collection "Les poètes du jour" (1963-1975) des Éditions du Jour

Giguère, Nicholas January 2010 (has links)
Le présent mémoire vise à démontrer que la collection « Les Poètes du Jour » (1963-1975) des Éditions du Jour constitue un véritable vivier et qu'elle abrite des réseaux réels et virtuels, qui peuvent être décelés grâce à l'analyse des caractéristiques socioprofessionnelles des auteurs et du paratexte des oeuvres qui la composent. Nous entendons dévoiler les enjeux relatifs à chacun de ces types de réseaux. En plus d'un historique des Éditions du Jour, le premier chapitre propose un rappel des parcours de Jacques Hébert, directeur des Éditions du Jour, de Gatien Lapointe et de Michel Beaulieu, qui ont joué un rôle déterminant dans l'évolution des « Poètes du Jour », ainsi que de Marcel et François Hébert, directeurs de la collection durant ses dernières années d'existence. Leur formation, leur trajectoire dans le champ littéraire québécois et surtout leurs liens avec de (futurs) auteurs de la collection sont décrits et analysés. Les toutes premières manifestations de réseaux au sein de la collection sont ainsi circonscrites.Le deuxième chapitre est consacré à l'analyse des liens et réseaux réels proprement dits. L'examen des caractéristiques socioprofessionnelles des auteurs démontre la présence de cohortes et de générations de poètes, ou encore de réseaux réels, à l'intérieur des « Poètes du Jour ». Or, le fait de prendre part à un réseau se traduit toujours par un gain de capital (symbolique, économique, social) pour l'auteur concerné : publication chez un éditeur reconnu, obtention d'un poste au sein d'une institution, accès au réseau de relations d'un ami, notamment. La question des liens et réseaux virtuels formés aux « Poètes du Jour » vient compléter cette étude dans le troisième et dernier chapitre. L'analyse des principaux éléments paratextuels des recueils de la collection mettra en évidence les affinités (esthétiques, voire idéologiques) et les accointances qui se tissent entre les auteurs de la collection ou encore entre les « Poètes du Jour » et d'autres poètes québécois. L'analyse des préfaces, des dédicaces, des épigraphes et de la réception critique indique que les liens et réseaux virtuels ne sont jamais neutres et remplissent une fonction particulière : défense et légitimation d'une poétique dominante dans le champ littéraire, accréditation des nouvelles écritures au détriment de celles relevant de l'arrière-garde, promotion d'un jeune poète, inscription d'une oeuvre dans une tradition littéraire établie, etc. Notre double analyse, quantitative et qualitative, mettra en évidence que la collection « Les Poètes du Jour » est plus qu'un simple ensemble de titres : elle est en fait un véritable lieu de rencontre et de rassemblement pour de nombreux poètes, plus spécifiquement ceux de la jeune génération, qui s'y rencontrent et s'y côtoient. Plusieurs d'entre eux ont notamment étudié dans les mêmes établissements scolaires, se connaissent à leur milieu de travail ou alors convergent vers les mêmes lieux éditoriaux, ce qui facilite la formation de liens et réseaux réels aux « Poètes du Jour ». L'accumulation de différents éléments paratextuels indique la formation de liens et de réseaux virtuels, où des écritures (la « poésie du pays », le formalisme, l'écriture des femmes et la contre-culture) émergent et sont théorisées.
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Peut-on encore parler d'un style-Minuit à l'orée du XXIe siècle (Éric Chevillard, Éric Laurrent, Laurent Mauvignier, Marie NDiaye et Tanguy Viel) ?

Bonazzi, Mathilde 28 September 2012 (has links) (PDF)
À l'aube du XXIe siècle, le style-Minuit s'offre d'abord comme une construction critique. En effet, depuis les années 1950 et le mouvement du Nouveau Roman, aussi appelé école de Minuit, les récits publiés aux Éditions de Minuit sont perçus irréductiblement par l'histoire littéraire comme des productions homogènes. Ainsi, les écrivains "impassibles" ou "minimalistes" puis "ludiques" auraient succédé aux Nouveaux Romanciers et, jusque dans les années 1990, le mythique éditeur, Jérôme Lindon, aurait découvert trois écoles stylistiques. Les critiques littéraires contribuent également à perpétuer dans la presse l'idée d'un style-Minuit. Entre 1999 et 2009, les journalistes représentent, dans un discours métaphorique et métonymique qui joue sans cesse d'un glissement sémantique sur la lexie polysémique "style", le style-Minuit en tant qu'objet sociocritique stéréotypique. Mais, si l'on entend par style ce qui fait événement dans la langue, peut-on encore faire l'hypothèse selon laquelle il existe un style-Minuit ? Passée au crible d'une étude à la fois synchronique et diachronique, la langue littéraire des écrivains Minuit nés entre 1964 et 1973 (Éric Chevillard, Éric Laurrent, Laurent Mauvignier, Marie NDiaye et Tanguy Viel) révèle un méta-patron discursif composé de traits de style supra-individuels. Ainsi, une analyse approfondie de la ponctuation, la syntaxe et l'énonciation permet de dégager non seulement la singularité langagière de chaque écrivain mais aussi les convergences de pratiques stylistiques qui définissent bien un style collectif Minuit.
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Édition critique de La guerra a Milano de Franco Fortini / A critical edition of Fortini’s La guerra a Milano

La Monica, Alessandro 25 May 2016 (has links)
Ma recherche est une étude qui reconstitue le milieu littéraire, culturel et intellectuel dans lequel se trouve l’écrivain italien Franco Fortini (1917-1994) pendant son séjour en Suisse. La section centrale de la thèse est une édition critique de La guerra a Milano qui, d’un côté, fait ressortir la leçon originaire destinée à être publiée en Suisse, et qui de l’autre rend évident, à travers l’apparat critique, l’évolution des variantes introduites par les éditions de presse. Le texte qui fut publié en 1963, en effet, issu d’un travail de correction effectué vingt ans plus tard, fut privé des passages en italique qui, décrivant la condition de réfugié du jeune écrivain, créaient un remarquable contrepoint à la narration historique. Le texte du ’63, de plus, n’a plus un rôle autonome, mais est accompagné (ou mieux – contre la chronologie – anticipé) par le récit Sere in Valdossola. Avoir récupéré cette forme originaire du texte, en la préférant aux deux éditions (1963 et 1985), nous a fait pencher pour une édition qui mette en évidence la leçon de Z (1943-44) et signale en apparat soit les variantes génétiques (celles de Z, placées dans le premier paragraphe), soit les variantes évolutives des éditions de presse (à recenser dans un second paragraphe). Dans l’appendice on a reproduit aussi la leçon du manuscrit, accompagnée d’un apparat qui signale les variantes internes. Un bref commentaire final comprend des notes explicatives du texte (des traductions des passages en langue étrangère, des références à des personnages ou à des évènements historiques, etc.). Ma recherche permettra ainsi aux chercheurs (et, plus tard, par une éventuelle publication de la thèse à des lecteurs plus nombreux) de connaître un document inédit d’un des auteurs italiens les plus remarquables de la seconde moitié du vingtième siècle. / My research examines the literary, cultural and intellectual milieu in which the Italian writer Franco Fortini (1917-1994) lived during his stay in Switzerland. During this stay, in fact, Fortini tied many friendships with Italian and French intellectuals, such as Ignazio Silone, Adriano Olivetti, Gianfranco Contini, Starobinski, Paul Eluard, Jean-Paul Sartre and Simone de Beauvoir. The central section of the thesis is a critical edition of La guerra a Milano which, on one hand, highlights the original lesson to be published in Switzerland, and on the other, makes clear, through the critical apparatus, the changing variants introduced by the new editions. The text was published in 1963, in fact, after a twenty-years-long correction work, and was deprived of the italicized passages describing the refugee status of the young writer, that created a remarkable counterpoint to the historical narration. The 1963 text has an autonomous role, but it is accompanied (or better - against the timing - advanced) by the story in Sere Valdossola. To have recovered this original text, instead of the two editions (1963 and 1985), highlights the lesson of the typescript (1943-1944). In the appendix we have also reproduced the lesson of the manuscript, accompanied by notes that signal internal variants. A brief final comment includes explanatory notes of the text (translations of foreign-language passages, references to characters or historical events, etc.). My research will thus enable researchers (and, later, thanks to eventual publication of the thesis, many others readers) knowing an unpublished document of one of the most outstanding Italian writers of the second half of the twentieth century. La guerra a Milano is Fortini’s first text to be written in its entirety and to be reissued during the postwar period with the publication of Sere in Valdossola (1963).
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Le bien public (1909-1978) : un journal, une maison d'édition, une imprimerie la réussite d'une entreprise mauricienne à travers ses réseaux

Roux-Pratte, Maude January 2008 (has links) (PDF)
Cette étude historique est consacrée au Bien public de Trois-Rivières. Fondé en 1909 par l'évêque de Trois-Rivières, Mgr F. X. Cloutier, Le Bien public est d'abord un hebdomadaire catholique, puis également une imprimerie. Lorsque la crise des années 1930 amplifie des difficultés financières déjà importantes, le journal trifluvien est menacé de faillite. L'abbé Albert Tessier, l'un des collaborateurs-vedettes, propose de léguer Le Bien public à Clément Marchand, poète de la relève qui écrit déjà dans le journal, et à Raymond Douville, ancien secrétaire de l'éditeur Albert Lévesque. Avec l'aide de Tessier, ils arrivent à garder en vie l'hebdo, mais aussi à développer le secteur éditorial et une imprimerie commerciale. Jusqu'en 1978, les Éditions du Bien public publient au moins 250 titres et l'Imprimerie du Bien public obtient des contrats d'impression importants du gouvernement du Québec et de nombreux éditeurs québécois, dont Fides, Fernand Pilon, le Boréal express et les Écrits des Forges. Quelques revues sortent également des presses du Bien public, notamment Horizons, Marie et les Cahiers des Dix. Plusieurs facteurs expliquent la longévité exceptionnelle du Bien public et son rayonnement à l'échelle de la province. Grâce à une diversité de sources, notamment la riche correspondance des trois dirigeants, j'ai voulu montrer le rôle clé des réseaux dans cette longue aventure. En effet, les contacts de Marchand, Douville et Tessier dans le milieu littéraire, au sein du gouvernement et dans le monde clérical, contribuent de façon significative à la réussite de l'entreprise régionale. Nous verrons que les réseaux des dirigeants se transforment au fil des ans. Pour mettre en évidence ces changements, la thèse suivra une progression chronologique. Plusieurs outils et stratégies d'analyse sont inspirés de la sociologie et des études littéraires. Dans le chapitre II, j'aborderai la première vie de l'entreprise, alors que celle-ci appartient à l'évêché de Trois-Rivières. Entre 1909 et 1933, Mgr F. X. Cloutier et la Corporation épiscopale vont tout tenter pour rentabiliser l'hebdomadaire catholique Le Bien public, que ce soit en achetant une imprimerie ou en créant une compagnie formée de clercs et de notables. C'est par dépit que le journal est finalement cédé à de jeunes laïcs, en septembre 1933. Ce chapitre présente également les personnages principaux de cette thèse, soulignant le bagage d'expériences et le capital social dont disposent Marchand, Douville et Tessier avant de revitaliser l'hebdo et de développer la maison d'édition associée. Le chapitre III se consacre au journal Le Bien public et au mensuel Le Mauricien/Horizons (1937-1939). Les nouveaux propriétaires, Marchand et Douville, utilisent leurs amitiés dans le monde des lettres pour revitaliser ces publications. Cette période est fort intéressante pour comprendre la vie d'un réseau fait de journalistes, de directeurs de revues, de poètes et d'éditeurs québécois qui s'écrivent, se réunissent régulièrement et s'échangent des services, jusqu'à ce que des conflits éclatent et dissipent finalement ce groupe d'individus, dans la seconde partie de la décennie. Le chapitre IV aborde les débuts des Éditions du Bien public, qui lancent en 1932 une série de 32 fascicules, les « Pages trifluviennes », sous la direction de l'abbé Albert Tessier. Il existe des liens étroits entre cette collection et le journal Le Bien public, qui lui fournit la moitié des auteurs et travaille à promouvoir l'histoire régionale à la veille des fêtes du tricentenaire de Trois-Rivières (1934). À cette époque, les Éditions du Bien public sont d'abord l'affaire de Tessier. C'est grâce à ses contacts qu'il peut enrichir rapidement son catalogue, publiciser sa collection dans plusieurs périodiques, financer et vendre les brochures. Le chapitre V, qui porte sur les années 1938 à 1959, présente l'Imprimerie du Bien public comme un tremplin pour l'entreprise. Dans la décennie 1940, Marchand et Douville, en plus de leur journal, s'occupent des nouvelles presses et apprennent le métier d'éditeur. L'abbé Tessier, devenu entre temps inspecteur des Écoles ménagères, cède sa place à ses protégés à la tête de la maison d'édition. Il demeure par contre l'un des principaux clients de l'imprimerie à titre d'éditeur délégué pour Fides. Dans les années 1950, l'imprimerie demeure fort occupée. Le gouvernement de Duplessis accorde un appui appréciable à l'entreprise. Les presses trifluviennes héritent aussi de la revue Marie et d'autres publications périodiques. Toujours dans l'après-guerre, Tessier dirige la collection « L'histoire régionale », avant de se retirer progressivement du milieu de l'édition. Le chapitre VI traite des deux dernières décennies de l'entreprise. En 1959, Marchand se retrouve seul aux commandes, même si ses anciens associés demeurent des acteurs importants de son réseau. À l'aube des années 1960, l'expertise de Marchand dans les domaines de l'imprimerie et de l'édition est bien connue. Il peut donc compter sur des poètes de la relève, en plus de conserver sa clientèle traditionnelle: les historiens amateurs et les clercs. Même si les Éditions du Bien public s'enrichissent de nombreux titres durant le règne solitaire de Marchand, l'entreprise vit davantage de ses presses que de l'édition et le journal connaît ses dernières heures. Cette thèse sur le Bien public se veut une contribution à l'histoire de la Mauricie et à l'étude des réseaux. Elle permet également d'enrichir l'histoire de la presse et de l'édition au Québec. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, XXe, Bien public, Édition, Imprimerie, Presse, Mauricie, Québec, Albert Tessier, Clément Marchand, Raymond Douville, Réseaux.
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Réception de Nicolas Boileau-Despréaux : de la fin du XVIIe siècle au début du XXe / Reception of Nicolas Boileau-Despréaux

Hamadouche, Ouarda 25 October 2014 (has links)
Nicolas Boileau-Despréaux fut longtemps considéré comme l’initiateur de l’Europe à « l’idéal classique », le représentant de la précellence et du « génie de la langue française ». Incarnant la perfection de « l’esprit national », c’est par rapport à lui que sont jugés les auteurs des autres siècles avant qu’ils ne soient admis en tant que « classiques français ». Interroger les rouages de l’élaboration de la mythification de l’auteur de l’Art Poétique suppose l’examen des tenants et des aboutissants de la référence à Boileau. Notre propos est de mesurer l’usage qui en a été fait par l’institution scolaire et les formes éditoriales, afin de nous éclairer sur sa réception. L’analyse de cette figure emblématique du « canon classique français » montre que l’œuvre bolévienne a été investie d’une fonction fondatrice de la littérature nationale, dont elle définit les principes et l’excellence. Évaluer le rôle de ces discours dans la consécration de l’auteur et leur participation dans la diffusion de sa notoriété, permet de juger de leur impact sur la constitution d’un idéal esthétique, qui passe par la canonisation de l’œuvre bolévienne dans le but d’une édification nationale. De plus, si la légende de « Législateur » a trouvé ses assises dans des « lieux de mythification », notamment l’annotation et les discours biographique et iconographique, sa démythification s’élabore au lendemain même de la mort de l’auteur et à contre-courant de la légende elle-même. La concurrence qui s’opère entre les discours pro et anti-canonisation de Boileau permet de mesurer jusqu’à quel point la réception de l’auteur interfère dans le regard que pose le siècle des Lumières aussi bien que le XIXe siècle sur le « siècle de Louis le Grand ». / Nicolas Boileau-Despréaux was long considered as the initiator of Europe to the ‘classical ideal’, the representative of the preeminence and the ‘génie’ of the French language. As the representative of the ‘spirit of the French nation’, it is to him that authors of other centuries are compared before they are accepted as ‘French classics’. Questioning the inner workings of the mythologizing’s creation of Boileau, imply examining the ins and outs of the reference to him. Our purpose is to measure the use of the ‘French Legislator’ by school and editorial forms to enlighten us on his reception. The analysis of this emblematic figure of the ‘French classical canon’ shows that Boileau has been invested with the principles and excellence of the national literature. Our observations point out that edition as much as periodic and educational works had a major role in the consecration of the author. It is to them that we owe the author’s reputation and the creation of an aesthetic ideal of which the major purpose is nation building. Furthermore, if the ‘Legislator’s’ legend was built in Boileau’s works’ annotation and biographical and iconographic discourse, its demystification started just after the death of the author and against the legend itself. This contestation instructs us on the reception of the « Legislator of French Parnassus » as well as on how the 18e and 19e centuries perceived their predecessor.
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Un livre jamais paru ? Le manuscrit Riccardiano 2354 et l’héritage épistolaire de Giorgio Vasari / A Book Remained Unpublished ? The Manuscript Riccardiano 2354 and the Epistolary Legacy of Giorgio Vasari

Bellotti, Michele 10 December 2018 (has links)
Précieuse source d’informations sur l’auteur des Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, la correspondance de Giorgio Vasari (1511-1574) est bien connue des historiens de l’art depuis son édition par Karl Frey (1923-1930). La conservation rigoureuse de ses nombreuses lettres ainsi que la remarquable qualité stylistique d’une grande partie d’entre elles, invitent à s’interroger sur la valeur que Vasari lui-même pouvait attribuer à son écriture épistolaire. Voyait-il ses lettres comme une partie fondamentale de son legs culturel ? On peut se demander s’il avait pu caresser le projet de les publier sous forme de recueil, conformément à une pratique très diffusée chez les hommes doctes du XVIe siècle. C’est justement un recueil qui se distingue tout particulièrement au sein du riche carteggio vasarien : le manuscrit Riccardiano 2354, de la Bibliothèque Riccardiana de Florence. Datant de la fin du XVIe siècle, ce petit codex contient quarante-huit missives copiées par le neveu et principal hériter de l’artiste arétin, Giorgio Vasari le Jeune (1562-1625), fonctionnaire médicéen versé dans différents savoirs techniques et scientifiques. Cette étude analyse les opérations de sélection, de transcription et de possible transformation menées par Vasari le Jeune à partir des sources épistolaires originales de son oncle, aujourd’hui introuvables. Des indices matériels et textuels laissent penser que le volume de la Riccardiana pourrait avoir été conçu comme un « livre de lettres » destiné à la publication, mais finalement jamais paru. Une initiative éditoriale avortée donc, visant la célébration posthume de la vie et de l’œuvre de Vasari à travers la valorisation de son héritage épistolaire. La lecture croisée des textes du recueil et d’autres missives qui y furent exclues, permet de reconnaître, en amont de l’entreprise de Giorgio le Jeune, un dessein de reconstitution biographique qui privilégie certains aspects de la figure de Vasari, en omet d’autres et, parfois, plie l’héritage culturel de l’artiste aux exigences d’affirmation personnelle du neveu dans le contexte médicéen de son temps. La résultante principale de cette recherche est une réflexion sur les dynamiques propres à l’écriture épistolaire de Vasari, sur les fonctions diverses qu’elle pouvait endosser dans les différentes phases de sa carrière d’artiste et d’écrivain. Car la pratique épistolaire fut pour Vasari un outil privilégié pour la mise en représentation de soi vis-à-vis de son réseau de correspondants, pour l’apprentissage de la parole littéraire et pour l’élaboration des procédés de l’ekphrasis, plus largement développés dans les Vies. / A valuable source of information on the author of The Lives of the Artists, the correspondence of Giorgio Vasari (1511-1574) is well known to art historians, mainly since its almost complete edition published by Karl Frey (1923-1930). If we consider the fact that Vasari zealously kept his numerous letters during his whole life, as well as the remarkable stylistic quality of many of these texts, we realise the importance of inquiring into how significant his epistolary writing could have been to him. Did Vasari see his missives as an essential part of his cultural legacy? In this case, it has to be questioned whether the artist could have ever conceived the project of publishing a selection of his letters, in accordance with a widespread practice among literates in the Fifteenth century. A collection of Vasari’s letters was actually gathered and still stands out from the large number of documents of his vast carteggio: it’s the manuscript Riccardiano 2354, held by the Biblioteca Riccardiana in Florence. Dating from the late Fifteenth century, this small codex contains forty-eight letters posthumously copied by the artist’s nephew and principal heir of his estate, Giorgio Vasari the Younger (1562-1625), an official of the Medicean Court deeply versed in several scientific and technical disciplines. This study investigates the process of selection, transcription and possible manipulation conducted by Vasari the Younger on his uncle’s original epistolary sources, which are nowadays still missing. Several material or textual hints can suggest that the Riccardiana’s volume might have been a “libro di lettere”, a book of letters designed for publication, but finally never printed. The chief aim of this editorial effort would have been a posthumous celebration of Vasari’s life and artistic achievements, through the highlighting of his missives. The comparison between the texts included in the Riccardiana’s manuscript and other excluded letters, allows us to recognise, as the essential mainstay in Giorgio the Younger’s work, the design of a biographical depiction of Vasari’s figure, focusing on specific traits and omitting others. The artist’s epistolary legacy seems to be occasionally subject to his nephew’s personal career requirements in the Medicean context of his time. The result of this research is a series of considerations on the dynamics inherent in Vasari’s epistolary writing, such as the various functions that it could assume according to the different phases of the artist’s career. Epistolarity has been Vasari’s main tool for self-fashioning towards his correspondents; as well as for literary learning and for the conception of the device of ekphrasis, developed on a larger scale in the Lives.
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Modalização e polifonia no gênero resenha acadêmica:um olhar apreciativo sobre a voz da ciência

Barbosa, Maria vanice Lacerda de Melo 28 August 2015 (has links)
Submitted by Maike Costa (maiksebas@gmail.com) on 2016-07-20T11:32:37Z No. of bitstreams: 1 arquivo total.pdf: 17599967 bytes, checksum: cb2c0f5624933bb75b6adac7eb251e41 (MD5) / Made available in DSpace on 2016-07-20T11:32:37Z (GMT). No. of bitstreams: 1 arquivo total.pdf: 17599967 bytes, checksum: cb2c0f5624933bb75b6adac7eb251e41 (MD5) Previous issue date: 2015-08-28 / In order to building a spoken or written text, regardless of gender that it is being carried out, the speaker uses linguistic features such as semantic-argumentative strategies intending to guide the interlocutor to certain conclusions. The modalization and polyphony, accordingly, are phenomena that allow the speaker to leave printed his subjectivity in the content of the statements, while acting according to his interlocutor. Focusing in these discussions, this investigation aims to show that modalization and polyphony reveal, linguistically, subjectivity in the digest genre, acting therefore as argumentation features. It is a qualitative research, descriptive and interpretative, which adopts the theoretical and methodological principles of Argumentative Semantics. The corpus consists of ten digests collected in six editions of the Jornal de Resenhas, of the Discurso Editorial, ISSN 1984-6282, published in 2009, 2010 and 2012. The theoretical discussions concerning the Argumentation Theory of Language have based in Ducrot (1994, 1987, 1988), Espíndola (2004), Nascimento (2005, 2009), Koch (2006a, 2006b) and others arguing about the theory approach. The modalization is discussed under the postulates of Castilho and Castilho (1993), Koch (2006b), Cervoni (1989), Nascimento (2009), Neves (2011a), Palmer (2011) and García Negroni (2011). Besides, it was used as theoretical basis, Foucault (2011), Bakhtin (2010a, 2010b), Marcuschi (2008) and others to the formulations about the digest genre. The analysis reveals that digesters use modalization and the polyphony of speakers as phenomena that ultimately report the speakers‟ subjectivity in relation to the view of the voices of other speakers, that is, as a discursive strategy that guides the way the text of the digest should be read. Thus, the gender digest is defined as a place of interaction of voices and subjective impressions through which the speaker summarizes praises, criticizes and evaluates the most diverse academic intellectual productions. / Pour construire un texte parlé ou écrit, indépendamment du genre qui réalise, le locuteur utilise des fonctionnalités linguistiques comme les stratégies sémantiques argumentatif afin de guider les appelants à certaines conclusions. La modalisation et la polyphonie, en conséquence, sont des phénomènes qui permettent au locuteur laisser imprimé sa subjectivité dans le contenu des déclarations, tout en agissant en fonction de son interlocuteur. Avec l'accent dans ces discussions, cette recherche vise à ètidier les annonceurs de modalité et de la polyphonie, comme des phénomènes qui révèlent, linguistiquement, la subjectivité dans le genre compte-rendu, s‟agissant, de cette manière, comme des marques d'argumentation. Il est une recherche qualitative, descriptive et interprétative, qui adopte les principes théoriques et méthodologiques de la sémantique argumentative. Le corpus se compose de dix comptes-rendus dans six éditions du Jornal de Resenhas, imprimés par Discurso Editorial, ISSN 1984-6282, publiés en 2009, 2010 et 2012. Pour les discussions théoriques en concernant a la Théorie de L'argumentation de la Langue, nous fundamentons-nous en Ducrot (1994, 1987, 1988), Espíndola (2004), Nascimento (2005, 2009), Koch (2006a, 2006b) et d'autres qui discutent à propos de l'approche de la théorie. La modalisation est discuté sous les postulats de Castilho et Castilho (1993), Koch (2006b), Cervoni (1989), Nascimeto (2009), Neves (2011a), Palmer (2011) et García Negroni (2011). Et on utilise encore comme une base théorique, Foucault (2011), Bakhtin (2010a, 2010b), Marcuschi (2008) et d'autres pour les formulations sur la révision de genre. L'analyse révèle que les examinateurs utilisent la modalisation et la polyphonie des haut-parleurs comme des phénomènes qui relèvent finalement la subjectivité des intervenants des examens par rapport à la vue de la voix des autres orateurs, qui est, comme une stratégie qui guide discoursivement le chemin du texte de comme l'avis doit être lu. Le genre compte-rendu, dans cette recherche est considérée comme un lieu d'interaction des voix et impressions subjectives ainsi à travers laquelle l'orateur résume louanges, critique et évalue plus diverses productions intellectuelles academiques. / Ao construir um texto falado ou escrito, independente do gênero que o realize, o locutor se utiliza de recursos linguísticos como estratégias semântico-argumentativas com a finalidade de orientar o interlocutor para determinadas conclusões. A modalização e a polifonia, nesse sentido, são fenômenos que possibilitam ao locutor deixar impressa a sua subjetividade no conteúdo dos enunciados, ao mesmo tempo em que age em função de seu interlocutor. Com o foco nessa discussão, esta pesquisa objetiva investigar a modalização e a polifonia de locutores como fenômenos que revelam, linguisticamente, a subjetividade no gênero resenha acadêmico-científica, funcionando, portanto, como marcas de argumentação. Trata-se de uma investigação qualitativa, de caráter descritivo e interpretativista, que adota os princípios teórico-metodológicos da Semântica Argumentativa. O corpus é constituído de dez resenhas, coletadas em seis edições do Jornal de Resenhas, da Discurso Editorial, ISSN 1984-6282, publicadas nos anos de 2009, 2010 e 2012. Para as discussões teóricas concernentes à Teoria da Argumentação na Língua, embasamo-nos em Ducrot (1994, 1987, 1988), Espíndola (2004), Nascimento (2005, 2009), Koch (2006a, 2006b) entre outros que discutem a respeito da teoria em abordagem. A modalização é discutida sob os postulados de Castilho e Castilho (1993), Koch (2006b), Cervoni (1989), Nascimento (2009), Neves (2011a), Palmer (2011) e García Negroni (2011). Ainda servem de embasamento teórico, Foucault (2011), Bakhtin (2010a, 2010b), Marcuschi (2008) e outros, para as formulações acerca do gênero textual resenha. As análises revelam que os resenhistas utilizam a modalização e a polifonia de locutores como fenômenos que acabam por denunciar a subjetividade dos locutores das resenhas em relação ao ponto de vista das vozes de outros locutores, ou seja, como uma estratégia que orienta discursivamente a forma como o texto da resenha deve ser lido. O gênero resenha, nesta investigação, é visto como um lugar de interação de vozes e, portanto, de impressões subjetivas, através do qual o locutor resume, elogia, critica e avalia as mais diversas produções intelectuais acadêmicas.

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