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Le témoignage public des femmes vivant avec le VIH/sida au sein du projet VIHsibilité : analyse féministe et interactionniste d'une forme d'intervention sociale

Manseau-Young, Marie-Eve 02 1900 (has links) (PDF)
La présente recherche s'inscrit dans le cadre du projet de recherche-action VIHsibilité, dont le but est d'étudier l'environnement social et médiatique dans lequel les femmes et les hommes vivant avec le VIH témoignent publiquement de leur expérience de la séropositivité, afin de comprendre les retombées que ces représentations ont dans la vie des personnes séropositives et les façons dont ces récits transforment le discours social sur le VIH/sida. Nous avons circonscrit une partie du problème à l'étude afin d'explorer les enjeux individuels et collectifs qui sont spécifiques au témoignage public des femmes vivant avec le VIH (FVVIH). Au niveau individuel, le rejet social et la stigmatisation compliquent le dévoilement de la séropositivité. Le caractère déviant attribué à l'identité séropositive entraine souvent un sentiment de honte ainsi que la peur des préjugés et de la discrimination sociale chez les FVVIH. De plus, elles sont nombreuses à être préoccupées par les conséquences possibles de leur témoignage sur leurs proches et leurs enfants. Au plan collectif, on constate qu'une compréhension partielle et erronée du VIH/sida et de la réalité des FVVIH persiste encore aujourd'hui. La moins grande visibilité des femmes séropositives et la place occupée par les hommes gais dans la réponse communautaire au VIH/sida ont construit un portrait stéréotypé de l'épidémie. Ce mémoire vise à connaitre les conditions dans lesquelles les FVVIH témoignent, leurs motivations à témoigner ainsi que leurs perceptions des retombées possibles de cette révélation. Les dimensions théoriques qui sous-tendent notre analyse sont l'interactionnisme symbolique qui permet de comprendre le témoignage comme un processus dynamique et conjoint de construction de sens et d'action, et les analyses féministes qui permettent de cibler les spécificités genrées du témoignage. Pour procéder à la collecte et à l'analyse des résultats, nous avons privilégié une méthode qualitative de type exploratoire fondée sur une approche compréhensive. Nous avons procédé à la réalisation de sept (7) entretiens semi-dirigés auprès de femmes qui ont témoigné publiquement de leur séropositivité au Québec. Il ressort des résultats que le témoignage public apporte plusieurs bénéfices aux FVVIH, tels qu'un sentiment de libération, l'acceptation de la maladie et l'ouverture. Au niveau de la communauté des femmes séropositives, il permet la re-signification de l'identité souillée, l'élargissement de la participation citoyenne et l'empowerment des FVVIH. L'analyse démontre aussi que le témoignage révèle une expérience genrée de la maladie qui permet de transformer l'image de la population séropositive, de consolider la communauté des FVVIH, d'éduquer la population et de transformer le discours sur la maladie. Finalement, nous formulons des recommandations à l'intention des organismes communautaires et du travail social afin d'améliorer l'accompagnement des FVVIH qui témoignent publiquement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : femmes, VIH/sida, témoignage, travail social, intervention sociale, VIHsibilité.
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Vers de nouvelles pratiques intersectionnelles : quand parcours migratoire se conjugue avec situation de handicap

Fauteux, Jade January 2017 (has links)
Dans les dernières années, nous avons assisté à l’arrivée imposante des théories de l’intersectionnalité au Québec et plus particulièrement, à une popularité marquée dans les milieux féministes universitaires. Les théories de l’intersectionnalité sont venues transformer les perceptions et la compréhension des enjeux sociaux actuels et, par conséquent, ce nouvel angle proposé par l’intersectionnalité a contribué au processus d’actualisation de certaines pratiques. Cette recherche est née de l’idée de contribuer à faciliter l’appropriation des théories de l’intersectionnalité dans les milieux de la pratique. Plutôt que de parler de l’intégration des théories intersectionnelles dans les pratiques des organisations féministes, je soumets l’idée de partir plutôt des pratiques et des savoirs d’expérience issus des organisations qui travaillent auprès d’autres groupes qui se trouvent au carrefour d’intersections de plusieurs systèmes d’oppression. La recherche prend la forme d’une étude de cas auprès de l’Association multiethnique pour l’intégration des personnes handicapées, l’AMEIPH. Celle-ci consiste notamment en une étude qualitative, dans une perspective de travail social anti-oppressif et féministe, portant sur les pratiques développées dans l’organisme et sur les formes que peuvent prendre certaines dimensions de l’intersectionnalité. L’étude de cas va chercher les points de vue des différent·e·s acteur·trice·s, soit les membres, les intervenant·e·s et les représentant·e·s de la sphère administrative. Les répondant·e·s de la recherche ont partagé leurs expériences à divers niveaux, notamment en ce qui concerne les obstacles rencontrés par les personnes issues de l’immigration en situation de handicap, la reconnaissance, leur participation dans l’organisme et les possibilités de transformations sociales. Leurs propos soulèvent de nombreuses réflexions et pistes quant à la mise en place de pratiques intersectionnelles et aux potentiels de transformation des différents rapports de pouvoir qui traversent les interactions et les structures sociales. Finalement, cette recherche documente l’apport des pratiques intersectionnelles en les inscrivant dans une pratique de travail social anti-oppressif et féministe, dans le but d'outiller différent·e·s intervenant·e·s et de contribuer à l'actualisation des pratiques dans les organisations sociales auprès des personnes marginalisées.
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La prise en charge des orphelins et des enfants vulnérables par les grand-mères au Burkina Faso : vers une piste d'intervention féministe face à l'épidémie du VIH/sida

Giroux, Catherine January 2008 (has links) (PDF)
On dénombre au Burkina Faso environ 2,1 millions d'OEV dû à l'épidémie du sida (PNUD et al., 2003). Dans plus de 62% des cas, ils seront pris en charge par leurs grand-mères (ONUSIDA, 2004), considérées comme les mieux placées pour prendre soin de ces enfants. Elles vivent de grandes difficultés économiques, psychologiques et physiques (OMS, 2002). Peu d'information existe concernant ces femmes burkinabè et les interventions dans le domaine des OEV sont centrées sur les enfants et non sur les femmes qui les prennent en charge. À partir d'un cadre théorique féministe radical matérialiste (Guillaumin, 1978 ; Delphy, 2001), l'étude vise à comprendre la place et l'expérience des grands-mères qui prennent en charge des OEV dans un contexte de rapports de pouvoir multiples: entre les hommes et les femmes (sexe/genre), selon le niveau socioéconomique (classe sociale) et l'appartenance ethnique ou culturelle (ethnicité, colonialisme) pour voir les possibilités d'orienter les pratiques d'intervention pour les appuyer. Les concepts d'intersectionalité des systèmes d'oppression (Crenshaw, 1991) et de sollicitude (Gubennan, 1993; Graham, 1991) ajoutent à l'analyse des conditions matérielles étudiées. Une méthodologie qualitative et féministe a été utilisée afin de cerner la place et l'expérience des grand-mères. Des observations ont été faites dans des familles burkinabè (n=3) avec l'aide d'interprète et les organismes (n=12) de lutte au VIH/sida. Huit entrevues semi-directives ont été réalisées auprès d'individus travaillant avec les OEV au Burkina Faso pour connaître leur point de vue. A partir des données, nous observons que les grand-mères vivent de multiples difficultés. Les associations ne tiennent pas compte d'elles dans leurs interventions. Les intervenants qualifient l'identité des grand-mères en termes essentialistes de la «nature de la femme» basé sur l'amour inconditionnel, les soins et la survie des petits-enfants, tous des éléments rattachés à la sollicitude. Nous notons que le concept de sollicitude est un outil d'exploitation de la classe des femmes par la classe des hommes. Cet outil passe au travers les catégories identitaires conjuguées au service de plusieurs systèmes d'oppression que sont: le patriarcat, le capitaliste et les systèmes ethniques basés sur la tradition. En conclusion, les grand-mères sont des actrices importantes à prendre en compte dans la lutte au VIH/sida et nous devons intégrer une analyse féministe dans l'intervention. La sollicitude intégrée à l'identité rend le travail des grand-mères invisibles parce que trop naturel. Les organismes d'appui aux OEV, devraient axer des interventions vers elles en reconnaissant leur existence et leur travail pour ensuite leur offrir des soutiens à la prise en charge des OEV. Il faudrait favoriser la mise en place de groupes par et pour les grand-mères afin de briser leur isolement et créer des projets qui collera à leur vécu spécifique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Grand-mère, OEV, Sollicitude, VIH/sida, Féminisme, Burkina Faso.
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Le camps de réfugié.e.s : un espace d'(in)sécurités? : violences sexuelles et liées au genre au sein des camps de réfugié.e.s

De Champlain-Bringué, Isabelle 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire se veut un essai théorique analysant les situations de violences sexuelles et liées au genre au sein des camps de réfugié.e.s. Cette recherche est en effet motivée par le constat de la forte propension de ces violences, notamment domestiques, dans un espace qui se définit comme « sécuritaire », un environnement qui se doit d'offrir une certaine protection et sécurité. En empruntant un angle d'analyse féministe poststructuraliste, postcoloniale et intersectionnelle, cet essai vise à relever et à dépasser les biais de genre présents au sein des cadres conceptuels et des pratiques de l'organe principal responsable de l'assistance et de la protection des personnes réfugiées, soit le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR). En théorisant sur une biopolitique de l'humanitaire, ainsi que sur l'état d'exception qui caractérise la situation d'encampement, ce mémoire démontre que dans un tel cadre de rapports inégalitaires de pouvoir qui caractérisent la gestion des camps de réfugié.e.s, les politiques d'égalité entre les genres et les stratégies de lutte contre les violences sexuelles et liées au genre menées par les organisations humanitaires se heurtent à de forts obstacles. Si les camps de réfugié.e.s ne sont pas donnés à disparaître de sitôt, une transformation dans la manière de percevoir la sécurité, ou les (in)sécurités, passant inévitablement par une démocratisation de l'espace des camps, doivent figurer au premier plan parmi les changements qui devraient être effectués pour diminuer le sentiment d'insécurité et les violences qui affectent bon nombre de réfugié.e.s, surtout les femmes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Migration forcée, féminisme poststructuraliste, violences de genre, biopolitique, sécurité positive.
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Du discours à la pratique : le genre et les opérations de paix des Nations Unies

Coutu, Mélanie 09 1900 (has links) (PDF)
Il y a dix ans, le Conseil de sécurité des Nations unies adoptait une résolution sur les femmes, la paix et la sécurité qui reconnaît que l'égalité entre les sexes est une condition à la paix et la sécurité internationales. Depuis, un ensemble de politiques et de moyens d'action ont été développés afin d'identifier et rectifier les inégalités entre les hommes et les femmes dans le cadre des opérations de paix. La question centrale de ce mémoire est alors de savoir si ce nouveau corpus est en mesure d'atteindre l'objectif qu'il s'est fixé. Pour répondre à cette question, ce mémoire s'intéresse dans un premier temps aux présupposés idéationnels qui guident la conception et la pratique des opérations de paix. En employant un cadre conceptuel issu de la pensée féministe en Relations internationales, ce mémoire veut démontrer que, loin d'être neutres en termes de genre, les opérations de paix comportent des biais qui participent à la reproduction des inégalités structurelles qui sont à la base de l'insécurité des femmes. Ceci étant, les politiques de genre introduites avec le cadre sur les femmes, la paix et la sécurité n'ont pas été en mesure de modifier la culture organisationnelle des Nations unies de manière à remédier aux inégalités. De fait, le processus d'institutionnalisation du nouveau cadre a réduit le potentiel normatif autrement attaché à celui-ci. Cet échec est d' autant plus évident dans le cas de la mission des Nations unies en République démocratique du Congo (MONUC). En prenant comme étude de cas cette mission, ce mémoire expose la persistance de notions essentialistes à propos des hommes et des femmes. C'est pourquoi les obligations pour œuvrer en faveur de l'égalité entre les sexes ont été comprises et traduites par des politiques qui visent essentiellement à porter aide et protection aux femmes. Du reste, les sources de l'inégalité entre les hommes et les femmes et l'exclusion systématique des femmes des initiatives de relèvement et de consolidation de la paix persistent. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Nations unies, opérations de paix, féminisme, genre, femmes, conflit armé, République démocratique du Congo
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Le divorce désamour à l’algérienne ou l’analyse juridique, théologique et empirique du ẖul‘

Amor, Samia 12 1900 (has links)
Cette recherche se propose de faire une analyse de la dissolution du lien matrimonial spécifique aux épouses musulmanes, le divorce désamour ou ẖul‘. Cette faculté de divorcer élaborée par la casuistique doctrinale islamique sunnite ou fiqh sera reprise par le Code algérien de la famille promulgué en 1984. Le mode de divorce imparti exclusivement aux femmes fera l’objet de critiques sur le plan théologique et sur le plan juridique. Dans la théologie du droit dans la tradition islamique, il s’agira d’interroger les fondements religieux du divorce désamour à travers les sources fondamentales du Qor’ān et de la Sunna en relation avec le fiqh. En reflet, l’examen de la positivisation de la norme islamique dans le Code algérien de la famille conduira à porter un regard sur l’articulation entre ce référent religieux d’origine scolastique et les normes juridiques de production étatique et d’inspiration positiviste caractéristique du Droit algérien, lequel se comprend comme un phénomène juridique spécifique circonscrit aux frontières du pays. L’intérêt porté à cette conjonction internormative, dénommée pour les fins de la présente étude comme une normativité axio-juridique, conduit à rendre compte de son effectivité et donc de son application par les personnes concernées par le divorce désamour qui se trouvent à l’extérieur d’un pays à majorité islamique. L’étude envisagée poursuit deux objectifs : l’un épistémologique et l’autre ethnographique. L’objectif épistémologique cherche à comprendre dans une visée heuristique l’intérêt d’un cadre théorique féministe, mais aussi islamique et décoloniale, concomitamment critique de l’interprétation par le fiqh de ce type de désunion, et du Droit algérien forgé dans un cadre colonial positif et dans des emprunts locaux (coutume, usages et fiqh sunnite de l’École malékite), pour l’étude de cette pratique spécifique en islam. Quant à l’objectif ethnographique, il tend à travers une recherche empirique à saisir la subjectivisation du rapport à la transcendance. L’analyse porte sur les actions d’un groupe de femmes musulmanes, croyantes et pratiquantes, d’ascendance algériennes exilées, au cours de la décennie 2000-2010 à Montréal. Des femmes qui ont pris la décision unilatérale d’introduire une procédure de divorce à Montréal plutôt qu’en Algérie. Par ce fait, leur démarche se trouve au croisement de normes juridiques (Code civil du Québec et Loi sur le divorce) sans égard à la normativité axio-juridique algérienne (Code algérien de la famille) qui régit, habituellement, le divorce des Musulman.e.s. La réflexion inspirée par ces objectifs formulés dans un contexte d’individualisation du croire et de la pratique, a conduit en premier, à la conclusion d’une inégalité juridique intrinsèque à la normativité axio-juridique inscrite dans le Code algérien de la famille et à sa conceptualisation. Et consécutivement, la lecture personnelle du Qor’ān indépendante de celle du fiqh sunnite, a induit une seconde conclusion : l’absence d’un fondement qor’āni du divorce désamour. L’introduction initiale du ẖul‘ dans le corpus religieux et subséquemment dans la législation algérienne contemporaine peut se comprendre comme l’expression d’un déni aux femmes, contrairement aux hommes, du droit de se défaire des liens matrimoniaux. Finalement, cette recherche a mis en lumière l’agencéité d’un groupe de femmes, musulmanes, croyantes et pratiquantes, d’ascendance algérienne, exilées à Montréal et qui ont fait le triple choix : initier le divorce, le faire selon les lois de la société d’arrivée et le faire en dehors des balises juridiques du fiqh sunni relatif au ẖul’. / This research analyses the dissolution of the matrimonial bond that is specific to Muslim spouses: the divorce out of love or ẖul ‘. This faculty of divorce posed by the Sunni Islamic doctrinal casuistry of fiqh and taken up by the Algerian Family Code. This notion will be criticized both theologically and legally. Theologically and with respect to traditional Islamic law, we will be questioning the religious foundations of disenchanted divorce through the fundamental sources of the Qor’ān and Sunna in relation to fiqh. In reflection, the examination of the positivisation of the Islamic norm in the Algerian Family Code will lead us to look at: the articulation between this religious referent of scholastic origin and the legal norms of state production of positivist inspiration; both characteristic of the Algerian Law and to be understood as a specific legal phenomenon circumscribed to the borders of the Algerian state. The interest in this internormative conjunction is denominated for the purposes of this study as an axio-legal normativity and will lead to an account of its effectiveness. Therefore, we focus on its application to those affected by the disenchanted divorce who are living outside of a predominantly Muslim country. This proposed study has two objectives: one that is epistemological and the other that would be ethnographic. Therein, the epistemological objective seeks to understand in a heuristic perspective the interest of a feminist theoretical framework, but also one that is inherently Islamic and decolonial. Concomitantly, we seek a critical interpretation of the fiqh that affects this type of disunity, the Algerian law forged in a colonial positive framework, and local borrowings (customs, uses and Sunni (Malekite) fiqh) for the study of this specific practice in Islam. As for the ethnographic objective, it tends, through empirical research, to grasp the subjectivization of the relationship to transcend the ancestry of Algerian Muslim wives who immigrated with their husbands, settled in Montreal, made the unilateral decision to divorce, and who by this fact, utilize a disparity in the repertoire of aligned strategic actions. The reflection inspired by these objectives, formulated in a context of individualization of beliefs and practices, led to the proposition of a conceptualization of the legal inequalities intrinsic to the axio-legal normativity inscribed in the Algerian family code. The reflection inspired by these objectives formulated in a contexte of individualization of belief, led first to the conclusion of a legal inequality intrinsic to the axio-legal normativity inscribed in the Family Algerian code and to its conceptualization. And consecutively the personal reading of Qor’ān, independent of the Sunni fiqh induced a second conclusion: the lack of a qor’ani basis of divorce. The initial introduction of ẖul‘ into the religious corpus and subsequently into contemporary legislation can be understood as the expression of a deny to women, unlike men, of the right to unilaterally break off marital ties. Finally, this research sheds light on the agency of a group of muslim, practicing and believing women of Algerian descent and exiled in Montreal, who have made the triple choice: to initiate the divorce, to do it according to laws of the society of happened and to do so outside the legal guidelines of the Sunni fiqh relating to ẖul’.

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