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Josaphat Benoît, l'avenir national, le communisme, les fascismes européens et le pacifisme (1936-1941)

Côté, Martin 20 April 2018 (has links)
Au cours des années qui précèdent la Deuxième Guerre mondiale, Josaphat Benoit, rédacteur en chef de l'Avenir National, un quotidien de Manchester au New Hampshire, se montre sympathique à l'égard des régimes totalitaires de Franco, de Hitler et de Mussolini. Le fascisme est perçu comme un solide rempart face au communisme qui, conformément aux prescriptions de l'Église, est considéré comme une menace pour la civilisation chrétienne. La perception du fascisme devient négative lorsque l'Allemagne s'allie à l'U.R.S.S. en août 1939, puis lorsque l'Italie déclare la guerre à la France en juin 1940. De septembre 1938 jusqu'à l'entrée en guerre des États-Unis, Benoit et le journal adoptent les idées du mouvement isolationniste américain, refusant leur aide aux Alliés. Ce refus est lié à la perception que Benoit entretient de l'Angleterre qui est, selon lui, une ennemie de l'Église catholique qui ne lutte pas pour une cause juste. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Lorsque le spectateur se fait acteur : la manoeuvre artistique

Blanchet, Anne-Sophie 19 April 2018 (has links)
La manoeuvre est une conception de l’art action développée au début des années 1990 au Québec. La création collective y est perçue comme un moyen de renouer avec l’environnement et de repenser la pratique de la performance. Les oeuvres-manoeuvres cherchent ainsi à sortir le spectateur de sa léthargie habituelle afin de le faire participer au processus de création, tant physiquement qu’intellectuellement. Ce mémoire vise à analyser comment une participation plus active du spectateur dans le processus de création artistique peut influencer la réception et l’appréciation de l’oeuvre performative par le grand public.
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Crise sociale et valeurs africaines : pour un apport de l'oeuvre de Paul Tillich à la théologie africaine de reconstruction sociale

Wetshay, Ikonga 13 June 2021 (has links)
Le constat de la crise sociale en Afrique subsaharienne, en Afrique centrale surtout et au Congo-Zaïre en particulier, ne fait plus l’ombre d’un doute. Cette situation difficile exige la saisie des causes et des enjeux permettant, par une nouvelle conception de la gestion sociale, la jugulation de la crise. Parmi les efforts qui se déploient en ce sens, nous avons voulu montrer la contribution socio-historique de la théologie africaine. Face à une crise toujours plus profonde à laquelle se trouve confrontée la théologie africaine de reconstruction sociale, l’œuvre de Paul Tillich (philosophe et théologien germano-américain) nous a semblé un apport précieux venant renforcer la contribution de la théologie africaine à l’effort commun de solution. Deux pôles théoriques, philosophique et théologique, de son œuvre constituent principalement cet apport : d’une part, la théorie socio-critique, d’autre part, le critère de la révélation parfaite. Ces deux théories présentent une bipolarité séculière et religieuse dialectiquement articulée, sur la base de laquelle peut s’amorcer une reconstruction sociale en Afrique subsaharienne et au Congo-Zaïre en particulier.
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La religiosité comme élément du discours de légitimation du sandinisme au pouvoir, 1979-1981

Lassonde, Miriam 12 April 2018 (has links)
Le lien entre la politique et la religion ne se limite pas aux relations entre l'Église et l'État ou à l'influence de la religion en tant que culte sur la politique ou le gouvernement. Il se situe également au niveau de la culture, c'est-à-dire des valeurs partagées par les individus. Cette relation serait ainsi apparue dans le dialogue idéologique entre marxistes et chrétiens au Nicaragua au cours des années soixante-dix, et elle aurait eu pour conséquence un amalgame du récit religieux et du discours révolutionnaire d'inspiration marxiste. Partant de la théorie de la religiosité politique, le présent texte propose une étude empirique du discours sandiniste, afin de savoir comment certains traits religieux ont été utilisés dans le discours politique sandiniste et comment cette utilisation a évolué en fonction du processus révolutionnaire.
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La figure mariale dans l'ecclésiologie d'Yves Congar et d'Hans Urs Von Balthasar

Dřevojánek, David 12 April 2018 (has links)
Parmi les théologiens catholiques contemporains, il en est deux qui se distinguent pour avoir contribué singulièrement à l'approfondissement de l'ecclésiologie moderne : Yves Congar et Hans Urs von Balthasar. L'un comme l'autre, chacun dans sa propre perspective, a médité, réfléchi et systématisé pour sa part la place de la Vierge Marie dans la structure de l'Église. Les deux exposent les aspects théoriques aussi bien que pastoraux. Déterminer ces aspects a constitué le premier objectif de notre travail. Nous avons voulu non seulement présenter l'originalité de chaque approche, mais également identifier quelques présupposés philosophiques sur lesquels reposent deux concepts ecclésiologiques en considérant les principes méthodologiques propres aux deux auteurs. La problématique de l'Église comme «personne» et le thème de la sainteté de l'Église ont été deux sujets majeurs du dialogue que nous avons étudié. Le second objectif consistait à situer notre recherche et ses conclusions dans le contexte du pluralisme théologique.
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L'élection provinciale québécoise de 1939

Genest, Jean-Guy 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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"Aussi belle fille-- que Maria Chapdelaine" : la littérature dans la revue féminine rurale Paysana (1938-1949)

Gagné, Marie-Pierre 13 April 2018 (has links)
Dans la première moitié du XXe siècle, la littérature circule encore aisément dans l'espace public par le biais des périodiques. Les écrivains y publient poèmes et récits de tous genres en même temps qu'ils y pratiquent une activité journalistique dite alimentaire. Notamment dans le cas des femmes, le journalisme revêt alors une importance particulière dans l'élaboration d'une carrière littéraire. Cette pratique leur offre l'occasion de formuler et de former un projet d'écriture tout en leur donnant les moyens de l'assumer. Françoise Gaudet-Smet fonde la revue féminine rurale Paysana en 1938. Véritable carrefour régionaliste, le contenu littéraire de la revue est à la hauteur des ambitions de sa fondatrice. Elle met à profit ses réseaux formés dans l'entre-deux-guerres et prolonge de façon stratégique l'histoire du journalisme féminin en s'attribuant notamment le rôle d'éditrice pour les récits d'une nouvelle venue dans le champ littéraire des années 1940 : Germaine Guèvremont.
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Vers une poétique de l'entre-deux

Deslauriers, Rosaline 17 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2010-2011 / Depuis les années 80, les artistes du spectacle vivant convient leur public à franchir les chemins transverses du théâtre pour s'aventurer dans des lieux où coexistent et prolifèrent différents langages : tantôt le dispositif scénique prend l'allure d'une installation, tantôt la représentation s'approche du happening ou de la performance, tantôt écrans et technologie de pointe montent sur les planches aux côtés d'acteurs devenus musiciens, chanteurs, danseurs ou acrobates. Dans le cadre de cette thèse, nous nous penchons sur le processus de création de la Compagnie du Lierre, une équipe parisienne qui compte plusieurs artistes fascinés par la tragédie grecque et qui forge son identité artistique autour de l'interaction du théâtre et de la musique. Depuis la fin des années 70, Farid Paya et ses acteurs ont mis sur pied une forme d'anthropologie théâtrale tour à tour éclairée par la Grèce antique, par les lumières de l'Orient et par des chants venus des quatre coins du monde. Semblable praxis convoque tant l'idée de théâtre musical, un concept ici pensé comme un lieu syncrétique où interagissent différents langages, différentes conventions et différentes mémoires, que celle d'éthique du réseau. Afin de bien cerner ce territoire aussi vaste que multidimensionnel, notre réflexion s'articule autour d'un paradigme, celui de l'entre-deux, lequel nous a menée à étudier les recherches du Lierre en deçà de leur finalité artistique. À ce titre, nous adoptons une approche poïétique, voire une méthode à la fois reflexive et empirique au sein de laquelle se chevauchent vision de l'acte théâtral (théôria) et pratique artistique (praxis). Pour ce faire, nous avons recours à trois postures à la fois différentes mais étroitement reliées : celles de lectrice, de spectatrice et d'actrice-musicienne. C'est grâce à ce triple lorgnon de théoricienne-praticienne que nous conduisons le lecteur vers une poétique de l'entre-deux, c'est-à-dire au cœur des utopies et des apories d'une pensée théâtrale inspirée par la voie et par les voix de la tragédie : celles de Paya et de ses alliés qui, s'ils ne prennent pas la plume pour décrire les principes de la compagnie, y jouent pourtant un rôle déterminant.
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Art et politique : l'engagement chez les artistes actuels en arts visuels au Québec

Lamoureux, Ève 12 April 2018 (has links)
Nous analysons dans cette thèse la question de l'engagement sociopolitique actuel des artistes en arts visuels au Québec. Cette réflexion se situe dans les efforts déployés afin de saisir les causes d'un regain de l'engagement politique depuis les années 1990, après plusieurs années d'analyses alarmistes sur sa disparition. Mais plus encore, elle s'inscrit dans les tentatives de compréhension des nouvelles caractéristiques de cet engagement. Nous avons fait le pari qu'un détour par l'art pourrait éclairer de façon différente et pertinente ces interrogations. La méthodologie adoptée est celle d'une recherche exploratoire qualitative. Les données collectées proviennent de trois sources : (1) l'analyse documentaire des principaux écrits en sciences sociales et en art sur l'engagement et la mobilisation sociopolitique ou artisticopolitique, (2) dix entrevues réalisées avec des artistes s'estimant interpellés, dans leur art, par des enjeux politiques ou étant considérés ainsi dans le milieu artistique (ATSA, BGL, Doyon/Demers, Danyèle Alain, Sylvie Cotton, Nicole Jolicoeur, Dévora Neumark, Alain-Martin Richard, Jean-Claude St-Hilaire et Raphaëlle de Groot), et (3) l'étude de trois œuvres engagées créées au Québec au cours des dernières années. Nous montrons ainsi que l'art engagé s'est profondément modifié à partir des années 1970, à la suite des changements sociaux, politiques, culturels liés à la crise de la modernité, et en raison des transformations dans la conception de l'art et dans la structuration du milieu artistique. Nous explorons les caractéristiques actuelles de l'art engagé et ce qu'elles nous révèlent sur l'engagement politique. Finalement, nous analysons comment les formes contemporaines de l'art engagé contribuent à redéfinir les contours du politique. / In this thesis we analyze the issue of the current sociopolitical commitment of visual artists in Québec. This study is part of recent efforts made to understand the causes of the re-emergence of political commitment since the 1990s, after some years of alarming analyses concerning its disappearance. But more specifically, this study participates in attempts to understand the new characteristics of this commitment. We postulated that studying artists' work would afford new and significant contributions to the understanding of these issues. The methodology adopted is that of an exploratory qualitative research. The data were collected from three sources: (1) documentary analysis of the principal texts published in the social sciences and in the field of art concerning commitment and sociopolitical or artistic-political mobilization, (2) ten interviews with artists who identify themselves, through their art, as being engaged with or animated by political issues or who are identified as such by the artistic community (ATSA, BGL, Doyon/Demers, Danyèle Alain, Sylvie Cotton, Nicole Jolicoeur, Dévora Neumark, Alain-Martin Richard, Jean-Claude St-Hilaire et Raphaëlle de Groot), and (3) the study of three works of politically engaged art created in Québec in the past few years. Our thesis thus shows that politically engaged art underwent a profound transition starting in the 1970s, in the wake of social, political and cultural changes linked to the crisis of modernity, and in light of transformations undergone in the conception of art and in the structuring of the artistic community. We explore the current characteristics of politically engaged art and what these characteristics tell us about political commitment. Finally, we analyze how contemporary forms of engaged art contribute to changing the contours of that which is political.
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Le rôle des désignants d'événements historico-médiatiques dans la construction de l'histoire immédiate: une analyse du discours de la pensée écrite

Calabrese, Laura 26 February 2010 (has links)
Ce travail est divisé en deux grandes parties. La première explore la notion d’événement dans une perspective multidisciplinaire, à partir de l’histoire, la sociologie, l’ethnologie, la philosophie, la communication et la linguistique. Le but de ce parcours notionnel est double :tout d’abord, illustrer comment les sciences humaines évoluent (depuis les années 1950) vers une approche langagière de l’événement, et en deuxième lieu, nous doter des outils conceptuels nécessaires pour montrer que l’événement médiatique est une construction sociale dans laquelle le langage joue un rôle central. Cette construction est régulée par des routines de rédaction journalistiques, des contraintes matérielles (i. e. l’espace disponible pour rédiger des titres), des représentations et des habitus de lecture. En amont de la nomination par le média, des protocoles sociaux implicites règlent ainsi la mise en mots de l’événement. Cela explique l’énorme consensus dans la nomination d’événements à l’intérieur d’un même espace historico-géographique. <p>La réflexion théorique sur l’événement a également permis d’observer le fonctionnement singulier du discours d’information, notamment en regard du discours historique, tout spécialement à partir de leur saisie particulière du temps, à savoir, les temps courts des médias et les temps long ou mi-longs de l’histoire. Cette forme d’appréhender le temps n’est pas sans conséquences sur les modes de nomination des médias, car ils ont besoin de nommer toute occurrence jugée événementielle, souvent sans le recul nécessaire pour les intégrer dans un récit global. La pratique conduit en effet le discours de l’information à produire une grande quantité de désignants qui pourront être mémorisés par les lecteurs sans pour autant produire de véritables connaissances. Malgré cette hypertrophie, l’événement médiatique constitue un repère collectif primordial pour organiser le vécu public. En ce sens, il est à distinguer du fait divers, qui n’organise pas le temps social mais produit, au contraire, des discours répétitifs, ancrés sur des archétypes et non sur l’actualité. Dans sa fonction cathartique, le fait divers présente une mise en récit du dysfonctionnement de la société et, dans sa répétitivité, n’a pas besoin d’être mémorisé par le discours social. Comme corollaire, il produit moins de dénominations et plus de séquences narrativisées. Ainsi, un fait divers peut accéder au statut d’événement en fonction de la place que le discours d’information −et la société− lui accorde, à la fois dans l’espace public et dans la matérialité du support écrit. <p>En tant que construction sociale, l’événement médiatique n’est pas un objet discret. Non seulement il n’est pas disponible tel quel avant l’acte de nomination, mais il n’est pas immédiatement disponible et perceptible. Comme d’autres réalités sociales ou institutionnelles, les événements ont une « ontologie subjective » mais sont perçus comme objectifs. Dans ce cadre, l’instance de médiatisation est fondamentale pour donner corps à l’événement et l’ériger en objet d’intérêt public. La question qui se pose est celle de la mise en forme de l’événement en consensus avec le corps social. Si nous considérons les événements comme des faits institutionnels, il devient évident que leur mode de donation est médiatisé par le biais d’une instance socialement légitimée à laquelle on accorde cette mission :les médias. Le mécanisme de médiation qui intervient ici est la déférence :nous déférons aux journalistes la tâche d’identifier, de décrire et de nommer les événements publics. <p>L’analyse des désignants d’événements dans une perspective linguistique (sémantique et syntaxique) s’avère ainsi fondamentale pour interroger les représentations mobilisées par le média. En effet, ces séquences linguistiques, largement partagées par le corps social, sont des prêts-à-dire capables de condenser une énorme quantité d’information sur l’événement, de ses données les plus objectives (où, quand, quoi) aux plus subjectives (images, représentations) mais partagées intersubjectivement. La deuxième partie de cette thèse aborde la description de ces séquences linguistiques, dans une démarche qui va de la sémantique lexicale à la sémantique discursive. Les désignants d’événements sont envisagés sous leur forme expansée, c’est-à-dire comme des expressions définies formées à partir d’un nom événementiel, nom qui dénote un événement en langue (attentat, catastrophe, crise, etc.). Cette base lexicale sert à catégoriser l’événement −en fonction de cadres cognitifs communs−, orientant le sens et affectant les représentations des lecteurs. <p>Parmi les différentes formes, nous distinguons des expressions définies complètes (la guerre en Irak, le massacre de la place Tiananmen, les attentats du 11 septembre, l’affaire du voile) et incomplètes (la crise, la canicule, le tsunami). Ces dernières se caractérisent par la présence d’un opérateur indexical qui fait référence au moment de l’énonciation et ont donc une capacité plus faible à stocker la mémoire de l’événement. Une fois le moment discursif passé, ces expressions ont tendance à être complétées par un complément (i. e. la canicule de 2003). Les expressions définies complètes présentent, elles, une tendance à la condensation. Elles produisent ainsi des mots-événements :des toponymes et des dates en fonction événementielle (que nous appelons héméronymes), ainsi que des désignants occasionnels (Tiananmen, le 11 septembre, le voile, respectivement). Malgré l’effacement du nom événementiel présent dans la dénomination originelle (massacre, attentat, affaire), celui-ci est pour ainsi dire enregistré par l’expression restante, et sert par là à orienter le sens de l’expression. La preuve qu’un sens notionnel a été enregistré par ces expressions est qu’elles peuvent être réutilisées dans des emplois métaphoriques, pour des événements de même nature (le 11 septembre de l’Europe, un Tiananmen à l’iranienne, tsunami financier). L’approche discursive permet également de distinguer des dénominations et des désignations, moins figées et à plus forte valeur axiologique, mais qui contribuent également à la construction de l’événement. Si Mai 68 peut être catégorisé comme une révolte, une révolution ou un mouvement par la presse et par les principaux acteurs sociaux, il peut également être qualifié de coup d’épée dans l’eau ou de rupture culturelle. Les premières constituent des séquences largement partagées dont le but est de catégoriser, mémoriser et retracer l’événement, tandis que les secondes expriment surtout le point de vue d’un énonciateur ou groupe, et ont par là un contenu axiologique plus évident. <p>Nous essayons de montrer que la description linguistique est une condition nécessaire pour décrire la capacité mémorielle de ces désignants, qui ont des degrés de stabilité et de figement différents. L’établissement des différentes catégories (expressions définies complètes et incomplètes, xénismes, mots-événements accidentels, toponymes événementiels et héméronymes) permet d’étudier leur capacité mémorielle en fonction de leur morphologie. En effet, moins le désignant a de contenu lexical, plus il a de facilité à circuler dans des contextes qui ne sont pas celui d’origine. Ainsi, les toponymes et les héméronymes ont une plus grande capacité d’évocation, en raison de leur proximité avec le nom propre. Dans le discours d’information, ils fonctionnent comme des outils cognitifs qui servent à mémoriser des événements, des images et des discours sur les événements.<p><p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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