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Accueil et représentations des étrangers en Limousin : le cas de la Creuse (XIXe siècle-1945) / Immigration and representations of aliens in the Limousin region (1815-1945) : the case of the Creuse area

Denis, Marion 17 December 2013 (has links)
Cette thèse a pour objectif de retracer l'histoire de l'immigration entre 1815 et 1945 dans le département de la Creuse. Il s'est agi de quantifier la présence d'étrangers et son évolution, mais surtout de cerner l'accueil qui lui est fait et les perceptions qu'elle suscite, dans un espace a priori peu concerné par l'immigration, car très rural, sous-industrialisé et marqué au XIXe siècle par l'émigration. La présence étrangère reste effectivement très diffuse avant 1914 : ce sont essentiellement des réfugiés politiques qui sont accueillis et la question de l'immigration n'est pas tout un enjeu politique dans un département où s'ancre une forte tradition de gauche. Avec la Première Guerre mondiale, l'agrarisme, et en particulier la hantise du manque de bras pour l'agriculture, commencent à teinter favorablement les perceptions des étrangers. Ceux-ci deviennent visibles car ils sont plus nombreux dans les années 1920 et, plus encore, dans la décennie suivante. On ne trouve dans la Creuse qu'un écho très assourdi des crispations et de la xénophobie caractéristiques des années 1930. Après 1939, celle-ci accueille des vagues successives de personnes étrangères au département, dont de nombreux Juifs qui gagnent la zone libre. Étrangers et Juif y subissent la politique de surveillance, de mise au travail et de répression du régime de Vichy (GTE, persécutions antisémites). A l'unisson de la crise d'identité nationale, les représentations de ces catégories se troublent dans un premier temps avant que l'opinion publique creusoise ne sorte progressivement de sa myopie, surtout après 1943, lorsque le STO contribue à un net détachement vis-à-vis du régime du maréchal Pétain. / This thesis aims at tracing back the history of immigration from 1815 to 1945, focusing more particularly on the Creuse area. The work does not only consist in quantifying the presence of immigrants and its evolution but it also deals with the way they were received and how local people welcomed this presence in this region which was, in theory, not affected by immigration but rather by emigration (in the nineteenth century) for it was rural, under-industrialized and poorly urbanized. Thus, foreigners there remained very scattered until 1914. Most of them were asylum seekers. At that time, immigration was not a political issue in this region characterized by a strong left-wing tradition. During WWl, both agrarianism and the fear labour force in agriculture could be lacking, led local people to get a more positive view on immigrants. In the meantime they got more visible as they became more numerous in the 1920s, and even more so in the following decade. The common trend of tensions and xenophobia of the 1930s was neve1theless not so obvious in the Creuse region. After 1939, successive waves of immigrants (among which many French Jews and foreigners) willing to reach the Free Zone settled the Creuse region. These populations were the victims of the surveillance, forced labour and repression policies of the Vichy regime (work camps, anti-Semitic persecution). Those categories of people were then represented and considered negatively in a moment of national identity crisis. After 1943 though, forced labour (STO) was extended to natives, which contributed to slow but true defiance towards the regime and Maréchal Pétain.
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Mobilisations collectives et recomposition de l’action publique autour de l’enjeu migratoire en Sicile (1986-2012) / Collective mobilisations and public action reorganisation around the migration issue in Sicily (1986-2012)

Bassi, Marie 02 July 2015 (has links)
Cette thèse analyse la rencontre entre l'émergence du phénomène migratoire en Sicile, la naissance d’un réseau local de militants « pro immigration » connectés à l’échelle nationale et européenne, et la recomposition de l'action publique qui repose sur la délégation, aux collectivités territoriales et aux acteurs non-étatiques, des compétences dans le domaine socio-sanitaire et migratoire. Basée sur un terrain réalisé en Sicile, cette recherche mobilise des outils conceptuels issus des études migratoires, des recherches sur les mobilisations collectives et des politiques publiques et des travaux sur le secteur associatif. Les mobilisations collectives en Sicile entre 1986 et 2012 sont étudiées : l’émergence, la structuration et l’évolution des réseaux militants sont étudiés, à partir d’une perspective socio-historique et d’une analyse en termes de carrière. Ce réseau militant s’insère dans les logiques de redéploiement des dispositifs étatiques qui nous permettent d’examiner les multiples relations entre la multitude d’acteurs étatiques et non-étatiques impliqués dans le la prise en charge des étrangers. / This thesis analyses the confluence of the migration phenomenon as it emerges in Sicily, the birth of a local network of “pro immigration” activists, connected to the national and European levels, and the reorganiation of public action, based on the delegation of responsibilities in the healthcare and migration sectors to local authorities and non-state actors. Based on fieldwork carried out in Sicily, this research uses conceptual tools taken from migration studies, research on collective mobilisations, public policy and the nonprofit sector. Collective mobilisations in Sicily between 1986 and 2012 are studied: the emergence, structuration and evolution of activist networks are studied, from a socio-historical perspective and an analysis of career trajectories. This activist network works within a larger logic of redeployment of state arrangements, which enables us to examine the multiple relationships that exist between the multitude of state and non-state actors involved in the governance of foreigners in Sicily.
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Une terre d’asile sans réfugiés : une socio-histoire du dispositif d’asile israélien / A refuge-state without refugees : a social history of the Israeli asylum system

Havkin, Shira 10 November 2017 (has links)
La création de l’État d’Israël est imbriquée dans l’histoire de deux des plus grandes populations de réfugiés de l’époque : des juifs venus s’installer en Israël et des Palestiniens contraints de fuir le territoire. Pourtant, la centralité de ces deux figures a empêché la création de la catégorie de réfugié en Israël. Depuis les années 1970 et surtout depuis la seconde moitié des années 2000, des groupes et individus cherchant asile en Israël se confrontent à un dispositif qui évite de reconnaître des réfugiés. Ce dispositif a été institutionnalisé dans la dernière décennie sans pour autant résoudre le paradoxe d’une terre d’asile sans réfugiés. A partir d’un travail de recherche empirique fondé sur des entretiens avec des acteurs impliqués dans l’établissement du dispositif d’asile et sur une lecture critique de documents officiels, je retrace la socio-histoire de ce dispositif en analysant les modalités de catégorisation, le gouvernement des circulations et les redéploiements de la sphère institutionnelle. Le gouvernement des migrants en quête d’asile s’inscrit certes dans des processus globaux de restriction de l’asile et de diffusion de politiques antimigratoires. Mais il fait aussi partie d’une histoire nationale qui permet l’établissement d’un dispositif répressif ciblant majoritairement les Érythréens et les Soudanais, les qualifiant d’« infiltrés », à l’instar des Arabes qui s’introduisaient sur le territoire devenu israélien dans les années qui ont suivi l’établissement de l’État. Ce dispositif dit l’histoire non linéaire et la construction toujours en cours de l’État et des assemblages contemporains de souveraineté, nationalisme et néolibéralisme. / The establishment of the state of Israel is entangled in the stories of two of the largest populations of refugees of its time: Jews who immigrated to Israel and Palestinians forced to leave the same territory during the war. Yet, these two stories prevented the creation of a social and juridical category of refugee in that country. Since the late 1970 and more explicitly, since the mid-2000s, groups and individuals seeking refuge and claiming asylum in Israel encounter a system that avoids recognizing refugees. This system has been formalized and institutionalized during the last decade, keeping its profoundly paradoxical nature, characteristic of a refuge-state without refugees. Drawing on interviews with actors of the Israeli asylum system and on a critical reading of official documents, I outline the social history of the Israeli asylum system. My main argument is that in Israel, the question of governing migrants seeking refuge draws both on global processes of asylum restriction and anti-immigration policies and technologies, and on a long national history, a history of inclusionary and exclusionary dynamics that accompany the creation of the Israeli state. This history resurfaces with the establishment of a repressive system targeting migrants seeking refuge, mostly Eritrean and Sudanese, as “infiltrators”, a term created in order to exclude Arabs who entered the territory of the newly founded state in its first years and to prevent the return of Palestinian refugees. In that sense, studying the Israeli asylum system reveals the non-linear and continuous statecraft, and the contemporary assemblages of sovereignty, nationalism and neo-liberalism.
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La migration britannique en Bretagne intérieure : une étude sociolinguistique critique des idéologies, des assignations et des stratégies interactionnelles / The British migration in central Brittany (France) : a critical sociolinguistic study of ideologies, categorisations and interactions

Etrillard, Aude 04 December 2015 (has links)
En Région Bretagne, les Britanniques forment la plus importante population étrangère comptant au recensement 2010 près de 14 000 personnes. Depuis la fin des années 1980, cette population qui s’installe prioritairement dans les milieux ruraux de la Bretagne intérieure est une illustration exemplaire des nouvelles « mobilités privilégiées », ou lifestyle migration, en provenance des pays du « Nord ». Ces vagues migratoires peuvent ainsi amener à une reconfiguration du tissu économique et socioculturel de ces zones faisant face à un déficit migratoire. La recherche proposée ici s’attache à étudier l’accueil et la socialisation de ces migrant!e!s par l’analyse des pratiques interactionnelles et discursives, et à interroger les problématiques sociolangagières auxquelles les migrant!e!s anglophones et les autochtones sontconfronté!e!s. Se basant sur un travail de terrain combinant observations, entretiens semi-directifs et forums de discussions, ces analyses critiques s’articulent à la prise en compte des conditions sociologiques, politiques et économiques de cette migration. Les catégories d’assignations identitaires, les idéologies langagières et les stratégies interactionnelles mobilisées par les migrants britanniques et les autochtones semblent alors faire apparaître des logiques paradoxales du capitalisme contemporain : d’un côté la hiérarchisation des mobilités et les stratégies de mise en marché du territoire montrent les privilèges des populations britanniques; de l’autre la responsabilisation des migrant!e!s face à leurs choix de migrer et la flexibilisation des parcours de vie peut mener à leur précarisation économique et à un certain isolement social. / In Brittany (France), the British account for the largest foreign population, with an estimated 14 000 individuals according to the 2010 census. Since the end of the 1980s, this population relocates primarily in rural areas of central Brittany and illustrates the new “privileged mobilities”, or “lifestyle migration”, coming from the « North ». In these areas facing an important migration deficit, the British migration may have an impact on the local economic and sociocultural environment. This research aims at studying the reception and the socialization of these migrants through the analysis of interactional and discursive practices, and at questioning the sociolinguistics issues these Anglophones migrants and the autochthonpopulation are confronted with. Based on a fieldwork combining observations, semi-directed interviews and a collection of discussion forum threads, these critical analyses are articulated to the sociological, political and economic background of the migration. The identities and social categories, the linguistic ideologies and the interactional strategies that the migrants and the autochthons mobilise thus seem to expose some paradoxical logics of contemporary capitalism: on the one hand the hierarchisation of mobilities and the marketing of the territory reveal the privileges of the British population; on the other hand the responsabilisation of the migrants with respect to their migratory process and the flexibilisation of the course of life can lead to socioeconomic insecurity and social isolation
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Immigration, wages and employment evidence from France / Immigration, salaires et emplois : quels effets en France ?

Edo, Anthony 13 October 2014 (has links)
En France, en 2010, un dixième de la population active était immigrée. Quel impact cet apport d’actifs a-t-il eu sur les salaires et l’emploi des natifs ? Une analyse centrée sur la substitution entre natifs et immigrés montre d’abord que l’immigration n’a eu qu’un faible impact sur le salaire des natifs de même niveau d’éducation et d’expérience. Une hausse de 10% de la part d’immigrés réduit le salaire mensuel des natifs de même qualification d’environ 0,6%. Ce résultat n’est pas surprenant compte tenu de la forte rigidité salariale qui caractérise le marché du travail français : l’existence d’un salaire minimum national et d’indemnités chômage élevées peut expliquer l’absence d’ajustement des salaires suite à une augmentation de l’offre de travail. Dans ce contexte de fortes rigidités salariales, l’ajustement porte sur le taux d’emploi. Nos résultats indiquent qu’une hausse de 10 % de la part des immigrés dégrade d’environ 3 % le taux d’emploi des natifs ayant des caractéristiques individuelles similaires : âge, formation, expérience professionnelle. L’emploi des natifs diminue au profit de celui des immigrés puisque ces derniers sont relativement plus attractifs pour les entreprises. Les immigrants sont notamment plus enclins à accepter des salaires plus faibles et des conditions de travail plus difficiles que des natifs de même qualification. Cette première analyse de court terme n’est que partielle puisqu’elle omet les effets de complémentarité que l’immigration devrait induire sur les travailleurs dont les qualifications différent de celles des immigrants. En tenant compte de ces effets de complémentarité, une seconde analyse montre que si l’immigration n’a aucune incidence sur le salaire moyen des natifs à long terme, l’immigration a produit en France des gagnants et des perdants depuis les années 1990. Dans la mesure où la population immigrée est de plus en plus qualifiée, l’immigration a réduit le salaire des natifs très qualifiés et augmenté celui des natifs faiblement qualifiés. L’immigration a donc contribué à la réduction des inégalités salariales entre les travailleurs qualifiés et non qualifiés constatée en France durant cette période. De même, nous montrons que la forte féminisation de la population immigrée a eu un impact différencié sur les salaires des natifs selon leur genre. Depuis 1990, nos estimations indiquent que l’immigration a diminué le salaire des femmes et augmenté celui des hommes. Cet effet asymétrique s’explique par le fait que les hommes et les femmes tendent à être imparfaitement substituables dans le processus productif. / In the past two decades, the fraction of the population in developed countries that is foreign-born increased from 7% in 1990 to 10% in 2010. The rise in the demographic importance of international migration led to a parallel increase in the amount of time and effort that economists devote to studying the consequences of immigration. One of the main questions raised by economists is related to the labor impact of migration in receiving economies. What is the impact of immigration on the employment and earnings of native workers ? This dissertation contributes to the immigration literature through a deep empirical investigation on the effects of immigrants on native wages and employment in France over the 1990-2010 period. This dissertation is composed of two main parts. The first part investigates the short-run effects of immigration on the outcomes of competing native workers (who have skills similar to those of the migrants). I find that immigration has a very small negative impact on the wages of competing natives. This result is consistent with the prevalence of downward wage rigidities in France. However, I show that immigration decreases the employment rate of natives with similar education and experience : a 10% increase in the immigrant share due to an influx of immigrants is associated with a 3% fall in the employment rate of competing natives. Since immigrants are relatively more attractive for firms (while they are identical to natives in all other respects), a substitution mechanism operates between natives and immigrants. The second part extends the analysis by providing a full picture of the wage impact of immigration in France. In this part, I allow the labor market to adjust to immigration in the long-run. In addition, I account for the complementarity effects induced by immigration on the wages of natives with different skills. The estimates indicate no detrimental impact of immigration on the average wage of natives. This part also provides the distributional effects of immigration by education and gender. In as much immigrants to France has been disproportionately high educated in the past two decades, I find that immigration has reduced the wage of highly educated native workers and has contributed to raise the wage of low educated. Thus, immigration-induced shocks to French labor supply have served to reduce wage inequality between low educated and high educated workers. Moreover, I find that immigration has lowered the relative wage of female natives and increased the wage of male natives. This asymmetric effect is due to the facts that immigration has disproportionately increased the number of female workers since 1990, and also that men and women of similar education are imperfect substitutes in the production process.
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La politique d'immigration à l'échelle d'une collectivité : entre intégration et communication : le cas de la ville de Strasbourg / Immigration policy in a community scale : between integration and communication : the case of Strasbourg

Geiger, Johanne 28 September 2012 (has links)
Alors que les étrangers n’ont plus été les bienvenus suite aux bouleversements économiques et sociaux consécutifs à la fin de Trente Glorieuses, que la France a pris diverses mesures pour endiguer le flot de l’immigration, il est aujourd’hui évident, au vu de la recrudescence des discriminations, que le pays doit trouver une alternative à une politique d’intégration dont l’universalisme ne parvient plus à garantir les valeurs françaises fondatrices de la Nation. En s’appuyant, grâce à l’outil du Conseil des Résidents Etrangers, sur des associations référées à l’immigration, la politique d’intégration de Strasbourg s’inscrit de façon originale dans cette discussion: elle permet d’utiliser comme ressources des groupes fondés sur des identités particulières afin d’entrer dans des négociations ou des débats politiques et sociaux. Mais la politique est un art, selon G. BOUTHOUL (1967) et la communication politique vise à faire adhérer l’électeur à des perceptions publiques orientées (J. GERSTLE, 2004). Dans notre société, où la diversité est largement prônée, il est judicieux pour Strasbourg de mettre en évidence une politique d’intégration basée sur la différence. Le CRE devient tribune de la Ville et stratégie électorale. Notre objectif est alors de saisir dans quelle mesure la politique d’intégration menée par Strasbourg s’inscrit dans une stratégie de communication. / While foreigners were no longer welcome in response to economic shocks and social consecutive late-warboom, that France has taken various measures to stem the flow of immigration, it is now obvious, given the resurgence of racism, anti-Semitism or discrimination, that the country needs an alternative to a policy of integration whose universalism is no longer able to guarantee the fundamental French values and founding of the nation. Relying on associations referred to immigration found by using a tool of the Council of foreign residents (CRE), the integration policy of Strasbourg fits as original in this discussion: it allows the use of groups based on particular identities as resource to enter into negotiations or political and social debates. But politics is an art, according to G. BOUTHOUL (1967) and political communication aims to make the voter join public oriented perceptions (J. GERSTLE, 2004). In our society, where diversity wins by being promoted by the Right-wing as well as Left-wing, it is judicious for Strasbourg to bring out an integration policy based on the difference. The CRE becomes tribune of the City and electoral strategy. Based on our qualitative study, we aim to understand the extent of the integration policy conducted by the City of Strasbourg in the communication strategy.

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