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Les processus cognitifs du trouble d'anxiété généralisée et la comorbidité avec le trouble de dépression majeure

Dupuy, Jean-Bernard. 11 June 2021 (has links)
Cette étude propose d’évaluer comment se manifestent les processus cognitifs du trouble d’anxiété généralisée (TAG) lorsque le trouble de dépression majeure (TDM) est comorbide au TAG. Trente-deux participants ont été divisés en deux groupes. Le premier groupe comprend des individus ayant un diagnostic principal de TAG et de TDM et le second est constitué de gens ayant un diagnostic principal de TAG sans TDM. Les deux groupes sont comparés sur quatre variables cognitives: l’intolérance à l’incertitude, l’attitude négative face aux problèmes, l’évitement cognitif et les fausses croyances face aux inquiétudes. Les résultats montrent que les gens ayant un diagnostic principal de TAG et de TDM sont plus intolérants à l’incertitude, maintiennent une attitude plus négative face aux problèmes et présentent plus d’évitement cognitif. La discussion soulève les implications de la comorbidité TAG et TDM au plan cognitif et thérapeutique. / Cette étude propose d’évaluer comment se manifestent les processus cognitifs du trouble d’anxiété généralisée (TAG) lorsque le trouble de dépression majeure (TDM) est comorbideau TAG. Bien que plus de gens sont atteints d’un TAG et d’un TDM comorbide que d’un TAG sans TDM, très peu de recherches ont été faites sur le sujet L’objectif central de l’étude vise à améliorer la compréhension de cette comorbidité en examinant la dimension cognitive. Trente-deux participants ont été divisés en deux groupes suite à deux évaluations diagnostiques indépendantes effectuées au moyen d’une entrevue structurée. Le premier groupe (N= 15; 10 femmes et 5 hommes) comprend des individus ayant un diagnostic principal de TAG et de TDM et le second groupe (N= 17; 12 femmes et 5 hommes) est constitué de gens ayant un diagnostic principal de TAG sans TDM. Au moyen d’ANCOVAs, les groupes ont été comparés sur quatre variables cognitives centrales dans le développement et le maintien du TAG: l’intolérance à l’incertitude, l’attitude négative face aux problèmes, l’évitement cognitif et les fausses croyances face aux inquiétudes. Les résultats montrent que les gens ayant un diagnostic principal de TAG et de TDM sont plus intolérants à l’incertitude, maintiennent une attitude plus négative face aux problèmes et présentent plus d’évitement cognitif que les individus ayant un diagnostic principal de TAG sans TDM. Donc, la présence d’un TDM comorbide chez les gens atteints d’un TAG est associée à un niveau de sévérité plus élevé quant à trois processus cognitifs. L’étude indique la pertinence d’utiliser les variables cognitives à l’étude, afin de mieux comprendre la comorbidité TAG et TDM. Enfin, une analyse discriminante de type pas à pas a été effectuée afin de déterminer quels critères diagnostiques du TAG permettent le mieux de différencier les gens ayant un diagnostic principal de TAG et de TDM, des individus ayant un diagnostic principal de TAG sans TDM .Cette analyse a retenu trois critères (le niveau d’interférence, la perturbation du sommeil et la tension musculaire) qui facilitent le diagnostic différentiel entre les deux groupes. / The present study looks at how cognitive variables proven to be central to the developmentand maintenance of Generalized Anxiety Disorder (GAD), manifest themselves when GADand Major Depressive Disorder (MDD) are comorbid. GAD is more often presents imultaneously with MDD than alone but few studies have investigated the phenomenon of comorbid GAD and MDD. The principal goal of the present study is to bring a deeper understanding of this comorbidity by paying closer attention to its cognitive dimension. In the present research, 32 participants were divided into 2 groups, following two independent diagnostic evaluations with the Anxiety Disorder Interview Schedule for DSM-IV. The firstgroup (N= 15; 10 women and 5 men) is made up of individuals with a principal diagnosis of comorbid GAD and MDD; and the second group (N= 17; 12 women and 5 men) is made up of people with a principal diagnosis of GAD without MDD. ANCOVAs were used to compare groups on 4 cognitive variables: intolerant of uncertainty, poor problem orientation, cognitive avoidance and beliefs about worry. Results show that the group of individuals with a principal diagnosis of comorbid GAD and MDD were more intolerant of uncertainty, presented poorer problem orientation and displayed more cognitive avoidance than the group of people with a principal diagnosis of GAD without MDD. Thus, the presence of comorbid MDD in people living with GAD is associated to a higher level ofseverity for three cognitive processes. The study demonstrates the pertinence of using the cognitive variables under study to better understand comorbid GAD and MDD. Moreover, a stepwise discriminant analysis was madeon GAD diagnostic criteria. This analysis retained three criteria (level ofinterference, sleepingproblems and muscular tension), which facilitated the differential diagnosis between bothgroups.
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La dépression parmi les patients atteints de diabète de type 2 au Québec : effet sur l'adhésion au traitement antidiabétique

Lunghi, Carlotta 24 April 2018 (has links)
Introduction : Le risque de dépression est plus élevé parmi les personnes atteintes de diabète de type 2 et la dépression est associée à une évolution du diabète défavorable, une mauvaise adhésion aux recommandations des cliniciens et un risque accru de complications et de décès. Objectifs : Dans une cohorte de personnes assurées par le régime général d’assurance médicaments (RGAM) du Québec nouvellement traitées avec des antidiabétiques oraux (ADO), les objectifs étaient de : (1) estimer le taux d’incidence de la dépression dans la période 2000-2008 et identifier les facteurs associés à la dépression ; (2) mesurer l’association entre la dépression et la non-adhésion au traitement antidiabétique et identifier les facteurs associés à la non-adhésion ; (3) mesurer l’association entre la dépression et la non-persistance au traitement antidiabétique et identifier les facteurs associés à la non-persistance. Méthode : Nous avons identifié une cohorte de nouveaux utilisateurs d’ADO âgés de 18 ou plus entre 2000 et 2006. Pour l’objectif 1, nous avons suivi les patients du début du traitement antidiabétique jusqu’au diagnostic de dépression, à l’inadmissibilité au RGAM, au décès ou à la fin de l’étude. Nous avons calculé les taux d’incidence de la dépression et analysé les facteurs associés à la dépression en utilisant des analyses de régression de Cox multivariée. Pour l’objectif 2, nous avons effectué un appariement sur la distribution des temps de diagnostic de dépression des patients ayant la dépression et attribué une date fictive de dépression aux individus sans dépression. La non-adhésion était mesurée dans l’année suivant le diagnostic de dépression (réel ou attribué). Afin d’estimer l’association entre la dépression et la non-adhésion et les facteurs associés à la non-adhésion, nous avons utilisé des régressions logistiques multivariées. Pour l’objectif 3, nous avons suivi les patients du début du traitement antidiabétique jusqu’à l’arrêt, à l’inadmissibilité au RGAM, le décès ou la fin de l’étude. Nous avons utilisé des modèles de régression de Cox afin de calculer les rapports de hasard ajustés (RHA) de non-persistance et les facteurs associés à la non-persistance chez les patients ayant la dépression. Résultats : Objectif 1 : nous avons identifié 114 366 nouveaux utilisateurs d’ADO, dont 4808 ayant un diagnostic de dépression. Le taux global d’incidence de la dépression était de 9,47/1000 personnes-années (PA) (10,72/1000 PA pour les femmes et 8,27/1000 PA pour les hommes). L’incidence de la dépression était plus élevée au cours de l’année suivant le début du traitement antidiabétique. Avoir eu d’autres troubles mentaux, des hospitalisations, un grand nombre de médicaments réclamés et de médecins visités au cours de l’année précédant le début du traitement antidiabétique sont tous des facteurs indépendamment associés à la dépression. Objectif 2 : nous avons identifié 3106 nouveaux utilisateurs d’ADO avec et 70 633 sans un diagnostic de dépression. La dépression était associée à la non-adhésion au traitement antidiabétique avec un rapport de cote ajusté de 1,24 (intervalle de confiance [IC] à 95 % : 1,13-1,37). La non-adhésion de base, le jeune âge, ajouter un antidiabétique au traitement initial, avoir réclamé moins de 4 médicaments ou avoir visité plusieurs médecins différents dans l’année précédant le début du traitement antidiabétique, avoir un statut socio-économique élevé et un faible nombre de complications du diabète sont des variables associées à la non-adhésion. Objectif 3 : le RHA de non-persistance aux médicaments antidiabétiques entre patients ayant et n’ayant pas la dépression était de 1,52 (IC à 95 % : 1,41 à 1,63). Parmi les patients ayant la dépression, les facteurs associés à la non-persistance incluent l’amorce d’un traitement antidiabétique en jeune âge (< 45 ans) et avec des médicaments autres que la metformine (surtout une polythérapie incluant l’insuline). Conclusions : L’incidence de la dépression diagnostiquée au Québec est plus élevée pendant la première année suivant le début du traitement antidiabétique et les sujets à risque plus élevé de faire une dépression sont les femmes, les patients commençant leur traitement en jeune âge, ceux ayant un statut socio-économique bas et ceux ayant des antécédents d’anxiété ou de démence. La dépression est un facteur de risque indépendant pour la non-adhésion et la non-persistance au traitement antidiabétique. Les patients atteints de diabète de type 2 et de dépression pourraient donc bénéficier d’un suivi étroit et des interventions ciblées pouvant aider à améliorer l’adhésion aux médicaments antidiabétiques. / Introduction: The risk of depression is higher among people with type 2 diabetes and depression has been associated with a worse course of diabetes, poor adherence to clinical recommendations regarding diet, sports activity and adherence to antidiabetic drug therapy, poor glycemic control and an increased risk of complications and mortality. Objectives: In a cohort of individuals insured under the public drug plan in Quebec and newly treated with oral antidiabetic drugs (OADs), the objectives were to: (1) estimate the incidence rate of depression in the period 2000–2008 and identify factors associated with the occurrence of depression; (2) measure the association between depression and antidiabetic drugs (ADs) non-adherence and to identify factors associated with non-adherence; (3) measure the association between depression and non-persistence with antidiabetic drug (AD) treatment and to identify factors associated with non-persistence. Methods: We used the public drug insurance plan administrative data to identify a cohort of new users of OADs aged 18 and above between 2000 and 2006. For the objective 1, we followed the patients from the initiation of antidiabetic drug treatment until the diagnosis of depression, the loss of eligibility for the public drug plan, the death or the end of the study. We calculated incidence rates of depression and analyzed the factors associated with depression using a multivariate Cox regression analysis. For the objective 2, we carried out depression diagnosis-time distribution matching by assigning a date of depression diagnosis to the individuals without depression. Non-adherence was calculated during the year following depression diagnosis (real or assigned). To estimate the association between depression and ADs non-adherence we used multivariate logistic regression. We analyzed the factors associated with non-adherence among the patients with depression using univariate and multivariate logistic regressions. For the objective 3, we followed the patients from AD initiation until either discontinuation, ineligibility for the public drug plan, death, or the end of the study. We used regression analyses to model Cox proportional hazards with depression as a time-dependent variable to calculate adjusted hazard ratios (AHR) of non-persistence. Cox regression models were used to identify factors associated with non-persistence among the patients with depression. Results: Objective 1: We identified 114,366 new OADs users, of which 4808 had a diagnosis of depression. The overall incidence rates of depression were 9.47/1000 person-years (PY) (10.72/1000 PA for women and 8.27/1,000 PA for men). The incidence of depression was higher in the year following OAD treatment initiation. Independent factors associated with depression included having had mental disorders other than depression, hospitalizations, a higher number of different drugs taken and of physicians visited during the year before OAD initiation. Objective 2: after applying the exclusion criteria, we identified 3106 new OADs users with a diagnosis of depression and 70,633 without a diagnosis of depression. Among patients with depression, 52.0% were considered non-adherent to AD treatment in the year after OAD treatment initiation. Depression was associated with non-adherence with ADs after adjustment for baseline adherence and other confounders with an adjusted odds ratio of 1.24 (95% confidence interval [CI]: 1.13 -1.37). Baseline non-adherence, younger age, adding an AD to the initial treatment, having claimed fewer than 4 drugs, visiting several different doctors, having a high socio-economic status and a low number of diabetes-related complications were all the variables that were associated with non-adherence to ADs. Objective 3: during the follow-up, a greater proportion of patients with depression compared to those without depression (55.4% and 42.5%, respectively) discontinued their AD treatment. The AHR of non-persistence with ADs was 1.52 (95% CI: 1.41 to 1.63). Among patients with depression, the independent factors associated with non-persistence include starting an AD treatment in younger age (< 45 years) and starting the treatment with ADs other than metformin. Conclusions: The incidence of depression diagnosed in Quebec is higher during the first year following the start of diabetes treatment and the subjects being at higher risk for depression are women, patients starting a treatment with OADs in younger age, those with a low socio-economic status and those with a history of anxiety or dementia. Depression is an independent risk factor for ADs non-adherence and non-persistence. Patients with type 2 diabetes and depression could benefit from close monitoring and targeted interventions aiming at improving adherence to ADs.
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Élaboration d'une version préliminaire d'un inventaire cognitif de l'humeur dépressive auprès des personnes séropositives au VIH

Jolicoeur, Nathalie 15 December 2021 (has links)
No description available.
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Activation comportementale pour le traitement de la dépression sévère : évaluation de l'efficacité thérapeutique et des processus de changement

Blanchet, Valérie 17 July 2018 (has links)
Parmi les interventions ayant démontré leur efficacité pour le traitement de la dépression, la thérapie d’activation comportementale (AC) suscite l’intérêt alors que les données probantes qui appuient son efficacité continuent de s’accumuler. Néanmoins, bien que l’efficacité de l’AC ait été établie à travers de nombreux essais randomisés et contrôlés, rares sont les études ayant évalué l’efficacité de l’AC lorsqu’implanter dans les établissements du réseau de la santé. Cette étape est pourtant essentielle à la validité et à la généralisation du traitement à la réalité des milieux et de la complexité du portrait clinique des patients. De plus, peu de chercheurs jusqu’à maintenant se sont penchés sur la relation de médiation du changement de l’AC dans le traitement de la dépression, alors que l’étude des mécanismes d’action permet de tester les fondements théoriques de l’approche et favoriser le développement d’un traitement plus efficace et plus parcimonieux. La thèse comporte deux études empiriques. La première se penche sur l’AC appliquée de manière à tenir compte de la réalité clinique des milieux et des patients, et la deuxième explore les processus de changement impliqués dans l’AC en les comparant à ceux qui seraient impliqués dans la thérapie cognitive (TC) pour le traitement de la dépression. Un échantillon de 56 participants souffrant de dépression sévère a été recruté en milieu hospitalier. Les participants ont reçu une intervention de groupe d’AC, de TC ou les deux interventions successivement. Chaque traitement s’échelonnait sur 10 séances. Les résultats soutiennent l’efficacité de l’AC de groupe pour le traitement de la dépression sévère en milieu clinique auprès d’une population hétérogène en termes de diagnostic (dépression majeure, dépression bipolaire, dysthymie) et de comorbidité (Axes I et II), de même que pour le maintien des acquis à moyen terme. L’efficacité de l’AC a aussi été observée sur l’ensemble des mesures psychosociales associées. Les résultats suggèrent également un appui à la prémisse théorique selon laquelle le renforcement et l’activation seraient des médiateurs de changement spécifiques à l’AC. Finalement, les résultats des deux études sont discutés en regard de leur contribution aux connaissances sur le traitement de la dépression et des pistes à envisager pour les études à venir sont proposées.
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Corrélats neuroanatomiques de la dépression gériatrique concomitante au trouble cognitif léger : données en neuroimagerie anatomique

Morin, Jean-François 19 April 2018 (has links)
Objectif Dans le Chapitre 2, une revue narrative a été réalisée pour identifier les réductions volumétriques de l’hippocampe (HC) et du cortex entorhinal (EC). Puis, dans le Chapitre 3, nous avons exploré les différences volumétriques entre le déficit cognitif léger de type amnésique avec symptômes dépressifs (aMCI/D+), le aMCI sans symptômes dépressifs (aMCI/D-) et la dépression gériatrique (LLD). Méthode Nous avons examiné l’atrophie de l’HC et du EC de 16 études réalisées avec des sujets aMCI et 10 études réalisées auprès de patients LLD (Chapitre 2). Dans le cadre du projet pilote dont les résultats sont rapportés dans le Chapitre 3, nous avons constitué trois groupes (aMCI/D+, aMCI/D- et LLD) de six sujets. L’HC et le EC ont été tracés manuellement par un collaborateur expert. Les analyses statistiques (analyse de la variance, analyse de la variance à un facteur, modèle de régression, régression classique et régression de type bootstrap) ont été exécutées par un statisticien. Résultats La revue narrative a révélé que la réduction du volume de l’HC était significative dans 92% des études et celle du EC dans 50% des études. Le projet pilote a démontré que l’HC gauche avait un volume davantage réduit dans le aMCI/D- versus la LLD et le aMCI/D+. L’HC droit avait un volume plus petit dans le aMCI/D- en comparaison avec la LLD et le aMCI/D+. Le EC gauche dans le aMCI/D+ avait une valeur moyenne réduite comparativement au EC dans les groupes aMCI/D- et LLD. Enfin, le EC droit apparaissait similaire dans les trois groupes. Conclusion La réduction du volume de l’HC était significative dans presque 100% des études et celle du EC dans 50% des études dans la revue narrative. La perte de volume de l’HC et de l’EC diffère selon le groupe. Une analyse de puissance suggère qu’un plus grand échantillon permettra de confirmer le caractère significatif des différences rapportées dans les résultats. Plusieurs recommandations ont été faites dans le but d’améliorer le design de l’étude en vue d’un projet à plus grande échelle. / Objectives First, we sought to identify HC and ERC volume reductions in aMCI and LLD with a narrative review. Second, we explored whether or not there existed differences in terms of HC and EC volume reduction between aMCI/D+, aMCI/D- and LLD. Method We examined the extent of HC and EC atrophy as reported in 16 aMCI and 10 LLD studies. Then, we proceeded to the pilot project. HC and EC were manually traced by an expert and statistical analyses (ANOVA, one-way ANOVA, regression model, classical regression and boostrap regression) were done by a statistician. Results The narrative review revealed that total HC volume reduction was significant in 92% of aMCI and 50% of LLD studies. The pilot project showed that left HC was considerably smaller in aMCI/D- than in LLD and aMCI/D+. Similarly, right HC was smaller in aMCI/D- than in LLD and aMCI/D+. Left EC had a lower mean value in aMCI/D+ than aMCI/D- and LLD. Right EC appeared to be approximately equal between aMCI/D+, aMCI/D- and LLD. Conclusion Total HC volume reduction was significant in almost 100% of aMCI and 50% of LLD studies of the narrative review.Volume loss of total and lateralized HC in LLD studies seemed fairly similar to that of aMCI studies in terms of percentage. Post hoc power analysis revealed that the number of participants in each group should be increased to detect significant volumetric differences. One of the goals of this pilot project was to provide recommendations in order to improve the design of the research before a larger experiment.
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Les manifestations comportementales du sentiment dépressif chez les enfants d'âge scolaire

Desbiens, Nadia 23 February 2022 (has links)
La présente étude s'intéresse aux manifestations comportementales du sentiment dépressif chez les enfants d'âge scolaire d'une population normale. La distinction des comportements selon l'âge et le genre des enfants représente une contribution originale de l'étude. L'échantillon est constitué de 1162 enfants de troisième, quatrième et cinquième année. L'évaluation des comportements de l'enfant est recueillie auprès des parents, des pairs et des enseignants. Les dimensions comportementales considérées dans l'étude se regroupent sur des axes d'intériorisation et d'extériorisation. Les résultats n'indiquent pas de différences liées à l'âge mais les profils comportementaux diffèrent selon le genre des enfants. Le sentiment dépressif des filles se manifeste principalement par des troubles anxieux et des comportements agressifs-hyperactifs alors que les garçons sont davantage portés à extérioriser leur sentiment dépressif par des comportements hyperactifs et agressifs. La discussion porte sur les différents résultats observés, certaines alternatives sont proposées notamment lorsque de jeunes enfants sont évalués. Les implications de ces résultats sont discutées dans une perspective préventive.
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Les conséquences sur le sommeil et les symptômes anxieux et dépressifs chez une population de collégiens qui ont vécu une expérience sexuelle non désirée : une étude exploratoire

Brochu, Roxane 02 February 2024 (has links)
Les étudiants collégiens forment une population hautement à risque de vivre une agression sexuelle. Ce type d'expérience peut entraîner un lot de conséquences comme des difficultés de sommeil et des symptômes anxieux et dépressifs. Le terme agression sexuelle est large et comporte plusieurs définitions. À cet égard, des écrits scientifiques ont conceptualisé ce terme selon deux dimensions : 1) l'aspect non désiré d'une expérience sexuelle et 2) le consentement ou non. Cette étude exploratoire a été menée au Cégep Lévis-Lauzon et ciblait tous les étudiants âgés de plus de 18 ans. Des questionnaires étaient à compléter sur une plateforme en ligne qui comprenait des questions sur les expériences sexuelles non désirées (ESND) consentante ou non consentante, sur le sommeil (insomnie, cauchemars, détresse associée aux cauchemars et sécurité face à la chambre à coucher, d'autres difficultés de sommeil mesurées à l'aide de l'agenda du sommeil) et sur les symptômes dépressifs et anxieux. Deux objectifs sont à l'étude : 1) explorer les conséquences sur le sommeil et les symptômes anxieux et dépressifs chez les étudiants qui ont vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) et 2) explorer les conséquences sur le sommeil à l'aide de l'agenda du sommeil chez les étudiants qui ont vécu une ESND(consentante, non consentante ou les deux). À l'objectif 1, l'échantillon total comprend 56 participants, dont 80.6% de femmes avec un âge moyen de 19.46 (ET 2.49) ans. Aux résultats, les étudiants ayant vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) rapportent davantage de symptômes d'anxiété et de détresse reliée aux cauchemars. D'un point de vue clinique, les symptômes d'anxiété et la détresse reliée aux cauchemars demeurent tout de même à un niveau de sévérité peu élevé. À l'objectif 2, 10 participants ont complété l'agenda du sommeil comprenant 7 femmes avec un âge moyen de 19.7 (ET 1.94) ans. Aux résultats, les étudiants ayant vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) ne se démarquent pas de façon prépondérante du groupe qui ne rapporte aucune ESND selon l'agenda du sommeil, sauf pour une latence d'endormissement plus longue frôlant le seuil clinique de 30 minutes et une somnolence diurne modérément sévère. En somme, ce mémoire de visée exploratoire informe que tant les étudiants qui ont vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) rapportent vivre des conséquences négatives, mais le portrait n'est pas si sombre de ce à quoi il aurait été possible de s'attendre. De futures recherches sur le sujet demeurent pertinentes.
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Association entre les symptômes anxieux et les symptômes dépressifs à l'enfance : structure factorielle et étiologie génétique et environnementale

Tanguay-Garneau, Laurence 17 July 2018 (has links)
La question de la spécificité et de l’association entre l’anxiété et la dépression est un enjeu tant au plan empirique et théorique que clinique. L’objectif principal de la thèse était de décrire le cours du développement de l’association entre les symptômes anxieux (SA) et les symptômes dépressifs (SD) durant l’âge scolaire, d’abord en documentant le changement ou la continuité dans leur association et leur spécificité dans un premier article, puis en documentant les contributions longitudinales entre les SA et les SD et les fondements étiologiques de ces contributions dans un deuxième article. Les données concernant les SA et les SD ont été rapportées par questionnaire par les enseignants de 1112 enfants à cinq temps de mesure de la maternelle à la 6e année (6 à 12 ans). Dans un premier temps, la stabilité des SA et des SD et de leur association a été évaluée en comparant les moyennes d’échelles, les variances et les corrélations inter-échelles entre les temps de mesure. Différentes structures factorielles ont été comparées. Les analyses ont révélé que les SA et les SD étaient au mieux modérément stables du début à la fin de l’école primaire et qu’une conceptualisation bidimensionnelle selon laquelle les SA et les SD forment deux construits distincts étaient appuyée, malgré qu’ils soient fortement associés durant cette période du développement. Dans un deuxième temps, un modèle de corrélations croisées génétiquement informatif a permis d’examiner les contributions génétiques et environnementales aux associations transversales, aux associations croisées et à la stabilité des SA et de SD de la maternelle à la 6e année. Les résultats suggèrent que les SA et les SD sont associés au cours du primaire et sont relativement stables, dû à des influences génétiques et environnementales communes. Les SD précoces apparaissent plus stables et centrales tant pour le développement des SD que pour celui des SA durant l’âge scolaire, alors que les SA contribuent marginalement au développement des SD. Les résultats novateurs de la thèse soulignent l’importance de certaines hypothèses explicatives de l’association entre l’anxiété et la dépression, informent quant à la spécificité des deux ensembles de symptômes et permettent de générer des hypothèses supplémentaires sur les mécanismes impliqués dans leur association. / The matter of the distinctiveness and the association between anxiety and depression in childhood is an empiric, theoretical, and clinical issue. The principal objective of the present thesis was to describe the development of the association between AS and DS during the school-age period, first by documenting changes and continuity in their association in a first article, and then by documenting the longitudinal contributions between AS and DS and their etiological underpinnings in a second article. Teachers assessed AS and DS in 1112 twins at 5 time points from Kindergarten to Grade 6 (6 to 12 years of age). First, scale means, variances and inter-scale correlations were compared through time to assess the stability of AS and DS and of their association. Different factorial structures were compared. Analyses revealed that AS and DS were modestly stable at best from the beginning to the end of elementary school and that a bidimensional conceptualization, i.e. AS and DS as two distinct constructs, was supported by the data even though they remain highly correlated within this developmental period. Second, a genetic cross-lagged model was used to examine the genetic and environmental contributions to cross-sectional associations, cross-age and cross-lag effects of AS and DS from Kindergarten to Grade 6. Results suggested that AS and DS were associated throughout the elementary school-years and relatively stable due to common genetic and unique environmental influences. In the early school-years, DS are more stable than AS, and more central to the development of both subsequent AS and DS; AS only marginally contributed to subsequent DS in this sample. The innovative results of the thesis underline the importance of certain explanatory hypotheses of the association between anxiety and depression, inform about the distinctiveness of the two sets of symptoms and allow to generate additional hypotheses concerning the mechanisms implicated in the association.
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Le rétablissement et les représentations sociales de la dépression chez des personnes souffrant ou ayant souffert d'un épisode dépressif : un projet pilote

Ouellet, Alexandra 07 May 2019 (has links)
L’étude avait pour objectif principal de caractériser comment le concept de représentation sociale de la dépression s’imbrique, évolue ou influence le rétablissement chez des personnes souffrant ou ayant déjà souffert d’un épisode dépressif en élaborant le profil de deux groupes de personnes. Cette recherche a été menée auprès de 25 participants, 12 se déclarant rétablis et 13 se considérant avancés dans leur processus de rétablissement. La collecte de données s’est faite à l’aide de questionnaires quantitatifs évaluant la dépression, l’autostigmatisation, le rétablissement et la disposition à l’espoir. L’étude comprenait également une portion qualitative au moyen de la méthode des réseaux d’associations et de questions ouvertes au sujet de l’expérience de la dépression. Dans l’ensemble, les résultats indiquent que les représentations sociales de la dépression sont connotées majoritairement négativement, mais que celles du groupe composé des individus se considérant rétablis comprenaient toutefois une plus grande part de mots positifs comparativement aux mots neutres. Un épisode de dépression laisse des traces considérant la persistance de certains symptômes, notamment les difficultés cognitives et de sommeil. En ce qui a trait au rétablissement, il demeure que sa définition est assez personnelle. L’élément le plus déterminant du rétablissement soulevé par les participants est le soutien de leurs proches, mettant en lumière l’importance de l’accueil de l’entourage lors du dévoilement d’un trouble mental. De plus, la disposition à l’espoir est la variable la plus corrélée au rétablissement et en serait donc un vecteur important. Enfin, par rapport à la stigmatisation, notons que les personnes vivant ou ayant vécu une dépression présentent un haut degré d’autostigmatisation, notamment en ce qui a trait à la honte, à l’autoblâme et à l’inadéquation sociale, et ce, sans égard à leur avancement dans leur rétablissement. Il est toutefois encourageant de constater que les participants expérimentent peu d’inhibition à chercher de l’aide / This study had for principal goal to characterize how the concept of social representation of depression fit in, evolve or influence the recovery of people who are suffering or suffered of a depressive episode by elaborating the profile of two groups of persons. This research have been led close by 25 participants, 12 of whom stating they have fully recovered and 13 who considered themselves as advanced in their recovery process. The data collection have been made with quantitative questionnaires that evaluated depression, self-stigma, recovery and hope dispositional. The study also included a qualitative part by the associative network method and by open questions about their episode of depression. Overall, the results point out that the social representations of depression are connoted mainly negatively but those of the group composed of individuals who considerate themselves recovered include a greater part of positive words comparatively of neutral words. Regarding recovery, it remains that its definition is quite personal. The most determinant element of recovery that the participants have recalled is the support of their relatives, which bring out the importance of the openness of the entourage during the unveiling of a mental disorder. Furthermore, the hope dispositional is the most correlate variable with recovery. Therefore, the hope of getting better would be an important vector of recovery. Finally, regarding stigmatisation, the persons living or having lived a depression show a high level of self-stigmatisation, especially regarding shame, self-blame and social inadequateness, regardless of their advancement in their recovery. However, it’s encouraging to note that the participants do not experience much help seeking inhibition.
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Les relations d'objet, la dualité anaclitique-introjective et leur relation avec les symptômes dépressifs

Orendain, Mónica 17 April 2018 (has links)
La présente thèse aborde le phénomène de la dépression d'une perspective dimensionnelle et s'intéresse à l'étude des symptômes individuels. Afin de tester le modèle clinique de la dépression de Sydney Blatt (1974, 2004) deux études ont été réalisées. La première a consisté à la validation transculturelle de l'Echelle multidimensionnelle de la dépression (EMD; Multiscore Depression Inventory; Berndt, Petzel, & Berndt, 1980). Il s'agit d'un questionnaire pour mesurer la sévérité de la dépression ainsi que 10 symptômes individuels par 10 sous-échelles. Une version française de l'instrument a été développée et des analyses statistiques ont été réalisées afin de déterminer les propriétés psychométriques de l'instrument en ce qui réfère à l'équivalence linguistique ainsi que la validité et la fidélité de la forme globale et de la forme abrégée. L'équivalence linguistique a été démontrée en se servant d'un échantillon d'étudiants bilingues du premier cycle de l'Université Laval (N=30). La validité de construit a confirmé la structure multifactorielle de la forme globale (N=278) et de la forme abrégée (N=305). L'analyse de fidélité a déterminé la consistance interne et la stabilité temporelle pour l'échelle globale et ses sous-échelles dans la forme globale, ainsi que la consistance interne pour la forme abrégée. Deux sous-échelles de la forme abrégée ont échoué de prouver une stabilité temporelle. Une fois l'EMD validé, une deuxième étude a été réalisée afin de tester le modèle clinique de dépression de Blatt. Cette étude analyse la relation entre les deux formes dépressives proposées par Blatt : la forme anaclitique et la forme introjective, et trois variables fondamentales du modèle : les symptômes dépressifs, les représentations d'objet et les représentations de soi. Les participants étaient 30 femmes et 14 hommes présentant un diagnostic de dépression ou bien des symptômes dépressifs cliniquement significatifs. Les résultats apportent un appui à l'hypothèse de la spécificité symptomatique pour la forme introjective, qui se révèle plus étroitement associée que la forme anaclitique aux symptômes d'irritabilité, faible estime de soi et sentiments de culpabilité. Par contre, la forme anaclitique a été associée à un seul symptôme : difficultés cognitives. Nos résultats supportent très faiblement l'association entre les formes dépressives et les représentations d'objet et de soi. Pour la dépression anaclitique, aucun résultat significatif n'a été trouvé et pour la dépression introjective, une représentation malveillante du conjoint, ainsi qu'une faible qualité relationnelle ont été les seuls prédicteurs significatifs. Les résultats sont discutés en lien avec la théorie et la recherche existantes.

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