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Zwischen Adelethos und Demokratie : archäologische Quellen zu den Hippeis im archaischen und klassischen Athen /

Schäfer, Martin, January 2002 (has links)
Texte remanié de: Diss.--München--Ludwigs-Maximilians-Universität, 1999. / Notes bibliogr. Index.
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Reiter, Reiterkrieger und Reiternomaden zwischen Rheinland und Korea : zur spätantiken Reitkultur zwischen Ost und West, 4.-8. Jahrhundert nach Chr. : ein Beitrag zur Synthese von Alter Geschichte und Archäologie /

Jäger, Ulf. January 2006 (has links)
Dissertation--Münster--Westfälische Wilhelms-Universität, 2003. / Bibliogr. p. 158-188.
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Lunéville : une garnison de cavalerie dans l'espace frontalier lorrain, 1873-1921. Représentation et évolution d'une division de cavalerie aux avants-postes / Luneville a garrison of cavalry in the border area Lorrain, 1873-1921. Representation and evolution and a cavalry division at the forefront

Bourcart, Jean 23 October 2013 (has links)
Intimement liée à l'histoire de la Lorraine, Lunéville est marquée par une spécificité cavalière dès le XVIIIe siècle, notamment à partir de son rattachement définitif au royaume de France en 1766. Patiemment établie comme une cité cavalière de référence et d'excellence, Lunéville s'affiche après la guerre de 1870-1871 comme une garnison de cavalerie majeure aux avant-postes de la Lorraine annexée. A quelques distances de la vie civile et militaire de la cité, la nouvelle frontière entre la République française et l'Empire allemand fait alors l'objet de toutes les attentions jusqu'à la fin de la Première Guerre mondiale. Dans le cadre des travaux portant sur l'histoire militaire de la France en général et sur l'histoire de la cavalerie française en particulier, une étude spécifique sur la 2e division de cavalerie et ses unités stationnant à Lunéville de 1873 à 1921, offre l'opportunité de cerner la vie de garnison de la cité cavalière lorraine dans un espace chronologique borné par deux temps de reconstruction post-conflictuel entre la France et l'Allemagne. En abordant le sujet sur le plan évènementiel aussi bien que dans le registre de l'histoire des représentations, ce travail souligne en outre la contribution des acteurs de la garnison aux évolutions techniques et tactiques de la cavalerie française, ainsi qu'à la vie d'une cité lorraine. / Closely connected to the history of Lorraine, Luneville is marked by its famous riding tradition as early as the eighteenth century, in particular from its final attachment to the kingdom of France in 1766. Gradually established as a model cavalry town, Luneville appears after the 1870-1871 war as a major cavalry garrison in the outpost of the annexed Lorraine. Somewhat far the civil and military life of this town, the new border between the French Republic and the German Empire was then the subject of much attention until the end of the First World War. As part of the works on the military history of France in general and the history of the French cavalry in particular, a specific study on the 2nd Cavalry Division and its units stationed in Luneville from 1873 to 1921 offers the opportunity to identify the garrison life of this Lorraine cavalry town in a period comprised between two chronologically post-conflict reconstruction phases between France and Germany. By addressing the subject from the history of events as well as the history of representations viewpoints, this thesis also highlights the major contribution of the garrison to the technical and tactical developments of the French cavalry, and to the life in a Lorraine specific town.
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L'arme blindée et cavalerie en Guerre d'Algérie : adaptation d'un système d'arme en archaïsme et modernité 1954-1962 / The adaptation of the French Armored Cavalry during the Algerian war : between archaism and modernity, 1954-1962

Noulens, Thierry 18 November 2011 (has links)
En 1954, l’Arme Blindée et Cavalerie (ABC) est une arme qui monte en puissance pour faire face à la menace soviétique en Europe. Le général inspecteur de cette arme voit s’achever la guerre d’Indochine avec un soulagement car il pense pouvoir se consacrer pleinement à cette tâche. Aussi, est-ce avec une certaine réticence, qu’à partir de 1955, il fournit à la Xe région militaire (Algérie) les renforts qu’elle réclame. L’organisation opérationnelle des corps, l’instruction du personnel et le programme d’équipement s’en trouvent très perturbés. Voulant à la fois maintenir sa capacité opérationnelle en Europe et faire face aux besoins de l’Algérie, le commandement désorganise l’ABC. Les unités blindées ne sont adaptées ni à un conflit de type insurrectionnel, ni au terrain particulier de l’Algérie. Pourtant, à partir de 1958, elles donnent satisfaction. Leur composante portée s’est développée, leur puissance de feu et leur mobilité sont mises pleinement à profit sur les barrages, et les unités à cheval, qui ont refait leur apparition, sont employées plus judicieusement sur des terrains favorables. Mais cette adaptation s’est faite au prix de grands sacrifices. Le vieux matériel américain n’est remplacé que très progressivement soit par des engins français modernes (EBR ou AMX 13), que le commandement a le sentiment de gaspiller, soit par des nouveaux matériels (Ferret, AML 60, ou AMX 13 à tourelle de M24) qui ne peuvent être employés qu’en Algérie et dont l’acquisition se fait au détriment du char de 25 t dont doit pourtant être équipée l’ABC d’urgence. En somme, l’ABC aurait rencontré les pires difficultés si le conflit avait dû se prolonger au-delà de 1962. / In 1954, the French Armored Cavalry was a corps that was aiming to get stronger to face the Soviet threat in Europe. The Inspector General of this corps was relieved when the war in Indochina ended because he thought he could rededicate himself to this task. So it was with some reluctance, that from 1955 on wards, he provided the tenth military region (Algeria) with the reinforcements it required. The operational organization of the units, personnel training and equipment program found it very disturbing. Seeking both to maintain its operational capacity in Europe and meet the needs of Algeria, the command reorganized the Armored Cavalry. Armored units were not adapted neither to counter-insurgency, neither to the particular terrain in Algeria. Yet in 1958, they gave satisfying result. The vehicle-mounted infantry had been expanded, their firepower and mobility were expertly used over fences; and horseback units were re-created and deployed more wisely on a favorable terrain. But this re-organization cost very much. The old American equipment was only gradually replaced by French modern equipment (EBR or AMX 13), the command considering this equipment was being wasted. The new materials (Ferret, AML 60, or AMX 13 with M24 turret) could only in Algeria and their acquisition was at the expense the 25 ton tank. However, the French Armored Corps urgently needed this battle tank. To sum up, the Armored Cavalry would have encountered severe difficulties if the conflict had been extended beyond 1962.
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Les cultures équestres du monde hellénistique : une histoire culturelle de la guerre à cheval (ca. 350 - ca. 50 a.C.) / The Equestrian Cultures of the Hellenistic World : une histoire culturelle de la guerre à cheval (ca. 350 - ca. 50 B.C.)

Clément, Jérémy 24 November 2018 (has links)
Les campagnes militaires de Philippe II et d’Alexandre le Grand ont bouleversé les équilibres politiques et militaires du monde grec classique. En développant une pensée militaire fondée sur la coordination des armes et non sur le primat de l’infanterie, ils ont donné à la cavalerie une importance tactique qu’elle n’avait pas dans les armées civiques de la période classique. L’épopée d’Alexandre représente, à cet égard, une aventure collective de dizaines de milliers d’hommes et de chevaux. Elle initie une conception de la guerre dans laquelle les chevaux sont des acteurs incontournables, infléchissant la stratégie, la tactique et la logistique de campagne. Dès lors, la production, la formation et la remonte des chevaux de guerre constituent des enjeux primordiaux de la construction des royaumes hellénistiques, car les dynasties des successeurs d’Alexandre se sont constamment préoccupées d’entretenir de cavaleries puissantes.Dans cette aventure cavalière, les cités emboitent le pas aux royaumes hellénistiques avec les ressources dont elles disposent, réformant leurs cavaleries ou en constituant de nouvelles, souvent dans une perspective fédérale leur permettant de nourrir de plus grandes ambitions militaires. Cela implique de trouver des chevaux, mais aussi des hommes capables de les monter et de les entretenir. Le consensus social établi entre les autorités civiques et les élites cavalières – une « classe d’écuyers » loin d’être homogène – diffère fortement d’une cité à l’autre en fonction de la culture équestre locale, c’est-à-dire des usages, pratiques et représentations des hommes de cheval dans le cadre – politique, économique et social – de la communauté civique à laquelle ils appartiennent. Les cultures équestres régionales ont donc en partie déterminé la capacité des cités à développer leurs cavaleries, mais, en retour, les mutations politiques et militaires de l’époque hellénistique ont considérablement influencé la culture équestre des élites en en renouvelant les pratiques – du prestige de l’hippotrophia aux réalités de l’équitation militaire – et en l’associant plus fortement qu’avant aux destinées politiques de la cité, à ses valeurs et à son système de représentation. / The military campaigns of Philip II and Alexander the Great upset the political and military balance of the classical Greek world. By developing a military way of thinking based on the coordination of arms and not on the primacy of the infantry, they gave the cavalry unprecedented tactical importance compared to other civil armies in the classical period. Alexander the Great's epic is, in this respect, a collective adventure of tens of thousands of men and horses. It introduced a conception of war in which horses were key players, bending strategy, tactics and campaign logistics. From then on, the production, training and upbringing of war horses became primordial issues in the construction of the Hellenistic kingdoms, because Alexander's successors' dynasties were constantly concerned with maintaining a powerful cavalry.In this equestrian adventure, the cities followed in the Hellenistic kingdoms' footsteps with the resources available to them: they reformed the cavalry or created new units, often in a federal perspective allowing them to feed greater military ambitions. This involved finding horses, but also men to mount and care for them. The social consensus established between the civic authorities and the cavalier elites - a far from homogeneous "squire class" - which differed greatly from one city to another depending on the local equestrian culture, i.e. the uses, practices and representations of horsemen in the political, economic and social context of the civic community to which they belonged. Regional equestrian cultures thus partly determined the capacity of cities to develop their cavalry, but, in return, the political and military changes of the Hellenistic period considerably influenced the elite's equestrian culture by renewing its practices - from the prestige of hippotrophia to the realities of military riding - and associating it more strongly than before with the political destinies of the city, its values and its system of representation.
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15 mai 1940, le mercredi de La Horgne : de la mémoire à l’histoire. La campagne de mai-juin 1940 de la 3e Brigade de Spahis / Wednesday, May 15, 1940 at La Horgne : from Memory to History. The 1940 May-June campaign of the 3rd Spahis Brigade

Moné, Thierry 05 September 2016 (has links)
Le mercredi 15 mai 1940, dans le petit village ardennais de La Horgne à l’ouest de Sedan, les cavaliers de la 3e Brigade de Spahis (2e Régiment de Spahis Algériens de Tlemcen et 2e Régiment de Spahis Marocains de Marrakech) tentent d’arrêter une partie de la plus moderne Panzer-Division de la Wehrmacht. L’histoire commémorative a retenu que la 3e Brigade de Spahis aurait été tout simplement « anéantie » en une dizaine d’heures de combats, non sans avoir auparavant mis hors de combat un bon millier de soldats allemands. De son côté, l’histoire scientifique dénombre 50 Spahis et 31 soldats allemands tués. Plus de 76 ans après les faits, il est plus que temps d’en finir avec la légende du « massacre inutile de 700 Spahis chargeant à cheval les chars allemands à La Horgne ». / Wednesday, May 15, 1940, in the small Ardennes village of La Horgne, west of Sedan, the troopers of the 3rd [Cavalry] Brigade of Spahis (2nd Regiment of Algerian Spahis from Tlemcen and 2nd Regiment of Moroccan Spahis from Marrakech) try to stop a part of the most modern Panzer-Division of the Wehrmacht. Commemorative History has focused on a 3rd Brigade of Spahis that was simply "annihilated" in about ten hours of fighting, but not before putting out of action a thousand German soldiers. For its part, the scientific History takes into account 50 Spahis and 31 German soldiers killed in action. More than 76 years after the fact, it is more than time to put an end to the legend of the "useless slaughter of 700 Spahis charging German tanks on horseback at La Horgne".
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La cavalerie romaine des Sévères à Théodose / The Late Roman Cavalry (193-395 A.D.)

Méa, Corentin 04 June 2014 (has links)
Dans son ouvrage de référence L'Empire romain en mutation des Sévères à Constantin (192-337 p.C.), Jean-Michel Carrié évoque les changements intervenus dans les armées au cours du IIIe et du début du IVe siècles. Selon lui, “les tâches de patrouille aux frontières, la nécessité d'intervenir rapidement dans les secteurs menacés, a imposé une plus grande mobilité”. En échos à l'historiographie du XXe siècle, il n'hésite pas à parler pour l'année 378 p.C. d'une “armée largement reconvertie à l'arme équestre” au moment de la bataille d'Andrinople. L'idée d'une montée en puissance de l'arme de cavalerie au sein de l'armée romaine entre les règnes de Septime Sévère et de Théodose n'est pas nouvelle. Tous les auteurs abordant le sujet de l'évolution de l'armée romaine tardive mettent en exergue le renouveau de la cavalerie. Leur argumentaire repose essentiellement sur une source, la Notice des Dignités, et sur le fait que Gallien aurait créé un commandement de cavalerie vers 256 p.C. Il convient donc de reprendre tous les éléments du dossier et de s'interroger sur la réalité de cette “armée largement convertie à l'arme équestre”. Y a-t-il des changements structurels majeurs et un renouvellement de la hiérarchie ? Les missions attribuées, tant militaires que civiles, sont-elles vraiment différentes par rapport à celles du Haut-Empire ? Dans un premier temps, nous favorisons une approche chronologique des métamorphoses intervenues au sein de l'arme de cavalerie. Cette dernière est composée à l'orée du IIIe siècle de trois types d'unités héritées de l'armée du Principat : les alae, les cohortes equitatae et les equites legionis. La première partie s'intéresse à leur transformation -ci au cours des IIIe et IVe siècles. La deuxième partie se penche sur les innovations intervenues entre les règnes de Gallien et de Dioclétien. La troisième partie se concentre sur les mutations du IVe siècle de Constantin à Théodose. Dans un deuxième temps, il convient de revenir sur le quotidien des unités de cavalerie lorsqu'elles sont stationnées dans les camps ou les forts de l'Empire. La quatrième partie, traite ainsi, en deux volets, la vie en garnison. Dans un troisième et dernier temps, nous cherchons à déterminer les éventuels perfectionnements de l'arme de cavalerie. La cinquième partie est centrée sur le couple du cavalier et du cheval. Enfin, dans une sixième partie, il nous faut comprendre la nouvelle place occupée par la cavalerie au sein de l'armée romaine tardive en étudiant la physionomie du combat de cavalerie. / In his reference book L'Empire romain en mutation des Sévères à Constantin (192-337 p.C.), Jean-Michel Carrié evokes changes in the late Roman army. He notes that “tasks of border patrols and the need of quick intervention in threatened areas imposed a better mobility”. Echoing to twentieth-century historiography, he argues that the Roman army appears “largely converted to the cavalry” at the Battle of Adrianople (378 A.D.) Several historians have already written about the rise of the weapon of cavalry in the Roman army during the reigns of Septimius Severus and Theodosius. All of them agree to highlight the revival of cavalry when dealing with the evolution of the Late Roman army. Considering that Gallienus would have created a command of cavalry in 256 A.D., theirs works are mainly based upon the analysis of a fourth-century document called the Notitia Dignitatum. We endeavour to reopen the case in order to question the reality of an army supposedly “largely converted to the cavalry”. Were there such things as great structural changes and a renewal of the hierarchy? Would assigned missions, both military and civilian, be very different in the Late Empire than they were in the Early Empire?
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Le combat de cavalerie dans le monde romain du Ier siècle a.C. au VIe siècle p.C. / Cavalry warfare in the Roman world from the 1st century BC to the 6th century AD

Petitjean, Maxime 09 December 2017 (has links)
L’étude a pour objet le combat de cavalerie dans le monde romain du Ier siècle a.C. au VIe siècle p.C. Il s’agit d’un travail de synthèse, traitant de la doctrine d’emploi de la cavalerie aux époques impériale et proto-byzantine. Les questions organisationnelles et stratégiques sont abordées, mais la focale est surtout mise sur la tactique et la physionomie du combat. L’objectif de cette recherche est de rendre compte de l’évolution de l’art de la guerre durant la fin de l’Antiquité en analysant spécifiquement les enjeux liés au développement et à l’utilisation de la cavalerie. L’importance croissante des troupes montées dans la stratégie impériale marque en effet une rupture importante dans l’histoire de l’armée romaine. Au primat des guerres offensives, de la bataille rangée et de l’infanterie lourde succède progressivement celui de la temporisation, de la guérilla frontalière et des cavaliers-archers. Ces changements, qui n’ont jamais fait l’objet d’une analyse approfondie, sont ici situés dans le temps long de l’Antiquité romaine. Le dialogue des sources narratives, techniques, figurées et archéologiques permet de dégager un schéma évolutif cohérent, un « développement organique des formes de combat » (Hans Delbrück) que nous nous efforçons de réinscrire dans le contexte plus large de l’évolution de la culture militaire impériale, en attachant une importance particulière au rapport des Romains à la guerre et à leur perception idéale des rôles respectifs de l’infanterie et de la cavalerie. / This study is about cavalry warfare in the Roman world from the 1st century BC to the 6th century AD. It is a work of synthesis dealing with the employment doctrine of cavalry in the imperial and early Byzantine eras. Organizational and strategic issues are discussed, but the focus is mainly put on tactics and battle mechanics. The aim of this research is to account for the evolution of the art of war during the end of Antiquity by analyzing specifically the stakes involved in the development and use of cavalry. The growing importance of mounted troops in the imperial strategy marks an important change in the history of the Roman army, with a gradual shift from offensive warfare, pitched battle and heavy infantry toward deception, frontier warfare and mounted archery. These changes, which have never been the subject of a thorough analysis, are here reviewed in the overall context of Roman history. The cross-analysis of narrative, technical, iconographic and archaeological sources reveals a coherent evolutionary pattern, an "organic development of forms of combat" (Hans Delbrück), which we endeavor to reinsert in the wider context of a changing Roman military culture, attaching particular importance to the Romans' relationship to warfare and to their ideal perception of the respective roles of infantry and cavalry.

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