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Diwan, pédagogie et créativité : approche critique des relations entre pédagogie, créativité et revitalisation de la langue bretonne dans les écoles associatives immersives Diwan / Diwan, teaching methods and creativity : critical approach of the relationship between Creativity, Teaching Methods and Revitalisation of Breton language in Diwan immersive schools

Chauffin, Fanny 31 March 2015 (has links)
Les écoles immersives Diwan ont trente-huit ans. Elles ont d'une part, contribué à la revitalisation de la langue bretonne et d'autre part, permis un essor culturel et artistique en breton. Alors que les études précédentes analysent la chute vertigineuse du nombre de locuteurs et l'extrême fragilité de l'avenir de la langue, cette thèse montre comment la créativité des acteurs de Diwan a permis de surmonter les difficultés idéologiques et financières, et a réussi à toucher, par lamusique, l'audiovisuel, le théâtre et la littérature, un public beaucoup plus large que celui des bretonnants.Quel breton est parlé à Diwan ? Qui sont ces élèves représentant 1 % de la population scolaire bretonne, et quelles sont leurs pratiques artistiques ? Qui sont les enseignants-artistes et quelle évolution suit Diwan depuis les pionniers ? La créativité développée par les enseignants, les bénévoles, les parents d'élèves et les élèves sera-t-elle suffisante pour permettre un avenir à la langue ? En prenant appui sur les études des sociolinguistes et des psycholinguistes, sur des études menées en classe et dans le domaine extra-scolaire, mais aussi dans les écoles immersives basques Seaska et d'autres minorités linguistiques européennes, l'auteure montre que Diwan est une « machine à créer » fragile, qui ne peut continuer à se développer sans un regard critique sur elle même, une recherche pédagogique structurée et sans un soutien plus important de la société bretonne dans son ensemble. / Diwan immersive schools are thirty-eight years old. On the one hand, they have contributed to the revitalisation of the Breton language and on the other hand, served as a catalyst for cultural and artistic development in Breton. While previous studies analyse the precipitous decline in the number of speakers and the extreme fragility of the future of the language, thisthesis shows how the creativity of people associated with Diwan has overcome ideological and financial difficulties, and reaches through music , theatre and dance, a much wider audience than Breton-speakers alone.What sort of Breton is spoken at Diwan ? Who are these students who represent 1% of the Breton school population, and what are their artistic practices ? Who are the artists and teachers and what has been the evolution since the pioneers of the late 70s ? Creativity developed by teachers, volunteers, parents and students is all very well, but will it be sufficient to ensure a future for the language ? Drawing on studies by sociolinguists and Psycholinguists on numerous studies in Britain in the classroom and in extra-curricular field, but also in the Basque immersion schools Seaska , and european minority immersive schools too , the author shows that Diwan is a fragile "creativity machine" , which can not continue without a critical look at itself, a structured research, but also without more support from Breton society.
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Description morphosyntaxique du parler breton de Plozévet (Finistère) / Morphosyntactic description of the spoken Breton of Plozevet (Finistère)

Goyat, Gilles 19 November 2012 (has links)
La commune de Plozévet est située à l’extrémité sud-ouest de la Bretagne, au bord de la baie d’Audierne. Son parler breton conserve des formes archaïques révélant une ancienne continuité méridionale qui allait des bords de la baie d’Audierne au Vannetais, continuité perceptible dans certains aspects de la phonologie, de la morphologie et du lexique. Il garde également des traits communs aux trois presqu’îles occidentales (Léon, Crozon, Cap Sizun et Cap Caval), caractéristiques aussi de la périphérie du domaine bretonnant.Mais des innovations, venues d’abord du centre de ce domaine (région de Carhaix), puis du Léon, toutes diffusées par Quimper, ont brisé ces anciennes continuités. Ce parler présente bien sûr des traits communs à tout le sud-ouest de la Cornouaille, mais aussi des spécificités : ainsi, la réalisation [-ŋ] des groupes historiques « -r n » et « -l n », l’ouverture du second élément de la diphtongue /ew/ en /ea/, réalisée [eaɔ] en finale absolue, la prédilection pour les syllabes composées de voyelle brève suivie de consonne forte, y compris dans les monosyllabes, et aussi la neutralisation de l’opposition entre les morphèmes des deuxièmes personnes du singulier et du pluriel. L’étude du lexique breton du cadastre napoléonien (1828) révèle que, si certains lexèmes sont tombés en désuétude, le parler a peu évolué au cours des XIXe et XXe siècles. Au XIXe siècle, les maires de Plozévet ont réclamé des maîtres d’école, d’abord pour enseigner le français aux enfants, qui ne savaient que le breton. Celui-ci est resté la langue la plus parlée jusque dans les années 1960, mais a ensuite très vite décliné / The commune of Plozévet is situated at the south-western tip of Brittany, on the shore of the « baie d’ Audierne ».The spoken Breton of Plozévet has kept archaic features suggesting a former continuity stretching from the shores of the « baie d’ Audierne » to the Vannetais area, perceptible in some aspects of its phonology, morphology and lexis. It has also kept some characteristics common to the three western peninsulas (Léon, Crozon, Cap Sizun and Cap Caval), also peculiar to the periphery of Celticspeaking Brittany.But some innovations coming from the central zone (Carhaix region), and then from Léon, filtered through Quimper and brought these former continuities to an end.The spoken Breton of Plozévet obviously shares many features with the rest of southwestern Cornouaille, but also has some distinctive characteristics: thus, the groups «-r n » and « –l n » pronounced [ŋ], the opening of the second element of the diphthong /ew/ into /ea/, pronounced [eaɔ] in absolute final position, a predilection for syllables composed of a short vowel followed by a fortis consonant, in monosyllables too, and also the neutralization of the opposition between themorphemes of the second persons singular and plural.The study of the Breton vocabulary contained in the so-called Napoleonic cadastre (1828) reveals that, although some of the lexemes have become obsolete, the language evolved but little during the 19th and 20th centuries.In the 19th century, the mayors of Plozévet asked for schoolmasters, above all to teach French to the children, who only knew Breton. Breton was spoken more than French until the 1960’s, but then declined rapidly.
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Pratiques langagières et processus dialogiques d’identification sur les réseaux socionumériques : le cas de la langue bretonne / Language practices and dialogical process of identifying the social digital networks : the case of the Breton

Blanchard, Jean-François 19 June 2015 (has links)
Internet et les réseaux socionumériques (RSN) constituent, pour la langue bretonne, un contexte récent dans les pratiques sociales à partir duquel peuvent s’observer des formes de recontextualisation d’une langue minorée en situation de post‐diglossie. Cette thèse propose d’en décrire les évolutions à l’aide d’un modèle dialogique d’élaboration d’identité qui offre trois pôles d’analyse : les formes de l’institutionnalisation de la langue dans la société, les représentations sociales de la langue et les pratiques sociales constituant des expressions d’appartenance. Ce modèle dialogique de processus, dont la conception est étayée par des travaux d’histoire sociale, est d’abord instancié au plan sociolinguistique, afin de montrer les conditions de l’intervention glottopolitique des RSN dans le contexte post‐diglossique. Le modèle conceptuel est ensuite exploité dans l’analyse étendue des formes de sociabilité que les RSN organisent, facilitent et structurent ycompris dans le champ des médias et de la communication publique. Enfin, le modèle permet de juxtaposer l’analyse sociopolitique de la revendication bretonne à la théorie sociopolitique de l’espace public sur les trois pôles d’analyse de la place des RSN : la construction de problèmes publics comme institutionnalisation, la construction symbolique de l’identité territoriale et la citoyenneté comme pratique sociale et forme d’appartenance. Les interventions glottopolitiques libérales développées autour des RSN concourent à des formes d’institution de la langue fondées à la fois sur la capacité d’autonomie des acteurs sociaux à construire l’espace régional mais aussi sur les conditions du marché / Internet and social digital networks (SDN) are, for the Breton language, a recent setting for social practices inwhich forms of recontextualization of a minority language in a post‐diglossic situation occur. The purpose ofthis thesis is to describe the transformations using a dialogical model of identity development. Such model focuses on a three‐dimensional analysis that encompassing the institutionalization forms of a language in a society, social representations of a language and social practices resulting in expressions of belonging. This dialogical process model, whose design is grounded in scholar works in the social history field, is first instantiated from a sociolinguistic perspective to describe SDN glottopolitical intervention characteristics in the post‐diglossia context. This conceptual model is then applied to in analysis of extended forms of sociability enabled, facilitated and structured by SDN both in a media and public communication context. Finally, the model allows the juxtaposition of the sociopolitical analysis of the Breton claim and the sociopolitical theory of public space on the three dimensions on which SDN have an effect: construction of social problems such as institutionalization, symbolic construction of territorial identity and citizenship as a social practice and way ofbelonging. Liberal glottopolitical interventions developed around SDN create forms institution of language based on both the market force and the autonomy capacity of social actors to build a regional territory
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Définir la "langue bretonne" : discours concurrentiels d'origination et d'identification dans les paratextes des dictionnaires bretons / Defining breton language : concurrential discourses of origination and identification in breton dictionaries' paratexts

Morvan, Malo 28 March 2017 (has links)
Si l'on connaît les dictionnaires comme lieu des définitions, ils en fournissent une que l'on ne perçoit pas toujours : celle de la langue elle-même. Au sein de l'hétérogène et du mouvant des usages linguistiques quotidiens, ceux-ci en circonscrivent et délimitent un certain nombre, qui se verront alors consacrés, dotés d'une certaine officialité. Les critères de sélection par lesquels les éléments lexicaux sont retenus ou écartés dépendent, entre autres contraintes, des convictions de leurs auteurs concernant les usages linguistiques qu'ils considèrent comme plus représentatifs de la langue que d'autres. Souvent conscients tant du pouvoir social de tels ouvrages que de la sélection qu'ils impliquent, leurs auteurs s'en justifient parfois dans des paratextes introductifs où sont alors explicités leurs convictions linguistiques. Les discours que l'on y trouve peuvent se fonder sur des définitions, associations d'idées, et valorisations que les auteurs peuvent tenir pour acquis, ou au contraire les détourner, subvertir, contester ; quoiqu'il en soit, ils tentent souvent de fonder performativement une définition de la langue que la liste lexicale mettra ensuite en pratique. Dans certains contextes de conflictualité politique où la définition de la langue ne va pas de soi, les préfaces de dictionnaires peuvent alors devenir de véritables arènes où s'affronteront des définitions concurrentes de la langue que chacun tentera de faire reconnaître. En travaillant sur un corpus constitué des paratextes de dictionnaires bretons publiés de 1499 à 2015, nous analysons l'évolution des discours sur la langue en fonction des situations historiques, sociales, et politiques, où se trouvent les auteurs. Nous mettons l'accent en particulier sur différents processus discursifs, notamment ceux d'identification et de différenciation, par lesquels les auteurs délimitent les frontières entre les pairs et les autres, ainsi que ceux d'origination, par lesquels ils ancrent leur situation actuelle au sein de continuités et ruptures perpétuellement redessinées. Nous abordons ainsi en particulier la manière dont la définition des "Celtes" a évolué en fonction des différents contextes discursifs : désignant d'abord, dans le discours celtomane, une langue mère de toutes les autres dont la bretonne était la seule forme restée pure, l'usage du terme s'orientera progressivement vers une fonction distinctive envers leurs voisins français, ceci en accord avec l'émergence d'un cadre de pensée nationaliste. C'est à la même période, vers le XIXe siècle siècle, qu'apparaîtra l'interceltisme, comme thèse d'un cousinage ethnique entre les populations de certains territoires en petite et Grande-Bretagne. Nous étudions la manière dont ce discours, né de nécessités de différenciation politique, se transfère dans les catégorisations savantes, véhiculant en même temps son lot de concepts et méthodes implicites concernant la définition de la langue. Par ailleurs, les changements sociaux survenant au XXe siècle en Bretagne auront également pour conséquence un progressif clivage entre différents profils de locuteurs : à ceux pratiquant la langue dans un contexte surtout oral, pratique, et quotidien, dont le nombre diminue, se substituent progressivement des locuteurs l'apprenant dans une démarche volontariste et militante, à partir d'un rapport scriptural-scolaire à la langue. Cette cohabitation de locuteurs ayant appris et pratiquant la langue dans des situations différentes aura mettra en concurrence les définitions de la langue. Si les différents courants auront en commun une volonté de distinction envers le français héritée du discours différentialiste ayant émergé au XIXe siècle, chacun investira la nécessité de s'en distinguer dans des dimensions différentes de la langue, cohérentes par rapport à leurs modes de socialisation linguistique. (...) / Dictionaries are often seen a the place of the definitions, but very often the most important definition they give is not seen : the one concerning the language itself. Thus, while making their work, the authors have to make a selection of the words which will be retained and those which will not be taken in account. These choices rely on broader stances, related to their own convictions about what is "correct" language and what is not. The authors' convictions are themself influenced by the socio-historical context in which the dictionary is written, but they also shape the further definitions of the language, given the reliability granted to those kind of books. This work aims to seek the way in which the definition of breton language is given in the paratext (forewords, introductions, prefaces, postfaces) of breton dictionaries published between 1499 and 2015. In particular, we focus on some discursive processes such as identifications, differentiations, and originations, which are used by the authors in order to reconfigure the language's definition. A particular importance is given to the evolving use made of "Celts" in those definitions, and to the conflictuality in which they are set.

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