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Le contrôle judiciaire du droit de vote et d'éligibilité sous le régime de la Charte canadienne des droits et libertés : défis et limites de la légalitéPerrault, Stéphane January 1997 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Constitutional rights and judicial review of legislation in a democracy : the example of section 1 of the Canadian Charter of Rights and FreedomsBass, Heidi January 1998 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La condition constitutionnelle des Canadiens dans l'oeil de la science politique canadienne - 1982-2010Racine, Jean-Claude 22 August 2011 (has links)
Comment la littérature politologique relative à la réforme constitutionnelle de 1982 rend-elle compte de la condition constitutionnelle des Canadiens ? L’auteur apporte une réponse originale à cette question en proposant une typologie qui fait découler la pluralité des récits politologiques sur la réforme constitutionnelle de 1982 de la déclinaison d’un même paradigme discursif, le paradigme contractualiste, en vertu duquel la constitution du Canada est un contrat entre gouvernements souverains. Le paradigme contractualiste se décline en quatre trames explicatives distinctes : la trame institutionnaliste, qui explore l’effet paralysant du double conflit inscrit dans la Loi constitutionnelle de 1982 entre une constitution des citoyens fondée sur la Charte canadienne des droits et libertés et une constitution des gouvernements, fondée sur la procédure formelle de modification de la Constitution ; la trame réformiste, qui cherche à surmonter ce double-conflit sans modifier formellement la Loi constitutionnelle de 1982 ; la trame organiciste, qui s’intéresse au pourvoir « constituant » des tribunaux ; et la trame idéaliste, qui propose la renégociation du contrat constitutionnel canadien à partir de nouveaux principes. L’auteur termine cet exercice d’interprétation en constatant l’épuisement du paradigme contractualiste et son remplacement prévisible par un paradigme successeur en devenir.
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La condition constitutionnelle des Canadiens dans l'oeil de la science politique canadienne - 1982-2010Racine, Jean-Claude 22 August 2011 (has links)
Comment la littérature politologique relative à la réforme constitutionnelle de 1982 rend-elle compte de la condition constitutionnelle des Canadiens ? L’auteur apporte une réponse originale à cette question en proposant une typologie qui fait découler la pluralité des récits politologiques sur la réforme constitutionnelle de 1982 de la déclinaison d’un même paradigme discursif, le paradigme contractualiste, en vertu duquel la constitution du Canada est un contrat entre gouvernements souverains. Le paradigme contractualiste se décline en quatre trames explicatives distinctes : la trame institutionnaliste, qui explore l’effet paralysant du double conflit inscrit dans la Loi constitutionnelle de 1982 entre une constitution des citoyens fondée sur la Charte canadienne des droits et libertés et une constitution des gouvernements, fondée sur la procédure formelle de modification de la Constitution ; la trame réformiste, qui cherche à surmonter ce double-conflit sans modifier formellement la Loi constitutionnelle de 1982 ; la trame organiciste, qui s’intéresse au pourvoir « constituant » des tribunaux ; et la trame idéaliste, qui propose la renégociation du contrat constitutionnel canadien à partir de nouveaux principes. L’auteur termine cet exercice d’interprétation en constatant l’épuisement du paradigme contractualiste et son remplacement prévisible par un paradigme successeur en devenir.
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La condition constitutionnelle des Canadiens dans l'oeil de la science politique canadienne - 1982-2010Racine, Jean-Claude 22 August 2011 (has links)
Comment la littérature politologique relative à la réforme constitutionnelle de 1982 rend-elle compte de la condition constitutionnelle des Canadiens ? L’auteur apporte une réponse originale à cette question en proposant une typologie qui fait découler la pluralité des récits politologiques sur la réforme constitutionnelle de 1982 de la déclinaison d’un même paradigme discursif, le paradigme contractualiste, en vertu duquel la constitution du Canada est un contrat entre gouvernements souverains. Le paradigme contractualiste se décline en quatre trames explicatives distinctes : la trame institutionnaliste, qui explore l’effet paralysant du double conflit inscrit dans la Loi constitutionnelle de 1982 entre une constitution des citoyens fondée sur la Charte canadienne des droits et libertés et une constitution des gouvernements, fondée sur la procédure formelle de modification de la Constitution ; la trame réformiste, qui cherche à surmonter ce double-conflit sans modifier formellement la Loi constitutionnelle de 1982 ; la trame organiciste, qui s’intéresse au pourvoir « constituant » des tribunaux ; et la trame idéaliste, qui propose la renégociation du contrat constitutionnel canadien à partir de nouveaux principes. L’auteur termine cet exercice d’interprétation en constatant l’épuisement du paradigme contractualiste et son remplacement prévisible par un paradigme successeur en devenir.
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La condition constitutionnelle des Canadiens dans l'oeil de la science politique canadienne - 1982-2010Racine, Jean-Claude January 2011 (has links)
Comment la littérature politologique relative à la réforme constitutionnelle de 1982 rend-elle compte de la condition constitutionnelle des Canadiens ? L’auteur apporte une réponse originale à cette question en proposant une typologie qui fait découler la pluralité des récits politologiques sur la réforme constitutionnelle de 1982 de la déclinaison d’un même paradigme discursif, le paradigme contractualiste, en vertu duquel la constitution du Canada est un contrat entre gouvernements souverains. Le paradigme contractualiste se décline en quatre trames explicatives distinctes : la trame institutionnaliste, qui explore l’effet paralysant du double conflit inscrit dans la Loi constitutionnelle de 1982 entre une constitution des citoyens fondée sur la Charte canadienne des droits et libertés et une constitution des gouvernements, fondée sur la procédure formelle de modification de la Constitution ; la trame réformiste, qui cherche à surmonter ce double-conflit sans modifier formellement la Loi constitutionnelle de 1982 ; la trame organiciste, qui s’intéresse au pourvoir « constituant » des tribunaux ; et la trame idéaliste, qui propose la renégociation du contrat constitutionnel canadien à partir de nouveaux principes. L’auteur termine cet exercice d’interprétation en constatant l’épuisement du paradigme contractualiste et son remplacement prévisible par un paradigme successeur en devenir.
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Intégration scolaire des élèves handicapés par une déficience intellectuelle et droit à l'égalitéVenditti, Raymonde 07 1900 (has links)
"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maître en droit (LL.M.)" / Est-ce que la décision de ne pas intégrer un élève handicapé sur le plan intellectuel dans
une classe régulière est un acte discriminatoire au sens où elle viole les droits à l'égalité
garantis par l'article 10 de la Charte québécoise et par l'article 15 de la Charte canadienne?
L'hypothèse formulée en réponse à cette question est: oui, cette décision est
discriminatoire parce qu'elle est fondée sur un motif illicite, à savoir le handicap.
Une fois établi le cadre conceptuel de cette recherche en précisant le sens des concepts de
discrimination, de handicap et d'intégration, l'étude de quelques décisions de la Cour
d'appel du Québec révèle que, pour cette Cour, la norme d'égalité n'est pas la classe
régulière, ce qui met en sourdine la conception de l'intégration comme droit objectif
garantissant l'égalité.
Ensuite, l'analyse de l'arrêt Eaton de la Cour d'appel de l'Ontario montre comment cette
décision a suscité l'enthousiasme de ceux qui croyaient avoir trouvé dans le droit à l'égalité
garanti par l'article 15 de la Charte canadienne un appui ferme pour l'intégration.
Toutefois, la position de la Cour suprême dans l'arrêt Eaton a refroidi cet enthousiasme en
rejetant toute présomption en faveur de l'intégration, lui préférant le critère du meilleur
intérêt de l'enfant comme garant du droit à l'égalité pour les élèves intellectuellement
handicapés. Ainsi, pour la Cour, le fait de ne pas intégrer ces élèves ne constitue pas en soi
une forme de discrimination. / Does the decision not to integrate an intellectually disabled student in a regular c1ass
constitute a discriminatory action in the sense that it violates equality rights guaranteed by
section 10 of the Quebec Charter and by section 15 of the Canadian Charter ? The
hypothesis formulated as an answer to that question is : yes, that decision is discriminatory
because it is based on a forbidden ground, namely disability.
The conceptual framework of this research is established by defining the concepts of
discrimination, disability and integration. Then, the study of sorne Quebec Court of
Appeal's decisions shows that in this Court's view the equality standard is not the regular
c1ass, a position that underscores the conception of integration as an objective right
ensuring equality.
Next, the analysis of the Ontario Court of Appeal's decision in Eaton shows how that
decision has aroused the enthusiasm of those who thought that they had found a firm
support for integration in the equality rights guaranteed by section 15 of the Canadian
Charter.
However, the Supreme Court's ruling in Eaton has dampened that enthusiasm by rejecting
any presumption in favor of integration, and rather adopting the child's best interest
criterion as ensuring equality rights for intellectually disabled students. Thus, in the Court' s
view, the fact of non integrating those students does not by itself constitute a form of
discrimination.
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Intégration scolaire des élèves handicapés par une déficience intellectuelle et droit à l'égalitéVenditti, Raymonde 07 1900 (has links)
Est-ce que la décision de ne pas intégrer un élève handicapé sur le plan intellectuel dans
une classe régulière est un acte discriminatoire au sens où elle viole les droits à l'égalité
garantis par l'article 10 de la Charte québécoise et par l'article 15 de la Charte canadienne?
L'hypothèse formulée en réponse à cette question est: oui, cette décision est
discriminatoire parce qu'elle est fondée sur un motif illicite, à savoir le handicap.
Une fois établi le cadre conceptuel de cette recherche en précisant le sens des concepts de
discrimination, de handicap et d'intégration, l'étude de quelques décisions de la Cour
d'appel du Québec révèle que, pour cette Cour, la norme d'égalité n'est pas la classe
régulière, ce qui met en sourdine la conception de l'intégration comme droit objectif
garantissant l'égalité.
Ensuite, l'analyse de l'arrêt Eaton de la Cour d'appel de l'Ontario montre comment cette
décision a suscité l'enthousiasme de ceux qui croyaient avoir trouvé dans le droit à l'égalité
garanti par l'article 15 de la Charte canadienne un appui ferme pour l'intégration.
Toutefois, la position de la Cour suprême dans l'arrêt Eaton a refroidi cet enthousiasme en
rejetant toute présomption en faveur de l'intégration, lui préférant le critère du meilleur
intérêt de l'enfant comme garant du droit à l'égalité pour les élèves intellectuellement
handicapés. Ainsi, pour la Cour, le fait de ne pas intégrer ces élèves ne constitue pas en soi
une forme de discrimination. / Does the decision not to integrate an intellectually disabled student in a regular c1ass
constitute a discriminatory action in the sense that it violates equality rights guaranteed by
section 10 of the Quebec Charter and by section 15 of the Canadian Charter ? The
hypothesis formulated as an answer to that question is : yes, that decision is discriminatory
because it is based on a forbidden ground, namely disability.
The conceptual framework of this research is established by defining the concepts of
discrimination, disability and integration. Then, the study of sorne Quebec Court of
Appeal's decisions shows that in this Court's view the equality standard is not the regular
c1ass, a position that underscores the conception of integration as an objective right
ensuring equality.
Next, the analysis of the Ontario Court of Appeal's decision in Eaton shows how that
decision has aroused the enthusiasm of those who thought that they had found a firm
support for integration in the equality rights guaranteed by section 15 of the Canadian
Charter.
However, the Supreme Court's ruling in Eaton has dampened that enthusiasm by rejecting
any presumption in favor of integration, and rather adopting the child's best interest
criterion as ensuring equality rights for intellectually disabled students. Thus, in the Court' s
view, the fact of non integrating those students does not by itself constitute a form of
discrimination. / "Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maître en droit (LL.M.)"
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L'expectative raisonnable de vie privée et les principaux contextes de communications dans InternetBlanchette, François January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les fondements constitutionnels de la liberté académique des professeurs d'université en droit canadien et américainBuono, Elvio 05 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / L'étude porte sur les fondements constitutionnels de la liberté académique des
professeurs d'université en droit canadien. L'hypothèse formulée est à l'effet que la
liberté académique pourrait jouir d'une protection constitutionnelle, par son
rattachement à la liberté d'expression qui est une des libertés fondamentales
garanties par la Charte canadienne, depuis l'enchâssement de celle-ci dans la
Constitution canadienne.
L'analyse est fondée sur la prémisse que depuis l'enchâssement de la liberté
d'expression dans la supralégalité constitutionnelle, une ère nouvelle d'activisme
judiciaire a débuté au Canada. Depuis cette date, il revient à la Cour suprême de
juger de la validité de mesures législatives d'une part, en s'interrogeant sur les
limites raisonnables que l'on peut imposer à une liberté ou à un droit et, d'autre part,
en s'interrogeant sur la notion de société libre et démocratique; ce phénomène a
engendré un nouveau paradigme judiciaire.
Ce paradigme rapproche le système judiciaire canadien du système judiciaire
américain, qui fonctionne depuis plus de deux siècles dans le cadre établi par une
charte constitutionnelle des droits et libertés (American Bill of Rights). Compte tenu
de cette similarité, l'analyse de l'expérience américaine sur le statut de la liberté
d'expression et de la liberté académique a vocation à servir de modèle.
L'analyse des fondements constitutionnels de la liberté d'expression dans le contexte
canadien doit être située dans son évolution historique. Un examen de la
jurisprudence de la Cour suprême du Canada, antérieure et postérieure à l'adoption de
la Charte constitutionnelle, a d'abord dégagé le lien fondamental qui existe entre la
liberté d'expression et la société démocratique. De plus, l'avènement de la Charte
canadienne a permis à la Cour suprême du Canada de préciser les principes et les
valeurs qui sous-tendent la protection de la liberté d'expression dans une société
démocratique, à savoir la recherche de la vérité, la participation au sein de la
société à la prise de décisions d'intérêt social et politique et l'enrichissement et
l'épanouissement personnels.
Dans le cadre de l'examen des fondements constitutionnels de la liberté académique,
il a fallu préalablement déterminer le champ d'application de la Charte canadienne
et, de façon plus spécifique, déterminer si les universités sont visées par celle-ci.
L'hypothèse soulevée est que les universités, lorsqu'elles agissent dans le cadre de
leur mission d'enseignement et de recherche, pourraient voir leurs décisions soumises
à un contrôle judiciaire en vertu de la Charte canadienne.
La principale conclusion de l'étude est que la notion de liberté académique pourrait
jouir d'une protection constitutionnelle par son rattachement à la liberté d'expression.
Cependant, les fondements théoriques de la liberté d'expression, élaborés par la Cour
suprême du Canada, sont fragiles, ambigus et contradictoires. Dans la perspective
d'un éventuel débat judiciaire sur la notion de liberté académique, il est évident que
ces contradictions et ambiguïtés viendront alimenter les positions prises par les
parties.
Ainsi, les paradoxes du concept de liberté d'expression, en tant que liberté
fondamentale, alimenteront inévitablement le débat sur la notion de liberté
académique. Ces deux concepts sont pour des raisons de logique et de sens,
intrinsèquement liés.
L'étude se termine en tentant d'identifier dans quels contextes la Cour suprême du
Canada pourrait être appelée à reconnaître la liberté académique, en tant que liberté
fondamentale protégée par la Charte canadienne, et quelles conditions devraient être
réunies pour que cette reconnaissance se réalise.
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