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"Le papier en or" : stratégies matrimoniales en milieu migratoire marocain / The golden paper : marriage strategies in Moroccan migratory environment

Bellitou, Touria 17 June 2013 (has links)
Depuis une vingtaine d’années, la question du mariage en situation migratoire s'est progressivement posée aux familles de migrants marocains de la vallée de la Garonne, avec la succession des générations. A travers les récits de vie et les entretiens recueillis auprès des sujets concernés, ainsi que le travail sociographique, il s’agit ici de cerner les stratégies matrimoniales mises en place par ces familles. Ces stratégies croisent les logiques migratoires des prétendants à l'immigration, générant l’apparition d’une nouvelle forme de mariage, le « mariage-papier ». L'enquête, menée auprès des parents migrants, de leurs enfants et auprès des prétendants aux mariages au Maroc et en France, met en évidence les contraintes sociales et culturelles qui pèsent sur la famille migrante qui a le « devoir de venir en aide aux siens » et sur les candidats à l'immigration qui subissent la « fermeture » des frontières. La thèse montre que le mariage des enfants d'immigrés en situation migratoire révèle des conflits intergénérationnels, de l'instrumentalisation de l'islam et des normes de conjugalité, mais aussi de l'assujettissement des migrants aux familles du bled favorisé par le souci de continuité culturelle et de la reproduction de l'endogamie « socio-ethnique ». Malgré les difficultés récurrentes, le « mariage-papier » apparaît comme une « solution » à des familles assujetties à ces contraintes complexes qui conditionnent leurs possibilités d'action mais aussi des pratiques matrimoniales qu’elles cherchent à inscrire dans leurs logiques migratoires. / For twenty years, with the succession of generations, the issue of marriage migration situations has gradually risen in families of Moroccan migrants in the valley of the Garonne. Through the life stories and interviews collected from people involved, and the sociographic work, this is to identify matrimonial strategies implemented by these families. These strategies intersect migration logical contenders for immigration, generating the appearance of a new form of marriage, "marriage-paper." The request, conducted among migrant parents, their children, and among contenders for marriages in Morocco and in France, highlights the social and cultural constraints faced by the migrant family that has the "duty to assist their relatives", and the immigration applicants who undergo "closed" borders. This thesis demonstrates that the marriage of the children of immigrants, and their migration situation reveals intergenerational conflict, the instrumentalization of Islam and standards of conjugal. Additionally, it shows the subjugation of the migrant families of a village favored by the desire for cultural continuity and reproduction of inbreeding "socio-ethnic." Despite recurring difficulties, the "marriage-paper" appears as a "solution" to families subject to these complex constraints. As a result, affects their possibilities for action, but also marriage practices they seek to include in their migration logic.
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Le divorce au Québec, 1964-1972 un débat de société

Doyon, Jennifer January 2011 (has links)
De nos jours, le divorce fait partie des réalités familiales de la société occidentale et depuis sa libéralisation dans les années 1960, la conception du mariage a pris un tout nouveau sens. Avant la loi canadienne du divorce de 1968, la société québécoise a longtemps rejeté l'accès au divorce, la pratique étant en contradiction avec ses valeurs franco-catholiques et avec certaines dispositions de son Code civil. Il est ainsi intéressant de comprendre comment les Québécois ont discuté du divorce avant et après la proclamation de la loi fédérale de 1968, de saisir les arguments en faveur ou non du divorce et de déceler les spécificités et les retombées de cette réforme majeure du mariage québécois. Par le biais de notre lecture de diverses sources populaires, nous sommes arrivés à un constat plutôt étonnant, celui d'une approbation générale pour l'élargissement de la loi sur le divorce. Dans l'époque révolutionnaire des années 1960, d'importantes mutations morales entourant la sexualité, le mariage et la famille viennent encourager la réforme de la loi. La population québécoise est consciente que la loi ne correspond plus aux pratiques et aux moeurs des années 1960 et qu'elle doit être modifiée selon les nouvelles réalités, sans toutefois encourager le divorce. Des conditions et des motifs précis pour divorcer façonnent la loi sur le divorce de 1968 ; pour prévenir le divorce, les législateurs n'autorisent pas le divorce pour simple échec du mariage et obligent des mesures de réconciliation de la part des époux. La société et le législateur ne peuvent autoriser une loi du divorce trop libérale et permettre ainsi des divorces sur un coup de tête. Une fois la loi canadienne et son administration mise en place en juillet 1968, une importante course au divorce par les couples québécois, dont l'ampleur n'est pas prévue par l'État, force la province à modifier ses lois matrimoniales. Le mariage civil et l'insertion du divorce dans le Code civil québécois viennent laïciser le mariage et rendre la loi fédérale applicable au Québec. Durant les années 1968 à 1972, les spécialistes en sciences sociales sont reconnues [i.e. reconnus] pour leur expertise par la société, les avocats et les juges sont nommés pour professionnaliser les cours de divorce et ainsi faciliter la décision lors des procès en divorce. Les couples font de plus en plus usage du divorce, en voulant régler des situations intolérables et ils sont ainsi libérés de leur mariage raté, mais il n'en demeure pas moins un drame familial pour autant. L'Église catholique et ses représentants doivent par ailleurs modifier leurs attitudes à l'égard du nouvel accès au divorce en procédant à des mesures accommodantes pour ses fidèles divorcés.
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Mariage et sexualité dans Les Belles Images de Simone de Beauvoir - une comparaison avec les années 60 en France

Eriksson, Louise January 2004 (has links)
No description available.
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Au miroir de l'amour médecine, philosophie et représentations dans l'oeuvre d'Évrart de Conty

Laumonier, Lucie January 2008 (has links)
L'amour et le mariage sont au Moyen Âge des sujets non exempts de controverses touchant à la fois à la philosophie, à la médecine, à la littérature et à la théologie. Étudier leurs représentations au travers d'un art d'aimer et d'un traité scientifique, oeuvres du médecin et poète Évrart de Conty (mort en 1405) permet de mettre en valeur les enjeux qui les traversent. En prenant le partie de la philosophie au détriment de la théologie, en répondant aux attentes de ses jeunes lecteurs--concilier sexualité et amour, en prenant appui sur les réalités et règles sociales--mariage bien ancré dans les moeurs, poids de l'honneur--et les règles morales aristotéliciennes, Évrart de Conty propose une synthèse fondée sur la recherche de la raison et de la mesure, l'amour entrant dans le «dessein de Nature» socle de la réflexion de l'auteur. Ces différentes influences permettent de dresser un tableau nuancé des représentations d'Évrart de Conty: médecine, héritage courtois et règles sociales nourrisent l'image des femmes à la fois mères et jeunes fines pudiques, inférieures aux hommes dont les apanages sont la raison, la poursuite du savoir et la bienséance. En raison des nombreuses influences, normatives, sociales, médicales et philosophiques qui traversent ses répresentations, l'analyse des écrits d'Évrart de Conty montre des prises de position et parfois des contradictions, enjeux liés d'une part à la relation entre discours théologique et discours philosophique, d'autre part à la relation entre pratiques sociales et discours philosophie et/ou religieux. Ainsi, analyser les représentations de l'amour chez Évrart de Conty permet de mieux saisir les enjeux liés aux questions du genre, du mariage, et des relations entre théologie, philosophie, médecine et pratique.
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Población y sociedad en un real de minas de la frontera norte Novohispana : San Luis Potosí, de finales del siglo XVI a 1810

Montoya, Alejandro January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Perspectives féminines sur les hommes et le couple : Châtelaine, 1960-1975

Malo, Isabelle January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Religion et sphère publique : une approche rhétorique de la participation des publics religieux à la controverse entourant le mariage gai au Canada

Basque, Joëlle January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Naissance et filiation : du baptême au Code civil du Québec

Riou, Lucie January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mariage "en plus" : particularité du mariage au Japon et conceptualisation de la maternité / Marriage and motherhood in Japan : particularity of Marriage in Japan and Conceptualization of the Motherhood

Aihara, Masayo 01 June 2011 (has links)
Au Japon, le mariage est une importation partielle de l'idée européenne au sein de la tradition japonaise. Pendant l'époque de modernisation japonaise, l'idéalisation de la famille est établie par ce mariage et a servi à donner de l'importance à un état de femme, « être bonne épouse et bonne mère » pour la reproduction des bons citoyens. Les idées du mariage et de la famille sont ancrées dans la société japonaise, et cet ancrage a déterminé la division du travail du sexe et la discrimination contre les autres formes de la famille (célibataire, divorcé, enfants naturels, etc.). Dans notre époque, la société japonaise parait donner la supériorité à l'individu en couple conjugale afin de détourner toutes les difficultés découlant de l'individualisation, ou plus globalement, de la radicalisation de la modernité en détriment de la liberté et l'égalité de l'individu. Cette particularité du mariage japonais repose sur la distinction entre la relation amoureuse « qualifiée » (qui mène au mariage et finalement à la procréation) et la relation amoureuse « simple » (les autres relations) qui correspond à la démarcation de la sexualité matrimoniale et extra-conjugale. Le mariage comme « qualification finale » doit être destiné à la relation « qualifiée » avec quelqu'un spécial et définitivement à la sexualité maritale-procréative, et cette relation doit être distinguée de celles « simples » dès le début de la relation. Autrement dit, une fois que la relation est définie comme « qualifiée », il faut absolument atteindre au mariage. Nous proposons le concept d'« individualisation de la maternité » en qualifiant d'« auto-érotisme féminin »: si la maternité appartient à l'individu (la femme), il n'est plus nécessaire d'encadrer la procréation dans la relation amoureuse « qualifiée ». Ainsi la procréation se libère de cette norme sociale et de telles discriminations n'ont plus de sens dans la société japonaise. / In Japan, marriage is a partial importation of the European model in the Japanese tradition. During the epoch of Japanese modernization, family idealization was derived by the European model and was useful for raising woman's status, “A good wife and wise mother” for good citizens’ reproduction. The ideas of marriage and family had taken its root in the Japanese society and determined sexual division and the discrimination against other forms of family. (Singles, divorced persons, illegitimate children, etc.) In our time, the Japanese society seems to give superiority to the conjugal couple’s individual with the purpose of avoiding all of the difficulties that came from the individualization, or in general sense, the radicalization of modernity, by the sacrifice of individual liberty and equality. Japanese marriage's particularity is based on the distinction between “qualified” relationships (which arrive at the marriage and finally at procreation) and “simple” relationships (the other relationships) which correspond to the boundary between matrimonial sexuality and extra-conjugal sexuality. The marriage as “final qualification” is the natural evolution only for a “qualified” relationship with a special person, and finally for the marital-procreative sexuality. This “qualified” relationship has to be distinguished from the "simple" relationships from the beginning. In other word, once the relationship is defined as “qualified”, it should end up in a marriage. We suggest a concept of “Individualization of motherhood” by introducing the idea of “women’s auto-eroticism": if the motherhood is an attribute to individual (woman), it is not necessary to limit procreation into “qualified” relationship. Thus procreation is free from the social norm and such discriminations have no sense in the Japanese society.
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Mariage "en plus" : particularité du mariage au Japon et conceptualisation de la maternité

Aihara, Masayo 01 June 2011 (has links) (PDF)
Au Japon, le mariage est une importation partielle de l'idée européenne au sein de la tradition japonaise. Pendant l'époque de modernisation japonaise, l'idéalisation de la famille est établie par ce mariage et a servi à donner de l'importance à un état de femme, " être bonne épouse et bonne mère " pour la reproduction des bons citoyens. Les idées du mariage et de la famille sont ancrées dans la société japonaise, et cet ancrage a déterminé la division du travail du sexe et la discrimination contre les autres formes de la famille (célibataire, divorcé, enfants naturels, etc.). Dans notre époque, la société japonaise parait donner la supériorité à l'individu en couple conjugale afin de détourner toutes les difficultés découlant de l'individualisation, ou plus globalement, de la radicalisation de la modernité en détriment de la liberté et l'égalité de l'individu. Cette particularité du mariage japonais repose sur la distinction entre la relation amoureuse " qualifiée " (qui mène au mariage et finalement à la procréation) et la relation amoureuse " simple " (les autres relations) qui correspond à la démarcation de la sexualité matrimoniale et extra-conjugale. Le mariage comme " qualification finale " doit être destiné à la relation " qualifiée " avec quelqu'un spécial et définitivement à la sexualité maritale-procréative, et cette relation doit être distinguée de celles " simples " dès le début de la relation. Autrement dit, une fois que la relation est définie comme " qualifiée ", il faut absolument atteindre au mariage. Nous proposons le concept d'" individualisation de la maternité " en qualifiant d'" auto-érotisme féminin ": si la maternité appartient à l'individu (la femme), il n'est plus nécessaire d'encadrer la procréation dans la relation amoureuse " qualifiée ". Ainsi la procréation se libère de cette norme sociale et de telles discriminations n'ont plus de sens dans la société japonaise.

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