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La mission des rédemptoristes canadiens-français au Vietnam entre 1925 et 1975Vincent, Éric 01 1900 (has links) (PDF)
Le but de ce travail est d'analyser le succès de la mission vietnamienne des rédemptoristes de Sainte-Anne-de-Beaupré. Étude de cas d'une communauté missionnaire, notre analyse couvre toute leur présence, soit de 1925 à 1975 et s'intéresse particulièrement aux stratégies d'intégration, d'autosuffisance financière et aux décisions prises devant les défis liés à la guerre et à d'autres situations exceptionnelles. Nous nous intéressons également au destin de la province autonome du Vietnam après 1964 et aux apostolats pratiqués par les derniers missionnaires jusqu'en 1975. Après avoir présenté l'historiographie des missionnaires au Vietnam et au Québec, nous analysons les démarches menant au succès de l'implantation de la communauté. Les rédemptoristes se montrent attentifs et respectueux envers ceux qui les accueillent, mais ils n'hésitent pas à faire preuve d'audace pour se financer, recruter des candidats et surmonter les obstacles culturels et légaux. Ce chapitre se termine avec l'Occupation japonaise (1941-1945), qui annonce le déclin de la présence française en Extrême-Orient. Le troisième chapitre se déroule sur deux périodes, de la Guerre d'Indochine (1946-1954) au déclenchement officiel de la Seconde guerre d'Indochine en 1961. Durant la première période, les rédemptoristes maintiennent le cursus de leurs aspirants prêtres, influencés par l'esprit révolutionnaire, et ils parviennent à préserver de la destruction leurs acquis matériaux grâce à une attitude neutre et secourable envers leurs voisins. La période 1954-1961 est caractérisée par la division du pays, par l'exode massif des catholiques du Nord-Vietnam vers le Sud-Vietnam et par l'implication grandissante des États-Unis dans le conflit. La solidification de la vice-province, amputée de ses maisons du Nord, passe par la réimplantation de milliers de réfugiés, une collaboration étroite avec Saigon, l'augmentation du capital et l'accélération des promotions des Vietnamiens rédemptoristes aux postes décisionnels. Le quatrième et dernier chapitre, dont l'action se situe entre 1961 et 1975, traite de la province rédemptoriste du Vietnam à la suite de son autonomie, des missionnaires qui retournent au Canada et de l'apostolat des derniers prêtres canadiens, forcés de s'adapter aux réformes de Vatican II et à la Seconde guerre d'Indochine. Impliqués dans une mission apostolique auprès des Koho, montagnards des plateaux de Fyan et dans divers apostolats à caractère surtout humanitaire, les derniers Canadiens travaillent relativement peu avec leurs confrères vietnamiens qui éprouvent quelques difficultés à maintenir à flot leur congrégation. Le retrait progressif des troupes américaines entre 1968 et 1971, ainsi que la médiocrité du régime de Saigon confrontent les rédemptoristes à la victoire du communisme.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Missionnaires, Église catholique, Vietnam, Québec, Rédemptoristes, 20e siècle
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Caractérisation des régimes de perturbations par le chablis et des vents extrêmes dans l'érablière à bouleau jaune du QuébecBégin, Edith 11 1900 (has links) (PDF)
Les chablis semblent varier d'une région à une autre et certaines recherches prétendent qu'ils vont augmenter dans le temps à cause des changements climatiques. Cependant, bien que les chablis soient des perturbations variables temporellement et spatialement, peu d'information existe sur leurs variations actuelles et passées ou sur leurs relations avec les vents de différentes forces et directions. Les chablis font suite à des épisodes de vent violent engendrés par des conditions météorologiques spécifiques. Les différences climatiques à l'intérieur d'un domaine bioclimatique sont susceptibles de créer des différences dans le régime de perturbation par chablis. Ce projet teste cette hypothèse générale en mettant en relation l'information sur l'historique des chablis et du climat du siècle dernier Ce projet a été effectué dans le domaine bioclimatique de l'érablière à bouleau jaune qui couvre un gradient d'est en ouest, séparé en quatre sous-régions. Des photos aériennes, anciennes et récentes et des cartes des inventaires forestiers décennaux ont été combinées dans un système d'information géographique afin de délimiter les chablis nous permettant ainsi de déterminer leurs superficies et leurs fréquences, d'estimer leur sévérité et leur intervalle de retour pour chacune des quatre sous-régions. Les archives climatiques d'Environnement Canada ont permis d'estimer la probabilité des vents extrêmes (vitesse) et de tester la similarité des régimes de ces vents à l'intérieur de sous régions de l'érablière à bouleau jaune. Lors des chablis, une prédominance des vents en provenance du sud-est est observée. La sous-région ouest de ce domaine bioclimatique est la plus touchée en termes de superficie et de sévérité. Cependant, on observe que la probabilité d'avoir des vents extrêmes est plus élevée sous le climat tempéré maritime associé aux sous-régions de l'est. L'étude démontre que les chablis sont peu fréquents durant la première moitié du siècle et que la superficie perturbée est beaucoup plus élevée vers la fin du siècle, ce qui concorde avec les projections des spécialistes du climat. Les résultats découlant de cette étude pourront servir de balises pour évaluer les risques de pertes en volume par chablis dans le calcul de possibilité forestière par les variations spatiale et temporelle de ces risques dans un même domaine bioclimatique.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : forêt tempérée, photo-interprétation, paysage, climat, sévérité
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La démocratie ne fut jamais une option : analyse critique des discours modernes de justification de l'État, du gouvernement représentatif et du rejet de la démocratie directeBélanger-Champagne, Jérôme 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse au développement de la démocratie représentative en Occident et aux discours justificatifs du rejet de la démocratie directe. De surcroît, nous croyons qu'une étude de l'implantation de la démocratie représentative aux XIXe et XXe siècles serait incomplète sans une analyse des différentes théories de l'État dominantes durant cette période. Effectivement, la représentation politique est un type de gouvernement qui ne pourrait exister sans une mécanique de coercition capable d'imposer aux minorités réfractaires les décisions prises par les représentants politiques. C'est précisément le rôle que joue l'État dans les sociétés occidentales modernes : un appareil de contrôle, de contrainte et de coercition capable d'assurer la cohésion sociale. Durant la majeure partie de son histoire, le mot « démocratie » fut perçu de manière négative par les élites politiques qui voyaient souvent en elle le « pire » des régimes, celui qui laissait au peuple ignare, impulsif et irrationnel le soin de gouverner. À travers les deux cents dernières années, un glissement terminologique s'est opéré, tant dans le discours populaire que dans la pensée politique, qui fait maintenant équivaloir les termes de « gouvernement représentatif » et de « démocratie ». Il s'agit d'une opération consciente et volontaire des élites politiques occidentales afin de justifier la mise en place et le maintien d'un système qui devrait plutôt être qualifié « d'oligarchie électorale ». Généralement, les politologues justifient le choix de la démocratie représentative en expliquant que la démocratie directe serait impraticable dans les États-nationaux modernes en vertu de leurs populations imposantes et de l'impossibilité de regrouper autant d'individus en un seul lieu. Nous croyons que cette explication en masque une autre. Notre hypothèse est à l'effet que la démocratie représentative a davantage émergé de deux facteurs conjoints. D'une part, le désir du peuple de participer à la prise de décisions politiques qui fut instrumentalisé par les élites gouvernantes. D'autre part, l'existence de l'État en tant qu'appareil de coercition capable d'assurer l'application des décisions prises par ces élites au nom de la « majorité ».
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : démocratie directe, démocratie représentative, gouvernement représentatif, république, coercition, théories de la démocratie, théories de l'État.
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Comment se rendre utile : les centres de recherche universitaires canadiens, 1914-2003Almeida, Mike January 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur les centres de recherche universitaires canadiens, de leur émergence au cours des années 1910 jusqu'à nos jours (2003). Ces structures de la recherche méritent d'être étudiés car pour plusieurs observateurs elles ont supplanté les départements comme principal lieu de dynamisme intellectuel. Axés sur l'étude d'un objet plutôt que d'une discipline, les centres rassemblent des chercheurs provenant d'horizons disciplinaires variés qui tentent de résoudre des problèmes concrets. Ces tendances sont renforcées par plusieurs programmes gouvernementaux récents. Il n'est donc pas étonnant que les centres accaparent une portion de plus en plus élevée des fonds de recherche disponibles. Bien qu'ils représentent un enjeu scientifique et organisationnel important, l'historiographie des centres universitaires canadiens demeure largement sous-développée. Cette thèse vise à combler cette lacune. Notre étude est la première recherche historique sur l'émergence et le développement des centres comme forme d'organisation de la recherche universitaire au Canada. Les questions qui structurent cette thèse sont les suivantes: pourquoi et comment procède-t-on à l'établissement de centres de recherche à une époque où cette activité demeure marginale sur les campus du pays? Quelle est la fonction des centres au sein des établissements d'enseignement supérieur et comment cette fonction a-t-elle évolué avec le temps? Quelle est la spécificité des centres universitaires canadiens? La thèse que nous défendons est toute simple: historiquement, les centres permettent aux universités d'avoir accès à de plus amples ressources avec lesqueIles développer leur potentiel de recherche. Ils permettent également aux commanditaires externes de mobiliser la recherche universitaire en fonction de leurs besoins. Cette fonction générale est modulée par le contexte historique particulier dans lequel évoluent les centres de recherche. Durant la période des origines qui s'étend de 1914 à 1945, l'établissement de centres est un moyen pour des « chercheurs-entrepreneurs » de générer des fonds de recherche et une façon pour les dirigeants universitaires de développer leur institution (facteurs internes). La création de centres permet également aux gouvernements de suppléer et de soutenir l'industrie canadienne en mettant à sa disposition des infrastructures et du personnel de recherche (facteurs externes). Même si les centres représentent une innovation organisationnelle importante, le faible nombre de centres fondés au cours de cette période témoigne de leur marginalité dans le développement de la recherche universitaire. Au cours de l'immédiat après guerre, l'écologie des centres universitaires canadiens se transforme. Le Conseil de recherche pour la défense du Canada s'établit alors comme le principal bailleur de fonds des centres de recherche et oriente leurs activités en fonction de ses besoins. Grâce en partie à cet organisme, le nombre de centres dans les universités canadiennes a plus que triplé entre 1945 et 1960. Puis, durant les décennies «fastes» de 1960 et 1970, les gouvernements mettent sur pied de nombreux programmes de financement de centres afin de former des chercheurs dans leurs domaines d'intervention et de suppléer leur propre capacité de recherche. Ces conditions ont été propices à la prolifération des centres de recherche qui deviennent à cette époque des entités communes sur les campus canadiens. Finalement, depuis les années 1980, les centres universitaires canadiens sont appelés à contribuer au développement économique. Les conditions socio-économiques particulières des années 1980 et la mondialisation des marchés qui a cours depuis les années 1990 ont pavé la voie à la plus importante augmentation du nombre de centres de recherche dans l'histoire canadienne. Il serait pourtant abusif de voir l'histoire des centres de recherche comme une évolution inexorable vers les pratiques actuelles de commercialisation de la recherche universitaire. Les forces socio-politiques derrières le développement des centres de recherche se sont transformées avec le temps et la recherche du profit n'a que très récemment été l'un des objectifs à atteindre. Quant à la spécificité des centres universitaires canadiens, il semble que leur intégration plus «organique» à leur environnement institutionnel soit le trait qui les distingue le plus nettement de leurs contreparties américaines. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Canada, Gouvernements, Entreprises, Universités, Centres de recherche.
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MEMOIRES D'UNE TERRE PROMISE. LES MEMOIRES FRANCAISES DE L'ALSACE-LORRAINE DE 1870 A NOS JOURS. ENTRE MEMOIRE ET OUBLI /HOZE, BERTRAND. Wahl, Alfred January 2000 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Histoire : Metz : 2000. / 2000METZ006L. 386 ref.
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An analytical inquiry into the evolution of forest governance institutions in QuébecFréchette, Alain 07 1900 (has links) (PDF)
Le secteur forestier québécois traverse actuellement une des pires crises de son histoire. Bien que les causes structurelles et conjoncturelles attribuables à cette situation soient nombreuses et fassent l'objet de vives spéculations entre différents groupes d'initiés, les causes sous-jacentes de cette crise (soit les facteurs sociaux, politiques et économiques) suscitent étonnamment peu d'intérêts. De plus, alors que l'origine de la présente situation est la plupart du temps attribuée à la refonte du régime forestier de 1986, l'examen exhaustif de l'évolution des institutions de gouvernance forestière depuis le début du 19e siècle indique que les problèmes de ce secteur ne sont pas nouveaux. Les défis qui touchent l'industrie forestière aujourd'hui découlent d'un ensemble de problématiques récurrentes et historiques, mais dont les effets ont toujours pu être tempérés par des manipulations structurelles peu coûteuses, par des développements technologiques ou simplement par l'abondance même des stocks de ressources dont bénéficiait naguère le Québec. Or, si la crise actuelle résulte de défaillances qui sont à la fois chroniques et systémiques, quelle est la structure du dilemme qui amenuise systématiquement la capacité des acteurs sociaux, politiques et économiques à entreprendre les actions collectives qui s'imposent? La caractérisation historique du régime forestier, depuis ses origines jusqu'aujourd'hui, suggère que la rigidité constitutionnelle de la gouvernance forestière de même que la structure centralisée de l'arène des choix collectifs seraient en grande partie responsables des crises qui se sont succédé et des difficultés qu'éprouvent les acteurs concernés à résoudre conjointement les problèmes engendrés par l'exploitation forestière. Par le biais d'une analyse historique, basée sur le cadre d'analyse et de développement institutionnel (IAD - Institutional Analysis and Development Framework), nous traçons le développement conjoint des institutions constitutionnelles et de gouvernance forestières depuis le début du régime anglais en 1763 jusqu'à 1986. L'étude s'appuie sur une approche qualitative comparée des documents d'archives publiques issus de cinq périodes de l'histoire du Québec, choisie en fonction des changements institutionnels survenus durant ces périodes et les problématiques propres à chacune de ces périodes : (1) le système colonial 1763-1839, (2) le Canada Uni 1840-1866, (3) le Québec souverain préindustriel 1867-1906, (4) Le Québec à l'ère des papetières 1907-1950, et (5) le Québec suivant la Révolution tranquille 1960-1986. Le cadre théorique est issu des traditions du Choix public et l'Institutionnalisme rationnel. Le suivi des processus de causalité (process tracing) et la juxtaposition des données empiriques au cadre théorique ont été utilisés pour assurer une plus grande rigueur méthodologique et augmenter notre confiance envers les résultats obtenus. L'évaluation de données empiriques soutient l'existence d'un lien probant entre l'évolution des institutions de gouvernance forestière du Québec et les intérêts des divers gouvernements qui se sont succédé. L'analyse historique de l'exploitation des forêts québécoises montre comment le droit constitutionnel exclusif détenu par le conseil exécutif du gouvernement du Québec et l'absence de contraintes efficaces sur le processus décisionnel de ce dernier ont été systématiquement employés à des fins politiques et économiques, et ce, au détriment de solutions connues pour une meilleure gestion des ressources ligneuses pour l'intérêt commun. Étant la seule entité responsable de la gestion des ressources naturelles sur le territoire public, cette thèse établit que les gouvernements qui se sont succédé au fil du temps ont exercé une influence décisive sur l'évolution des institutions de gouvernances forestières, en affectant la sélection et la réplication des idées, des valeurs et des intérêts qui ont défini le rapport des Québécois à la forêt depuis plus près de deux siècles.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gouvernance, institutions, constitution, évolution, actions collectives
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Enjeux de gouvernance et de réglementation pour le mouvement coopératif du secteur financier dans le contexte contemporain : France et QuébecBéziaud, Franck 02 1900 (has links) (PDF)
Arrimé à la littérature sur les banques coopératives et éclairé par des entretiens réalisés auprès de praticiens du milieu bancaire coopératif, ce mémoire a pour objectif de combiner différentes approches souvent utilisées dans l'analyse des banques coopératives, soit les approches de l'Histoire, du Droit et de la Gestion, afin de mieux saisir les enjeux et les défis auxquels sont confrontées les banques coopératives, en France et au Québec. Le champ d'étude de ce mémoire se limite à l'étude de cinq groupes bancaires coopératifs, à savoir : le Groupe BPCE, le Groupe Crédit Agricole, le Groupe Crédit Mutuel et le Groupe Desjardins. Selon la perspective historique, de simples acteurs venus combler l'interstice délaissé par les banques classiques lors de leur naissance dans la seconde moitié du XIXème siècle, les banques coopératives sont devenues des acteurs majeurs de l'économie mondiale et n'ont cessé de gagner des parts de marché, allant jusqu'à se classer parmi les plus grandes banques de France et du Québec. Selon la perspective juridique, il apparaît que la faible reconnaissance des banques coopératives sur les plans nationaux et internationaux contribue à leurs méconnaissances, non pas en tant que banques, mais en tant qu'institutions financières coopératives disposant d'avantages « naturels » et offrant une alternative au modèle des banques classiques. Selon la perspective de la gestion, les banques coopératives se trouvent au cœur des débats quant à la question de leur gouvernance. En effet, depuis les années 1980, les banques coopératives ont été l'objet de nombreuses mutations, à mesure que leurs organigrammes se complexifiaient, que leurs éventails de produits et services financiers se diversifiaient, et que leurs domaines d'activités s'ouvraient à de nouveaux segments de clients. En conséquence, cette recherche s'évertue, sur la base des cas français et québécois, à retracer le cheminement récent du modèle bancaire coopératif et tente de le situer parmi quatre modèles de gouvernance distincts : la gouvernance fiduciaire, la gouvernance créatrice de valeur, la gouvernance orientée vers la valeur partenariale et la gouvernance orientée vers la valeur actionnariale. Informé par ces trois approches, ce mémoire met en évidence l'importance d'une approche systémique dans la compréhension du modèle bancaire coopératif.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : banque coopérative, droit coopératif, gouvernance, modèle d'affaires.
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La littérature du vacuum : la genèse de la littérature "franco-ontarienne" /Tremblay, Gaston, January 2004 (has links)
Thèse (D. en études littéraires)--Université du Québec à Montréal, 2004. / En tête du titre: Université du Québec à Montréal. Bibliogr.: f. [357]-373. Publié aussi en version électronique.
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Avant l'invention : le passage d'une technologie imaginée à une science appliquée théorique /Trudel, Jean-Louis, January 2005 (has links)
Thèse (D. en histoire)--Université du Québec à Montréal, 2005. / En tête du titre: Université du Québec à Montréal. Bibliogr.: f. [682]-743. Publié aussi en version électronique.
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Trotten im Zürcher Weinland : ein Beitrag zur Kulturgeographie des nördlichen Zürcher Weinlandes... /Zwahlen-Kugler, Ursula Barbara. January 1972 (has links)
Inaug. _ Diss.: Philosophische Fakultät II: Zürich: 1972. _ Bibliogr. p. 94-99.
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