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Mécanismes sous-jacents aux différences sexuelles dans la fibrillation auriculaire

Thibault, Simon 11 1900 (has links)
La fibrillation auriculaire (FA) est l’arythmie cardiaque la plus fréquente et elle peut entraîner des complications médicales sévères, notamment des accidents vasculaires cérébraux. On observe des différences sexuelles importantes dans la présentation clinique de la FA. Son incidence est 1,5 à 2 fois plus élevée chez les hommes, tandis que les femmes tendent à développer de la FA plus tardivement et plus sévèrement. Malheureusement, on ignore toujours les causes de ces différences sexuelles. La FA est une pathologie multifactorielle généralement causée par un débalancement des propriétés électrophysiologiques et/ou structurelles des oreillettes favorisant l’initiation et/ou le maintien de cette arythmie. Le but de ce projet est de déterminer s’il existe des différences sexuelles parmi les mécanismes impliqués dans la pathogenèse de la FA chez la souris. Sachant que les hormones sexuelles peuvent avoir un impact considérable sur l’électrophysiologie cardiaque, un objectif complémentaire de ce projet est de déterminer la contribution des hormones sexuelles dans les différences observées. Au cours de ce projet, nous avons découvert que la prédisposition masculine à la FA est également retrouvée chez la souris mâle. Nous avons identifié des différences sexuelles dans la régulation du calcium intracellulaire favorisant l’initiation de la FA chez les mâles. Celles-ci sont reliées à une expression et une activité plus élevée de l’échangeur Na+-Ca2+ chez les mâles. Nous avons également observé que le maintien de la FA était favorisé par des oreillettes de plus grande taille et par une latéralisation plus prononcée des connexines chez les mâles. L’orchiectomie réduit la susceptibilité des mâles à la FA en diminuant la latéralisation des connexines ainsi que la taille des cardiomyocytes auriculaires, suggérant un rôle des androgènes. À terme, ce projet permettra de mieux comprendre les mécanismes impliqués dans les différences sexuelles dans la pathogenèse de la FA. Une meilleure compréhension de ces mécanismes pourrait mener à une approche thérapeutique mieux adaptée au sexe des patients, pour une meilleure prise en charge de ceux-ci. / Atrial fibrillation (AF) is the most common type of cardiac arrhythmia, and it can lead to severe medical complications, including stroke. There are significant sex differences in the clinical presentation of AF. Its incidence is 1.5- to 2-fold higher in men, whereas women tend to develop AF later and more severely. Unfortunately, the mechanisms underlying these sex differences remain unknown. AF is a multifactorial pathology generally caused by an imbalance in electrophysiological and/or structural properties of the atria that promote AF initiation and/or maintenance. The aim of this project is to determine whether there are sex differences among the mechanisms involved in the pathogenesis of AF in mice.. Knowing that sex hormones can have a considerable impact on cardiac electrophysiology, a complementary objective of this project was to explore the contribution of sex hormones in the sex differences we observed. We first discovered that the male predisposition to AF is also found in mice. We have identified major sex differences in the regulation of intracellular calcium that promote AF initiation in males. These differences are related to a higher Na+-Ca2+ exchanger expression and function in males. We have also observed that AF maintenance was favoured by larger atria and more pronounced lateralization of connexins in males. Orchiectomy reduced AF susceptibility of males by reducing connexin lateralization and the dimensions of atrial myocytes, suggesting a role for androgens. Ultimately, this project will provide a better understanding of the mechanisms underlying sex differences in the pathogenesis of AF. This information could lead to a therapeutic approach better adapted to the sex of the patients, for a better management of AF.
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Les corrélats de sexe et de genre dans la cognition sexuellement polymorphique

Cartier, Louis 08 1900 (has links)
La cognition sexuellement polymorphique (CSP) résulte de l'interaction entre des facteurs biologiques du sexe (sexe assigné à la naissance, hormones sexuelles) et psychosociaux du genre (identité de genre, rôles de genre, orientation sexuelle). La littérature reste assez mitigée quant à la magnitude des effets de ces variables. Seules quelques études ont considéré la CSP au-delà du sexe assigné à la naissance. Dans ces quelques études, ces facteurs supplémentaires liés au sexe et au genre n’ont été pris en compte qu’individuellement. Ce projet a utilisé une batterie de tests cognitifs classiques conçus pour évaluer l'influence des hormones sexuelles sur les performances cognitives. Parallèlement, nous avons cherché à évaluer les effetsrespectifs du sexe assigné à la naissance, des hormones sexuelles et des facteurs psychosociaux liés au genre sur la CSP. Nous avons recruté 222 adultes qui ont effectué huit tâches cognitives évaluant diverses fonctions cognitives au cours d'une session protocolaire de 150 minutes. Les sous-groupes ont été divisés comme suit : hommes cisgenres hétérosexuels (n = 46), hommes cisgenres non hétérosexuels (n = 36), femmes cisgenres hétérosexuelles (n = 36), femmes cisgenres non hétérosexuelles (n = 38), et personnes issues de la diversité de genre (n = 66). Des échantillons de salive ont été prélevés avant, pendant et après les tests cognitifs pour mesurer les niveaux de testostérone, d'estradiol, de progestérone, de cortisol et de déhydroépiandrostérone. Les variables psychosociales ont été adressées via des questionnaires autorapportés validés. La batterie cognitive présentée reflète des différences entre les sexes qui sont partiellement en concordance avec la littérature. Il est intéressant de noter que les facteurs biologiques semblent expliquer les différences de performances dans les tâches cognitives genrées «masculines» (par exemple, spatiales), tandis que les facteurs psychosociaux semblent expliquer les différences de performances dans les tâches cognitives genrées «féminines» (par exemple, verbales). Nos résultats fournissent une base solide pour une meilleure compréhension de la CSP en allant au-delà du sexe assigné à la naissance en tant que variable binaire. Nous soulignons l'importance de considérer le sexe comme un facteur biologique et le genre comme un facteur socioculturel, tous deux associés de manière unique à la CSP. / Sexually polymorphic cognition (SPC) results from the interaction between biological sex (birth-assigned sex, sex hormones) and psychosocial gender (gender identity, gender roles, sexual orientation) factors. The literature remains quite mixed regarding the magnitude of the effects of these variables. Only few studies consider SPC beyond birth-assigned sex. From these studies, other sex and gender factors were considered individually. This project used a battery of classic cognitive tests designed to assess the influence of sex hormones on cognitive performance. At the same time, we aimed to assess the inter-related and respective effects that birth-assigned sex, sex hormones, and gender-related psychosocial factors have on SPC. We recruited 222 adults who completed eight cognitive tasks that assessed a variety of cognitive domains during a 150-minute session. Subgroups were recruited as follows: cisgender heterosexual men (n = 46), cisgender nonheterosexual men (n = 36), cisgender heterosexual women (n = 36), cisgender non-heterosexual women (n = 38), and gender diverse (n = 66). Saliva samples were collected before, during, and after the test to assess testosterone, estradiol, progesterone, cortisol, and dehydroepiandrosterone. Psychosocial variables were derived from self-report questionnaires. The cognitive battery presented reflects gender differences that are partially consistent with the literature. Interestingly, biological factors seem to explain differences in male-typed cognitive tasks (e.g., spatial), while psychosocial factors seem to explain differences in female-typed cognitive tasks (e.g., verbal). Our results provide a solid foundation for a better understanding of SPC by going beyond birth-assigned sex as a binary. We highlight the importance of treating sex as a biological factor and gender as a sociocultural factor both uniquely associated with SPC.
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Pratiques parentales, fréquentation d'amis déviants et consommation problématique de substances psychoactives à l'adolescence : effets modérateurs des symptômes dépressifs et du sexe

Gagnon, Valérie 12 1900 (has links)
La consommation et la consommation problématique de substances psychoactives sont des phénomènes répandus à l’adolescence qui ont suscité beaucoup d’intérêt dans les pays occidentaux au cours des dernières décennies. La recherche a souligné la nécessité d’établir un modèle examinant les effets conjoints du groupe de pairs et de la famille sur ces phénomènes. Deux grandes lignées théoriques émergent de la littérature, soit les courants de la socialisation et de la sélection. De plus, de nombreuses études ont tenté d’expliquer la fréquente cooccurrence de ces phénomènes avec la symptomatologie dépressive, généralement associée à un pronostic plus lourd. Toutefois, la nature et le sens de cette association demeurent peu clairs. Une clarification des mécanismes en jeu est nécessaire afin de pouvoir mieux orienter les efforts de prévention et d’intervention. Le premier objectif de cette thèse est de contribuer à clarifier l’étiologie de la consommation problématique à l’adolescence, en examinant comment elle s’articule avec certains facteurs familiaux, comportementaux et affectifs, et avec l’association à des amis déviants et consommateurs, en testant conjointement deux modèles de médiation compétitifs. Le deuxième objectif est de clarifier l’association entre ces différentes dimensions et la symptomatologie dépressive, en testant l’effet modérateur des symptômes dépressifs dans la chaîne médiatrice proposée. Le troisième objectif est de spécifier les particularités pouvant exister entre les garçons et les filles en testant l’effet modérateur du sexe sur cette même chaîne médiatrice. Les données utilisées proviennent d’une cohorte de l’échantillon longitudinal de la Stratégie d’Intervention Agir Autrement (SIAA) comprenant plus de 3000 jeunes fréquentant des écoles de milieux majoritairement défavorisés du Québec, qui ont été suivis pendant leur secondaire (2003-2007). Lorsque testés séparément, le modèle de socialisation (Patterson) se reproduit dans notre échantillon, mais pas le modèle de sélection (Brown). Lorsque testés simultanément, les modèles structurels de régressions croisées suggèrent toutefois qu’aucun des liens postulés par les modèles ne semble se reproduire, au profit de liens médiateurs de stabilité, à l’exception d’un lien de médiation proposé par le modèle de Patterson chez les garçons. Les analyses de modération (multi-groupes) suggèrent que le sexe a bien un effet modérateur, le contrôle comportemental parental semblant particulièrement important dans l’étiologie des comportements problématiques des garçons, alors que les conflits familiaux semblent plus centraux pour les filles. Les analyses de modération suggèrent également un effet modérateur par les symptômes dépressifs, mais alors qu’il était attendu que ces symptômes exacerberaient les liens à l’étude, il apparaît qu’au contraire, aucun des liens ne se révèle significatif dans le groupe des dépressifs. Cette étude suggère donc que la symptomatologie dépressive et la consommation problématique se présentent conjointement dans un profil plus global de risque. À notre connaissance, cette thèse est la première à s’intéresser spécifiquement au rôle modérateur des symptômes dépressifs sur les liens existant entre les différentes dimensions à l’étude. Les résultats soulignent l’importance d’une intervention psychosociale précoce auprès des jeunes à risque et aux prises avec des symptômes dépressifs, en ciblant des aspects spécifiques pour les garçons et pour les filles. / Psychoactive substance use and problem substance use are common phenomena in adolescence. They have generated a sustained interest in Western countries in the past few decades. Research has highlighted the necessity of a model examining the joint effects of peer group and family on these phenomena. Two major theoretical trends have emerged from the literature, namely socialization and selection processes. Moreover, many studies have attempted to explain the observed comorbidity of these phenomena with depressive symptomatology, which is generally associated with a heavier prognostic. However, the nature and direction of this association remain unclear. Clarifying the underlying mechanisms is necessary to guiding prevention and intervention efforts. The first objective of this thesis is to contribute to clarify the nature of the etiology of problem substance use in adolescence. It examines how problem substance use revolves around familial, behavioral and affective factors and with substance using and deviant friend affiliations. To do so, it tests two competitive mediation models. The second objective of this thesis is to clarify the association between these different dimensions and depressive symptomatology by testing the moderator effect of depressive symptoms on the proposed mediation sequence. The third and last objective is to identify the particularities that may exist between boys and girls by testing the moderator effect of gender on the same mediation sequence. This work was carried out using a cohort from the New Approaches, New Solutions (NANS) longitudinal dataset, which comprises more than 3000 students attending school in mostly disadvantaged areas of Quebec who were followed throughout high school (2003-2007). The analyses carried out in this thesis provide empirical support to the socialization model but not to the selection model when both models are tested separately. However, when tested simultaneously, the structural crosslagged models provide no empirical support to the mediation associations predicted by both models, in favor of stability mediation associations, except for one association suggested by Patterson’s model for boys. Moderation analyses (multigroups) suggest indeed that gender has a moderator effect. Parental behavioral control appears particularly important in the etiology of problematic behaviors in boys, while familial conflicts seem more central for girls. Moderation analyses also suggest a moderator effect of depressive symptoms, but while it was expected that these symptoms would exacerbate the studied associations, none of the associations actually remained significant in the depressive group. This study therefore suggests that depressive symptomatology and problem substance use appear together in a more global profile of risk. To our knowledge, this thesis is the first to take a specific interest in the moderation effect of depressive symptoms on the associations between the different dimensions under study. The results underscore the importance of an early psychosocial intervention with adolescents at risk and with adolescents struggling with depressive symptoms, while targeting specific aspects for boys and girls.
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Implication de la connectivité anatomique dans les caractéristiques des fuseaux de sommeil

Gaudreault, Pierre-Olivier 02 1900 (has links)
No description available.
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L’influence de la qualité de la relation parent-enfant et du sexe sur l’apprentissage de la peur par observation chez les enfants

Bilodeau Houle, Alexe 08 1900 (has links)
L’apprentissage de la peur par observation est un phénomène très important lors de l’enfance, une période au cours de laquelle plusieurs peurs se développent et où l’environnement familial est fondamental. La qualité de la relation parent-enfant module les réactions de peur chez les enfants, mais son impact sur l’apprentissage de la peur par observation n’a pas été investigué. Ce mémoire s’est donc intéressé à l’influence de la relation mère-enfant et père-enfant ainsi qu’à son interaction avec le sexe de l’enfant sur l’apprentissage de la peur par observation. Soixante dyades parent-enfant ont été recrutées. La relation avec chaque parent était évaluée par un questionnaire auto-rapporté complété par les enfants (8 à 12 ans). Les enfants regardaient d’abord une vidéo de leur parent être exposé à un conditionnement de la peur, où un stimulus (SC+Parent) était associé à un léger choc et un autre stimulus (SC-) était présenté seul. Ensuite, les enfants regardaient une vidéo d’un étranger être exposé à un protocole similaire à l’exception qu’un stimulus différent était associé au choc (SC+Étranger). Par la suite, les trois stimuli étaient directement présentés aux enfants. Les niveaux de peur étaient mesurés par les réponses électrodermales. L’effet de la qualité de la relation père-enfant sur les niveaux de peur face au SC+Parent était modéré par le sexe des enfants, où les filles ayant une relation sécurisante avec leur père montraient des niveaux de peur plus faibles. La qualité de la relation mère-enfant n’influençait pas les niveaux de peur des enfants. Ces résultats suggèrent que la relation avec le père influence la façon dont les filles répondent aux stimuli liés à la peur au sein de l’environnement familial. Ces données soulignent certains facteurs de protection face à la vulnérabilité de développer des psychopathologies liées à la peur. / Observational fear learning is especially relevant during childhood, a period during which many fears develop and where the familial environment is salient. Parent-child relationship modulates fear reactions in children, but its impact on observational fear learning in the context of the familial environment has not been investigated. This master’s thesis therefore examined whether the mother-child and father-child relationship quality as well as its interaction with children’s sex influence observational fear learning. Sixty parent-child dyads were recruited. The relationship with each parent was assessed by a self-report questionnaire completed by the children (8 to 12 years old). Children first watched a video of their parent undergoing a fear conditioning procedure, where one stimulus (CS+Parent) was paired with a shock and one was presented alone (CS-). Then, children watched a video of a stranger undergoing a similar protocol except that a different stimulus was paired with the shock (CS+Stranger). Subsequently, the three stimuli were directly presented to children. Fear levels were measured by skin conductance responses. The effect of the father-child relationship quality on fear levels for the CS+Parent was moderated by children’s sex, where girls having a more secure relationship with their father exhibited lower fear levels. The mother-child relationship quality had no impact on the children’s fear levels. These results suggest that the relationship with the father influences how girls respond to fear-related stimuli within the family environment. These data highlight the existence of some protective factors that might influence the vulnerability of developing fear-related psychopathologies.
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Les rôles de genre professionnels en lien avec la charge allostatique et le fonctionnement psychosocial de travailleurs d'hôpital psychiatrique

Beauchamp-Kerr, Philippe 09 1900 (has links)
Les inégalités genrées sont reliées à des trajectoires de maladies qui sont distinctes pour les hommes et les femmes. La mesure de ces inégalités est un défi, mais demeure essentielle pour mieux expliquer les différences individuelles en santé organisationnelle. L’objectif de cette étude exploratoire et rétrospective était d’investiguer les associations entre des couches s’étendant du niveau individuel (ex. rôles de genre) jusqu’au niveau macroscopique (ex. rôles de genre professionnels) en lien avec la charge allostatique (23 biomarqueurs), le stress au travail (demandes-contrôle-soutien, déséquilibre efforts-récompenses) et la santé mentale (dépression, d’épuisement professionnel, trauma) chez des travailleurs d’hôpital psychiatrique (N=192). Nous proposons une nouvelle approche pour mesurer les inégalités de genre dans le cadre d’analyses rétrospectives, mais qui pourrait aussi être incorporer dans de nouveaux devis expérimentaux. Nos résultats démontrent que le niveau de masculinité individuelle était associé positivement avec les demandes psychologiques et le soutien social perçu au travail. Le niveau de masculinité et de féminité associé à un emploi, quant à eux, étaient positivement associés avec le contrôle sur les tâches, ainsi que le surengagement au travail. Tant les niveaux de masculinité et de féminité individuel avaient des effets protecteurs sur les symptômes de dépression et d’épuisement professionnel, alors que seul le niveau de masculinité individuel avait des effets protecteurs sur les symptômes de trauma. Par contre, aucune association n’a été trouvée entre les rôles de genre individuel, professionnels et la charge allostatique. Au-delà des rôles de genre d’un individu, notre étude démontre l’utilité de mesurer les rôles de genre professionnels afin de mieux expliquer les associations entre le stress subjectif et ses conséquences sur la santé. / Gendered inequalities in workplace stress are linked to sex-specific health trajectories that are poorly understood. Measuring these gendered inequalities are challenging but an essential endeavor to better explain individual differences in occupational health. The aim of this exploratory, retrospective study was to investigate pathways linking layers of individual-level (e.g., sociocultural gender-roles) and macro-level (e.g., occupational gender-roles) gender factors to measures of allostatic load (23 biomarkers), workplace stress (e.g., job strain, effort-reward imbalance) and mental health (e.g., depressive symptoms, burnout symptoms, trauma symptoms) in a sample of psychiatric hospital workers (N=192). We propose a practical web-based survey approach to measure macro-level gendered occupational factors for retrospective analyses that could also be integrated in novel experimental designs. Our findings show that individual-level masculine gender-roles were positively associated with psychological demands and social support. Masculine and feminine occupational gender-roles were positively associated with decisional latitude and overcommitment. Both individual masculine and feminine gender-roles had protective effects on depressive symptoms and burnout symptoms but only individual masculine gender-roles had protective effects on trauma symptoms; however occupational gender-roles had no effects on mental health. No associations were found with allostatic load. Moving beyond an individual’s gender-roles, our study demonstrates the utility of measuring occupational gender-roles to delineate challenging associations between subjective stressors and health outcomes that should be applied in analyses for future studies of sex differences in occupational health.

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