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"Reconnaissables à leurs cheveux" : recherches sur le caractère symbolique de la chevelure dans le monde grec, d'Homère à Callimaque. / "Recognizable by their hair" : research on the symbolic value of the hair in the Greek world, from Homer to Callimaque

Borio Lobert, Caroline 07 December 2016 (has links)
Le rapport que l’Humanité entretient avec la chevelure relève de l’invariant. Comme d’autressociétés, le monde grec antique s’est approprié ce rapport, l’a pensé d’une manière spécifique,l’investissant de valeurs et de symboles qui lui étaient propres et qui reflétaient son fonctionnementsocial et culturel, ses représentations concernant le monde des hommes, des dieux et leurs relations.Pour appréhender la place qu’occupe cet attribut physique en Grèce, de l’âge archaïque à la périodehellénistique, il est nécessaire d’explorer ce que les sources, essentiellement littéraires, maiségalement dans une moindre mesure iconographiques, en disent et en donnent à voir. En observantle vocabulaire en contexte, il est possible de mettre en lumière les conceptions, les connotations, lesimages que génère la chevelure, ainsi que les valeurs dont elle se trouve investie, entre signe etsymbole : se dessine ainsi un véritable langage capillaire. Pour les Grecs, la chevelure mais aussiles poils présentent des liens étroits avec le domaine du tissage, du végétal et de l’animal, enparticulier avec le cheval ; ces liens révèlent une part importante de leur imaginaire. L’apparencecapillaire de référence, toute en longueur éclatante, en ondulation et en mouvement, indice dejeunesse et d’excellence, de force, de virilité et de panache, est celle des dieux et des figureshéroïques, modèles dont s’inspire l’élite aristocratique. Autour de cette norme, la chevelurecontribue à identifier, distinguer et hiérarchiser le sauvage et le civilisé, l’ordre et le désordre, maisaussi à dire, à travers les violences dont elle est souvent l’objet, les souffrances ou la négation del’être. Ornement dont la coiffure harmonieuse constitue un trait fondamental, la chevelure touche aukosmos, agencement et parure; désignant par analogie certains phénomènes et corps astraux, elleparticipe alors tout à la fois à construire et à refléter l’ordre et la beauté de l’univers. / The relation that mankind has with hair falls under the invariant. Like other societies, the ancientGreeks have appropriated and thought this relation in a specific way. They have invested it withvalues and symbols of its own, which reflected its social and cultural functioning, its views of theworld of men, gods and their relationships. To understand the place of this physical attribute inGreece, from the Archaic to the Hellenistic Age, we need to explore what sources say and showabout it. They are mostly literary ones but also iconographic ones to a lesser extent. A close study ofvocabulary in context enables us to bring out ideas, connotations and images generated by hair, andthe values it is invested with, between sign and symbol. Thus a true capillary language is beingdrawn. For the Greeks, hair but also bristles are closely connected to weaving, plants and animals,especially horses ; these links reveal an important part of their imagination. Capillary appearance,full of length and brightness, of ripple and motion, as an indication of youth and excellence,strength, virility and panache, belongs to gods and heroic figures ; indeed the aristocratic elite isinspired by their models. Around this standard, hair helps to identify, to distinguish and to rank thewild and the civilized, order and disorder, but also helps to express the suffering or the denial of abeing, through the acts of violence it often undergoes. As an ornament whose harmonious hairstyleis a fundamental feature, hair reaches the kosmos, as a layout and an adornment ; by analogy, itrefers to certain astral phenomena and bodies and at the same time, it thus participates in buildingand reflecting the order and beauty of the universe.
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Le pilocentrisme de la France d’Ancien Régime : évolution des représentations de la pilosité de François 1er à Louis XVI

Legeais, Benoîte 10 1900 (has links)
Thèse réalisée en cotutelle avec la direction de Jean-Jacques Courtine à l'Université de Paris III Sorbonne Nouvelle sous la discipline anthropologie et avec la direction de Dominique Deslandres à l'Université de Montréal sous la discipline histoire / À cheval entre nature et culture, le poil et la chevelure humaine condensent un grand ensemble d’enjeux symboliques relevant de questions identitaires, religieuses, scientifiques, et autres. L’étude des discours et des pratiques concernant le poil représente, pour l’historien, une fenêtre sur l’évolution des mentalités d’une société donnée en ce qui concerne les perceptions de soi et de l’autre. S’inscrivant dans le courant intellectuel de l’histoire du corps, cette thèse s’intéresse plus précisément aux « systèmes trichologiques » dans la France de l’époque moderne (soit du XVIe au XVIIIe siècle). Elle se fonde sur l’analyse d’une grande variété de sources permettant de recouper différents types de discours touchant au poil : point de vue scientifique des médecins, physiognomonistes et historiens, point de vue prescriptif des traités d’éducation et de civilité, contrepoint exotique des récits de voyage et autres témoignages de « curiosités » ainsi qu’un suivi de l’évolution étymologique des mots pertinents au sein de dictionnaires et encyclopédies. La question centrale de cette thèse est celle du rôle du poil dans le façonnement de représentations servant à identifier, démarquer et hiérarchiser les groupes sociaux; et comment celles-ci évoluent de concert avec d’autres transformations historiques. Le premier chapitre s’intéresse au poil comme marqueur de différences individuelles. On y retrace une sorte de « langage » du poil, recensant les significations et connotations rattachées aux diverses manifestations pileuses : couleur, longueur, abondance, forme. Il y apparaît clairement que le poil joue un rôle important tant dans la mise en scène de soi que dans la lecture de l’apparence physique de l’autre. Le deuxième chapitre s’intéresse au poil en tant que marqueur de « genre ». On y examine la contribution des représentations de la pilosité dans la construction des identités masculines et féminines. Le poil s’interprète comme une manifestation extérieure de la nature des différents sexes et de leurs rôles dans la société, ce qui en fait un enjeu dans les relations de pouvoir entre les sexes et entre les gens du même sexe. Le troisième chapitre aborde le poil en ce qu’il permet de délimiter et hiérarchiser les classes sociales. On le voit participer aux modes et au processus de discipline des corps qui permettent aux élites, avec les perruques et le raffinement des conduites et des pratiques d’embellissement, de se distinguer autrement que par les vêtements. On retrace également une politique du poil qui s’étend au-delà du regard, l’état s’accordant le droit d’agir directement sur les corps – les chevelures, les poils – de ses sujets. Le dernier chapitre explore l’instrumentalisation du poil dans la construction d’un « autre » lointain et anormal : le sauvage d’outre-mer, l’enfant-loup, l’aberration de la nature. En caractérisant les poils de cas qu’ils situent aux frontières de l’humanité, les Français de l’Ancien régime exposent leurs propres présupposés sur la normalité et la civilisation. Cette thèse aboutit à un principe qui réunit et organise les signes de reconnaissance du poil à partir du regard construit et normé de ses propres poils que j’ai nommé « pilocentrisme ». Permettant de mettre en lumière le rôle du système pileux dans les modèles d’identification et de hiérarchisation, le concept de pilocentrisme peut ainsi servir de nouvelle catégorie d’analyse pour étudier les rapports de pouvoir dans l’histoire. / Both a natural and cultural phenomenon, human hair condenses a wide array of symbolic issues relating to notions of identity, religion, science, etc. The analysis of discourses and practices concerning hair affords the historian a window on the evolution of a given society’s attitudes towards the self and others. Following the historiographical current of the history of the body, this thesis examines the “trichological systems” of modern France (16th to 18th centuries). It is based on a wide variety of sources, allowing the comparison of different types of hair-related discourses: the scientific point of view of physicians, physiognomonists and historians; the prescriptive point of view of education and civility treatises; the exotic counterpoint of travel narratives and other writings on “curiosities”, as well as a review of the etymological evolution of relevant words in dictionaries and encyclopedias. The central question in this dissertation concerns the role of hair in the construction of representations used in identifying, distinguishing and ranking social groups; and how these representations evolve along with other historical transformations. The first chapter highlights hair’s role as marker of individual differences. A “language of hair” is exposed, inventorying meanings and connotations attached to the various factors of hairy manifestations: color, length, affluence, shape. The importance of hair in the staging of the self and the reading of others is highlighted. The second chapter explores the contribution of hair to the construction of gendered identities. Hair is interpreted as an outward sign of the sexes’ different natures and the confirmation of their respective social roles. As such, it is a tool in the negotiation of power between and within genders. The third chapter examines hair as it is used in the demarcation of social classes. It is seen as participating in the process of body discipline of the French elite. The use of wigs alongside refined hair care emphasized their distinction from lower classes beyond the traditional means of clothing. Direct state regulations on the hair of its subjects also show that trichological politics did not limit themselves to the gaze. The finale chapter highlights the instrumentalization of hair in the construction of faraway and abnormal “others”: the overseas savage, the wolf child, the natural aberration. By characterizing the hair of beings at the frontier of humanity, Ancien Régime French exposed their own presuppositions on normality and civilization. This dissertation develops the notion of “pilocentrism”, uniting and organizing the various modes of interpretation of hairs on the basis of the constructed and normed perception of one’s own. Shedding a new light on the role of hair representation systems on models of identification and hierarchisation, the notion of pilocentrism can serve as a new analytical category to study historical power dynamics.
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Extraction d'information tridimensionnelles à partir d'images -- Application à l'informatique graphique

Paris, Sylvain 18 October 2004 (has links) (PDF)
Le sujet de cette thèse porte sur la création des données utilisées en informatique graphique pour synthétiser des images. On ne demande pas à l'utilisateur de modéliser l'objet souhaité mais plutôt d'en fournir une ou plusieurs photographies. Ces images sont automatiquement analysées pour en extraire l'information recherchée. On attend de cette approche des données plus fidèles à l'original et un temps de création plus court pour l'utilisateur.<br /><br />Nos travaux sont centrés sur trois cas d'études qui mènent à des applications utiles. Tout d'abord, nous reconstruisons la surface d'un objet matte à partir d'une séquence d'images dont le point de vue se déplace. Nous capturons ensuite l'apparence d'un visage à partir d'une seule image et montrons comment les données récupérées sont utilisées pour synthétiser ce visage sous un nouvel éclairage. Nous terminons avec la capture de la géométrie d'une chevelure à partir de plusieurs images prises avec une caméra fixe et une lumière qui se déplace.<br /><br />Nous introduisons plusieurs contributions théoriques et techniques qui améliorent aussi bien la précision que la robustesse de la capture. Des résultats illustrent ces améliorations.
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Texture volumique multi-échelle pour l'affichage de scènes complexes

Ratib, Karim January 1997 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le pilocentrisme de la France d’Ancien Régime. Évolution des représentations de la pilosité de François 1er à Louis XVI / Pilocentrism in French Ancien Régime. The Representation of Hair from François 1er to Louis XVI

Legeais, Benoite 11 December 2015 (has links)
À cheval entre nature et culture, le poil et la chevelure humaine condensent un grand ensemble d’enjeux symboliques relevant de questions identitaires, religieuses, scientifiques, et autres. L’étude des discours et des pratiques concernant le poil représente, pour l’historien, une fenêtre sur l’évolution des mentalités d’une société donnée en ce qui concerne les perceptions de soi et de l’autre. S’inscrivant dans le courant intellectuel de l’histoire du corps, cette thèse s’attarde plus précisément aux « systèmes trichologiques » dans la France de l’époque moderne (soit du XVIe au XVIIIe siècle). Elle se fonde sur l’analyse d’une grande variété de sources permettant de recouper différents types de discours touchant au poil : point de vue scientifique des médecins, physiognomonistes et historiens, point de vue prescriptif des traités d’éducation et de civilité, contrepoint exotique des récits de voyage et autre témoignages de « curiosités » ainsi qu’un suivi de l’évolution étymologique des mots pertinents au sein de dictionnaires et encyclopédies. La question centrale de cette thèse est celle du rôle du poil dans le façonnement de représentations servant à identifier, démarquer et hiérarchiser les groupes sociaux; et comment celles-ci évoluent de concert avec d’autres transformations historiques.Le premier chapitre s’attarde au poil comme marqueur de différences individuelles. On y retrace une sorte de « langage » du poil, recensant les significations et connotations rattachées aux diverses manifestations pileuses : couleur, longueur, abondance, forme. Il y a apparait clairement que le poil joue un rôle important tant dans la mise en scène de soi que dans la lecture de l’apparence physique de l’autre. Le deuxième chapitre s’intéresse au poil en tant que marqueur de « genre ». On y examine la contribution des représentations de la pilosité dans la construction des identités masculines et féminines. Le poil s’interprète comme une manifestation extérieure de la nature des différents sexes et de leurs rôles dans la société, ce qui en fait un enjeu dans les relations de pouvoir entre les sexes et entre les gens du même sexe. Le troisième chapitre aborde le poil en ce qu’il permet de délimiter et hiérarchiser les classes sociales. On le voit participer aux modes et au processus de discipline des corps qui permettent aux élites, avec les perruques et le raffinement des conduites et des pratiques d’embellissement, de se distinguer autrement que par les vêtements. On retrace également une politique du poil qui s’étend au-delà du regard, l’état s’accordant le droit d’agir directement sur les corps – les chevelures, les poils – de ses sujets. Le dernier chapitre explore l’instrumentalisation du poil dans la construction d’un « autre » lointain et anormal : le sauvage d’outre-mer, l’enfant-loup, l’aberration de la nature. En caractérisant les poils de cas qu’ils situent aux frontières de l’humanité, les Français de l’Ancien régime exposent leurs propres présupposés sur la normalité et la civilisation. / Both natural and cultural phenomenon, human hair condenses a wide array of symbolic issues relating to notions of identity, religion, science, etc. The analysis of discourses and practices concerning hair affords the historian a window to the evolution of a given society’s attitudes towards the self and others. Following the historiographical current of the history of the body, this thesis examines the “trichological systems” of modern France (16th to 18th centuries). It is based on the survey of a wide variety of sources, allowing the comparison of different types of hair-related discourses: the scientific point of view of physicians, physiognomonists and historians; the prescriptive point of view of education and civility treatises; the exotic counterpoint of travel narratives and other writings on “curiosities”, as well as a review of the etymological evolution of relevant words in dictionaries and encyclopedia. The central question in this dissertation concerns the role of hair in the construction of representations used in identifying, distinguishing and hierarching social groups; and how these representations evolve along other historical transformations. The first chapter highlights hair’s role as marker of individual differences. A “language of hair” is exposed, inventorying meanings and connotations attached to the various factors of hairy manifestations: color, length, affluence, shape. The importance of hair in the staging of the self and the reading of others is highlighted. The second chapter explores the contribution of hair in the construction of gendered identities. Hair is interpreted as an outward sign of the sexes’ different natures and the confirmation of their respective social roles. As such, it is a tool in the negotiation of power between and within genders. The third chapter examines hair as it is used in the demarcation of social classes. It is seen as participating in the process of body discipline of the French elite. The use of wigs alongside refined hair care emphasized their distinction from lower classes beyond the traditional means of clothing. Direct state regulations on the hair of its subjects also show that trichological politics don’t limit themselves to the gaze. The finale chapter highlights the instrumentalization of hair in the construction of faraway and abnormal “other”: the oversea savage, the wolf child, the natural aberration. By characterizing the hair of beings at the frontier of humanity, Ancien Régime French expose their own presuppositions on normality and civilization.
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Le visage romanesque : dans les œuvres de Chariton, de Xénophon d'Éphèse, de Longus, d'Héliodore d'Émèse et d'Achille Tatius / Face in greek novel : in Chariton, Xenophon, Longus, Heliodorus and Achilles Tatius's novels

Saussard-Colard, Dorothée-Laure 28 September 2012 (has links)
L’analyse du vocabulaire grec du visage dans l’ensemble des romans de Chariton, de Xénophon, de Longus, d’Héliodore et d’Achille Tatius a pour dessein de montrer l’intérêt certain, à la fois esthétique et sensoriel, porté à cette partie souveraine du corps. Quelle est donc l’importance accordée au visage du héros ou de l’héroïne ? Et de quelle manière le discours rend-il compte de son incarnation, de sa réalité organique ? Comment les visages des personnages interagissent-ils ? Parce que le visage se révèle une interface entre l’intime et le social, entre l’intériorité et l’expressivité, on peut se demander en quoi ce lieu privilégié du corps, à travers la description de l’aspect physique des personnages, caractérise leur éthos permanent ou communique au lecteur leurs émotions fugitives. Le visage s’offre aux regards et interpelle. Ses traits sont autant de signes à interpréter pour celui ou celle qui le regarde et dont il mobilise le système de reconnaissance et de représentation. Certes, la description physique des héroïnes comme celle des jeunes hommes ne se limite pas au visage. Mais, seul le visage, qui n’a rien d’incertain, d’irrégulier, de disharmonieux, est appelé à refléter les vertus des personnages mais aussi ses plus grandes souffrances. La mise en icônes de traits représentatifs des personnages s’inscrit dans la logique des procédures de description physique qui caractérise la culture romanesque. Le roman aime ainsi à représenter la beauté, en alliant aux manifestations physiques les émotions de l’âme. Les visages des héros romanesques grecs sont dévoilés dans une sorte de mosaïque à la fois anatomique et littéraire, évoquant les éléments fondamentaux qui les constituent. Ainsi, sans confondre visage et portrait, nous avons déconstruit le visage romanesque pour en montrer les diverses facettes, la palette des couleurs, les références littéraires intertextuelles et mythologiques mais aussi certains invariants, pour enfin mieux le reconstruire. Nous avons donc procédé à l’étude et à l’analyse du visage, non seulement comme entité mais en tant que visage morcelé, voire éclaté. L’étude approfondie des sens s’est attachée à souligner la passion, ses effets et les émotions du corps, entre plaisir et souffrance, entre affection et violence. Cette recherche a permis de souligner les éléments communs aux différents romanciers, mais aussi leur originalité d'écriture. L'importance accordée au visage et plus généralement au corps dans la narratologie laisse apparaître le reflet des valeurs de la société grecque de leur temps. / The analysis of Greek vocabulary about the face in Chariton, Xenophon, Longus, Heliodorus and Achilles Tatius’s novels as a whole plans to show the definite interest, both aesthetic and sensory focused on this sovereign part of the body. So what is the importance attached to the hero or heroine’s faces? And how does the discourse explain its incarnation and organical reality? The face proves to be an interface between the private and social world, between interiority and expressiveness. So we can wonder how this privileged part of the body characterizes their permanent ethos ; we can wonder how it transmits their fleeting emotions to the reader, through the description of the physical look of the characters. The face catches attention. Its features mobilize the system of recognition and representation. Indeed the physical description of heroines as well as heroes is not limited to the face. But only the face, with nothing uncertain, irregular, disharmonious, is assigned to reflect the characters’ virtues but also their greatest suffering. « La mise en icônes »of characters’ representative features is part of the procedures of physical description that characterize the culture of the novel. Thus the novel likes to represent beauty by combining physical expressions with soul feeling. The faces of Greek novelistic heroes are revealed in a kind of mosaic at once anatomical and literary, evoking the basic elements that constitute them. Thus, without mixing up face and portrait, we have deconstructed the novelistic face to show its various facets, colour palette, intertextual literary and mythological references ; but also to show some invariants to, at last, rebuild it in a better way. We have therefore conducted a thorough study and analysis of the face not only as an entity but as a fragmented even blown up face. The detailed study of senses has endeavoured to emphasize passion and its effects, and show the emotions of the body between pleasure and suffering, affection and violence. On the one hand this research has permitted to highlight the elements common to the different novelists, their original writing and the importance granted to face and more generally to body in narratology. On the other hand it has led us to analyze the reflection of the values of the Greek society of their days.

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