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Comportamento eleitoral em Porto Alegre nas eleições de 2004: o voto nas regiões do Orçamento Participativo / Electoral behavior in Porto Alegre in the 2004 elections: ballots in the Participatory Budgeting AreasLoeck, Robson Becker 01 December 2008 (has links)
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Previous issue date: 2008-12-01 / Participatory Budgeting, which was first introduced in the city of Porto Alegre in 1989, has enabled an increase in citizen participation in county government administration by means of a combination between direct and representative democracy. From then on, it has been acknowledged both nationally and internationally, turning into a model of an innovative experience of popular participation in public management. In spite of its success, popular participation aimed at public budget definition and control has not been institutionalized in the long run, and its continuity depends on vote results
as well as on the willingness of political parties. In order to understand the electoral behavior in a city that has adopted participatory tools that go beyond those prescribed for running representative democracies, the ballots for the Workers Party (PT) and People s Socialist Party (PPS) were analyzed in each of the sixteen areas for Participatory Budgeting on occasion of the second round vote in the 2004 city mayor election. Collected data show that PT, the party responsible for establishing and maintaining this political participatory practice along four county governments,
had a better electoral performance in socio-economically poorer areas, the same ones that benefited the most from Participatory Budgeting, a key element for the explanation of ballot casting by Porto Alegre voters. / O Orçamento Participativo, implantado em 1989 na cidade de Porto Alegre-RS, possibilitou uma maior participação dos cidadãos na gestão do governo municipal, por meio de uma mescla entre democracia direta e representativa. A partir de então, conquistou reconhecimento nacional e internacional, tornando-se um exemplo de experiência inovadora de participação popular na administração pública. Apesar de
seu sucesso, essa participação para definir e controlar o orçamento público não foi legalizada no decorrer dos anos, estando a sua continuidade atrelada aos resultados
eleitorais e à vontade política dos partidos políticos. Com o intuito de compreender o comportamento eleitoral em uma cidade que adotou formas participativas as quais
ultrapassam aquelas prescritas ao funcionamento de democracias representativas, analisou-se a votação do Partido dos Trabalhadores (PT) e do Partido Popular
Socialista (PPS), em cada uma das dezesseis regiões de funcionamento do Orçamento Participativo, no segundo turno da eleição para prefeito de 2004. Os dados apontam que o PT, partido responsável por criar e manter a prática política
participativa ao longo de quatro governos municipais, obteve melhor desempenho eleitoral nas regiões menos favorecidas socioeconomicamente, justamente as mais beneficiadas pelo Orçamento Participativo, elemento central para a explicação do voto dos eleitores porto-alegrenses.
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La participation des Autochtones aux institutions démocratiques canadiennesDabin, Simon 08 1900 (has links)
La participation des personnes s’identifiant comme Autochtones aux institutions démocratiques du Canada (que ce soit par le vote ou par le fait de se présenter à des élections) est un sujet peu traité par la littérature scientifique. Longtemps interdite et encore critiquée par un certain nombre d’auteurs influents de la pensée décoloniale, elle connait depuis quelques temps un certain essor. La participation électorale des Autochtones vivant en réserve y est au-dessus de 50% depuis deux élections fédérales. Nous y constatons également une augmentation du nombre de candidats autochtones depuis 2008 et l’élection d’un nombre toujours plus élevé de députés autochtones à chaque élection depuis 2011.
Ce renouveau participatif nous donne une occasion sans précédent de dresser un portrait de la relation complexe qu’entretiennent les Autochtones aux institutions démocratiques canadiennes et de s’interroger sur la signification de cette participation. Cette thèse par article propose à la fois une réflexion théorique et une analyse empirique en ce sens.
Dans un premier article nous traitons dans une perspective théorique de la tension normative entre la participation au sein des institutions coloniales et la volonté d’autodétermination des peuples autochtones. Nous arguons que l’importance accordée à cette tension dans la littérature dépend de la conception adoptée de l’autodétermination. Dans le deuxième article nous étudions le comportement électoral des Autochtones à partir de données quantitatives. Nous soulignons l’importance du vote affinitaire afin de comprendre les préférences des électeurs autochtones. Dans le troisième article, nous traitons de la représentation des intérêts autochtones par les députés s’identifiant comme Autochtones élus sous la 42ème législature. Une analyse qualitative des interventions en chambre nous permet de souligner qu’au-delà des dimensions partisanes, les députés autochtones mettent davantage de l’avant les enjeux autochtones et le font aussi différemment, ce qui confirme le lien entre la représentation descriptive et substantive des intérêts.
Nous concluons cette thèse sur le fait qu’il serait hasardeux de réduire, comme certains le font, ce renouveau de la participation des Autochtones à une forme d’assimilation ou d’acceptation de la citoyenneté canadienne. Notre thèse permet au contraire de souligner le caractère multidimensionnel de cette participation, qui s’inscrit selon nous dans un registre plus large d’activisme politique visant à défendre des identités distinctes et des intérêts propres aux peuples autochtones. / The political participation of those who identify themselves as Indigenous peoples in Canada's democratic institutions (whether through voting or running for election) is a subject that has received little attention in the scientific literature. Long banned and still criticized by many influential authors, today the political participation is a political reality. The electoral turnout of Indigenous peoples living on reserve has been above 50% since three federal elections. We also see an increase in the number of Indigenous people candidates since 2008 and the election of an ever-increasing number of Indigenous people as Members of Parliament (MPs) in each election since 2011.
This phenomenon gives us an unprecedented opportunity to draw a portrait of Indigenous people’s complex relationship with Canadian democratic institutions and make sense of its signification for Canadian citizenship. This thesis by articles explores these issues from both a theoretical and an empirical perspectives.
In a first article, we theoretically deal with the normative tension between Indigenous individuals’ electoral participation and self-determination. We argue that the normative tension between the two largely depends on one’s conception of self-determination as a political project. In the second article, we use quantitative data to study the electoral behavior of Indigenous peoples. We argue that beyond partisan considerations, the electoral behaviour of Indigenous communities is heavily influenced by affinity voting. In the third article, we deal with the representation of indigenous people’s interests by indigenous MPs elected under the 42nd legislature. Our qualitative analysis of speeches in the House of Commons suggests that Indigenous MPs do tend to address indigenous-related issues more frequently and do so differently than other MPs. We conclude that, contrary to many of its critiques, the participation of Indigenous communities in Canadian democratic institutions cannot be reduced to a form of assimilation or a straightforward acceptance of the rules of Canadian citizenship. This renewed engagement should instead be located within a broader political movement and collective agency in defending and promoting distinct Indigenous peoples identities and interests.
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Les partis politiques de droite sont-ils favorisés par le suffrage féminin au Canada et au QuébecVandewalle, Virginie 08 1900 (has links)
Pendant la période de la Première Guerre mondiale, les démocraties ont commencé à accorder le droit de vote aux femmes. Bien qu’il existe certaines exceptions ayant permis aux femmes de voter partiellement ou provisoirement avant 1893, les femmes n’étaient pas officiellement autorisées à voter avant cette date. Au Québec, ce droit n'a été accordé qu'en 1940, ce qui en a fait la dernière province canadienne à accorder le droit de vote aux femmes. Cela soulève des interrogations concernant l’impact de ce retard sur les résultats électoraux en faveur des partis politiques de droite. Ce mémoire entreprend d'évaluer l'impact de l'obtention du droit de vote des femmes sur les résultats électoraux, avec une attention particulière portée sur la province du Québec. Ce mémoire se base sur l’hypothèse postulant que l'obtention du suffrage féminin augmente le soutien aux partis politiques de droite. Cette hypothèse découle d'un cadre théorique plus large envisageant d'autres possibilités, telles que le fait que les femmes pourraient soutenir les partis progressistes ou adopter un comportement politique similaire à celui des hommes engendrant aucune différence dans les résultats du vote. La préférence pour s’attarder aux partis de droite est justifiée par les valeurs et l'influence de la religion catholique au Québec. Deux types d’analyses sont présentées dans ce mémoire, l'une visant à établir si le droit de vote des femmes a eu un impact sur le soutien aux partis de droite à travers les provinces canadiennes, alors que l'autre porte sur le Québec uniquement. L’analyse portant sur les provinces canadiennes utilise des données couvrant la période de 1897 à 1960 alors que la deuxième analyse se concentre sur le Québec en examinant les circonscriptions entre 1927 et 1960. À l’échelle des provinces canadiennes, l'élargissement du droit de vote des femmes semble lié à un déclin du soutien envers les partis de droite. Toutefois, les résultats de l'analyse effectuée au Québec révèlent une tendance opposée au niveau des circonscriptions : les élections qui ont suivi l'obtention du droit de vote ont engendré un soutien accru envers les partis de droite, principalement l'Union nationale. Ainsi, l'hypothèse ne se confirme que dans le contexte spécifique du Québec. / During the period of World War I, democracies began to grant women the right to vote. Although there were some exceptions that allowed women to vote before partially or provisionally 1893, women were not officially allowed to vote before that date. In Quebec, this right was not granted until 1940, making it the last Canadian province to grant women the right to vote. This raises questions about the impact of this delay on the electoral results in favor of right-wing political parties. This dissertation undertakes to evaluate the impact of obtaining the right to vote for women on electoral results, with particular attention paid to the province of Quebec. This thesis is based on the hypothesis postulating that obtaining female suffrage increases support for right-wing political parties. This hypothesis arises from a broader theoretical framework considering other possibilities, such as that women might support progressive parties or engage in similar political behavior to men resulting in no difference in voting outcomes. The preference to focus on right-wing parties is justified by the values and influence of the Catholic religion in Quebec. Two types of analyzes are presented in this dissertation, one aimed at establishing whether women's right to vote had an impact on support for right-wing parties across the Canadian provinces, while the other focuses on Quebec. uniquely. The analysis relating to the Canadian provinces uses data covering the period from 1897 to 1960 while the second analysis focuses on Quebec by examining the constituencies between 1927 and 1960. At the level of the Canadian provinces, the expansion of the right women's voting rate appears linked to a decline in support for right-wing parties. However, the results of the analysis carried out in Quebec reveal an opposite trend at the constituency level: the elections which followed obtaining the right to vote generated increased support for right-wing parties, mainly the Union Nationale. Thus, the hypothesis is only confirmed in the specific context of Quebec.
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Цифровизация избирательного процесса: особенности и проблемы организации дистанционного электронного голосования : магистерская диссертация / Digitalization of the electoral process: features and problems of organizing remote electronic votingФаттахов, М. М., Fattakhov, M. M. January 2024 (has links)
Актуальность темы магистерской диссертации определяется новизной использования технологии дистанционного электронного голосования в избирательном процессе, в Свердловской области данная технология впервые опробована лишь в 2023 году. Цель исследования – выявить особенности и проблемы организации дистанционного электронного голосования в Свердловской области и разработать рекомендации по их совершенствованию. Основными методами исследования стали анализ информационных источников, экспертное интервью, анкетный опрос избирателей. Научная новизна исследования связана с разработкой методики комплексного изучения особенностей и проблемы организации технологии дистанционного электронного голосования в Свердловской области; определением группы возможных социально-психологических ожиданий от применения дистанционного электронного голосования в регионе; выявлением факторов, ограничивающих применение дистанционного электронного голосования в регионе. Практическая значимость исследования заключается в разработке предложений по совершенствованию технологии дистанционного электронного голосования на выборах и референдумах в Свердловской области. Предложенные рекомендации помогут повысить информированность избирателей об электронном дистанционном голосовании, что будет способствовать росту их доверие к данному формату голосования и к результатам выборов. / The relevance of the master's thesis topic is determined by the novelty of using remote electronic voting technology in the electoral process; in the Sverdlovsk region, this technology was first tested only in 2023. The purpose of the study is to identify the features and problems of organizing remote electronic voting in the Sverdlovsk region and develop recommendations for their improvement. The main research methods were the analysis of information sources, expert interviews, and a questionnaire survey of voters. The scientific novelty of the study is associated with the development of a methodology for a comprehensive study of the features and problems of organizing remote electronic voting technology in the Sverdlovsk region; determining a group of possible socio-psychological expectations from the use of remote electronic voting in the region; identifying factors limiting the use of remote electronic voting in the region. The practical significance of the study lies in the development of proposals for improving the technology of remote electronic voting in elections and referendums in the Sverdlovsk region. The proposed recommendations will help increase voters' awareness of electronic remote voting, which will contribute to the growth of their trust in this voting format and in the election results.
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Faire confiance au gouvernement? : évaluation des caractéristiques individuelles, étatiques et sociales qui sont liées à la confiance envers le gouvernementSavoie, Louis-Philippe 06 1900 (has links)
La confiance envers le gouvernement est une notion fréquemment évoquée dans le discours public et dans la littérature, mais il s’agit d’une notion imprécise, malgré des innovations depuis sa première spécification par David Easton en tant que support systémique. Cette revue de littérature propose de faire le point sur la question de la confiance envers les gouvernements démocratiques. Je définis d’abord la confiance envers le gouvernement comme un concept relationnel et relativement stable dans le temps. Ce mémoire se penche sur 26 facteurs qui sont liés à la confiance envers le gouvernement dans trois grandes catégories : les caractéristiques individuelles, étatiques et sociales. Je démontre que les explications culturelles de la confiance sont nettement supérieures aux explications économiques, et ce à toutes les échelles. Cependant, les jeunes démocraties présentent un profil un peu différent des démocraties plus anciennes : l’économie y joue un rôle un peu plus important. / Trust in government is a hotly debated topic in public discourse as well as the scientific literature. It is, however, an unclear notion, although a few theoretical innovations have helped refine the concept since its inception as system support by David Easton. This literature review examines current trends in study of trust in democratic governments. I define trust in government as a relational concept that is relatively stable through time. This thesis identifies 26 factors that are linked to trust in government in three categories: individual, state and social characteristics. I demonstrate that cultural explanations better explain variations in trust in government than economic approaches at all scales. However, young democracies have a different profile, in which economic approaches have a slightly bigger role.
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