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A study of Russian reactionary writers in the second half of the nineteenth centuryTidmarsh, Kyril Ralph January 1956 (has links)
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Attitudes to the individual in Russian thought and literature with special reference to the Vekhi controversyKelly, A. M. January 1971 (has links)
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Communication en tant que prédestination et authenticité d'une personne dans l'oeuvre de Valentin Raspoutine et Alexandre Vampilov / Communication as predestination and feature of an artistic personality in Valentin Rasputin and Aleksandr Vampilov's creative workYazeva, Alexandra 18 October 2013 (has links)
Valentin Raspoutine (né le 15 mars 1937) et Alexandre Vampilov (19 août 1937-17 août 1972) sont deux auteurs dont l’œuvre présente un intérêt particulier pour la critique littéraire contemporaine. La pénétration émotionnelle et philosophique dans la nature de « l’Autre » et l’aspiration à sa reconstitution esthétique sont caractéristiques de Valentin Raspoutine comme d’Alexandre Vampilov. Le rôle de l’anthropologie artistique dans l’esthétique des deux créateurs reste toujours un champ vaste de réflexion et d’interprétation. La thèse prouve que ce sont les espaces communicatifs des œuvres de Raspoutine et de Vampilov qui contiennent des repères de l’authenticité et de la prédestination de la personnalité de fiction. L’étude met en évidence le but de l’existence artistique de la personnalité unique du narrataire, du héros et du narrateur dans l’œuvre de l’écrivain et celle du dramaturge. / Valentin Rasputin (born 17 March 1937) and Aleksandr Vampilov (19 August1937-17 August 1972) are the two authors whose creative work is of particular interest to the contemporary literary criticism. The emotional and philosophical penetration into «the Other’s nature» as well as the aspiration for its aesthetic recreation are quite typical of the both artists. The role of artistic anthropology in the two creators’ aesthetics still needs its interpretation and is open to research.The given thesis proves that it’s the communicative space of Rasputin and Vampilov’s works that contains the vectors of the artistic personality’s predestination and feature. The study reveals an aim of the unique personality’s artistic existence, the existence of the narratator, the personage and the narrator, in the pieces of art created by the writer and the playwright.
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The function of Russian obscene language in late Soviet and post-Soviet proseKovalev, Manuela January 2014 (has links)
This thesis is the first book-length study to explore the function of Russian obscene language (mat) in late Soviet and post-Soviet prose published between the late 1970s and the late 1990s. This period was characterised by radical socio-ideological transformations that also found expression in major shifts of established literary and linguistic norms. The latter were particularly strongly reflected in the fact that obscene language, which was banned from official Soviet discourse, gradually found its way into literary texts, thereby changing the notion of literary language and literature. The thesis breaks new ground by employing obscene language as a prism through which to demonstrate how its emergence in literature reflected and contributed to the shifts of established literary norms and boundaries. A second aim of the thesis is to trace the diachronic development of Russian literary mat. Primary sources include novels by authors pioneering the use of mat in fiction in the late 1970s, as well as texts by writers associated with ‘alternative prose’ and postmodernism. Applying a methodological framework that is based on an approach combining Bakhtinian dialogism with cultural narratology, the study demonstrates what the use of mat means and accomplishes in a given literary context. The methodological framework offers a systematic approach that does justice to the dynamic relationship between text and context, allowing for an analysis of the role of obscene language on all narrative levels while also taking the socio-historical context into account. The thesis offers not only new ways of interpreting the novels selected, it also provides new insight into the role of verbal obscenity in the process of ‘norm negotiation’ that has shaped and transformed Russian literary culture since the late 1970s. By accentuating the dialogic nature of obscene language, this study reveals that mat is a defining element of Russian (literary) culture, with implications for all facets of Russian identity.
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Le discours du fou dans le récit romantique européen : (Allemagne, France, Russie) / The speech of the Madman in the European Romantic Narrative : (Germany, France, Russia)Tellier, Virginie 07 June 2012 (has links)
La thèse étudie les caractéristiques linguistiques, philosophiques et esthétiques du langage littéraire du fou à l'époque romantique. Elle porte sur Les Élixirs du Diable (Hoffmann, 1815), La Fée aux Miettes (Nodier, 1832), le Journal d'un fou (Gogol, 1835), La Sylphide (Odoïevski, 1837) et Aurélia (Nerval, 1855). D'autres récits sont convoqués plus ponctuellement, comme Les Veilles (Bonaventura, 1804) ou Louis Lambert (Balzac, 1832). Le fou est un être problématique : il est à la fois inférieur à l'homme sain et habité par une inspiration divine. Ce paradoxe trouve une actualité nouvelle dans la première moitié du XIXe siècle. D'une part, le développement de l'aliénisme tend à définir médicalement les pathologies mentales. D'autre part, la naissance de la littérature fantastique promeut la figure de l'artiste fou. Le fou, lorsqu'il prend la parole, interroge l'écriture autobiographique et redéfinit le moi, l'espace et le temps. Son discours présente des enjeux pragmatiques : le fou cherche à démontrer qu'il n'est pas fou, face à une société qui le condamne. Il cherche également à transmettre une vérité. Sa langue sert alors à décrire les forces mythiques qui traversent le monde et, peut-être, à le recréer. La notion de création est essentielle. L'âge romantique modifie la définition de la littérature, qui perd sa fonction représentative au profit d'une fonction purement langagière. Le discours du fou participe à la fondation de cette nouvelle esthétique : il l'instaure dans un geste critique qui interroge sa légitimité. Impossible et impensable, il incarne la « parole muette » (J. Rancière) que devient la littérature moderne. / The thesis studies the linguistics, philosophy and aesthetics of literary language of the madman in the Romantic era. It focuses on The Devil's Elixirs (Hoffmann, 1815), The Crumb Fairy (Nodier, 1832), The Diary of a Madman (Gogol, 1835), The Sylph (Odoevsky, 1837) and Aurelia (Nerval, 1855). Other narratives are more promptly summoned, as The Night Watches (Bonaventura, 1804) or Louis Lambert (Balzac, 1832). The madman is a problematic being: he is both unhealthy and inhabited by a divine inspiration. This paradox finds a new relevance in the first half of the nineteenth century. On the one hand, the development of Alienism tends to define mental pathologies from a medical point of view. On the other hand, the birth of the Fantastic promotes the figure of the mad artist. The Madman, when he speaks, questions autobiographical writing and redefines the Self, Space and Time. His speech has pragmatic issues: the madman seeks to demonstrate that he is not mad, in a society which condemns him. He also endeavours to convey a truth. His language is then used to describe the mythical forces that travel the world and, perhaps, to recreate it. The notion of creation is essential. The Romantic era modifies the definition of literature, which loses its representative function in favour of a purely linguistic function. The speech of the madman takes part in the founding of new aesthetics: it creates it in a critical gesture that questions its legitimacy. Impossible and unthinkable, it embodies the "silent speech" (J. Rancière) that becomes modern literature.
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Valery Yakovlevich Bryusov : life, literary theory, poetryBinyon, T. J. January 1969 (has links)
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Vladimir Nabokov and the aesthetics of disgustTolstoy, Anastasia January 2013 (has links)
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Une « démocratie magique » : politique et littérature dans les romans de Vladimir Nabokov / A "Magic Democracy" : politics and Literature in Vladimir Nabokov's NovelsEdel-Roy, Agnès 19 November 2018 (has links)
Écrite d’abord en russe puis en anglo-américain, l’œuvre romanesque de Vladimir Nabokov (1899-1977), écrivain américain d’origine russe, fascine ses lecteurs, mais leur participation à l’achèvement de cette œuvre artistique a été singulièrement restreinte par sa réception. La publication de Lolita (1955) le transforme en précurseur du postmodernisme américain. Aboutissement de la quête moderne de l’autonomie de l’art et triomphe de l’autotélisme artistique, sa création se trouve alors interprétée en poétique « tyrannique » sur laquelle règne l’auteur en « dictateur absolu ». Vladimir Nabokov, pourtant, n’a cessé d’identifier dans l’Histoire et de combattre dans son œuvre deux questions politiques du vingtième siècle : celle de la soumission de l’art à l’idéologie (quelle qu’en soit le nom) et celle de la tyrannie (actualisée par les régimes politiques nazi et soviétique). Dès l’origine, sa création de langue russe, puis anglo-américaine, est synchronisée avec les conséquences, tant en Russie qu’en Occident, de la Révolution bolchevique, l’événement historique qui change le « partage du sensible » (Jacques Rancière) vingtiémiste. La nature autotélique de sa création, dont les caractéristiques sont à redéfinir en opposition aux formes artistiques prônant l’engagement de l’art, indique en réalité que Nabokov propose une nouvelle « politique de la littérature » (Jacques Rancière) de l’émancipation qu’il a lui-même appelée du nom de « démocratie magique » et fait d’elle un « art critique » dont l’effet politique passe par sa distance esthétique, incluant « dans la forme de l’œuvre la confrontation de ce que le monde est avec ce que le monde pourrait être » (Jacques Rancière). / Vladimir Nabokov (1899-1977), American writer of Russian origin, was the author of fiction written first in Russian and then in American English. His work has been a constant source of fascination for his readers, but their interpretation has been limited by its reception. Upon the publication of Lolita (1955), Nabokov is seen as a precursor of American postmodernism. His writings are interpreted as the climax of the modernist quest for artistic autonomy and a triumph of autotelic creation, and a poetic of “tyranny” is identified in his work, with the author reigning supreme as an “absolute dictator.”However, Nabokov had never ceased to be preoccupied with two political issues in 20th century History, which he continuously denounced in his writings: the issue of the submission of art to any kind of ideology and that of tyranny illustrated by the Nazi and Soviet political regimes. From the very beginning of his career, in his Russian texts and later in his American texts, Nabokov’s work examines the consequences of the Bolshevik Revolution, seen as the historical event that changes the “distribution of the sensible” (J. Rancière) in the 20th century. The autotelic nature of his work, whose features should be defined in opposition to aesthetic forms that celebrate the commitment of art, actually indicates that Nabokov defines a new “politics of literature” (J. Rancière) based on emancipation, which Nabokov calls “a magic democracy” and considers to be a “critical art” whose aesthetic effect is predicated on its distance, thus including “in the form of the work the confrontation between what the world is and what the world may become” (J. Rancière).
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Le mythe de l'androgyne dans l'oeuvre poétique de Zinaida Gippius / The myth of the Androgyne in the poetic work of Zinaida GippiusBlinova, Olga 28 September 2012 (has links)
Centrée sur l’analyse systématique de l’oeuvre poétique de Z. Gippius, la présente thèse tâche de démontrer que le mythe de l’androgyne sous-tend la poésie de cet auteur et permet de la lire comme une première mise en action d’un projet utopique d’humanité transfigurée. La thèse procède des points de convergence entre les thèmes propres aux réflexions utopiques (personne, amour et société) et les principales situations discursives de la poésie lyrique. Aussi se structure-t-elle en trois parties qui progressent de l’androgynie comme principe constitutif de la personne idéale (étudiée à travers le JE du sujet lyrique) vers la conception de l’amour androgyne (qui établit la relation entre le JE du sujet lyrique et le TU de l’allocutaire) et, enfin, vers la dimension collective de l’androgynie (avec le NOUS comme reflet d’une divino-humanité androgyne) Se penchant sur l’emploi que Gippius fait de l’antithèse, cette étude tente de saisir la démarche créatrice du poète-symboliste qui partirait d’une recherche quasi obsessionnelle des opposés pour aboutir à la synthèse universelle et se traduirait à travers le champ sémantique de l’union et de la fusion, à travers la place stratégique en fin de texte des mots et des séquences qui expriment cette sémantique et, surtout, à travers l'emploi de l’oxymore et du paradoxisme, tous deux relevant de la coincidentia oppositorum dont le mythe de l’androgyne est une des manifestations.C’est à un véritable acte démiurgique que l’on assimilerait l’écriture de Gippius au fil de laquelle, grâce à la fluidité des genres et des incarnations des principes masculin et féminin l’androgynie devient le principe fondateur de l’univers poétique tout entier. / By systematically analysing the poetry of Zinaida Gippius, this thesis attempts to show that the myth of the androgyne underlies the poet’s work, letting it be read as the initial stage of implementation of a utopian scheme of transfigured humanity. The thesis proceeds from the points of convergence of the themes characteristic of utopian thinking (person, love and society) and the principal discursive situations found inlyric poetry. It is ordered in three parts, progressing from the androgynous as a constitutive principle of the ideal human being (examined through the lyric subject I) to the conception of androgynous love (establishing the relationship between the lyric I and the YOU addressed), and finally to the collective dimension of theandrogynous (where the WE is the reflection of an androgynous humanity-divine).Considering the use Gippius makes of antithesis, this study attempts to grasp the symbolist poet’s creative process, which appears to spring from an almost obsessive search for opposites, and to lead to universal synthesis, as translated through the semantic field of union and fusion, through the strategic positioning at theend of the text of the words and sequences that express this semantic field, and especially through the use ofthe oxymoron and the paradox, both being part of the coincidentia oppositorum of which the myth of the androgyne is one manifestation.The writing of Gippius can be likened to a veritable demiurgic act via which, thanks to the fluidity of the genders and the incarnations of the two fundamental principles – the masculine and feminine – the androgynous becomes the founding principle of the whole poetic universe.
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Victor Petrovitch Astafiev, un écrivain ruraliste ? / Viktor Petrovich Astafiev, a Village Prose writer ?Rousselet, Jean-François 29 September 2017 (has links)
Cette thèse présente la première monographie française sur le grand écrivain russe et sibérien Victor Astafiev. Peu traduite en français, son œuvre importante (15 volumes) est généralement considérée par la critique comme s’inscrivant dans la veine de la prose rurale qui se développa en Russie à partir des années 70. Cependant, la biographie de l’écrivain et la multiplicité des thèmes qu’il aborde (société, guerre, musique, sons et nature) impose une remise en question de cette interprétation. L’auteur de la thèse s’attache à analyser finement les textes mis en contexte, à étudier l’évolution et la spécificité linguistique de leur écriture pour situer Astafiev dans la tradition de la grande littérature russe et faire apparaitre la profondeur et l’actualité de ses écrits. Le volume II livre une série de traductions inédites, annotées et commentées, ainsi que les versions reconstituées de chansons dont les textes révèlent un trésor de la culture populaire de l’époque. / This thesis presents the first French monograph on the great Russian and Siberian writer, Viktor Petrovich Astafiev. His important work (15 volumes), little-translated into French, is generally praised by critics as taking place within the same framework of the Village Prose, which started growing in Russia from the seventies onwards. However, the biography of the writer and the multiple themes which he takes up (society, war, music, sounds and nature) call into question this interpretation. The thesis author attempts to carry out a shrewd analysis of the texts placed within their context and to study the linguistic development as well as the specificity of Astafiev writings in order to situate him in the tradition of the great Russian literature and to highlight the depth and the topicality of his work. The second volume delivers a whole series of unpublished translations, duly annotated and commented as well as restored versions of songs, the texts of which reveal a treasure of the popular culture in the context of that time.
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