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Management des risques psychosociaux : une perspective en termes de bien-être au travail et de valorisation des espaces de discussionRichard, Damien 26 September 2012 (has links) (PDF)
Cette recherche concerne le management du bien-être au travail à l'aide des espaces de discussion. En effet, la perspective pathogénique semble largement dominante aussi bien dans la littérature que dans les pratiques des professionnels - prévention des risques psycho-sociaux, du stress, du burnout, de la souffrance au travail...- pour aborder cette question de la santé au travail. Dès lors, l'enjeu de cette recherche est de proposer une vision plus appréciative de cette question à travers le concept de bien-être au travail. En s'appuyant sur la définition de la santé au travail de l'OMS (2007) qui définit la santé comme " un état de complet bien-être physique, mental et social ", et non pas seulement comme l'absence de pathologies, cette recherche vise à tracer les contours d'une perspective salutogénique du travail à travers trois recherches-interventions. La thèse défendue est que la construction et l'animation d'espaces de discussion par la DRH et le management constituent un puissant levier de préservation des ressources (compétences, règles de métier, capacités, pouvoir d'agir, identité professionnelle...) et conséquemment un facteur de bien-être - et de qualité - au travail. La confiance entre acteurs et la possibilité de dire et d'entendre une parole sur l'activité réelle et l'organisation effective du travail sont à la base de la construction de tels espaces de discussion, sans lesquels aucun bien-être durable n'est possible. Pour ce faire, une approche constructiviste aménagée articule trois recherches-interventions sur différents terrains -un Conseil Général, un service technique de mairie et une banque privée - mêlant étude qualitative et quantitative. Les résultats mettent en évidence l'importance des espaces de discussion centrés sur le travail pour préserver bien-être et santé au travail, à condition qu'ils n'empêchent pas de travailler et ne soient pas polluer par un climat de violence psychologique. L'apport principal de cette recherche est la présentation d'un modèle du management durable du bien-être au travail, à travers les espaces de discussion.
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Gender differences on two dimensions of perfectionism among gifted childrenDarbouze-Bonyeme, Nella 04 1900 (has links)
Des études récentes suggèrent que le perfectionnisme est un phénomène multidimensionnel avec des composantes néfastes, mais aussi des éléments positifs, au bien-être psychosocial. Une étude a été élaborée afin de comparer la prévalence de ces éléments chez les garçons et les filles surdoués. Quarante-neuf enfants âgés de 7 à 11 ans ont rapporté leurs attitudes perfectionnistes, appartenant à deux dimensions du phénomène : le perfectionnisme orienté ver soi et le perfectionnisme socialement prescrit. Contrairement à nos attentes, les résultats révèlent que la prévalence des deux dimensions de perfectionnisme ne diffère pas de manière significative entre les filles et les garçons surdoués. Une analyse des résultats et de leurs implications pour de futures recherches est offerte. / Recent research suggests that some components of perfectionism can be detrimental to psychosocial well-being, but others can be positive to adjustment. The present investigation was designed to compare the prevalence of negative and positive components among gifted boys and girls. Two dimensions of perfectionism, Self-oriented and Socially-prescribed Perfectionism, were examined in a sample of 49 children between 7 and 11 years old. Contrary to our predictions, there was no significant difference in the prevalence of both dimensions between boys and girls. Implications for future studies are discussed.
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Persévérance et abandon des enseignants débutants : La relève issue des Hautes EcolesDe Stercke, Joachim 27 May 2014 (has links) (PDF)
Toute chose a son contraire nous enseigne Héraclite. Si l'on suit cet axiome, expliquer l'abandon des enseignants débutants implique de s'intéresser à la persévérance précoce dans la carrière. C'est dans la lumière que reflètent l'un sur l'autre ces miroirs d'une même réalité que se trouve la clef d'une compréhension plus profonde de la problématique de la rétention des nouveaux enseignants. Pour faire face aux questionnements qu'elle soulève dans le domaine de l'insertion professionnelle, cette thèse de doctorat s'ancre dans un cadre théorique multi-référencé à la croisée de la Psychologie et des Sciences de l'éducation. Les concepts de "Teaching Commitment", de sentiment d'efficacité personnelle et de bien-être subjectif en balisent les contours. Notre méthodologie repose sur l'articulation de méthodes quantitatives (N = 462) et qualitatives (N = 15), mises au service de quatre études complémentaires. Ces études visent à répondre à une question complexe, mais cruciale pour l'enseignement : " Pour quelles raisons les enseignants persévèrent-ils dans la profession ou l'abandonnent-ils au cours de leurs premières années de carrière ? ". Cette question est plus précisément étudiée dans le contexte de l'enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles, et auprès des diplômés des Hautes Ecoles pédagogiques du Hainaut. Les principales issues de notre recherche sont les suivantes. Primo, la relève issue des Hautes Ecoles est, avant même son entrée en fonction, relativement hétérogène quant à son intention de persister dans la profession et son " Teaching Commitment ". Secundo, le " Teaching Commitment " des enseignants débutants est un investissement psychologique et émotionnel de l'enseignement avant d'être un investissement dans l'enseignement. Tertio, les attentes que nourrissent les novices vis-à-vis de la profession sont multidimensionnelles et jouent un rôle dans leur choix de persévérer ou non dans la carrière. Quarto, le niveau de bien-être subjectif des débutants semble lui aussi être prépondérant dans cette prise de décision. Enfin, la proportion de diplômés des Hautes Ecoles en situation d'abandon de l'enseignement deux ans après diplomation n'est pas aussi alarmante qu'on pourrait le croire...
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De la régulation individuelle à la régulation d’équipe : intégration théorique et empirique de la théorie de l’autodétermination dans les équipes de travailGrenier, Simon 09 1900 (has links)
L’équipe de travail représente, de nos jours, une forme d’organisation du travail incontournable pour accroître la performance des entreprises. Il est maintenant largement reconnu que la composition d’une équipe de travail est susceptible d’affecter son efficacité et, plus particulièrement, la qualité des relations interpersonnelles au sein de l’équipe et la performance de ses membres. Des études se sont donc attardées à isoler certaines caractéristiques individuelles permettant d’influencer le contexte des équipes de travail. Ainsi, l’effet de la composition des équipes a été étudié sous l’angle des traits de personnalité des membres, de leurs attitudes et de leurs valeurs, ou encore en fonction des habiletés cognitives démontrées par chacun des coéquipiers. Malgré quelques invitations répétées à étudier davantage la motivation des équipes de travail et de leurs membres, peu de travaux ont porté sur la composition motivationnelle de ce contexte collectif.
Dans la foulée des études portant sur les équipes de travail, on observe une tendance à ne considérer que la performance des équipes et des coéquipiers comme unique critère d’évaluation de leur efficacité. Devant les données alarmantes concernant les problèmes de santé psychologique vécus par les travailleurs, il appert qu’il est essentiel de se pencher sur les conditions nécessaires à mettre en place dans ce contexte de travail interpersonnel pour contribuer à la fois au bien-être et à la performance des coéquipiers.
Avec l’utilisation du cadre d’analyse proposé par la théorie de l’autodétermination, la présente thèse vise à répondre à ces enjeux. Le premier article de la thèse propose un modèle théorique qui définit en quoi la composition d’une équipe de travail, en regard des styles de régulations individuelles des membres de l’équipe, est susceptible d’affecter les relations interpersonnelles au sein de l’équipe et d’avoir un impact sur la performance et le bien-être des membres. S’appuyant sur les mécanismes d’émergence proposés par les théories multiniveaux, ce cadre théorique suggère également que, sous certaines conditions, la composition motivationnelle d’une équipe de travail puisse entraîner la formation d’un phénomène singulier de motivation d’équipe. Les mécanismes favorisant cette émergence sont présentés dans l’article.
Le second article de la thèse représente une première vérification empirique de certaines des propositions de l’article théorique. À partir d’un échantillon de 138 équipes, regroupant 680 travailleurs, il a été possible de vérifier, à partir d’analyses multiniveaux, l’impact de la composition autonome ou contrôlée d’une équipe sur la satisfaction au travail des participants. Les résultats de l’étude montrent qu’une forme de composition d’équipe de nature plus autonome est positivement reliée à la satisfaction des travailleurs. Plus encore, on observe une interaction entre la régulation autonome individuelle et la régulation autonome d’équipe quant à la satisfaction vécue au travail. Ainsi, la satisfaction au travail est plus élevée pour les participants dont le style de régulation est plus autonome et qui évoluent dans une équipe à composition motivationnelle plus autonome. Parallèlement, les résultats montrent que la composition motivationnelle plus contrôlée est négativement reliée à la satisfaction au travail.
De façon générale, la présente thèse souligne la pertinence de considérer le contexte sociomotivationnel émergeant de la composition de l’équipe en regard des styles de régulations individuelles des membres qui la composent. Cette thèse permet de considérer, avec un regard nouveau, la motivation des équipes de travail et les variables de motivation à évaluer dans la formation des équipes de travail au sein de nos organisations. / These days, the work team constitutes an indispensable form of task organization that increases organizational performance. It is now widely recognized that the composition of a work team can affect the effectiveness of that team - specifically, the quality of the interpersonal relationships and performance of its members. Studies have attempted to isolate the individual characteristics liable to influence the work team context. Indeed, the effects of the composition of a work team have been studied through the personality traits of its members, their attitudes and values, as well as the cognitive ability they have each demonstrated. Despite repeated insistence on studying the motivation in and of work teams, very little work has been done on the motivational composition within this collective context.
Within the large stream of research on work teams, the tendency seems to be to measure team effectiveness exclusively through team and team member performance. Faced with significant data concerning problems of psychological health among workers, it has become paramount to investigate the conditions under which work teams can contribute to both the well-being and performance of their members.
Using the analytical framework proposed by Self-Determination Theory, the present thesis seeks to address these issues. The first article of the thesis proposes a theoretical model that outlines how the composition of a work team, along with the regulatory styles of each of its members, can potentially affect the interpersonal relationships of team members, as well as their performance and well-being. Using Multilevel Theory’s processes of emergence, this model also suggests that, under certain conditions, the motivational composition of a work team can bring about the unique phenomenon of team motivation. The mechanisms facilitating the emergence of this phenomenon are presented in this article.
The second article of this thesis focuses on the first empirical verification of certain propositions from the theoretical article. From a sample of 138 teams comprising 680 workers, it was possible to verify, using multilevel analyses, the impact of either an autonomous or controlled motivational work team composition on the work satisfaction of participants. The results of this study show that a more autonomous work team composition is positively related to work satisfaction. Moreover, an interaction between individual autonomous regulation and the autonomous regulation of a team on satisfaction experienced at work was found. Thus, work satisfaction is higher for participants whose regulatory style is more autonomous and who are part of a team whose motivational composition is more autonomous. Conversely, the results show that a more controlled motivational composition is negatively related to work satisfaction.
Overall, this thesis highlights the importance of considering the socio-motivational context that emerges from the composition of a work team, in terms of the individual regulatory styles of each of its members. This thesis allows for a fresh perspective on work team motivation, as well as the motivational variables that should be evaluated when creating work teams within organizations.
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Le concept d'autonomie s'applique-t-il aux animaux?Côté-Boudreau, Frédéric 08 1900 (has links)
Dans ce mémoire, je cherche à déterminer pourquoi les animaux non humains ne sont pas considérés comme étant autonomes dans les théories libérales contemporaines. Pour ce faire, j’analyse deux conceptions traditionnelles de l’autonomie, soit l’autonomie en tant qu’agentivité morale et l’autonomie hiérarchique (en tant que capacité à agir selon ses désirs de second ordre), et je soutiens que ces deux conceptions ne réussissent pas à bien justifier le respect des choix personnels même chez les agents humains. J’avance que ces deux conceptions de l’autonomie mènent à des conclusions perfectionnistes et paternalistes à certains égards, ce qui est pourtant contraire à leur fonction. J’analyse ensuite quelques versions alternatives de l’autonomie qui ne reposent pas sur la possession de facultés morales ou rationnelles, avant de proposer une nouvelle conception de l’autonomie qui pourrait répondre aux problèmes soulevés et potentiellement reconnaître l’autonomie des animaux non humains. / In this M.A. research, I try to understand why nonhuman animals are not considered autonomous in the contemporary liberal theories. To do this, I analyze two main conceptions of autonomy, autonomy as moral agency and hierarchical autonomy (as the capacity to act according to second-order desires), and I argue that these conceptions both fail to justify the respect of personal choices even for human agents. I suggest that these two conceptions of autonomy lead to perfectionist and paternalist conclusions, although this is inconsistent with their function. I then review a few alternative versions of autonomy that do not rely on possessing moral or rational faculties, before sketching a new conception of autonomy that could answer the different issues raised during this research and potentially recognize the autonomy of nonhuman animals.
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Qualité de vie au travail : quels effets de facteurs organisationnels, psychosociaux et individuels sur le bien-être et le succès de carrière ? / Quality of life at work : what effects of organizational, psychological and individual factors on well-being and career success ?Dose, Eric 09 November 2018 (has links)
En lien avec les théories du bien-être, du succès de carrière, de l'autodétermination et de l'échange social, la thèse s'attache à cerner les déterminants organisationnels, psychosociaux et individuels du bien-être psychologique dans une perspective eudémonique et des succès de carrière objectif et subjectif avec comme mécanisme explicatif central la satisfaction des besoins psychologiques auprès des conseiller-es. En parallèle, cette thèse vise à valider plusieurs échelles (e.g., échelle d'auto-efficacité en conseil de carrière ; échelles de succès de carrière objectif et subjectif, échelle de gestion des carrières organisationnelle perçue...). Une première étape (étude 1) à l'aide d'entretiens exploratoires (N=15) a permis de cerner les concepts en lien avec bien-être et la réussite des conseillers. La deuxième étape, reposant sur un questionnaire, incluait les outils de mesure du bien-être psychologique au travail (BEPT) du succès e carrière, de la qualité es échanges leaders et membres (LMX), du soutien des colègues, du sentiment d'efficacité, de l'estime de soi et de la satisfaction des besoins psychologiques puis une échelle de mesure de la gestion organisationnelle de carrière. Les questionnaires ont été complétés par 1132 conseiller-es de l'accompagnement professionnel en France. La phase 1 (études 2 à6) a permis de tester des modèles avec analyses de médiations (Hayes & Preacher, 2014) auprès de la population totale puis des consiller-es en Cabinet de Conseil (N=287), des conseiller-es Psychologue de l'Education Nationale (N=297) et des conseiller-es de Pôle Emploi (N=224). La phase 2 (études 7,8,9) a testé et validé trois modèles à l'aide de modélisations en équations structurelles 5SEM) pour le bien-être psychologique au travail, les succès de carrière objectif et subjectif. Il en résulte que la satisfaction des besoins joue un rôle primordial dans l'émergence du bien-être psychologique au travail et des deux formes de succès de carrière facilitant les effets du soutien organisationnel et des échanges leader-membres ainsi que du sentiment d'auto-efficacité et de la satisfaction de carrière. Les implications scientifiques et pratiques sont discutées de manière générale et au regard de chaque type de population. / Based on theories of well-being, career success, self-determination, and social exchange, this thesis attempts to understand the organizational, psychosocial, and individual inducers of psychological well-being (PWB) and the objective and subjective forms of career success by taking into account need satisfaction as an explanatory mechanism. Another aim is to validate several scales (e.g., a carreer counseling self-efficiency scale, objective and subjective career scales, perceived organizational career scales, etc.). The first part (Study 1) using exploratory interviews (N=15) allowed us to identify some concepts related to the well-being and success of counselors. The second part, based on questionnaires, included scales of well-being at work, career success, leader-member exchange quality 5LMX), colleague support, self-efficacy, self-esteem, psychological needs, and perceived organizational career management. Questionnaires were filled out by 1132 counselors in France. Studies 2 to 6 tested specifically on counselors from counseling agencies (N=287), counselor psychologists working for theFrench Board of Education (N=297), and counselors from publicu unemployment agencies (N=224). Studies 7, 8, et 9 tested and validated three structural equation models (SEM) of well-being at work, and objective and subjective career success. The results showed the need satisfaction played a major role in well-being at work and both kinds of career success, thereby facilitating the effects of organizational support, leader-member exchange, self-efficacy, and career satisfaction. Scientific and practical implications are discussed in general and with regard to each type of participant group.
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Vers une meilleure compréhension de la rétroaction orientée vers le changement : observation objective, variations quotidiennes et déterminants en contexte sportifCarpentier, Joëlle 08 1900 (has links)
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La rétroaction négative optimale en sport : étude de l’impact relatif de la quantité et de la qualitéCarpentier, Joëlle 04 1900 (has links)
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L'influence de la perception de l'espace de travail sur les perceptions du bien-être et de la performance individuelle du salarié au travail : le cas de l'open space / The influence of the perception of the workspace on perceptions of well-being and job performance at work : the case of open plan officeAbou Hamad, Jeniffer 06 December 2013 (has links)
Durant ces dernières années, les espaces de travail n'ont cessé de changer, en fonction du type de l'organisation ou du travail effectué, mais surtout suite à la mondialisation, aux préoccupations environnementales et aux technologies de l'information et de la communication. L'espace est inhérent à toute situation de gestion, l'important est de déceler son influence sur les acteurs. Le travail perd peu à peu sa notion d'accomplissement de soi et les entreprises font face aujourd'hui à un mal-être des salariés. Cependant, le travail' ne se cantonne pas au stress ou aux troubles psychosociaux, mais il peut être une réalisation ou un dépassement de soi. Conséquemment, nous nous demandons dans quelle mesure la perception de l'espace de travail, notamment de l'open space, influence les perceptions du bien-être du salarié au travail ainsi que sa performance. Nous avons choisi une méthodologie mixte ayant pour finalité la complémentarité des méthodes. Cette stratégie permet de mobiliser simultanément une approche qualitative exploratoire et une approche quantitative. Notre recherche tend à démontrer une corrélation entre la perception de l'espace de travail et les perceptions de bien-être et de performance. S'il existe une relation significative d'une part entre la perception de l'espace de travail et la perception du bien-être au travail et d'autre part entre la perception de ce bien-être et de la performance individuelle, ce n'est pas le cas entre la perception de l'espace et de la performance. Cependant, nous pouvons nous demander si le bien-être du salarié serait un médiateur de la relation espace de travail et performance individuelle. / In recent years, workspaces have continued to change, depending on the type of organization or work, but mostly due to globalization, environmental concerns and information and communication technologies. Space is inherent to any management situation, it is important to detect its influence on the actors. Work gradually loses its notion of self-fulfillment, and companies today face an ill-being of employees. However, the work is not confined to stress or psycho social problems, but it can be a self-fulfillment. Consequently, we ask ourselves to what extent the perception of the workspace, particularly the open plan office, influences perceptions of well-being at work and job performance. We have chosen a mixed research methodology. This strategy allows us to simultaneously mobilize an exploratory qualitative approach and quantitative approach. Our research tends to show a correlation between the perception of the workspace and perceptions of well-being and job performance. If there is a significant relationship between the perception of the work space and the perception of well-being at work and between the perception of well-being and job performance, it is not the case between the perception of space and job performance. However, we wonder if the well-being of the employee may be a mediator of the relation between workspace and job performance.
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Le revenu de citoyenneté : entre émancipation et assujettissement. L'exemple du Basic Income Grant en NamibieChalifour, Julie 04 1900 (has links)
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