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La grammaire participative. Théories et pratiques architecturales et urbanistiques 1904-1968

le Maire de Romsée, Judith 17 February 2009 (has links)
Résumé partie I :la figure de l’architecte et son rapport avec les autres sujets de l’art de bâtir évolue au cours des siècles. L’architecte démiurge se confronte à l’autorité du prince et fonde sa supériorité d’abord sur un savoir scientifique régit par les règles du beau objectif. La figure d’artiste lui confère une autorité fondée aussi sur l’intuition et la subjectivité du génie. Enfin, la considération du goût et de l’opinion du public modifie la hiérarchie des sujets, le beau est investi d’une dimension subjective à laquelle accède le public. La posture didactique des architectes et la démocratisation des savoir offre à la figure d’accéder à l’architecture, il est reconnu comme spécialiste de l’habiter. La multiplication des figures, architectes et commanditaires publics ainsi que la diffusion et l’échange des savoirs, vont être organisés dans les configurations de la grammaire participative autour d’objets, la ville, le logement et d’objectifs éthiques pour la qualité de vie et le bonheur. L’urbanisme naissant est un des domaines d’applications de la grammaire participative. Les crises urbaines focalisent la déclinaison de configurations qui s’intéressent au milieu et aux habitants qui y vivent ainsi qu’à l’évolution de la ville comme « récif humain ». Lieu de configurations délibératives pendant l’Antiquité, la ville est l’objet humain des communautés actives au Moyen âge tandis que lors de la crise industrielle, les injustices sociales et la taudification délitent les communautés. Des configurations de la grammaire de la participation sont élaborées par les auteurs de l’époque et seront répétés dans les écrits du siècle suivant, notamment l’importance de l’apprentissage qui permet au citoyen averti d’agir et de participer. Un apprentissage qui s’effectue par le biais de mediums :l’enquête, les voyages et les expositions ou les musées urbains. La connaissance des autres assure l’acceptation de la différence et favorise la recherche d’un bonheur commun. Le consensus démocratique sur l’environnement des citoyens est un objectif de la participation. Les idées de Geddes sont diffusées aux Etats-Unis, par Lewis Mumford et des architectes proches de ce dernier, rédigent une méthode pour un urbanisme éducatif et participatif, initié au cœur du New Deal américain. En France, lors de la reconstruction, ont lieu des séances d’information et de concertation avec les populations sinistrées, comme à Maubeuge en 1945. M. Poëte et G. Bardet fondent l’urbanisme humaniste dont la configuration polyphonique préside à la reconstruction. Résumé partie II :La grammaire participative fait partie de la culture des architectes modernistes des CIAM. Le Corbusier expérimente une configuration « expressiviste » avec les paysans de la Sarthe et met au point un manuel destiné à l’autoconstruction. Le groupe américain des CIAM apporte une configuration processuelle dans laquelle la hiérarchie des figures s’estompe. Ils interviennent en faveur d'une réflexion sur la communauté, figure de l’autre participant, comme thème du premier congrès CIAM d'après guerre de 1947. Les thématiques retenues, incongrues en cette période de crise du logement causée par la guerre, concernent finalement l’expression architecturale et un état des lieux de l’architecture dans les pays des membres. Néanmoins, la question de la participation est amenée, notamment par la configuration « empiriste » de J.M. Richards dont la figure de l’autre est « l’homme commun ». Le débat s’oriente sur le langage de l’architecture et la compréhension qu’en a l’homme de la rue. Dans la configuration « empiriste » ridchardsienne, le médium de la grammaire participative est élaboré sur le modèle de la configuration « éducative » des pays scandinaves, un langage issu de la construction et de l’utilisation de matériaux traditionnels. A Bridgwater, la jeune génération signale l’émergence d’une conscience nouvelle et valorise l’ordinaire et l’imagination en opposition à la rationalité pure de l’architecture moderniste. La figure de l’autre est dotée d’un savoir réflexif, sensible et subjectif. Elle peut amener sa créativité au savoir scientifique de l’architecte. Malgré tout, l’ancienne garde du modernisme élude l’idée de participation et songe à interroger la réception de l’objet architectural par le public. Le milieu architectural moderniste est le lieu de débat international le plus actif à ce moment avec l'UIA. Il rassemble avant son éclatement deux tendances opposées dont l’une emprunte la voie de l'esthétique, avec l’objet architectural comme finalité, tandis que l’autre valorise le processus architectural participatif.Résumé partie III :La voie du processus architectural, en opposition à l'objet architectural, est empruntée par la nouvelle génération d'architectes notamment le Team Ten. Envisager l'architecture comme un processus entraîne sa redéfinition et consiste à étendre le logement au concept « d’Habitat». Il est basé d'une part sur un tandem architecture - urbanisme et d'autre part sur un duo architecture - contexte au sens large de paysage, de culture du site et d'histoire du lieu. L’article de De Carlo de 1948, montre qu’une attitude de participation est la condition de l’architecture redéfinie. Le concept d'Habitat est situé dans l'espace même si on peut le définir comme local, l'échelle régionale est interrogée. La posture écologique se marque également sur les problématiques des infrastructures de déplacement dans le « quartier ». C’est l’échelle de la proximité qui est valorisée, le piéton et le lien social. La configuration organique de B. Zévi explicite l’attention au milieu. Il propose d’apprendre à voir l’architecture. La figure de l’autre manie ce médium pour participer. Le temps et le mouvement sont présents dans la terminologie utilisée par les architectes. L'objectif de l’Habitat est la flexibilité et l'évolutivité. Des configurations se basent sur l’informatique et la polyvalence des structures. L'architecture «ouverte » est un médium pour donner à l'usager le pouvoir de l'action dans le temps. Les superstructures servent l’objectif de mobilité, de flexibilité et de participation. C’est le public qui les remplit. La contextualisation de l’architecture donne lieu à des enquêtes et à une fascination pour l'ordinaire ou le spécifique. Mais seuls quelques architectes vont au delà d'une récolte d’informations et considèrent l’égalité de l’autre pour permettre un échange de savoir. La posture didactique sert à rendre l’architecture « apprentissable», ainsi du jardinage à l'autoconstruction ou l’autoplanification, les architectes développent des participations directes ou indirectes et des outils destinés aux usagers. La fortune critique de la participation permet de poursuivre le tracé des filières jusqu’en soixante huit. Les modes de rassemblement et de communication des professionnels, l’histoire de l’architecture et certaines filières d’enseignement montrer une collusion de facteurs induisant une généralisation des pratiques architecturales participatives au cours de la décennie soixante dix. / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Urban form and energy nexus: a multi-scalar investigation for a sustainable urbanism

Hermand, Séverine 29 May 2020 (has links) (PDF)
The increasing challenges caused by non-renewable energy in regard to climate change, the increased flux of migration to urban areas, and the undeniable impact of human activities on these phenomena have given rise to a wide range of scientific work analysing the relationship between urban form and energy. Pioneering research in this field shows a link between the density of cities and their energy consumption. While concerns surrounding sustainable urbanism have grown, urban thinking has evolved, and the interdependence between planning and mobility, and planning and building are increasingly being explored beyond the traditional ways in which they have been considered in isolation. Environmentally conscious design of dense urban forms is thus at the heart of sustainable urbanism. This research uses the concept of urban form to explain the city as a spatial phenomenon. Urban form is proposed as an analytical lens through which the contributions of design characteristics are revealed, for an energy-efficient urban planning policy.Although the link between urban form and energy performance is clearly established, research is lacking on the influence of spatial organization on energy saving in cities from efficient urban fabrics. The urban scale dimension of research on energy consumption attracts much less interest than that of the building, which is very present within the literature. Therefore, the research question was formulated as follows: “How can urban form and energy performance be connected to meet the increasingly unique and changing expectations or needs of places and populations?”. In this regard, the approach adopted in this research is a methodological contribution to knowledge.To answer this question, a research framework was developed with several research methods were employed to answer a set of sub-questions. The first –“What are the links between urban form and energy consumption?”– should be seen as exploratory questions to form a complete picture of the problem. It is answered through a combination of literature review and analysis of urban form elements. The second sub-question –“How can urban form indicators be integrated into the decision-making process for an energy-efficient urban planning policy?– is a fundamental question and is theoretically answered by a literature review and through the development of a theoretical framework. The third sub-question –“What are the links between socio-economic variables, transport infrastructure energy consumption and urban form?”– is the first of three questions that structure the empirical research. It resulted in a statistical data analysis for the selected case area, i.e. the Brussels-Capital Region. The fourth sub-question –“ What are the links between building geometry and solar gains?”– is answered with the analysis of a 3D simulation model of a district area in renovation. The last sub-question –“What are the design priorities required to reduce urban energy use?”– led to the development of a conclusion at multiple scales of urban form analysis. After introducing the topic, the research question and the research framework in the first chapter, chapters 2 to 6 respectively respond to each of the sub-questions. To answer the first sub-question, a historical analysis of the relationship between energy and urban form is presented in chapter 2. The discipline of urban form study in the fields of architecture urbanism and geography introduced four main schools of thought and three main approaches to analyse the urban form during the period 1960-2018. These schools support the viability of urban form analysis as an instrument for planning, as it makes us consider how urban form design affects the energy usage of the city. At the same time, urban planners need to consider the urban not to be simply a set of data, but a subject of inquiry that depends on an assumed initial definition and conceptualisation.In chapter 3, the methodological aspects used in this research are detailed and give an answer to the second sub-question. Four complementary systems of urban form elements are highlighted and connected to the energy indicators identified in the literature review. The scale of analysis for each of the urban form elements is also presented in this chapter with argumentation and detailed definition of the urban indicators. At the same time, the econometric statistical analysis is developed and explain the potential of; correlation, cointegration and causality analysis in building an efficient urban planning policy. In chapter 4, the Brussels-Capital Region mobility data for a 26 years period (1990-2016) are statistically analysed. The link between urban form indicators, transport and socio-economic indicators show the importance of road length development on increasing energy consumption in transport for the region. It also highlights the need for policy planning more inclined to take the “time” into consideration to be able to support future energy-efficient policy measure. In chapter 5, the analysis of the relationships between urban form and energy is scaled down to the street and building scales. A solar analysis is conducted on two different urban form models (the closed block and the open block). The results point to the importance of urban planning design considering open space an object of inquiry rather than simply leftover space between buildings. It is also reasserting the need for 3D model analyses in the preliminary stages of the conception of the technical specifications provided by the region for each project. Finally, in the chapter 6, the applicability and merits of the theoretical framework are first reflected upon. Next, the newly gained insights about the processes behind urban form and energy nexus are presented. Then, an answer is given to the main research question in the form of recommendations. These recommendations are based on the idea that the study of urban form development could be used as a powerful tool for crafting urban regulation guidelines and practices for a more integrated, sustainable urbanism. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Polytechnique) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'esprit de la ville. Regards croisés sur la place parisienne. Du temps des embellissements à celui de la science de villes, XVIIIEME - XXEME siècles / THE SPIRIT OF THE CITY. Multiple Views of the Parisian Square From the time of Embellishments to the time of the Science of Cities, 18th–20th centuries

Rideau, Géraldine 13 July 2015 (has links)
La place répond à la représentation – consciente ou inconsciente selon les temps et les lieux – que chaque groupe d’hommes se fait de sa ville. Devenue forme urbaine prestigieuse, la place est donc d’abord une idée, née à l’époque moderne d’une construction intellectuelle et culturelle. Partant de ce postulat, la thèse vise à comprendre le statut de la place parisienne à travers ses représentations. Afin de mieux décrypter les changements comme les permanences, d’interroger sa valeur archétypale ou paradigmatique, la place est observée à travers un corpus de textes de statuts différents (de la théorie architecturale au guide de voyage). Cette recherche explore dans deux périodes - l’une de construction d’une pensée sur la ville (1690-1844), l’autre de relecture et de recherche de modèles dans son passé (1889-1975), si et comment la place participe de la notion d’embellissement née au siècle des Lumières, mais aussi le rôle que les auteurs lui attribuent dans la structuration de la ville (centralité, extension) ou encore dans sa mise en valeur, voire dans la survivance de son mythe comme ville la « plus belle de l’univers ». Par delà l’annexion de 1860, ces textes interrogent les temps de la ville, ses limites, ses pratiques, sa symbolique. Quel que soit le moment, la place raconte une certaine idée de l’espace urbain et inversement, par anticipation ou rétroaction. C’est donc dans ce rapport dialectique que cette thèse s’inscrit et tente de comprendre ce qui est dit du fait urbain à travers cette forme urbaine à part, qui est d’abord une idée puissante, symbole d’une urbanité toujours à redéfinir. / The square is part of the representation of the city that each human group develops during a specific time in a specific place. It became a prestigious urban form under the influence of an intellectual and cultural idea which took shape in the high spheres of society during the modern era. Stemming from this premise, this thesis aims to understand what the square, as reflected in its representations, stood for from the second half of the 18th century to the beginning of the 20th century. The corpus is based on texts which vary from architectural theory to visitors’ guides. In order to better decipher changes as well as permanencies and to question their archetypal or paradigmatic value, the Parisian square is observed through texts published during two moments of expectations, interrogations and urban projections: 1740-1840 and 1890-1920, two moments which border a short and intense time of structural transformations. This research aims to explore whether and how the square participated in the notion of embellishment in the sense used since the 18th century. Another aim is to measure the role the authors give to the square in the restructuring of the city and in its valorisation, the extreme form being the survival of the myth of Paris as “the most beautiful city of the Universe”. These multiples narratives reflect the image of a polysemic square which underwent different kinds of transformations. At each moment, the square tells a specific idea of urban space related to anticipation or reactive action. Thus, this thesis takes into account this dialectic relation and hopes to help understanding how the discourse on the square is a commentary on urban being at large.
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Pratiques infiltrantes et territorialité : contributions du 3ᵉ impérial à une artialisation de l'interstitiel

Saint-Georges Tremblay, Julien 29 June 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 30 janvier 2023) / Le centre d'essai en art actuel du 3ᵉ impérial diffuse depuis les années 1980 des projets artistiques intervenant en dehors de galeries traditionnelles, à même le territoire de la ville de Granby. La spécificité de ces interventions artistiques est nommée au début des années 2000 par l'organisation comme étant des « pratiques infiltrantes ». Notre étude s'intéresse aux effets que ces interventions contextuelles éphémères ont sur la valorisation d'un territoire. En prenant appui sur la théorie de l'« artialisation » du philosophe Alain Roger, nous proposons de considérer les pratiques infiltrantes comme des actions artistiques réinventant nos rapports perceptifs au territoire. Notre mémoire s'attarde précisément à la réinvention de l'une de ces figures artialisées : l'interstice urbain. Traditionnellement associée à des espaces abandonnés l'interstice est considéré tel une dynamique urbaine aux multiples dimensions. Par l'analyse de quatre cas d'infiltrations en contextes interstitiels nous serons à même d'observer si l'artialisation peut mettre en évidence ce phénomène pluriel négligé. / Since the 1980s, the 3e impérial, centre d'essai en art actuel has been presenting artistic projects outside of traditional galleries, within the territory of the city of Granby. The specificity of these artistic interventions was named in the early 2000s by the organization as "infiltrating practices". Our study focuses on the effects that these ephemeral contextual interventions have on the valorization of a territory. Following philosopher Alain Roger's theory of "artialisation", we propose to consider infiltrating practices as artistic actions that reinvent our perceptual relationships to the territory. Our dissertation focuses specifically on the reinvention of one of these artialised figures: the urban interstice. Traditionally associated with abandoned spaces, the interstice is considered as an urban dynamic with multiple dimensions. By analyzing four cases of infiltration in interstitial contexts, we will be able to observe if artialisation can highlight this neglected plural phenomenon.
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No olho da rua : dinâmicas da arte urbana na cidade de Maceió / Dans L oeil de la rue : dynamiques de lärt urbain à Maceió

Quintella, Ivvy Pedrosa Cavalcante Pessôa 23 June 2007 (has links)
La construction de ce mémoire est basé sur la compréhension que les manifestations artistiques enrichissent l´expérience sensorielle dans la ville, étant, de quelque façon, significatives pour la population. La proposition de ce travail est de construire un inventaire des expressions de l´art urbain présents dans les espaces publics de Maceió, pour, à partir de cela, analyser les dynamiques qui impliquent leur création et leur présence dans la ville. Ainsi, l´expression dans l´oeil de la rue a pour but faire allusion à la situation d´être de corps présent dans l´espace public de la ville. Cette investigation est composée de trois étapes principales: 1- inventaire des manifestations artistiques présentes dans les espaces publics et collectifs de Maceió; 2- classification de ces manifestations; 3- analyse des diverses catégories et de l´ensemble. Les références théoriques, historiques, urbaines et artistiques furent abordés dans deux chapitres. Le premier a pour but d´introduire quelques concepts essentiels qui lient la ville et l´art dans le contexte contemporain. Le deuxième chapitre est dedié à tracer un bref panorama de la formation urbaine de Maceió, en mettant l´accent sur ses références historiques et culturelles. L´analyse de l´inventaire de l´art urbain à Maceió est divisée en trois matières. Le troisième et le quatrième chapitre abordent l´art urbain officiel : sculptures publiques, mémoriaux et couloir culturel . Le cinquième et dernier chapitre aborde l´art urbain qui n´est pas lié aux iniciatives des gestions publiques, auquel nous avons nommé l´art urbain nonofficiel : le populaire et l´éphémère . Sur le point de vue de la recherche en art contemporain, l´importance de cette étude est liée à son insertion dans le domaine de l´investigation du rapport intrinsèque entre l´art et la ville, et, encore plus, entre l´art et la vie. / Fundação de Amparo a Pesquisa do Estado de Alagoas / A construção desta dissertação baseou-se na compreensão de que as manifestações artísticas enriquecem a experiência vivencial-sensorial na cidade, sendo, de algum modo, significativas para a população. Propôs-se neste trabalho inventariar as expressões de arte urbana presentes nos espaços públicos de Maceió, para, a partir delas, analisar as dinâmicas que envolvem sua criação e sua presença na cidade. A expressão no olho da rua pretende, assim, aludir à situação de estar de corpo presente no espaço público da cidade. Esta investigação foi composta por três principais etapas de trabalho, a saber: 1 - Inventário das manifestações artísticas presentes nos espaços públicos e coletivos de Maceió; 2- Classificação destas manifestações; 3- Análise das diversas categorias e do conjunto. Os referenciais teóricos, históricos, urbanos e artísticos foram abordados em duas seções distintas. A primeira seção objetivou introduzir alguns conceitos fundamentais que relacionam cidade e arte no contexto contemporâneo. A segunda seção dedica-se a traçar um breve panorama da formação urbana de Maceió, enfocando seus referenciais históricos e culturais. A análise do inventário da arte urbana de Maceió divide-se em três seções. As seções três e quatro tratam da arte urbana oficial : esculturas públicas, memoriais e corredor cultural. A quinta e última seção trata da arte urbana não concretizada por meio de iniciativas das administrações públicas, denominadas de arte urbana não-oficial : o popular e o efêmero . Do ponto de vista da pesquisa em arte contemporânea, a relevância deste estudo encontra-se em sua inserção no campo de investigação da relação, cada vez mais intrínseca, entre arte e cidade, e, mais ainda, entre arte e vida.
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Approche archéologique et architecturale des monastères de l'ordre des Célestins :L'exemple de Sainte-Croix-sous-Offémont (Oise-France)

Panier, Arthur 28 May 2021 (has links) (PDF)
Encore relativement peu étudié, notamment du point de vue architectural, l’ordre des Célestins jouit d’un prestige important à la fin du Moyen Âge et durant la période Moderne en Europe de l’Ouest. Si la plupart de leurs monastères ont aujourd’hui disparu, un nombre restreint de sites dispose encore de vestiges. Le prieuré de Sainte-Croix-sous-Offémont, implanté en forêt de Laigue, à quelques kilomètres de Compiègne (Oise), figure parmi les mieux conservés. Fondé en 1331 par Jean de Nesle et Marguerite de Mello, le monastère conserve encore en partie son église, son cloître et ses bâtiments claustraux, dont certaines structures remarquables du XVIe siècle témoignent de l’introduction des formes italianisantes dans l’architecture en France. L’analyse minutieuse du bâti subsistant, des sources écrites et des documents graphiques, dessine l’évolution architecturale du monastère entre le XIVe et le XVIIIe siècle. Largement marqués par les racines érémitiques des premiers temps de l’ordre en Italie, les édifices des Célestins traduisent du rapprochement progressif des religieux vers les élites laïques de leur temps. À travers l’exemple de Sainte-Croix-sous-Offémont, c’est l’ensemble du patrimoine bâti des Célestins, et en particulier celui des établissements appartenant à la Province des Célestins de France, qu’il nous est donné d’explorer. Un examen particulier est, par ailleurs, donné au prieuré royal de Saint-Pierre-en-Chastres (Oise), maison mère de Sainte-Croix-sous-Offémont. Second établissement implanté en France par Philippe le Bel, son étude apporte une compréhension plus large de l’intérêt de la haute noblesse pour les Célestins, notamment à travers la présence de la chapelle fondée par Louis Ier d’Orléans à la fin du XIVe siècle. À terme, la compréhension des espaces architecturaux et des élévations des monastères de l’ordre permet d’établir de nouvelles perspectives quant aux pratiques et au mode de vie des religieux eux-mêmes. La recherche de sobriété architecturale, de même que le nombre peu élevé de religieux par monastère, se reflètent dans le décor et le plan de leurs édifices, spécifiquement dans leurs églises, souvent à vaisseau unique. Par ailleurs, la dualité de l’identité des religieux, ermites et cénobitiques, s’exprime particulièrement par la répartition du dortoir en cellules individuelles. L’architecture, la topographie, les vestiges matériels et l’histoire des Célestins révèlent l’organisation interne et externe de leurs monastères, mais aussi leur influence sur les sociétés médiévale et moderne avant leur disparition peu avant la Révolution. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Hypothèses d'amarrages, une intervention artistique à Montréal : contribution à l'esthétique et à la politique du paysage urbain

Lafontaine, Simon 02 1900 (has links) (PDF)
Dans son assertion courante, le paysage urbain est habituellement compris à la manière d'une représentation fixe et continue. San Francisco a le Golden Bridge, New York la Statue de la Liberté, Paris la tour Eiffel, Toronto la tour du CN, Montréal le stade olympique et Tokyo aura bientôt le Sky Tree : à la manière d'une carte postale, le cityscape, cette image condensant l'expérience d'une ville, mise souvent sur certaines structures bâties spectaculaires évoquant une attraction jugée incontournable pour s'accoler une identité touristique et culturelle dans un monde globalisé. Le paysage urbain n'est-il destiné qu'à être une image de marque, certes fascinante dans les films d'action, les guides touristiques et sur les cartes postales, mais, avouons-le, qui n'est pas nécessairement ce qui nous a fait vibrer lorsqu'on le parcourt au quotidien? N'est-il pas également déterminé par nos déplacements, nos parcours, notre expérience de ses infrastructures et nos interactions avec d'autres citadins? À partir d'un cas d'intervention artistique en milieu urbain, les Hypothèses d'amarrages du collectif SYN-, l'auteur montre que le paysage est sans cesse retravaillé par les manières de faire des gens, leurs parcours quotidiens, ce qu'ils aperçoivent et ce dont ils rêvent. Bref, que le paysage urbain est quelque chose qui se déploie à la manière d'une vie en images, sans cesse recolorée par les usages quotidiens. L'auteur présente une description de la nature du projet artistique puis de son positionnement dans le champ de l'art actuel. La réflexion est alors menée selon deux axes reliés : la question de l'expérience vécue des citadins et des méthodes de travail par lesquelles le collectif s'y rapporte. Pour y arriver, l'auteur a choisi de se concentrer sur les propositions du philosophe Ludwig Wittgenstein, qui s'est intéressé au langage ordinaire et aux activités humaines les plus banales tout en leur conférant une dimension « praxique ». Plutôt que de fonder son cadre d'analyse sur les trop fameux « l'usage est la signification » et « tout est un jeu de langage » brandis par la doxa, l'auteur montre que ce qu'il sera convenu d'appeler une « analytique de la quotidienneté » va bien plus loin que ces assertions pragmatistes. En ce qu'elle fait l'assomption des activités quotidiennes et leur confère une puissance d'ouverture au sein du procès de signification, une analytique de la quotidienneté suggère de comprendre l'expérience vécue selon une imprévisibilité et une créativité dont les ressorts excèdent la donation de sens pour se constituer dans l'apprentissage et la pratique concrète. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : paysage urbain, Montréal, art actuel, quotidien, Wittgenstein, esthétique, sociologie urbaine, épistémologie.
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Le tissage, mémoire de la matière retrouvée / Weaving, the memory of recovered matter

Taktak, Omar 12 December 2015 (has links)
Cette thèse, traitant la problématique du tissage et de son propre univers, cherche à élargir l’espace commun et restreint de la pratique du tissage et ses manifestations. Nous étudions, d’emblée, la technique de tissage traditionnelle, sa structure et sa composition. Les tapis berbères tunisiens sont pour tout chercheur des instruments de déchiffrage d’espaces plastiques porteurs de tant de significations. Ils sont un élément de mémoire culturelle, explicitant notamment le sens et les signes des motifs et des couleurs. Item pour les vêtements, leurs tissus sont un moyen d’identification et un support de communication. Le vêtement devient aussi «langage» à l’instar de la calligraphie. Le point, la ligne et la surface s’expriment en s’entrelaçant autrement. Ces éléments se structurent et se composent par le biais «d’autres chaines» et «d’autres trames», afin de nous proposer une autre facette de «tissu». Celui-ci devient tantôt numérique tantôt métaphorique. L’image numérique est donc le produit de cette nouvelle facette générée par l’usage de l’informatique. La science et la technologie ont procuré à l’art (participatif/hybride) de nouveaux outils plus complexes et plus variés afin de perpétuer l’interprétation des mondes et susciter les interrogations. Elles nous permettent d’accueillir et d’intégrer de nouvelles approches et médiums dans l’univers artistique tels que le mouvement, le son, la vidéo, etc., en créant un nouveau rapport du public à l’œuvre. L’espace public et urbain devient alors une matrice propice pour s’exprimer artistiquement. / This thesis, treating the problematic of weaving and its proper universe looks for widening the common restricted space of the practice of weaving and its manifestations. At first, we studied the traditional weaving technique, its structure and composition. The Tunisian berber carpets are for all researchers an instrument of decoding plastic spaces, which carry many significations. They are an element of cultural memory, notably highlighting the sense and the signs of motifs and colors. Item for the clothes, their tissues are a medium of identification and a mean of communication. The piece of cloth also becomes a “language” just likecalligraphy. The point, the line and the surface entwine to bring out different expressions. These elements are structured and composed through “other channels” and “other wefts” in order to suggest another facet of “tissue”. This latter becomes digital sometimes and metaphorical for other times.Thus, the digital picture is the product of this new facet generated by the use of computer science. Science and Technology have provided to Art (whether participative of hybrid) new tools that are more complex and various aiming at perpetuating the interpretation of worlds and popping up interrogations. They allow us to receive and integrate new approaches and media within the artistic universe such as ; the motion, the sound, the video etc. while creating a new relationship between the audience and the artwork itself. Therefore, the public and urban space becomes a prosperous matrix to thrive artistically.
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Tracer des reprises du Pragmatisme en architecture (1990-2010). Penser l'engagement des architectes avec le réel.

Lefebvre, Pauline 28 September 2016 (has links)
Cette thèse porte sur les récents succès du pragmatisme en architecture. Elle s’intéresse particulièrement aux moments où le terme ‘pragmatisme’ prend un sens philosophique, lorsqu’une alliance est établie avec le courant de pensée entamé par Peirce, James et Dewey à la fin du 19ème siècle. L’objectif est de considérer à nouveaux frais la manière dont le terme a été discuté quand le milieu (principalement nord-américain) de la théorie de l'architecture s’est mis à aspirer à « un nouveau pragmatisme architectural » dans les années 1990 et 2000. Certains architectes ont commencé à réclamer une refocalisation sur les aspects pratiques de l’architecture, face à une discipline qui était devenue très théorique, surtout du fait des récents succès de la théorie critique allemande et du structuralisme et poststructuralisme français. Ils se désintéressaient de ces influences théoriques difficiles et mettaient surtout en cause la forme discursive que l’architecture s’était mise à prendre. Ils défendaient un retour à la pratique, à son aspect expérimental, projectif. Ce mouvement a soulevé beaucoup d’objections de la part de penseurs qui craignaient que ce tournant pro-pratique, anti-théorique ou encore « post-critique » ne prive les architectes des garde-fous assurés par la distance critique et ne les mène tout droit dans les affres de l’instrumentalisme, de l’anti-intellectualisme, et surtout de la complicité avec le marché ou le pouvoir. Mes recherches explorent les rares occasions où une philosophie alternative – le Pragmatisme – a été introduite pour tempérer ce mouvement anti-théorie. Dans ce contexte, certains ont considéré le Pragmatisme comme une alternative américaine secourable pour succéder aux philosophies continentales. Malgré ces tentatives, le Pragmatisme est très rarement considéré comme une véritable alternative à la théorie critique, du point de vue de la posture politique qu’il engendrerait :ceux qui redoutent les conséquences de l’attitude désinvolte des post-critiques n’admettent pas que le Pragmatisme puisse offrir des formes différentes d’engagement politique et de responsabilités morales, qui soient plus ancrées dans la pratique, sans être pour autant moins exigeantes. La thèse s’empare de cet angle mort, de ce manque de confiance face aux promesses du Pragmatisme. Elle met en évidence les contributions qui ont choisi le Pragmatisme comme alternative à la critique ou du moins comme moyen de repenser les engagements des architectes à nouveaux frais, loin du réquisit de distanciation et d’autonomie imposé par la critique. La thèse prolonge encore cette exploration par un travail spéculatif, sous la forme de « et si ». Au travers d’une lecture approfondie des premiers pragmatistes, une série d’essais ponctuent la cartographie des récents succès du Pragmatisme en architecture, afin de penser – avec cette philosophie – l’engagement des architectes avec le réel. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le tournant esthétique de la participation urbaine à l'épreuve de la société civile: Une recherche en terrains bruxellois

Houlstan-Hasaerts, Rafaella 14 February 2019 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur les articulations entre esthétique et politique au sein de la participation urbaine, et, plus particulièrement sur les promesses politiques d’une participation urbaine qui ferait la part belle à l’expression, la figuration, l’imagination et la création, ainsi qu’aux dimensions incarnée, sensible, attachée, affective et émotionnelle de nos rapports à la ville. Ainsi, il semblerait que des engagements et des intérêts « esthétiques » puissent favoriser l’empowerment et l’émancipation ;l’inclusion démocratique et la symétrisation des pouvoirs ;des manières renouvelées de vivre ensemble et de créer en commun. Des promesses de cet ordre sont au cœur de ce que je propose de nommer un tournant esthétique de la participation urbaine institutionnelle, c’est-à-dire, le passage d'une conception délibérative de la participation, pensée sur le modèle du « forum » à une conception esthétique de la participation, pensée sur le modèle de l’« atelier ». Or, déjà, des voix critiques s’élèvent. Certains soulignent les risques de dépolitisation qui accompagnent l’esthétisation de la participation et de l’expérience urbaines. D’autres, a contrario, soulignent le risque de subordination de l’esthétique au consensus démocratique et à l’éthique, au détriment de la qualité urbaine et de l’autonomie de la création. Certains pointent moins l’articulation esthético-politique, que des facteurs externes susceptibles de la mettre en péril. En cause, les suspects usuels :les institutions et le capitalisme. L’objectif de cette thèse est de prendre au sérieux ces critiques, sans abandonner les exigences politiques d’une participation où la part qualitative de notre expérience urbaine trouverait une place. La proposition ici faite pour y parvenir est de décentrer le regard, en ne s’intéressant pas directement aux dispositifs institutionnels de participation. Ma première hypothèse, plutôt de nature factuelle, pose que les promesses politiques du tournant esthétique de la participation urbaine débordent son versant institutionnel, qu’elles prennent entre autres leurs sources dans des mobilisations et initiatives de citoyens, de militants, de créateurs engagés qui, depuis les luttes urbaines des années ’60, scandent l’histoire de la production de la ville. Cette hypothèse a des implications « généalogiques », dans la mesure où elle incite à relire l’histoire de la participation urbaine institutionnelle non seulement à l’aune de son « esthétisation », mais également en mettant en évidence les liens de parenté voire parfois de filiation directe entre cette esthétisation et des dynamiques participatives émanant de mouvements sociaux et de la contre-culture. La seconde hypothèse est plutôt de nature normative et a des implications évaluatives et prospectives. Elle pose que c’est au sein de mobilisations et d’initiatives de la société civile que des promesses dont est également assorti le tournant esthétique de la participation urbaine institutionnelle se sont le mieux incarnées, et que celles-ci fournissent des leviers de résistance face aux critiques dont il est l’objet. Enfin, les deux hypothèses mises bout à bout nous invitent à nous interroger sur les manières dont l’institution a plus ou moins bien accueilli ces tentatives. Mesurer les écarts entre ces moments de politique vivante et leurs éventuelles percolations dans des dynamiques participatives ultérieures, permet de saisir comment nous avons hérité de ces mobilisations et initiatives de la société civile et, éventuellement, comment nous pourrions mieux en hériter. / This thesis is about the connections between aesthetics and politics in urban participation and, more particularly, about the political promises of an urban participation that seemingly gives priority to expression, figuration, imagination and creation as well to the embodied, sensitive, attached, affective and emotional dimensions of our relations to the city. It would therefore seem that ‘aesthetic’ engagements and interests can promote empowerment and emancipation; democratic inclusion and the symmetrization of power; renewed ways of living together and creating collectively. Such promises are at the heart of what I propose to call an aesthetic turn of institutional urban participation, i.e. the passage from a deliberative conception of participation, conceived following the model of the “forum”, to an aesthetic conception of participation, conceived following the model of the “workshop”. And yet critical voices are already being raised. Some underline the risk of depoliticization that accompanies the aestheticization of urban participation and experience. Others, by contrast, emphasize the risk that aesthetics will be subordinated to democratic consensus and to ethics, at the expense of urban quality and of creative autonomy. Some highlight less the politico-aesthetic connection than external factors liable to jeopardize it. At issue, the usual suspects: the institutional framework and capitalism. The objective of this thesis is to take these critiques seriously without losing sight of the political demands of a participation in which the qualitative part of our urban experience would find a place. The proposal made here to achieve this objective is to decentre the gaze by not taking a direct interest in institutional mechanisms of participation. My first hypothesis, of a rather factual nature, posits that the political promises of the aesthetic turn of urban participation exceed its institutional facet, that they find their source in, among other things, mobilizations and initiatives taken by citizens, activists, engaged creators who, since the urban struggles of the 1960s, have marked the history of urban production. This hypothesis has “genealogical” implications, insofar as it encourages a rereading of the history of urban institutional participation not only in the context of its “aestheticization” but also by highlighting the at times direct relations between this aestheticization and participatory dynamics emanating from social movements and the counterculture. The second hypothesis is of a rather normative nature and has both evaluative and prospective implications. It posits that it is within the mobilizations and initiatives of civil society that the promises which also come with the aesthetic turn of institutional urban participation were best embodied, and that these provide levers of resistance against the critiques of which it is the target. Lastly, placed back to back, the two hypotheses invite us to question the extent to which the institutions have welcomed these attempts. Measuring the distances between these moments of live politics and their potential percolations to ulterior participatory dynamics makes it possible to understand how we inherited these mobilizations and initiatives from civil society and, possibly, how we could better inherit them. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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