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La décision territoriale en conflit : analyse spatiale de l'activité conflictuelle, Ville de Québec, 1989 à 2000

Pelletier, Mathieu 16 April 2018 (has links)
À l’heure où les villes poursuivent leur croissance et deviennent de vastes régions urbanisées, la question de la planification de ces « nouveaux » territoires est d’intérêt. Ces espaces en profonde mutation créent de nouveaux enjeux et défis pour la planification territoriale. À l’occasion, des conflits surgissent en raison de l’incompatibilité des positions respectives des acteurs au sujet d’enjeux mettant en cause des intérêts divergents. Dans ce contexte, le conflit autour du projet territorial ne fait plus l’exception. La thèse s’attache à mieux comprendre les rapports unissant les spécificités territoriales à trois dimensions de la dynamique de l'activité conflictuelle: la fréquence spatiale, la durée et l'intensité des conflits. Nos travaux se concentrent sur une démarche quantitative et ce, à travers une approche spatiale. La recherche s’appuie sur une base de données qui relate les conflits à l’échelle de la ville de Québec entre 1989 et 2000. Les 199 conflits recensés ont été relevés dans la presse régionale (le quotidien Le Soleil). Le cadre conceptuel proposé aborde le conflit à travers le prisme des processus décisionnels de nature territoriale. Nous associons à la décision territoriale conflictuelle trois espaces géographiques, soit les espaces de l’action, des conséquences et des acteurs. C’est par ces espaces et plus particulièrement à travers celui des acteurs que la représentation spatiale de l’activité conflictuelle est effectuée. Les analyses statistiques indiquent que (1) la propension des individus à se regrouper – au sein d’associations locales et d’organismes communautaires – et leur capacité à prendre la parole, tout comme (2) la nature de la composition sociale se révèlent être des composantes centrales dans l’émergence et le déroulement de la démarche contestataire. L’étude des effets de contexte locaux suggère que les conflits sont de plus longue durée bien qu’ils ne soient pas nécessairement plus intenses ou plus fréquents dans le secteur où (1) la capacité des individus à se regrouper et à prendre la parole est modérée et où (2) la population est à la fois la plus mobilisable et la mieux nantie à l’échelle régionale. Nous pensons qu’il s’agit là des conditions menant à une activité conflictuelle de longue durée, à savoir des individus disposant de temps et de ressources, mais peu outillés sur le plan des stratégies d’actions en moment de conflits. / At a time when population concentration in urban spaces is increasing and cities continue to grow into huge urbanised areas, issues related to management planning for these “ new ” territories is of interest. Such spaces which undergo deep mutations give rise to new stakes and challenges for territorial planning. Occasionally, due to lack of compatibility between the respective actors’ standpoints with respect to high stakes arising from divergent interests, conflicts emerge. Indeed, conflicts that originate from a territorial project are no longer the exception. This thesis strives to better understand the relationships that bind together territorial specificities and the dynamics of conflict activity in terms of its spatial frequency, duration and intensity. The current work uses a quantitative procedure that seeks to understand conflict dynamics by means of a spatial approach. The basis of this research is a database made up of conflicts which occurred in Quebec City over the period from 1989 to 2000. The 199 conflicts considered herein have been collected from the regional press (the newspaper daily Le Soleil). The conceptual framework proposed addresses the conflict through the prism of territorial decision-making processes. We also join in the territorial decision is geographic spaces: action space, consequences space and stakeholders’ space. It is through these spaces and, more particularly throught the stakeholders’ one that a spatial representation of conflict activity is made possible. Statistical analysis indicated that (1) the tendency of individuals to regroup around local associations and community organisations along with their ability to make their voices heard, as (2) the nature of the social composition seemed to be fundamental components both of the emergence and unravelling of the protesters’ approach. The study of the effects of local contexts suggests that conflicts are longer though not necessarily more intense or more frequent in the area where (1) the ability of individuals to come together and take the floor is moderate and (2) the population is both the most easily mobilizable and the better off at the regional level. We believe that these are the conditions that lead to a conflict activity with long duration, ie individuals with time and resources, but not well equipped in terms of action strategies in times of conflict activity.
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Les conflits sociaux dans la protection de l'environnement : L'exemple d'un comité de bassin versant dans la région Chaudière-Appalaches

Vachon, Martin 11 April 2018 (has links)
Les problèmes environnementaux sont largement marqués par les conflits sociaux. Alors que des acteurs clament l'urgence de protéger la nature, d'autres, pour qui les intérêts peuvent être mis en cause, cherchent à minimiser la gravité de la situation. Au-delà des problèmes d'environnement eux-mêmes, les mésententes à leur sujet sont des défis de taille à l'application de solutions. C'est sur cette toile de fond que des efforts institutionnels sont déployés afin de gérer les conflits sociaux entre les acteurs concernés par des problèmes environnementaux à l'échelle locale. Nous avons voulu examiner les raisons qui poussent des acteurs différents à participer à une institution locale pour la gestion d'un problème d'environnement ainsi que les dynamiques de conflits et de coopération qui en émergent. Nous avons étudié la gestion de l'eau par bassin versant autour du Comité de bassin de la rivière Chaudière (COBARIC), une initiative du gouvernement du Québec qui regroupe une vingtaine d'acteurs locaux représentant les principaux secteurs d'activités économiques et sociales. Son mandat, durant près de 10 ans, a consisté à développer et expérimenter un mode participatif de gestion de l'eau par bassin versant dans l'optique de l'élaboration de la politique de l'eau du Québec. Nous avons opté pour une approche de recherche inductive s'appuyant sur une analyse des propos tenus par les acteurs concernés dans la région. En plus des 25 entretiens semi-dirigés que nous avons menés à l'automne 2000, nous avons également utilisé les vastes données recueillies par le COBARIC lors de consultations publiques au printemps 2000. Les résultats suggèrent que malgré le peu de considération que certains acteurs du bassin peuvent entretenir envers l'environnement, ils sont néanmoins portés à participer à l'institution de gestion de l'eau dans la mesure où celle-ci leur permet d'entretenir des relations de négociation avec des acteurs qui contrôlent l'accès à des ressources sociales (reconnaissance, argent, etc.) dont ils ont besoin selon leurs intérêts propres. La participation des acteurs locaux représente par ailleurs la condition indispensable pour l'atteinte de l'intérêt collectif de protection de l'eau, ce qui ne peut être réalisé, soutenons-nous, sans que les participants puissent également y voir une réponse à leurs intérêts particuliers.
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Le cinéma comme moyen de contestation de l'"idéologie dominante" : vers une relecture du sens accordé à l’utilisation de la technique du plan-séquence dans le cinéma japonais à travers la mise en perspective d’une partie de la trajectoire cinématographique de Sômai Shinji 相米慎二 et de son passé d’activiste politique / Cinema as a way of challenging « dominant ideology » : toward a reconsideration of the significance usually given to the use of the one scene-one shot technique in Japanese cinema through a cross examination of a part of Sômai Shinji相米慎二 cinematographic career and his past as a political activist

Carpentras, Fabien 29 November 2013 (has links)
Le présent travail, en analysant la trajectoire biographique du réalisateur japonais Sômai Shinji de son passage dans les mouvements de contestation de la Nouvelle gauche à ses premiers films tournés dans les années quatre-vingt, se veut une étude critique sur le sens généralement accordé à l’utilisation de la technique dite du « plan-séquence » dans le contexte du cinéma japonais. Le plan-séquence est une méthode de mise en scène que différents auteurs occidentaux, de Noël Burch à Donald Richie, ont régulièrement qualifié d’ « essentiellement » japonaise tant elle semble selon eux présenter une utilisation de l’espace qui la rapproche des arts de représentation traditionnels comme le théâtre kabuki ou la peinture de Heian. En mettant en évidence les fonctions de contestation et de résistance que cette technique joue dans l’esthétique des films de Sômai Shinji, activiste de la Quatrième internationale japonaise de 1967 à 1971, nous démontrons que le jugement selon lequel le plan-séquence découlerait d’une sensibilité propre au peuple japonais-en effet, d’une « japonité »-est pour le moins à revoir. Sômai, de par son passé politique, est un réalisateur qui est constamment en lutte avec les valeurs de ce que nous appelons l’ « idéologie dominante », si bien que sa trajectoire ne peut se comprendre qu’en tenant compte des notions de conflits et de contradictions, bien loin de l’image lisse et homogène du peuple japonais dont nous abreuve un certain discours. Au-delà de la relecture du sens accordé à l’usage de la technique du plan-séquence-à laquelle nous associons rapidement des cinéastes comme Mizoguchi Kenji ou Sone Chûsei-, cette thèse soulève donc certaines interrogations sur la perception que nous avons, à travers les médias audiovisuels, de la nation comme entité homogène et fixée dans le temps. / The present work, while examining the biographical trajectory of Japanese filmmaker Sômai Shinji from his past in the Japanese New Left to his first movies made in the 80s, is aimed at being a critical study of the significance regarding the use of the technique called “one scene-one shot” generally admitted in the context of Japanese cinema. The one scene-one shot is a method of mise-en-scène considered by several non-Japanese authors, like Noël Burch or Donald Richie, to be “essentially” Japanese because of what they think to be similarities with methods of representation usually found in kabuki theatre and Heian paintings. While we enhance the functions of protest and resistance this technique plays in the aesthetic of Sômai Shinji-who was an activist of the Japanese Fourth International from 1967 to 1971-films, we assess that the argument regarding the one scene-one shot as a method of filming particular to the Japanese sensibility-indeed, an expression of “Japaneseness”-is at best to be reconsidered. Sômai, because of his political past, was a filmmaker constantly struggling with the values of what we call the “dominant ideology”. His work cannot properly be understood unless we put the notions of conflicts and contradictions at the core of our analysis, departing from the traditionally peaceful and homogenous image that certain discourses usually express regarding the Japanese people. Beyond a reexamination of the significance traditionally given to the use of the one scene-one shot in the context of Japanese cinema-to which we associate filmmakers such as Mizoguchi Kenji and Sone Chûsei-, this dissertation questions the images of the nation, expressed through audiovisual means, as a homogenous and fixed community.
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Les dynamiques associatives dans la gestion du littorale en Corse

Graziani, Claire Taugeron 18 April 2018 (has links)
On observe une forte réactivité en Corse au sujet de l’environnement, et cela se manifeste notamment par une forte mobilisation associative et citoyenne, particulièrement concernant le littoral et la gestion qui en est faite. Cela suscite plusieurs interrogations quant aux aspects de la gouvernance actuelle qui sont problématiques du point de vue des associations de défense de l’environnement. De ces divergences naissent des conflits territoriaux, et la présente recherche est centrée sur les modalités de manifestation des dynamiques associatives au moment où émergent les conflits. La réflexion porte sur les objectifs, les moyens d’action des associations, et les effets que peuvent avoir leur mobilisation sur la gestion du littoral et les politiques locales Nous nous sommes interrogés sur les différents intérêts, économiques, identitaires et écologiques qui impulsent ces conflits et les justifient. Le mémoire présente les résultats d’une enquête menée auprès des membres des associations de défense de l’environnement en Corse. Pour réaliser cette enquête des entretiens semi-dirigés ont été effectués, dont l’objectif était de saisir les enjeux environnementaux, sociaux et politiques de la gestion littorale en Corse. / The current question of Corsica’s coastal regions has been the subject of many debates. Various associations and citizen groups have made public their disapproval of the current politics surrounding the matter, stirring up many questions in regards to the current governance of the territory, problematic in the eyes of the associations and concerned citizens. This has lead to many territorial conflicts that have yet to be resolved. Therefore this research focuses on the diagnostics of the associations when the conflicts emerge. Also it is of interest to know the means of action used by these associations, their objectives, and the effects of their actions on the coastal governance.
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Controverse et conflit sur l'utilisation de l'eau souterraine : l'exemple de Franklin

Dagenais, Marie-Pierre 12 April 2018 (has links)
Un projet de développement économique en milieu rural devient rapidement une controverse publique sur une question environnementale mise à l'agenda politique des divers paliers de gouvernements. Un premier projet de captage d'eau souterraine aux fins commerciales d'embouteillage occasionne une vive réaction chez les résidants alors que des puits sont asséchés pendant les essais hydrauliques pour déterminer du potentiel de l'aquifère. L'évolution des échanges entre les représentants gouvernementaux, le promoteur et les résidants ont offert une disparité qui a contribué à envenimer les relations et mener à une méfiance institutionnelle. Dans ce contexte, un deuxième projet tente de se tailler une place. La mobilisation des résidants se maintient. Une seconde série d'échanges entre promoteur et résidants se solde devant les tribunaux. Par l'approche constructiviste et communicationnelle favorisée dans cette analyse sociologique, nous souhaitons apporter un éclairage propre à chacun des acteurs et permettre une compréhension des enjeux de gouvernance que soulèvent la protection, le partage et la mise en valeur de l'eau.
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Libertés, Droit, Désordres : les violences émeutières dans l'espace urbain, dynamique des phénomènes et organisation de la réponse sociale / Liberties – Law – Disorders : rioting acts of violence in Urban Areas, Dynamics of the Phenomena and organisation of the social response

Joubert, Didier 03 July 2017 (has links)
L’objet de la recherche consiste à mettre en évidence que la prise en compte des violences émeutières requiert une évolution de l’environnement juridique et des méthodes de maintien de la paix publique hérités de notre histoire. Notre dispositif de gestion de l’ordre public est particulièrement adapté au modèle français de manifestation. C’est considérable et exemplaire à beaucoup d’égards mais cela ne peut clore le débat sur les formes de la réaction sociale nécessaires pour répondre aux différentes formes du répertoire de la protestation en particulier à la dynamique complexe des désordres émeutiers.Alors que la manifestation, son encadrement par les forces de sécurité intérieure et son environnement juridique ressortissent à la culture de l’organisation et de l’ordre, les violences émeutières relèvent, quant à elles, de comportements colériques naturels. Elles constituent un objet et un enjeu différents que traduisent notamment la récurrence des crises en milieu urbain et la difficulté d’y faire face de façon satisfaisante.Sur le plan opérationnel comme sur le plan juridique, l’éventail de la réponse aux désordres est particulièrement large, mais il traduit également un double embarras :• Les violences émeutières sont le plus souvent des violences d’expression. Qu’ils en soient conscients ou non, face à ces comportements, le juge et le politique se sont montrés fréquemment indulgents dans un contexte juridique où la liberté d’expression est un droit fondamental et la manifestation une conquête sans équivalent dans notre pays. Les réponses sociale et judiciaire se caractérisent donc par une mansuétude parfois légitime, parfois inadaptée mais souvent mal comprise.• Les modes d’action policiers et les outils du Droit façonnés par l’environnement juridique et la culture de la manifestation, peuvent se révéler inadaptés pour répondre aux émeutes urbaines et conduire à des évolutions aussi variées qu’inappropriées comme la banalisation du recours à des régimes juridiques d’exception et la sédimentation d’une culture d’affrontement entre police et population.Le concept retentissement / identification et l’analyse des colères rebelles et insoumises ouvrent la voie à une adaptation du droit et de la réponse sociale conciliant le respect des droits fondamentaux et le maintien de la paix publique dans l’espace urbain. Tel est l’enjeu de la dialectique « Libertés - Droit - désordres ». / The object of the research is to highlight that rioting violence cannot be dealt with without an evolution of the legal framework and public-order policing inherited from our History. Our way to manage public-order policing is particularly suitable to our French traditional demonstration pattern. It is significant and exemplary in many respects but that alone cannot close the debate about the forms of social reaction that would be necessary to answer the various forms of the repertoire of protest especially the complex dynamics of rioting disorders.Even though the demonstration, its framing by the police and its legal framework are both an order issue and a cultural issue, rioting acts of violence are a natural irascible behaviour of the human nature. Riots are an object and an issue which translate into in recurring urban crises and the difficulty to satisfactorily deal with them.From an operational point of view and from a judicial one, there is a wide range of answers to the disorders but this results in a double embarrassment:• Riots are very often a means of expression. Consciously or not, the judge and the policy-maker have frequently been indulgent with these behaviours in a legal context in which freedom of expression is a fundamental human right and demonstrating a conquest without equivalent in our country. Social and judicial answers are characterized by indulgence, sometimes legitimate, sometimes inadequate and often ill-understood.• Policing and the tools of the law that were shaped by the legal framework and the culture of demonstration can prove to be inadequate to cope with urban riots and they can result in various as well as inappropriate answers like the trivialization of emergency legal schemes and the sedimentation of a culture of clash between people and the police.The repercussion and identification concept and the analysis of the rebel and unsubdued bouts of anger pave the way to an adaptation of the law and the social response aiming at balancing both the expression of the basic rights and the preservation of public peace in urban areas. This is what is at stake with the dialectics « Liberties – Law – Disorder ».
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Fermer les mines en construisant l'Europe: une histoire sociale de l'intégration européenne

Verschueren, Nicolas 21 December 2010 (has links)
Cette recherche a pour ambition de contribuer aux études sur l’histoire sociale de la construction européenne. En prenant pour point d’appui le cas de l’industrie charbonnière, il a été possible de mettre en évidence une tentative de préservation et de prolongement des politiques sociales d’après-guerre à l’intérieur de la Communauté. Les débats sur le logement ouvrier, les discussions paritaires et la tentative d’instauration d’un statut européen du mineur reflètent cette continuité entre les niveaux nationaux et européens. L’échec de politiques sociales d’envergure sonnait le glas d’un élan initié par quelques syndicalistes et militants européens pour un approfondissement de l’Europe sociale dont l’expression commençait à prendre consistance. La crise charbonnière de 1958 allait transformer les politiques de la Haute Autorité où la réponse aux crises régionales prenait une place majeure. En ce sens, la reconversion du Borinage était le premier test social d’envergure pour le maintien du consensus politique d’après-guerre. Malgré les mesures nationales et européennes pour la relance économique du bassin borain, aucune industrie n’est parvenue à remplacer les fosses tant du point de vue économique qu’identitaire. Les conflits sociaux apparus dans les années 1970 ont alors mis en lumière les transformations sociales et culturelles du Borinage en reconversion. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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