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Un voyage nommé désir : réflexion autour de l'altérité en communication interculturelle

Lacaze, Christine January 2009 (has links) (PDF)
De l'homme nomade, à l'explorateur, en passant par le pèlerin, pour finalement rencontrer un genre nouveau de voyageur avec le touriste, la notion de voyageur semble avoir évolué de manière surprenante. Le désir du voyageur (ou l'appel de l'ailleurs comme certains se plaisent à le nommer) est d'autant plus vivace et manifeste aujourd'hui. Tout le monde est en partance pour quelque part, que ce soit pour quelques jours ou pour toute une vie. Mais qui est le voyageur de nos jours? Nous avons décidé de proposer une démarche de réflexions originales où les rencontres liées au voyage se révèlent capitales. Notre approche se base essentiellement sous un angle phénoménologique, puisque le voyage prend racine dans notre quotidien. Notre postulat de départ est que dans un monde, où la tendance est à la dématérialisation des mots et à la matérialisation par l'image, le voyageur semble chercher à rétablir un équilibre, car il souhaite rencontrer l'autre pour communiquer directement avec lui et ainsi faire survivre les autres en lui-même. Ainsi, notre quête d'apprenti-chercheur se présente en six parties. Six chapitres pour six personnes. Six personnes pour six pronoms Je, Tu, Il-Elle, Nous, Vous, Ils-Elles. Le premier chapitre Je représente notre perspective personnelle du voyage en tant que femme du quotidien. L'approche phénoménologique, basée sur la pensée d'Alfred Schultz, entraîne deux mouvements, l'implication, puis la mise à distance critique du phénomène observé. À ce stade, nous relatons notre expérience de voyageur ainsi que nos intuitions de départ. Grâce au Tu, nous prenons notre première distance face au Je, mais nous restons toujours dans une relation intime avec le Lecteur. Ce second chapitre nous permet également une exploration chiffrée des voyageurs d'aujourd'hui: qui se déplace, quelles sont les recherches déjà effectuées à ce sujet, etc. Enfin, avec le Tu, nous entamons notre rapprochement avec l'autre; car Tu, c'est déjà l'autre. Il. Nous prenons une nouvelle distance. Ce Il représente à la fois le chercheur qui s'abandonne encore davantage, ainsi que l'autre, l'étranger. Il se retrouve face à Elle (personnification de la mondialisation) qui le poussera alors à se questionner et, peut-être, à devenir un voyageur lui-même. Mais avant d'entamer un voyage physique, il commence par un voyage intellectuel de recherche. Le quatrième chapitre nous introduit au Nous. Avec celui-ci, nous arrivons enfin dans le partage de la relation. Le Nous est l'espace commun de rencontre où les différences s'amenuisent et où seule la solidarité compte. Dans ce nouvel espace, les rôles sont facilement inversables puisque nous ne parlons plus d'une personne en particulier. Ce qui nous permet notamment de faire le lien avec l'espace relationnel de rencontre tant recherché durant le voyage, où le fait de devenir autre permet de devenir soi. Avec le Vous, nous continuons de nous éloigner du Je puisque le Vous est aussi la formule usitée de politesse impliquant le respect et, ainsi, une certaine distanciation. Il nous permet également de prendre le Lecteur à partie et de le situer sur son chemin « d'être en devenir voyageur », de connaître ses motivations au départ ainsi que de le confronter dans ses responsabilités. Enfin, le sixième chapitre pose les questions relatives à la fin du voyage. Ces Ils et Elles représentent toutes les personnes croisées durant notre parcours et qui en sont partie intégrante. Mais ces Ils représentent aussi ces autres voyageurs: ceux que nous ne croiserons jamais. Ce parcours de recherche, à travers les voyageurs de notre famille, de nos confrères et consoeurs de la maîtrise ainsi que des multiples auteurs-voyageurs cités, nous aura permis d'acquérir cette distance recherchée, et ainsi laisser nos traces à d'autres.. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Communication interculturelle, Communication internationale, Identité, Altérité, Voyage.
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Chuchotements ; suivi d'Une expérience de l'ailleurs

Herdhuin, Claude 11 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire se compose de deux parties. La première partie présente un roman, Chuchotements, dans lequel une femme de quarante ans, qui a beaucoup voyagé, revit les moments importants de sa vie. Narré par la protagoniste et composé de courts chapitres, le récit est une longue traversée pour retrouver une identité qui fuit. Seul point d'ancrage du personnage, le travail de la mémoire se traduit par des analepses représentant le cheminement de la pensée du personnage. Le style dépouillé, l'absence de longs monologues et l'insistance sur les faits plutôt que sur la description d'états d'âme ancrent le roman dans une écriture de l'intime. En effet, le personnage se construit et se définit par ses actions: le lecteur le regarde vivre et découvre, au fil des pages, les conséquences de chaque acte sur le personnage, chaque acte étant déterminant sur la construction du roman lui-même, dans lequel l'écriture veut rendre une impression de fragmentation et de fugacité. Le dossier d'accompagnement propose une réflexion sur l'acte d'écriture ou, pour reprendre le terme de Marguerite Duras, sur récrire. En deçà de l'aspect intellectuel qu'il suppose, le processus créateur est un acte intuitif, venu de l'intérieur, de l'intimus. Le texte n'est pas seulement le fruit d'un travail de la pensée ou de la réflexion, mais le résultat d'un retour sur soi, d'une méditation profonde. Recherche d'identité, construction du Je à partir du conscient, du connu et du déjà-vu, mais aussi et surtout rencontre de cette altérité que l'écrivain devine vaguement sans pouvoir la nommer et qu'il doit affronter. L'écriture intime se trame dans la souffrance et la solitude. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : roman, processus créateur, introspection, mémoire, altérité, angoisse.
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Exploration créative et sensible du voyage intérieur à travers la rencontre de l'altérité

Couture, Emilie 09 1900 (has links) (PDF)
Par l'exploration de l'expérience sensible du voyageur dans l'altérité, l'intention première de ce mémoire de recherche création est de définir le concept d'état de présence, un moment de bien-être et de plein contact avec le monde, et de montrer comment ce rapport sensible à l'Autre transforme le voyageur et permet l'évolution de son identité et son accomplissement. Le voyage est donc au cœur de cette recherche et est envisagé en tant que rupture vis-à-vis des schèmes de pensée habituels et en tant qu'ouverture sensible au monde. Pour celui qui s'engage sur ce chemin, impossible de revenir indemne. La rencontre avec l'Autre transforme le voyageur. C'est à travers un voyage réalisé aux fins de cette recherche et à travers un processus de création auquel il est directement relié que ces grands thèmes seront explorés. En effet, nous verrons à travers la trajectoire du voyageur communiquée dans l'œuvre que l'expérience du voyage montre que l'individu qui s'engage sur un chemin menant vers l'extérieur, en étant réceptif au dialogue que la rencontre de l'altérité implique inévitablement, en revient altéré, différent, voire transformé. Nous en arriverons à comprendre que la qualité de son expérience se dissocie du changement opéré en lui. Elle est plutôt reliée à sa capacité d'investir le moment de sa présence et à renoncer à son lieu de départ. Et c'est cet état sensible, en rupture avec le lieu de départ menant à un changement de phase important et provoquant un état de bien-être et d'accomplissement, que nous nommons état de présence. Avant d'en arriver à ce constat, l'œuvre sera présentée dans ses aspects formels et méthodologiques. De plus, la trajectoire empruntée par l'auteure de cette recherche création sera exposée et nous verrons comment ce trajet aura mené à la création d'une œuvre qualifiée de « boîte nomade », constituée des images et des textes recueillis au cours du voyage. Seront dévoilées aussi les impressions suscitées par l'œuvre auprès de différents groupes témoins ainsi que les méthodes utilisées afin de recueillir ces données. En somme, c'est à travers l'ensemble d'un parcours singulier et à travers l'expérience d'un mode d'être sensible dans le monde que nous tenterons humblement d'explorer le visage indicible de la présence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Altérité, État de présence, Sensible, Voyage, Identité.
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La représentation de l'Autochtone dans l'oeuvre du sculpteur Louis-Philippe Hébert (1850-1917) : figure d'altérité au service d'une idéologie nationale

Gauthier, David January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La construction de l'altérité dans deux romans de Madeleine Monette

Bakara, Nathalie January 2001 (has links) (PDF)
No description available.
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Sujeito <> cultura : uma relação com efeitos de transmissão / Sujet <> culture : une relation avec des effets de transmission

Costa, André Oliveira January 2014 (has links)
Cette thèse est dérivée d’une question sur les modes d’affectation de la relation entre individu et société. L’objectif est, d’abord, dans la sociologie de Norbert Elias, de trouver des chemins pour suspendre la dichotomie qui met ces termes en opposition l’un à l’autre. Le processus civilisateur est vu comme une opération qui inscrit sur les corps des individus des traits des exigences sociales, en produisant comme effet des objets pulsionnels qui deviennent restes. On conclut que les processus de refoulement sont transmis culturellement et conduisent à l’autorégulation des individus. La sociologie de Norbert Elias est suivie de la lecture des textes de Sigmund Freud. La théorie du psychanalyste est lue chronologiquement, de la période qui couvre la correspondance avec son ami Wilhelm Fliess à l’écriture du texte Le malaise dans la culture, en 1930. Ce retour à Freud, aidé par les apports théoriques de la psychanalyse de Jacques Lacan, développe la question sur les modes d’affectation de la relation entre individus et société. On conclut que Freud, tout comme Norbert Elias, entreprend de surmonter cette position dichotomique. A travers les écrits de Freud, la relation entre individus et société s’est posée en termes de sujet et Culture. Le corps et la perte de l’objet pulsionnel sont considérés comme des opérateurs qui permettent les liens sociaux. Le texte Totem et tabou donne les principes fondamentaux de l’inscription du sujet dans la Culture et montre que la perte de l’objet pulsionnel y produit des effets de torsion. Cette relation s’est présentée de façon tordue. La torsion, qui est soutenue par la perte de l’objet pulsionnel, est l’opérateur qui empêche l’égalité entre sujet et Culture. Les topologies du cross-cap et de la bande de Moebius montrent ce processus. La question se développe en ce qui concerne les effets produits par les opérateurs de perte et torsion dans la relation entre sujet et Culture. Ce qui a été engendré c’est la transmission de la Culture. Les textes de Sigmund Freud sont articulés aux propositions du temps logique chez Jacques Lacan pour penser la transmission à partir du temps de désubjectivation du moi. A la fin, on trouve dans la philosophie de Hannah Arendt la thèse selon laquelle la crise de l’autorité a produit des effets dans les modes de transmission de la Culture. La perte de référence qui inscrit l’individu dans la tradition avec le passé nous oblige à créer une position subjective. Il faut provoquer une torsion à l’héritage culturel transmis afin de maintenir les liens avec le passé et de créer un nouveau lieu pour le sujet. / Esta tese deriva de uma pergunta sobre os modos de afetação na relação entre indivíduo e sociedade. O objetivo é, primeiramente, na sociologia de Norbert Elias, encontrar caminhos para suspender a dicotomia que coloca esses termos em oposição um ao outro. O processo civilizador é visto como operação que inscreve nos corpos dos indivíduos traços das exigências sociais, produzindo como efeito objetos pulsionais que se tornam restos. Concluise que os processos de recalcamento são transmitidos culturalmente e conduzem à autorregulação dos indivíduos. A sociologia de Norbert Elias é seguida pela leitura dos textos de Sigmund Freud. A teoria do psicanalista é lida cronologicamente, do período que cobre a correspondência com seu amigo Wilhelm Fliess à escrita do texto O mal-estar na cultura, em 1930. Esse retorno à Freud, auxiliado pelos aportes teóricos da psicanálise de Jacques Lacan, desdobra a questão sobre os modos de afetação da relação entre indivíduo e sociedade. Conclui-se que Freud, assim como Norbert Elias, se propõe a ultrapassar esta posição dicotômica. Através dos textos de Freud, a relação entre indivíduo e sociedade é colocada nos termos de sujeito e Cultura. O corpo e a perda do objeto pulsional são considerados como operadores que possibilitam os laços sociais. O texto Totem e tabu dá os princípios fundamentais da inscrição do sujeito na Cultura e mostra que a perda do objeto pulsional produz efeitos de torção nesta relação. Esta relação se apresenta de forma torcida. A torção, sustentada na perda dos objetos pulsionais, é o operador que impossibilita a igualdade entre sujeito e Cultura. A topologia do cross-cap e da fita de Moebius mostra esse processo. A questão se desdobra para os efeitos produzidos pelos operadores de perda e torção na relação entre sujeito e Cultura. O que se produz é a transmissão da Cultura. Os textos de Sigmund Freud são articulados com as proposições do tempo lógico de Jacques Lacan para pensar a transmissão no momento de dessubjetivação do eu. Por fim, encontra-se, na filosofia de Hannah Arendt, a tese que a crise da autoridade produziu efeitos no modo de transmissão da Cultura. A perda de um referente que inscreve o indivíduo na tradição com o passado obriga a criar uma posição subjetiva. É preciso provocar uma torção na herança cultural transmitida a fim de manter os laços com o passado e de construir um novo lugar para o sujeito.
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Sujeito <> cultura : uma relação com efeitos de transmissão / Sujet <> culture : une relation avec des effets de transmission

Costa, André Oliveira January 2014 (has links)
Cette thèse est dérivée d’une question sur les modes d’affectation de la relation entre individu et société. L’objectif est, d’abord, dans la sociologie de Norbert Elias, de trouver des chemins pour suspendre la dichotomie qui met ces termes en opposition l’un à l’autre. Le processus civilisateur est vu comme une opération qui inscrit sur les corps des individus des traits des exigences sociales, en produisant comme effet des objets pulsionnels qui deviennent restes. On conclut que les processus de refoulement sont transmis culturellement et conduisent à l’autorégulation des individus. La sociologie de Norbert Elias est suivie de la lecture des textes de Sigmund Freud. La théorie du psychanalyste est lue chronologiquement, de la période qui couvre la correspondance avec son ami Wilhelm Fliess à l’écriture du texte Le malaise dans la culture, en 1930. Ce retour à Freud, aidé par les apports théoriques de la psychanalyse de Jacques Lacan, développe la question sur les modes d’affectation de la relation entre individus et société. On conclut que Freud, tout comme Norbert Elias, entreprend de surmonter cette position dichotomique. A travers les écrits de Freud, la relation entre individus et société s’est posée en termes de sujet et Culture. Le corps et la perte de l’objet pulsionnel sont considérés comme des opérateurs qui permettent les liens sociaux. Le texte Totem et tabou donne les principes fondamentaux de l’inscription du sujet dans la Culture et montre que la perte de l’objet pulsionnel y produit des effets de torsion. Cette relation s’est présentée de façon tordue. La torsion, qui est soutenue par la perte de l’objet pulsionnel, est l’opérateur qui empêche l’égalité entre sujet et Culture. Les topologies du cross-cap et de la bande de Moebius montrent ce processus. La question se développe en ce qui concerne les effets produits par les opérateurs de perte et torsion dans la relation entre sujet et Culture. Ce qui a été engendré c’est la transmission de la Culture. Les textes de Sigmund Freud sont articulés aux propositions du temps logique chez Jacques Lacan pour penser la transmission à partir du temps de désubjectivation du moi. A la fin, on trouve dans la philosophie de Hannah Arendt la thèse selon laquelle la crise de l’autorité a produit des effets dans les modes de transmission de la Culture. La perte de référence qui inscrit l’individu dans la tradition avec le passé nous oblige à créer une position subjective. Il faut provoquer une torsion à l’héritage culturel transmis afin de maintenir les liens avec le passé et de créer un nouveau lieu pour le sujet. / Esta tese deriva de uma pergunta sobre os modos de afetação na relação entre indivíduo e sociedade. O objetivo é, primeiramente, na sociologia de Norbert Elias, encontrar caminhos para suspender a dicotomia que coloca esses termos em oposição um ao outro. O processo civilizador é visto como operação que inscreve nos corpos dos indivíduos traços das exigências sociais, produzindo como efeito objetos pulsionais que se tornam restos. Concluise que os processos de recalcamento são transmitidos culturalmente e conduzem à autorregulação dos indivíduos. A sociologia de Norbert Elias é seguida pela leitura dos textos de Sigmund Freud. A teoria do psicanalista é lida cronologicamente, do período que cobre a correspondência com seu amigo Wilhelm Fliess à escrita do texto O mal-estar na cultura, em 1930. Esse retorno à Freud, auxiliado pelos aportes teóricos da psicanálise de Jacques Lacan, desdobra a questão sobre os modos de afetação da relação entre indivíduo e sociedade. Conclui-se que Freud, assim como Norbert Elias, se propõe a ultrapassar esta posição dicotômica. Através dos textos de Freud, a relação entre indivíduo e sociedade é colocada nos termos de sujeito e Cultura. O corpo e a perda do objeto pulsional são considerados como operadores que possibilitam os laços sociais. O texto Totem e tabu dá os princípios fundamentais da inscrição do sujeito na Cultura e mostra que a perda do objeto pulsional produz efeitos de torção nesta relação. Esta relação se apresenta de forma torcida. A torção, sustentada na perda dos objetos pulsionais, é o operador que impossibilita a igualdade entre sujeito e Cultura. A topologia do cross-cap e da fita de Moebius mostra esse processo. A questão se desdobra para os efeitos produzidos pelos operadores de perda e torção na relação entre sujeito e Cultura. O que se produz é a transmissão da Cultura. Os textos de Sigmund Freud são articulados com as proposições do tempo lógico de Jacques Lacan para pensar a transmissão no momento de dessubjetivação do eu. Por fim, encontra-se, na filosofia de Hannah Arendt, a tese que a crise da autoridade produziu efeitos no modo de transmissão da Cultura. A perda de um referente que inscreve o indivíduo na tradição com o passado obriga a criar uma posição subjetiva. É preciso provocar uma torção na herança cultural transmitida a fim de manter os laços com o passado e de construir um novo lugar para o sujeito.
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Autographie / Autography

Lamotte, Clarisse 05 April 2014 (has links)
AUTOGRAPHIE : écriture de soi par soi. Dessin du sujet par le sujet. Mise en oeuvre de ce regard retourné sur lui-même. Enfin, langage graphique sur l'existence jusqu'à l'oubli de soi.L'autoportrait n'est qu'un point de départ pour un questionnement plus universel. C'est littéralement la mise en oeuvre, et de ce fait la mise en acte, de l'être témoignant aux autres de sa propre conscience. Poignante tentative de mise en lien avec soi-même pour rendre possible le lignage avec autrui. Troublante relation au monde qui nous révèle acteur et spectateur de son infinie révolution ombilicale. Soudaine perception de ceux qui réalisent qu'en témoignant de moi, je témoigne d'eux. / AUTOGRAPHY : The writing about oneself in one's own handwriting. The drawing of the subject by the subject. The realization of this self-focused perspective. Finally, the graphical language about existence up to self-oblivion.Self-portrait is only the starting point for a more universal questioning. lt is literally the realization - and thus the action - of a (human) being conveying his self-awareness toothers. The poignant attempt to relate to oneself so as to relate to others. Our troubling relation to the world leaving us actors and spectators of its endless umbilical revolution. The sudden perception of those who become aware that accounting for oneself is accounting for them.
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Sujeito <> cultura : uma relação com efeitos de transmissão / Sujet <> culture : une relation avec des effets de transmission

Costa, André Oliveira January 2014 (has links)
Cette thèse est dérivée d’une question sur les modes d’affectation de la relation entre individu et société. L’objectif est, d’abord, dans la sociologie de Norbert Elias, de trouver des chemins pour suspendre la dichotomie qui met ces termes en opposition l’un à l’autre. Le processus civilisateur est vu comme une opération qui inscrit sur les corps des individus des traits des exigences sociales, en produisant comme effet des objets pulsionnels qui deviennent restes. On conclut que les processus de refoulement sont transmis culturellement et conduisent à l’autorégulation des individus. La sociologie de Norbert Elias est suivie de la lecture des textes de Sigmund Freud. La théorie du psychanalyste est lue chronologiquement, de la période qui couvre la correspondance avec son ami Wilhelm Fliess à l’écriture du texte Le malaise dans la culture, en 1930. Ce retour à Freud, aidé par les apports théoriques de la psychanalyse de Jacques Lacan, développe la question sur les modes d’affectation de la relation entre individus et société. On conclut que Freud, tout comme Norbert Elias, entreprend de surmonter cette position dichotomique. A travers les écrits de Freud, la relation entre individus et société s’est posée en termes de sujet et Culture. Le corps et la perte de l’objet pulsionnel sont considérés comme des opérateurs qui permettent les liens sociaux. Le texte Totem et tabou donne les principes fondamentaux de l’inscription du sujet dans la Culture et montre que la perte de l’objet pulsionnel y produit des effets de torsion. Cette relation s’est présentée de façon tordue. La torsion, qui est soutenue par la perte de l’objet pulsionnel, est l’opérateur qui empêche l’égalité entre sujet et Culture. Les topologies du cross-cap et de la bande de Moebius montrent ce processus. La question se développe en ce qui concerne les effets produits par les opérateurs de perte et torsion dans la relation entre sujet et Culture. Ce qui a été engendré c’est la transmission de la Culture. Les textes de Sigmund Freud sont articulés aux propositions du temps logique chez Jacques Lacan pour penser la transmission à partir du temps de désubjectivation du moi. A la fin, on trouve dans la philosophie de Hannah Arendt la thèse selon laquelle la crise de l’autorité a produit des effets dans les modes de transmission de la Culture. La perte de référence qui inscrit l’individu dans la tradition avec le passé nous oblige à créer une position subjective. Il faut provoquer une torsion à l’héritage culturel transmis afin de maintenir les liens avec le passé et de créer un nouveau lieu pour le sujet. / Esta tese deriva de uma pergunta sobre os modos de afetação na relação entre indivíduo e sociedade. O objetivo é, primeiramente, na sociologia de Norbert Elias, encontrar caminhos para suspender a dicotomia que coloca esses termos em oposição um ao outro. O processo civilizador é visto como operação que inscreve nos corpos dos indivíduos traços das exigências sociais, produzindo como efeito objetos pulsionais que se tornam restos. Concluise que os processos de recalcamento são transmitidos culturalmente e conduzem à autorregulação dos indivíduos. A sociologia de Norbert Elias é seguida pela leitura dos textos de Sigmund Freud. A teoria do psicanalista é lida cronologicamente, do período que cobre a correspondência com seu amigo Wilhelm Fliess à escrita do texto O mal-estar na cultura, em 1930. Esse retorno à Freud, auxiliado pelos aportes teóricos da psicanálise de Jacques Lacan, desdobra a questão sobre os modos de afetação da relação entre indivíduo e sociedade. Conclui-se que Freud, assim como Norbert Elias, se propõe a ultrapassar esta posição dicotômica. Através dos textos de Freud, a relação entre indivíduo e sociedade é colocada nos termos de sujeito e Cultura. O corpo e a perda do objeto pulsional são considerados como operadores que possibilitam os laços sociais. O texto Totem e tabu dá os princípios fundamentais da inscrição do sujeito na Cultura e mostra que a perda do objeto pulsional produz efeitos de torção nesta relação. Esta relação se apresenta de forma torcida. A torção, sustentada na perda dos objetos pulsionais, é o operador que impossibilita a igualdade entre sujeito e Cultura. A topologia do cross-cap e da fita de Moebius mostra esse processo. A questão se desdobra para os efeitos produzidos pelos operadores de perda e torção na relação entre sujeito e Cultura. O que se produz é a transmissão da Cultura. Os textos de Sigmund Freud são articulados com as proposições do tempo lógico de Jacques Lacan para pensar a transmissão no momento de dessubjetivação do eu. Por fim, encontra-se, na filosofia de Hannah Arendt, a tese que a crise da autoridade produziu efeitos no modo de transmissão da Cultura. A perda de um referente que inscreve o indivíduo na tradição com o passado obriga a criar uma posição subjetiva. É preciso provocar uma torção na herança cultural transmitida a fim de manter os laços com o passado e de construir um novo lugar para o sujeito.
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La contagion des imaginaires : lectures camusiennes du récit d’épidémie contemporain / Camusian Readings of Contemporary Narratives of Epidemics

Palud, Aurélie 01 July 2014 (has links)
Ma réflexion s’ancre dans un double constat : le développement de la fiction d’épidémie dans les années 1980 et la moindre reconnaissance d’une oeuvre canonique mais figée dans sa lecture allégorique : La Peste de Camus. Mon projet de recherche se fonde sur la volonté d’ériger le récit d’épidémie en genre à part entière et sur l’hypothèse d’une intertextualité camusienne dans le récit contemporain. Travaillés par cette forme de contagion, les récits du corpus (García Márquez, Le Clézio, Stewart O’Nan, Saramago, Goytisolo) autorisent une approche « allégorique » au sens où Walter Benjamin entend ce terme : écriture de la ruine, de l'éclatement et de la fuite du sens. En retour, cette relecture de La Peste à l’ère contemporaine doit favoriser une approche renouvelée du roman. Plus largement, il s’agit d’évaluer dans quelle mesure la contagion est une métaphore pertinente pour représenter le phénomène littéraire. De fait, le récit d’épidémie se présente comme un espace dialogique où s’entrelacent l’imaginaire de l’auteur et des imaginaires sociaux variés, notamment celui de la « crise postmoderne ». On peut alors considérer ces fictions allégoriques comme des « forme-sens » puisque la contagion y constitue à la fois un thème, un principe esthétique et un enjeu éthique. De ces multiples interactions entre le réel et la fiction émerge alors une dernière forme de contagion : celle qu’implique l’acte de lecture. Dans quelle mesure le lecteur contamine-t-il l’oeuvre ? Comment la fiction peut-elle constituer un « pharmakon » face à la « crise » du monde contemporain ? / My reflexion is rooted in two observations: the development of epidemics in fiction literature in the 80s and the unsatisfying recognition of a work, canonical but frozen in its allegorical reading: La Peste by Camus. My research project is based on the will to build the epidemic story as a genre in its own right and on the assumption of a Camusian intertextuality in contemporary narratives. Under the influence of this form of contagion, the stories of the corpus (García Márquez, Le Clézio, Stewart O'Nan, Saramago, Goytisolo) allow an “allegorical” approach, according to the modern definition of the term offered by Walter Benjamin: the writing of wreck, of break-up, and of the loss of meaning. In return, reading La Peste in the contemporary era must encourage a renewed approach of the novel. Broadly, we want to estimate to what extent the contagion can be a pertinent metaphor to represent the literary field. In fact, the narrative of epidemics appears as a dialogic space where the vision of an author can interact with various social imaginaries, in particular with the idea of a “postmodern crisis”. That’s why we can consider these allegorical fictions as “form-meaning” so far as contagion constitutes a theme, an aesthetical principle and an ethical perspective. From these multiple interactions between reality and fiction, a last form of contagion emerges, implied in the act of reading. To what extent does the reader contaminate the novel? How can fiction constitute a “pharmakon” against the “crisis” of the contemporary world?

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