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Enjeux de la coopération internationale dans les multinationales de l'industrie automobile : L'exemple d'équipes multiculturelles du BMW group / Challenges of international cooperation in multinationals of the automotive industry : The example of the BMW Group

Dziatzko, Nina 22 June 2015 (has links)
La mondialisation et la quête vers la diversité au sein des multinationales confrontent celles-ci à un défi d’envergure : fournir un cadre propice au développement de talents venant du monde entier. L’internationalisation a un grand impact sur l’économie, en particulier, sur le secteur automobile. Celui-ci est encore très présent sur le marché domestique européen, mais dépendant du marché étranger – en termes de coûts de production, de clientèle et de fournisseurs. Cela en fait un terrain d’enquête particulièrement passionnant concernant le travail d’équipes multiculturelles. Le métier et la formation d’ingénieur, très importants dans le secteur technique, sont également analysés sous un angle culturel. Pour illustrer nos propos, nous utiliserons l’exemple du groupe BMW. Nous nous intéressons en particulier à cinq dimensions de la coopération d’équipes multiculturelles. La première est la motivation, la seconde l’intégration des membres de l’équipe. Ensuite, nous regardons quelles compétences sont nécessaires à un chef de groupe afin de diriger ce genre d’équipe. Finalement, la communication et surtout l’usage de la langue sont analysés. La langue joue un rôle particulier pour cette cotutelle. D’une part, le travail théorique tente de rendre compte au mieux des écoles de pensée françaises, allemandes et anglophones. D’autre part, le travail pratique est également effectué en français, allemand et anglais en vue des langues utilisées dans le travail quotidien de l’équipe. L’étude empirique effectuée à cet effet, vise à partager l’expérience d’équipes multiculturelles au sein du groupe. Cela permet d’établir un état des lieux de leurs conditions de travail et à en déduire des conseils pour d’autres équipes au sein de l’organisation pour le futur de l’entreprise ou l’intérêt d’autres acteurs travaillant dans un contexte culturel similaire. / The globalisation and the quest for diversity within multinational firms confront them to a big challenge : to provide a frame in order to develop talents from all over the world. The internationalisation has a big impact, especially, on the automotive sector. It is still very present on the domestic market, but also dependent on the foreign market – regarding costs of production, customers and suppliers. This makes it a fascinating field of study regarding work within multicultural teams. The profession and education as engineer, very important in technical domains, are also analysed from a cultural point of view. To illustrate our purpose we will use the example of the BMW Group. We are particularly interested in five dimensions of the work within multicultural teams. The first one is the motivation, the second one the integration of the team members. Then, we look at which competencies a team leader needs in order to manage this team. Finally, the communication and especially the use of the language are analysed. Thelanguage plays a particuliar role for this cotutelle. On the one hand, the theoretical work tries to describe the related French, German and English work. On the other hand, the applied work is also done in French, German and English regarding the languages used by the team in its daily work. The empirical study aims to share the experience of multicultural teams within thegroup. This helps to identify the status quo of their working conditions and to deduce advice for other teams within the organisation in the future.
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Le travail social scolaire : regards sur les stratégies d'intervention développées en contexte interculturel

Benoît, Rachel 02 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche explore le travail social scolaire en contexte interculturel. Il s'agit d'une recherche qualitative réalisée auprès de six travailleuses sociales exerçant dans des écoles pluriethniques de Montréal. Un survol du travail social scolaire démontre qu'il s'agit d'un champ de pratique complexe. Dans les écoles, les travailleurs sociaux sont confrontés à plusieurs défis. Il en découle un quotidien souvent marqué par la surcharge ainsi que des mandats nombreux mais diffus. Ces balises posées, soulignons que le milieu scolaire public francophone de Montréal est de plus en plus caractérisé par la pluriethnicité. Plusieurs recherches démontrent que les jeunes issus de l'immigration, plus particulièrement ceux des minorités visibles, ont plus souvent tendance à éprouver des difficultés scolaires. Parmi les facteurs freinant la réussite et la persévérance scolaires de ces jeunes, des chercheurs ont identifié les attitudes interculturelles du personnel scolaire (enseignants et professionnels non enseignant). Dans ce contexte et compte tenu des contraintes auxquelles les TSS sont confrontés, les questions suivantes nous interpellent : dans quelle mesure les TSS prennent-ils en compte la dimension interculturelle lorsqu'ils interviennent auprès des jeunes issus de l'immigration et ceux des minorités visibles? Dans quelle mesure l'intervention des TSS soutient-elle la réussite scolaire de ces jeunes? L'équité est-elle possible à l'école? En somme, le contexte de travail précaire des TSS, le profil hétérogène des élèves et les défis de l'intervention en contexte interculturel démontrent la pertinence d'explorer davantage le travail social scolaire en contexte interculturel selon le prisme de la justice et de la transformation sociales. Notre cadre conceptuel s'inspire de recherches en éducation auquel nous avons intégré des repères liés au travail social et à l'intervention en contexte interculturel. L'analyse des entrevues porte en premier lieu sur la synthèse des stratégies d'intervention utilisées par les travailleuses sociales rencontrées. Il est ensuite question des principaux enjeux qui influencent leurs interventions. Les données démontrent que leur travail est jalonné de diverses tensions au sujet de la définition de leur mandat et de l'intervention en contexte interculturel, et ce plus particulièrement auprès des familles. Finalement, nous effectuons un retour au cadre conceptuel. En dépit du bon vouloir des intervenantes, nous notons que leurs stratégies d'intervention n'actualisent que partiellement la justice et la transformation sociales. Cette tendance ne peut être dissociée des enjeux qui touchent le champ de pratique. La recherche se termine avec la présentation de pistes de recherche et d'intervention pour soutenir les TSS exerçant en contexte interculturel. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : travail social, milieu scolaire, interculturalité, justice/transformation sociales.
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La communication interculturelle des vietnamiens francophones en insertion professionnelle : éthiques culturelles et coopération

Nguyen, Minh Nguyet 30 September 2011 (has links) (PDF)
Cette thèse étudie l'insertion professionnelle francophone au Vietnam dans une optique communicationnelle. La situation étudiée met en présence des recruteurs français et des candidats vietnamiens, dans une situation authentique d'embauche professionnelle. L'introduction pose la problématique générale : si, comme le déclare E.T. Hall, culture et communication sont le même phénomène envisagé sous deux facettes particulières, comment est-il possible de communiquer avec que recruteur français et candidat vietnamien s'entendent, se comprennent, concluent un accord ? Comment, en situation de la différence culturelle, la communication reste-t-elle envisageable ? En effet, les codes culturels favorisent la communication seulement s'ils sont partagés. Le paradoxe est qu'elle semble théoriquement impossible et pourtant force est de constater qu'elle se déroule souvent de manière suffisamment satisfaisante pour permettre la coopération. La problématique générale aborde deux questions touchant au processus d'insertion professionnelle entre un sujet français et un sujet vietnamien : comment les éthiques culturelles et professionnelles divergentes des acteurs provoquent-elles des malentendus au cours de l'interaction ? comment la coopération permanente des acteurs dans leurs stratégies d'interaction permet-elle à la communication interculturelle de se développer ? Le chapitre 1 expose les principes de l'approche culturaliste rapportée à la communication interculturelle. Cette présentation débouche sur une conclusion pessimiste : chacun étant enfermé dans sa culture, la communication avec une personne d'une autre culture s'avère logiquement impossible. En définitive, la culture fonctionne comme un facilitateur à condition de partager la même culture. Elle fonctionne comme un obstacle dans les autres cas. Le chapitre 2 présente l'approche interactionniste, laquelle postule des stratégies universelles qui facilitent l'interaction. À l'inverse du culturalisme, l'interactionnisme aboutit donc à une conclusion optimiste, considérant comme toujours possible la communication interculturelle pour peu que les stratégies d'interaction soient appliquées. Or, ces stratégies, supposées universelles, ont été établies sans prendre en compte la dimension culturelle. Le chapitre 3 s'efforce d'articuler logiquement le culturalisme et l'interactionnisme. Cette articulation suit le raisonnement suivant : on pose une distinction entre le plan des stratégies (générales, universelles) et celui des réalisations (culturellement marquées) ; or, les réalisations étant particulières à une culture donnée, une stratégie peut ne pas être reconnue pour ce qu'elle est. Il existe une sorte de hiatus entre les deux plans qui ne peuvent pas toujours fonctionner ensemble. c'est pourquoi une troisième instance est nécessaire, rendant compte de procédés facilitant le passage d'une stratégie à une réalisation. Ces procédés compensatoires, car ils visent à combler l'écart entre réalisations et stratégies, sont langagiers (fournir ou demander des explications, par exemple) et comportementaux (coopération, empathie) ; on obtient donc le mécanisme général du fonctionnement de la communication interculturelle : des stratégies similaires (plan 1) ; des réalisations différentes (plan 2) ; et des procédés de passage entre les deux plans ci-dessus mentionnés. Le chapitre 4 présente le corpus qui sert de base à cette étude. Le corpus est composé de trois séries de documents de première main. Le premier comprend 17 entretiens d'embauche authentiques, enregistrés, transcrits en français. Le second rassemble 9 entretiens semi-directifs menés par la doctorante auprès des recruteurs. Le troisième se compose de 9 entretiens semi-directifs également menés par la doctorante auprès des candidats.Le chapitre 5 rappelle les principes de la méthodologie, en l'occurrence, l'analyse de contenu, pour traiter les données brutes contenues dans le corpus. etc
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La construction du sens des expériences interculturelles au sein d’une organisation multinationale : une étude de cas.

Yang, Lu 03 1900 (has links)
Avec une mondialisation omniprésente, les études sur l’aspect interculturel des organisations deviennent de plus en plus d’actualité et fascinent les chercheurs comme les praticiens. Notre étude suit donc cette voie et porte sur la construction du sens de l’expérience interculturelle au sein d’une entreprise multinationale. Nous avons cherché à comprendre, d’un point de vue interprétatif, comment les acteurs construisent le sens des caractères multinationaux et interculturels de l’entreprise, à travers leurs expériences au sein d’une multinationale québécoise. La recherche existante discute les aspects culturels et communicatifs tels que le contexte, la langue et le flux de message, identifiés par E.T. Hall (Hall, 1976, 1990) comme centraux dans la problématique générale de la communication interculturelle. Nous avons cependant abordé ces mêmes aspects depuis la perspective de la théorie du sensemaking (Weick, 1995) en nous centrant sur les points de vue des acteurs et de leurs expériences. Sur la base d’entrevues en profondeur, la recherche montre que, bien qu’il soit fortement valorisé par tous les interviewés, l’aspect interculturel n’a pas été profondément intégré dans les pratiques communicatives de tous les jours, comme nous aurions pu le croire. Néanmoins, cet aspect exerce une influence réelle et considérable pour certains employés, comme les gestionnaires des ressources humaines et des relations publiques, due essentiellement à la nature même de leurs fonctions. Les résultats suggèrent également que l’aspect interculturel est vécu de manière fort différente selon l’identité qui est attachée à l’organisation. Cette dernière est en effet parfois considérée comme (1) une organisation « locale », c’est-à-dire en référence à son origine québécoise, comme (2) une organisation multinationale, en référence aux interactions entre les parties de l’organisation dispersées dans le monde entier, et enfin (3) comme une firme étrangère du point de vue des acteurs des pays hôtes. Dans les trois cas les enjeux interculturels pour les acteurs varient considérablement tout comme, en conséquence, le sens qui est accordé à cet aspect de l’organisation. Mots-clés : Expérience interculturelle, organisation multinationale, théorie du sensemaking, communication interculturelle. / As globalization expands, the intercultural dimensions of organizations and organizational communication draw more and more scholars and practitioners’ attention. Along these lines, this study describes how managers of a multinational organization make sense of their intercultural experiences in everyday work life and their views on the intercultural aspect of the company, using an interpretive perspective. Current research identifies a number of themes as central to intercultural communication: context, message flux and language (Hall, 1976, 1990). This study revisits these constructs from the standpoint of the theory of sensemaking developed by Karl E. Weick (1995), on the basis of which managers’ accounts of their daily experiences of intercultural communication are examined. From interview data, the study shows how the issue of interculturality, although regarded as important and as a valuable asset of the organization, is not consequential for the daily communication practices of most managers in the case under study. It is however quite influential for HR and PR management because of the very nature of their activities. Results also suggest that the intercultural dimension of a multinational organization is experienced in slightly different ways depending on the framing of the organization’s identity. From the standpoint of its region or country of origin, the organization is framed as “local” and domestic. From the perspective of its many relations with its divisions around the world, the organization’s identity tends to be framed as “multinational” and, finally, from the standpoint of the host country, the organization’s identity is framed as “foreign”. These framings are consequential for the definitions and meanings of intercultural communication managers make out of the intercultural dimension of the organization. Keywords: intercultural experiences, intercultural communication, sensemaking, multinational organization.
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La construction du sens des expériences interculturelles au sein d’une organisation multinationale : une étude de cas

Yang, Lu 03 1900 (has links)
No description available.
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La collaboration professionnelle avec les Allemands, source de difficultés et d'attentes ? Analyse qualitative du comportement des Allemands dans un environnement professionnel et interculturel.

JESTIN, Cédric January 2017 (has links)
Even though intercultural trainings have been developed in Germany since the 1980s (Erll & Gymnich, 2017, p. 152) and interculturality is a key competence at the present time (Erll & Gymnich, 2017, p. 6), it remains difficult for people from a non-German cultural background to work with German employees in their work environment (Erll & Gymnich, 2017, p. 103). The aim of this thesis is to understand the behaviour of German employees in work environments and to analyse how this behaviour impacts expatriates in positive or negative ways as well as which expectations German and non-German employees have in these contexts. The study is based on a qualitative analyse realised on one hand with two German experts in the professional interculturality and on the other hand with five expat-riates that work with Germans in Germany. The study attempts to make recommenda-tions, to improve, and facilitate the relations in intercultural teams of German and non-German employees.
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Etude du malaise dans les échanges communicatifs chez les apprenants coréens et japonais en situations d’apprentissage du français langue étrangère en France / Interactional discomfort felt by Korean and Japanese learners in studying French as a foreign language in France

Lee, Ji-Eun 26 October 2012 (has links)
Malgré l’hétérogénéité qu’une classe de FLE peut représenter, il existe un élément communément partagé par les apprenants coréens et japonais et ce, quels que soient le niveau, leur spécialité d’études ou encore la durée de leur séjour en France, à savoir le sentiment de ne pas bien ou suffisamment bien parler le français. Ce constat et l’insécurité qu’il occasionne sont souvent basés sur des critères subjectifs, découlant de l’idée associée à un type de français idéalisé ainsi que de l’objectif d’apprentissage qu’ils sont censés atteindre. Mais cette dépréciation et l’auto-dépréciation qu’elle entraîne quant à leur niveau de français peuvent également être engendrées par les attitudes des locuteurs autochtones qui leur font ressentir leur lacune, ceci pouvant finir au demeurant, par un sentiment de malaise à des degrés plus ou moins variés, notamment selon leur vécu communicatif avec ces derniers. A partir du moment où leurs expériences communicatives sont marquées par un jugement dépréciatif répétitif à l’égard de leur français, l’auto-dépréciation renforcée par une hétéro-dépréciation finit par générer un malaise certain qui se transforme peu à peu en une sorte d’agent défavorisant qui tirerait sa force d’un apprentissage du français aux résultats contestés. Même si les deux publics partagent une attitude linguistique dépréciative, des normes communicationnelles ou encore un dispositif linguistique semblables, les enquêtes dévoilent que les caractéristiques du malaise ressenti par les apprenants coréens ne sont pas toujours similaires à celles des apprenants japonais, puisque leurs français n’est pas appréhendé de la même manière par les interlocuteurs autochtones français. / Despite the existing heterogeneity in the class of “French as a foreign language”, there is an element shared by both Korean and Japanese learners, regardless of their study level, field of study, or the duration of their stay in France : a common feeling of not being able to speak French well enough. That observation and the resulting insecurity it causes are often based on subjective criteria, resulting from the idea of an idealized French as well as the learning goals they are supposed to reach. But this depreciation and self-depreciation can also be caused by the attitudes of native speakers which make the learners feel their weakness. From the moment their communicative experiences are marked by a repetitive disparaging judgment towards their French, self-depreciation reinforced by hetero-depreciation eventually generates some discomfort which gradually transforms itself into a kind of a penalizing agent that would take its strength from learning French with questionable results. Even if both public shares a similar depreciative linguistic attitude, communicative standards or similar linguistic dispositions, investigations show that the characteristic unease felt by Korean learners is not always similar to that felt by Japanese learners, as their French is not apprehended in the same way by French native speakers.
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Recherches sur la formation linguistique et interculturelle pour les étudiants en tourisme : préparer au programme Home Stay en Thailande / Research on linguistic and intercultural program for students in Tourism : preparing for Home Stay in Thailand

Sangpradup Mavong, Ratchaneewan 20 October 2010 (has links)
Cette recherche est une contribution à l'amélioration du Home Stay, forme de tourisme chez l'habitant d'apparition récente en Thaïlande. Enseignante de français dans une Université d'une région touristique, il nous est apparu que son développement profiterait à la région et offrirait des débouchés à nos étudiants. Nous avons recensé les Home Stay qui recevaient des touristes français ou francophones, dont nous avons contacté chefs de villages et habitants ainsi que les visiteurs étrangers présents lors de nos visites. Nous leur avons fait remplir des questionnaires, les visiteurs étrangers étant classés en trois catégories: français, francophones et autres, questionnaires que nous avons dépouillés à l'aide d'un logiciel SPSS. Nous en avons conclu à la nécessité de médiateurs interculturels. Pour permettre aux visiteurs étrangers de satisfaire leur curiosité sur le mode de vie traditionnel des habitants, leurs travaux, leurs fêtes et leurs coutumes et répondre également au souhait des habitants, il fallait une présence permanente dans les villages de tels médiateurs. Nous avons jugé qu'il serait intéressant de proposer à nos étudiants une formation linguistique et interculturelle pour pratiquer ce métier, ces deux compétences étant également nécessaires pour jouer le rôle de médiateurs dans un Home Stay. Pour éviter le choc culturel et les malentendus dus à la différence culturelle entre habitants et visiteurs étrangers, il est indispensable de mettre l'accent dans cette formation sur l'éducation et la communication interculturelles. Cette formation devra leur faire acquérir les trois composantes de la compétence en communication : savoirs, savoir-faire et savoir-être. / This research is contributed to the improvement of the Home Stay, a form of tourism recently appear in Thailand that allows the visitor to stay in a house of local family. Teaching French in a university within a touristic region, it appeared to us that this type of tourism would offer advantages not only to the region and but also to our students. We formulated the Home Stay for welcoming French or French-speaking visitors by contacting the village chiefs and the villagers as well as the others foreign visitors during our visits. We asked them to fill in a questionnaire, with the foreign visitors classified into three categories: French, French-speaking and Other, which we analyzed by statistical software SPSS. In conclusion, the results of the questionnaire data point to the necessity of the intercultural mediators. In letting the foreign visitors satisfy their curiosity about the villagers' traditional way of life, their works, their fetes and their customs, and responding to the desire of the villagers, it appears that these mediators could be required on a permanent basis, in the village. In turn, we propose a linguistic and intercultural program to our students towards the goal of becoming intercultural mediators. These two competencies are also necessary for the role of mediators in a Home Stay. In order to avoid cross-cultural and misunderstanding between the villagers and foreign visitors, it is necessary to emphasize the intercultural education and communication in this program. It would allow students to obtain three components of communication competency: knowledge, skills and attributes common to intercultural mediators.
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Analyse des stratégies intéractionnelles et des positionnements réciproques menant à la réussite de la discussion en français / Analysis of interactional strategies and reciprocal positions leading to a successful discussion in French

Chartier, Julien 10 November 2011 (has links)
Quels sont les constituants d’une participation réussie à une discussion en langue française ? Après avoir enregistré des discussions de groupe autour de sujets polémiques entre apprenants de niveau avancé en français, en Australie, un panel de francophones de leur âge a évalué vingt extraits de ces discussions en termes de réussite des échanges, et en prêtant attention à certains aspects intersectionnels de leurs comportements tels que l’entraide, la domination et leur contribution à l’avancée du débat, ces critères ayant été dégagés d'une analyse comparative des définitions de la réussite et de l'échec d'une discussion, telles que données par ces participants. Ces évaluations ont ensuite été analysées pour déterminer lesquels de ces aspects corrélaient le plus avec la réussite globale de l’échange. En situant ce projet dans une perspective pragmatique interculturelle et interactionniste, nous avons effectué une analyse multidimensionnelle des échanges jugés les plus réussis et les moins réussis afin d’identifier les stratégies intéractionnelles contribuant au succès ou à l’échec des échanges en français. Nous nous sommes notamment intéressé aux phénomènes et comportements présents dans les extraits jugés les plus réussis et absents des extraits les moins réussis, avons analysé les pistes audio des enregistrements pour accéder à une représentation visuelle de leur atmosphère sonore, avons analysé les comportements non-verbaux des participants,et avons effectué une micro-analyse de la transcription de ces mêmes extraits. Les résultats de ce projet offriront une meilleure compréhension de l'ancrage culturel des stratégies interactionnelles contribuant à la réussite ou à l'échec d'une discussion et serviront de base potentielle à l’enseignement de compétences interactionnelles en français langue seconde. / What constitutes successful participation in discussion in French? The project combines qualitative and quantitative methods to determine what behaviours constitute successful participation in French debate among learners of French. After group discussions on polemical topics among advanced learners of the language were recorded in Australia, a group of French age-peers judged the exchanges on their relative success and on aspects of interactional behaviour including the extent to which participants advanced debate, dominated and/or supported each other. These aspects were identified prior to the evaluation through a comparative analysis of definitions of a successful and a failed discussion as provided by the participants. The Francophone assessments of the recordings were then analysed to determine which of these aspects correlated with the overall success of the exchange. Building on these results, and drawing on the principles of cross-cultural pragmatics, a multidimensional interactionist analysis of the most and least successful exchanges was undertaken to identify interactional strategies contributing to the success or failure of the exchanges. This involved focussing on the various phenomena and behaviour observable in the discussions judged most successful but absent in the least successful discussions, analysing the waveform representations of the audio-recordings to determine the sound atmosphere, analysing non-verbal behaviour, and undertaking a detailed micro-analysis of the transcription of these exchanges. Results showed that advancing debate through advancing and challenging opinions was most likely to lead to the Francophones judging the discussions as successful. The most successful discussions showed participants adopting a wide range of interchangeable interactional positions in which all could successively take the lead in discussion, and consistently questioning and elaborating opinions, thus placing a clear emphasis on the co-construction of ideas. Least successful discussions as seen by the Francophones showed greater concern for facework strategies and followed a stable pattern of opinions being offered in turn but not negotiated, leading to agreement rather than debate. The sound and visual atmosphere of the discussion was also directly connected to the success of the discussion: the non-verbal behaviour analysis showed that participants in successful discussions displayed an increased use of hand gestures and maintained visual contact between the participants while the waveform analysis underlined situations of brouhaha as a recurring component of the most successful discussions. The project departs from previous studies by focusing on discussion in French as a multilayered cultural practice and therefore undertaking a multidimensional analysis to ascertain the elements that correlate with its success or failure. The findings of the project will provide a better understanding of the cultural specificity of different interactional styles, and of the cultural anchoring of interactional strategies contributing to the success or failure of a discussion. It will serve as a potential basis for teaching interactional skills and pragmatic competence in French as a second language.
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Interculturalité et scènes contemporaines: sémiotique de la diversité / Interculturality and the contemporary scene: semiotics of diversity.

Bauer Bronstrup, Camila 18 May 2010 (has links)
Dans un large corpus de spectacles, lorsque nous acceptons que le spectateur perçoive l’interculturalité en tant que composante scénique, même si l’interaction et le métissage ne sont pas effectivement présents, nous pouvons affirmer que la notion d’interculturalité mérite une mise au point. La variété de types de processus et de constructions scéniques développées dans les quarante dernières années appelle donc un concept capable d’héberger la notion de Diversité. Ainsi, nous proposons une lecture sémiotique de différents croisements et manifestations scéniques, en leur allouant la perception esthétique de la diversité, tel que l’a proposée Victor Segalen. Notre argument veut démontrer que la théorie de Segalen apporte à la scène contemporaine un nouveau regard en faisant confluer d’une façon plus adéquate les différents types de spectacle considérés comme « interculturels ». Cette théorie englobe des notions anthropologiques, ethnologiques, philosophiques et politiques, et qui circonscrivent l’être humain dans un contexte contemporain global, rendant possible une construction sémiotique particulière. <p>Par là, notre thèse recherche les fondements d’une sémiotique de la diversité sur la scène contemporaine et ses différentes formes de manifestation. Elle aspire à comprendre les spécificités émergées avec elle lorsqu’un mécanisme de construction interculturelle est installé dans les processus de construction et de concrétisation. Dans le but d’identifier les bases et formes d’expression qui construisent l’interculturalité en tant que processus anthropologique, nous allons construire une critique sur leurs origines et formations, à partir de l’analyse de différents spectacles. Nous allons donc établir, au moyen de la sémiotique et de l’anthropologie, les différences entre « influence étrangère », dont de nombreux spectacles reçoivent, et « échange culturel » élaboré par un processus intentionnel d’interaction. Nous étudions les morphologies et les fonctions épistémologiques des contacts culturels présents dans la construction et l’énonciation du discours scénique, en réunissant des notions provenant de l’anthropologie, de l’ethnoscénologie et de la sociologie du spectacle, structurant ainsi le cadre sémiotique de la diversité.<p>/<p>Taking into consideration that in a large corpus of performances spectators perceive interculturality as a scenic component, although interaction and hybridisation are not actually present in the production of the play, we can assert that interculturality’s conception merits a review. The variety of scenic processes and constructions developed in the last forty years claim for a concept suitable to accommodate the notion of diversity. Thus, we propose a semiotic reading of different interweaves of cultures and artistic events, combining the aesthetic perception of diversity proposed by Victor Segalen. Our argument intends to show that Segalen’s theory brings to the contemporary scene a new perspective and converges in a manner more relevant, different kinds of performances usually acclaimed as “intercultural”. It provides anthropological, ethnological, philosophic and political notions that circumscribe human being into a contemporary global context, allowing us to set up a specific semiotics. <p>Therefore, our thesis investigates the foundations of a semiotic of diversity in contemporary dramatic scene and its different kinds of manifestation. It seeks to understand the particularities that emerge out of the semiotic of diversity when, in its process of construction and concretization, it establishes an intercultural mechanism. Likewise, we’ll assemble a reflexive critic on its backgrounds and forms, consisting of the analysis of different performances which are the basis and the manners of an intercultural construction as an anthropological process. We want to establish through semiotics and anthropology the difference between "foreign influence", that many of the performances grasp, and "cultural exchange" built up all the way through a deliberate process of interaction. We’ll hunt for morphologies and epistemological functions of cultural contacts that are present in the construction and the enunciation of the performance discourse through the application of concepts drawn from anthropology, ethnoscenology and performance sociology, thus structuring the framework of semiotics diversity. <p> / Doctorat en Information et communication / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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