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Skånes språkliga försvenskning /Ohlsson, Stig Örjan. January 1979 (has links)
Akademisk avhandling--Nordisk språkvetenskap--Lund, 1979. / Résumé en anglais. Bibliogr. p. 158-160. Index.
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Représentations et pratiques du contact des langues en classe de FLE : place et rôle de l’anglais et de l’arabe dans l’enseignement et apprentissage du français à l’université en Libye : étude à partir d’observations et d’entretiens / Representations and practices of languages contact in class FLE : role and function of English and Arabic in teaching and learning French in LibyaMohamed, Muftah 12 December 2014 (has links)
L’apprentissage du français (L3), considéré comme une langue proche de l’anglais (L2) par des étudiants universitaires en Libye, a pu profiter d’un transfert de ressources apprises dans l’anglais (L2). L’accès au français (L3) a été favorisé grâce à l’anglais langue d’appui. Les apprenants connaissant l’anglais ainsi que leurs enseignants peuvent s’appuyer sur des acquis des apprentissages en anglais (L2) tels que la reconnaissance de l’alphabet français (majuscule minuscule attaché et détaché), ordre des mots, certains aspects grammaticaux (place et rôle du verbe être = to be). L’apprentissage de l’anglais offre ainsi aux apprenants des passerelles linguistiques mais aussi culturelles pour apprendre le français.Cependant il existe des représentations qui freinent l’utilisation de l’anglais comme langue d’appui : l’anglais L2 est considérée comme une langue est dangereuse pour l’apprentissage du français L3 ; il y a des risques de confusion, notamment entre les faux-amis lexicaux, et la classe du français doit être exclusivement consacrée au français et se dérouler en français.La langue arabe (LM) pour les étudiants et des enseignants semble jouer un rôle en assurant en dernier recours l’intercompréhension entre les apprenants et les enseignants. Mais, les monolingues, qui n’ont que l’arabe (LM), sont moins bien équipés que les bilingues, qui ont l’anglais L2, pour réaliser des transferts de connaissance quand il s’agit d’apprendre le français. L’anglais L2 aide les étudiants et les enseignants à gagner en temps et en effort pour apprendre et enseigner le français. / Learning french (L3), considered a similar language to english (L2) by university students in Libya, has benefited from a transfer of resources learned in English (L2). Access to French (L3) was favored with english language support. Learners who know English and their teachers can build on learning outcomes in English (L2) such as the recognition of the French alphabet, word’s order, certain grammatical aspects (place and role of the verb to be = to be). The learning of english (L2) provides the L3 learners also cultural bridges to learn French. However there are some representations that hinder the use of english as the language support: English L2 is considered as a dangerous language for learning the French language (L3); there is a risk of confusion, particularly between lexical false friends, and the class of French must be devoted exclusively to the French language and take place in French. Arabic (LM) for students and teachers seems to play a role in ensuring a last resort mutual understanding among learners and teachers. But monolinguals who have that Arabic (LM), are less well equipped than bilingual, with English L2, to achieve the transfer of knowledge when it comes to learn French. English L2 helps students and teachers to save time and effort to learn and teach French.
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Le bilinguisme dans les intéractions verbales des familles Gabonnaise à Libreville : la cas de trois familles fang / Bilingualism in social and oral communication among Gabonese families in Libreville area : the case study for three families originated with the ethnic language called fang.Ngningone Meviane, Marie-Thérèse 06 December 2014 (has links)
Libreville capitale du Gabon est une ville cosmopolite comme toutes les villes africaines. De nombreuses langues se partagent un même espace donné. Toutefois, deux langues se démarquent : le français, la langue officielle du pays et le fang, la langue ethnique de nos familles gabonaises. Elles parlent ces deux langues, donc bilingues, même si ces deux codes linguistiques sont maîtrisés différemment ; ce qui a pour effet des situations d’exolinguisme dans leurs interactions verbales familiales. Les enfants ayant une compétence plus grande que leurs parents, ils joueront le rôle de « locuteur fort », tout en préservant la « face » de leurs parents. Notre thèse se propose par cette étude microsociolinguistique, d’analyser l’utilisation de deux codes linguistiques par un groupe qui revendique une identité forte, de voir comment elle se traduit précisément chez ces familles gabonaises et de ressortir les représentations et les attitudes vis-à-vis de ces deux langues. / Libreville is the first city in Gabon; this town is as much as cosmopolitan such as any modern African cities. So, many languages are spoken due to the area and various ethnic cultures and people living within the region. Nevertheless, two languages have been predominant among them: The French Language in one hand which is the official and administrative language of the Country, and the other hand, the most spoken local language the fang.The Gabonese family speaks both of these two languages, then that makes them bilingual even if these two have different linguistics codes, so cause a proper way of mastering them technically, then it brings out the phenomenon of Exolinguistics in their oral interaction and communication. Having a greater capability than their parents, children play a role of strong speaker while at the same time keeping the shame away for their parents.At last, our study and research are all about to analyse the use of two linguistics codes shared by a group of people that claims a strong identity and also precisely how the behaviours and attitudes are affected in Gabonese families facing their bilingual side.
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L’influence de l’accentuation dans l’apprentissage de nouveaux mots chez les jeunes enfants unilingues et bilinguesGodbout-Beaulieu, Sophie January 2016 (has links)
Les présentes études ont comme but d’examiner les relations entre l’accentuation et la perception des contrastes consonantiques lors de l’apprentissage de nouveaux mots chez les nourrissons unilingues anglophones et bilingues de 17 et 20 mois. La tâche de choix visuel est utilisée à travers deux études afin d’explorer cette question de recherche. La première étude s’intéresse aux nourrissons unilingues, tandis que la seconde étude explore la performance des nourrissons bilingues. Nous prédisons que la sensibilité aux détails phonologiques s’améliore avec l’âge, que le contraste phonologique est mieux perçu lorsqu’il est accentué, que les nourrissons unilingues distinguent mieux les contrastes en syllabe initiale, que les nourrissons bilingues distinguent les contrastes consonantiques aussi bien en syllabe initiale qu’en syllabe finale et que les nourrissons unilingues et bilingues réussissent la tâche d’apprentissage lexical.
Les résultats de la première étude suggèrent que les nourrissons anglophones de 20 mois distinguent particulièrement mieux le contraste consonantique lorsque le changement est accentué et situé en position syllabique initiale, comme démontré par un temps de fixation de l’objet cible plus élevé lorsque le mot est prononcé correctement que lorsqu’il est prononcé incorrectement. L’accentuation semble aider les nourrissons de 17 et 20 mois à mettre en relief le changement consonantique en position syllabique initiale dans les premières 2 000 ms des essais. Les résultats de la deuxième étude indiquent que les nourrissons bilingues de17 et 20 mois distinguent les prononciations incorrectes des prononciations correctes. La position de l’accentuation semble influencer la perception du changement phonétique chez les nourrissons bilingues, avec une meilleure discrimination des détails phonétiques dans les mots iambiques. Toutefois, l’accentuation du contraste phonétique ne semble pas influencer leurs réponses. En somme, des différences développementales et linguistiques sont notées et discutées à travers nos études avec un avantage développemental chez les nourrissons bilingues.
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Nos autres: Écrits du Montréal anglophoneMilner, Valérie January 2016 (has links)
Cette thèse prend la forme d’un recueil de nouvelles littéraires de langue anglaise récentes (publiées entre 2002 et 2015), traduites vers le français; les œuvres, au nombre de dix, ont été sélectionnées en fonction du fait qu’elles prennent la ville de Montréal pour décor, et que leurs auteurs écrivent depuis, ou sur, cette ville. La thèse est donc sommairement divisée en deux parties : la première est constituée des traductions elles-mêmes, auxquelles on a tenté d’insuffler un ton et un registre proprement montréalais, étudiant de près le travail sur la langue effectué par chacun des auteurs. La seconde, de nature plus théorique, fait appel à certains principes traductologiques pour analyser la place de cette littérature de langue anglaise dans le paysage culturel du Québec d’aujourd’hui, ainsi que les implications sociolinguistiques et éthiques d’une telle entreprise. Une part importante de cette étude sera en outre consacrée à l’analyse littéraire de ces textes de l’urbanité, tant dans leur fond que dans leur forme, afin de mettre à jour les réflexions et les mécanismes ayant permis de mener à bien la re-création des nouvelles en français, langue avec laquelle, implicitement, elles cohabitent.
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Les fonctions exécutives chez les enfants : réévaluer "l'avantage du bilingue" à l'aide d'une nouvelle tâche développementaleDrolet, Marie Hélène Lucie Renée 22 December 2020 (has links)
L’étude des fonctions exécutives constitue un des principaux sujets de recherche à l’heure actuelle dans le domaine du bilinguisme. L’expérience unique des personnes bilingues associée au fait de devoir constamment jongler entre deux langues favoriserait le développement de certains processus cognitifs (p. ex. inhibition de la réponse, contrôle attentionnel, etc.) leur donnant ainsi un certain avantage. Cet avantage cognitif a cependant récemment été remis en question dû aux problèmes méthodologiques rencontrés dans plusieurs études le prônant et suite à l’impossibilité de reproduire leurs résultats. Dans le but de répondre à certaines de ces critiques, nous avons soumis 65 enfants (31 unilingues) de 4 à 6 ans à une nouvelle tâche courte et amusante visant à mesurer les fonctions exécutives. Les enfants ont été recrutés dans la communauté et testés à un Living Lab. La tâche était constituée de 20 essais durant lesquels les participants devaient sélectionner l’un des cinq objets ne correspondant pas à ce qui était représenté sur des cartes, en termes de forme et de couleur. La performance des participants a été analysée en tenant compte de leur expérience linguistique, de leur âge et de leur statut socio-économique. Les résultats ont indiqué un effet d’âge sur la performance. Aucune différence de performance attribuable à l’expérience linguistique des participants ou à leur statut socio-économique n’a été observée. Nos résultats ne fournissent donc pas de preuve pouvant soutenir la présence d’un avantage associé au fait de parler deux langues.
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Ressources linguistiques et visée référentielle chez des individus bilingues français-anglais : l’alternance codique comme stratégie d’expression sur le plan lexicalVogh, Kendall 22 May 2018 (has links)
L’alternance codique est un comportement langagier incontournable partout où il y a du multilinguisme. Elle est aussi un phénomène complexe dont une description juste ne sera possible que par la mise en commun d’une diversité de traditions empiriques et épistémologiques. Cependant, elle n’est qu’exceptionnellement abordée dans une perspective où l’on tient compte de ce que le locuteur exprime sur le plan sémantique au moyen de ses alternances. Cette étude vise à combler cette lacune en mettant sur pied une méthode d’analyse des occurrences d’alternance codique qui permettra de prendre en compte les possibles intentions référentielles du locuteur, et ce, dans un cadre d’analyse qui envisage le locuteur bilingue comme un usager pleinement impliqué dans l’emploi de ses ressources linguistiques. Cette méthode sera élaborée à travers une analyse quantitative et qualitative sur corpus, à savoir des corpus de conversations semi-dirigées enregistrées auprès des locuteurs bilingues anglais-français de l’Alberta et du Maine. Dans l’ensemble, les résultats démontrent que cette méthode est fructueuse. Même avec plusieurs restrictions pratiques, il a été possible d’identifier des tendances dans l’usage d’unités faisant l’objet d’alternance codique, tendances qui peuvent être attribuées à ce que l’unité est employée pour exprimer. Notamment, les locuteurs dont les productions sont étudiées semblent produire de l’alternance codique afin de se prévaloir des unités lexicales qui structurent et gèrent l’interaction d’une manière précise, orientent l’interprétation des énoncés et jouent un rôle dans l’entretien des relations interpersonnelles et la protection des faces. De plus, il en ressort que l’alternance codique elle-même est une ressource linguistique qui peut servir à ancrer la visée référentielle. Ces résultats indiquent que non seulement on peut, mais on doit prendre en compte la dimension de l’expression sémantique dans l’étude de l’alternance codique comme une partie constitutive des habitudes de pratique, des compétences communicatives, et ultimement, des expériences vécues des locuteurs bilingues. / Code-switching is an undeniable fact of language activity for multilingual individuals and communities everywhere. It is also a complex phenomenon, a complete description of which is impossible without combining a multiplicity of empirical and epistemological traditions. However, code-switching is only rarely studied from a semantic perspective, in which the meanings the speaker seeks to express through switched lexical units are taken into account as a possible reason for the switch. This study endeavours to fill a gap in the literature by establishing a method of analysis that takes such meanings into account, within a framework that considers bilingual speakers as fully-involved agents in the use of their linguistic resources. This method is elaborated through a qualitative and quantitative analysis of corpus data, specifically audio or audio-visual recordings of semi-structured interactions between French-English bilinguals in Alberta and in Maine. The results of this study indicate that the method put forward is productive. In spite of several practical restrictions on the data and the analysis, it was possible to identify trends in the usage of code-switched units that can be attributed to the meanings those units are used to express. In particular, the speakers whose productions were studied appear to code-switch in order to avail themselves of lexical units that help to structure and manage the interaction in specific ways, direct the interpretation of utterances, perform face-protecting acts, and manage interpersonal relationships. What is more, code-switching itself appears to be a linguistic resource that has semantic value. These results demonstrate that it is not only possible but necessary to include the dimension of semantic expression in the field of code-switching research, since it forms an integral part of the language practices, the communicative competences, and ultimately, the lived experiences of bilingual speakers.
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Étude des rapports entre jeunes francophones et anglophones dans des collèges anglophones du QuébecCôté, Benoit January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Structural Language and Nonverbal Ability Profiles in Monolingual and Bilingual Children with ASD / Les profils de langage structurel et habilités non verbales chez enfants monolingues et bilingues avec TSASilleresi, Silvia 10 December 2018 (has links)
Le diagnostic de Trouble du Spectre Autistique (TSA) prévoit une spécification pour toutes les occurrences de trouble du langage et/ou déficience intellectuelle. En ce qui concerne les troubles du langage, plusieurs études ont montré que chez les enfants avec TSA il existe un sous-groupe d’enfants qui manifestent des troubles sévères du langage structurel, en morphosyntaxe et phonologie (TSA-TL) similaires à ceux rencontrés chez les enfants avec Trouble Spécifique du Langage (TSL), alors que le reste des enfants présentent des habilités langagières dans la norme (TSA-LN), comme les enfants à développement typique (DT). Concernant les déficits cognitifs, les études actuelles qui ont une large population ont mis en évidence que près d’un tiers des individus appartenant au spectre présentent une déficience intellectuelle. / A diagnosis of Autism Spectrum Disorder (ASD) includes specification of any co-occurrence with language impairment and/or cognitive disabilities. Regarding language impairment, studies have reported that among verbal children with ASD a subgroup of children manifests significant structural language impairment (ASD-LI), similar to the one displayed by children with Specific Language Impairment (SLI), while the rest display normal abilities (ASD-LN), like those found in Typically Developing (TD) children. Regarding cognitive disabilities, current large-scale studies have found that roughly one-third of individuals on the autism spectrum are affected.
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Le bilinguisme chez les familles montréalaises d'origine mexicaine : additif ou soustractif?Sierra Salas, Hilda January 2008 (has links) (PDF)
Cette recherche s'inscrit dans le cadre de la sociologie du langage et porte sur le type de bilinguisme des individus en situation minoritaire. Selon Landry et Allard (1990), la vitalité des membres d'une minorité linguistique a un impact sur le vécu langagier et culturel de cette communauté, et par conséquent, sur son développement langagier. Nous nous inspirons du modèle macroscopique des déterminants du bilinguisme additif et du bilinguisme soustractif développé par ces auteurs, pour déterminer le type de bilinguisme des familles montréalaises d'origine mexicaine. Pour réaliser notre recherche, nous avons recueilli des données sur les différents services et ressources en espagnol auxquels les Montréalais d'origine mexicaine peuvent avoir accès. De plus, nous avons fait passer un questionnaire à nos 101 participants (68 adultes et 33 adolescents) pour recueillir des données concernant leur réseau individuel de contacts linguistiques et leurs attitudes vis-à-vis de l'espagnol. C'est à partir de ces informations que nous avons évalué et comparé le type de bilinguisme des parents et de leurs enfants adolescents. Les résultats de notre enquête ont montré que le bilinguisme des parents est de type additif et celui de leurs enfants nés ou arrivés au Canada à un âge préscolaire est de type soustractif. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sociologie du langage, Bilinguisme additif et soustractif, Espagnol, Mexicain.
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