• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 7
  • Tagged with
  • 8
  • 8
  • 5
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

L'enseignement privé dans l'entre-deux-guerres : socio-histoire d'une mobilisation catholique / Catholic schools during the inter-war period : social-history of a Catholic mobilization in France

Teinturier, Sara 28 February 2013 (has links)
Dans la France de l'entre-deux-guerres, les catholiques ne cessent de revendiquer une prise en charge financière de leurs établissements scolaires, dont la situation matérielle s'avère singulièrement précaire. L'enseignement privé catholique subsiste grâce à ses enseignants, subsumant leurs conditions de travail au nom de leur foi. La doctrine affirmée de l'Église catholique en matière d'éducation et l'acceptation des rôles prescrits dans l'institution sont les clés essentielles du maintien du réseau éducatif catholique. Cette revendication s'accompagne d'un militantisme polymorphe. Aux tenants de la réalisation de l'unité catholique, qu'elle soit en opposition au régime politique ou s'inscrivant dans la légalité républicaine, s'adjoint une troisième posture, encore marginale, d'insertion du catholicisme dans la modernité. Rejet ou acception de l'école publique, définition et rôle de l'enseignement privé, signalent ce qui se joue au sein du champ ecclésial : l'acceptation ou non de la pluralisation de la société française et de l'opinion catholique. Dans les années 1920, domine la configuration d'un cléricalisme éducatif, utopie d'une société chrétienne dont l'école catholique serait le fer de lance. Les années 1930 sont l'objet d'une reconfiguration paradoxale : alors que l'épiscopat reprend l'initiative en créant un Comité national de l'enseignement libre en 1931, la décléricalisation de l'action catholique est confirmée. Ce faisant, le militantisme catholique, qui a permis le maintien des écoles, participe en même temps de la politisation de l'espace ecclésial et, in fine, de sa sécularisation. / In France, during the interwar period, Catholics ceaselessly claimed public financial support for their schools, which were in a particularly precarious situation. Private Catholic schools subsisted thanks to their teachers who subsumed their hard working conditions to their faith. The strong doctrine of the Catholic Church in educational matters and the acceptance of prescribed roles within the institution were key to maintain a Catholic education system. This claim went alongside a polymorphous activism. Three attitudes prevailed: first, there where the advocates of the realization of Catholic unity, whether in opposition to the political regime or enrolling in the republican legality; then appeared a new movement which demanded the insertion of Catholicism into the modern world. The rejection or the acceptance of the public school system and the definition of private education and of its role, highlighted the issue for the Church: the acceptance or rejection of the pluralisation of French society and of the Catholic opinion. In the 1920’s prevailed the clericalist educational utopia of a Christian society of which Catholic schools would be the spearhead. The 1930’s saw a paradoxical reconfiguration: in the same time that bishops took the initiative of creating a National Committee for private education in 1931, the declericalization of Catholic action was confirmed. In doing so, Catholic militancy which enabled the maintenance of schools, was also responsible for the politicization of the ecclesial scope and, ultimately, of its secularization.
2

Les limites de la "Qualité totale" dans l'enseignement supérieur privé au Liban : exemple de l'université américaine de Beyrouth

Barakat, Ronald 08 1900 (has links) (PDF)
Par ce travail, on se propose de savoir, dans un premier temps, si la Qualité totale, en tant que concept corporatif, est applicable à l'«entreprise» universitaire qui possède des logiques et des dynamiques sociales particulières et si elle tient compte de la complexité et de la spécificité des rapports sociaux intra-universitaires pour une implantation efficace de son dispositif. La question est aussi de savoir s'il existe des référentiels normatifs, autres que l'ISO 9001 :2000 sur l'éducation, spécifiquement conçus pour l'enseignement supérieur et, dans l'affirmative, quelles sont les universités libanaises pionnières dans l'implantation d'un système Qualité standardisé, pour quels motifs celles-ci se sont attelées à un tel projet et quelles sortes d'avantages ont-elles tiré du processus d'implantation. Dans un deuxième temps, on se proposera de savoir si l'implantation de standards tels que les «Services aux étudiants» et «Intégrité» ont contribué à améliorer les conditions d'études et la qualité de vie universitaire en général, à favoriser le climat d'entente entre les étudiants et entre ceux-ci et l'institution ainsi que l'esprit civique et démocratique dans la vie au campus, partant la vie civile; si la Qualité totale a pu transmettre ses valeurs et infléchir positivement les modes de penser, de sentir et d'agir sans rencontrer de résistances aux changements institutionnels opérés par son implantation. Au vu des troubles enregistrés sur certains campus, dont l'institution est pourtant engagée dans une démarche Qualité, on se demandera pourquoi celle-ci n'est pas parvenue à prévenir ou résoudre ces troubles, ce qu'il a manqué au programme pour inoculer son «Esprit Qualité» dans les esprits au campus, et quelle approche sociologique il convient de proposer pour encadrer la démarche Qualité, forcer les résistances aux changements institutionnels et résoudre les problèmes d'intolérance, voire de violence à l'université. ______________________________________________________________________________
3

Développement et diversification de l’enseignement privé en Afrique subsaharienne : l’enseignement privé au Rwanda

Rugengande, Jéred 21 December 2007 (has links)
En Afrique subsaharienne, à l’exception de quelques territoires qui furent occupés très tôt par la France, l’enseignement privé a précédé l’enseignement public. Pendant la période coloniale, l’enseignement public est né et les deux secteurs d’enseignement ont cohabité. Leur collaboration et leur complémentarité dépendaient des politiques des puissances coloniales, des textes à valeur internationale et de la position de l’Église catholique en matière d’enseignement. Dans l’ensemble, l’enseignement privé s’est développé plus que l’enseignement public. Avec l’indépendance, les nouvelles autorités optèrent pour le développement de l’enseignement public. Dans certains pays les écoles privées furent nationalisées, dans d’autres elles furent intégrées dans l’enseignement public ou reçurent le statut d’écoles libres subsidiées. Avec ces politiques, l’enseignement public fut plus développé. Cependant avec la crise économique des années 80, la Banque mondiale et les autres bailleurs de fonds imposèrent à ces pays des réformes scolaires qui exigent le désengagement de l’État par la libéralisation, la privatisation et la décentralisation de l’éducation, la réduction des coûts par élève et le transfert des financements de l’enseignement supérieur vers les niveaux inférieurs. Suite à ce désengagement, on assista à une explosion et à une diversification des initiatives privées dans l’enseignement. Pour le Rwanda, son système éducatif a évolué dans le contexte semblable à celui des pays africains au sud du Sahara. La particularité fut que la collaboration très étroite entre la puissance coloniale (la Belgique) et l’Église catholique a fait que durant cette période, cette dernière était pourvoyeuse de l’enseignement presque à titre de décideur. À la veille de l’indépendance, l’enseignement était presque exclusivement privé avec la prédominance des écoles catholiques. Avec l’indépendance, l’enseignement primaire fut nationalisé et les écoles secondaires métamorphosées en écoles publiques. Ainsi l’enseignement fut considéré comme une affaire de l’Église et de l’État. Comme dans les autres pays africains, le Rwanda a connu la crise économique et a été obligé de réduire son engagement dans l’enseignement. Les premiers accords dans ce cadre furent signés en 1990. Ceux-ci furent suspendus en 1993 pour reprendre en 1998. Suite à ces exigences, au réseau scolaire de l’État qui avait des failles et qui était qualifié d’injuste, les initiatives privées dans l’enseignement ont explosé et se sont diversifiées. Les laïcs en association ou à titre personnel se sont lancés sur le champ scolaire rwandais. Les confessions religieuses qui avaient la possibilité de créer des écoles dans le cadre des écoles subventionnées ont aussi créé des écoles purement privées. L’Islam qui avait été longtemps absent sur le champ scolaire rwandais est apparu. Même les entités administratives locales se sont lancées dans cette entreprise scolaire. Les programmes des étudiants privés dans les établissements d’enseignement publics ont été introduits. Les écoles du soir ont été créées. Les universités étrangères ont envahi le champ scolaire rwandais. Chaque acteur visait officiellement la contribution au développement de l’éducation. Cependant, derrière ce discours se cachaient d’autres motivations. Même si l’enseignement privé s’est développé sur le plan quantitatif, la qualité pose des problèmes. En effet, à l’exception des écoles primaires et des petits séminaires catholiques, le pourcentage de réussite aux examens d’État est inférieur à celui des écoles du réseau de l’État. Cette situation semble être entre autres l’effet de la politique éducative de recrutement des élèves qui à chaque fin de cycle fait un filtrage en affectant de bons élèves dans les écoles du réseau de l’État laissant le reste pour le privé.
4

Efficacité comparée de l'enseignement public et privé au Cameroun

Ngonga, Henri 19 March 2010 (has links) (PDF)
Dans cette thèse, nous traitons de l'efficacité comparée de l'enseignement public et de l'enseignement privé au Cameroun. Le système éducatif actuel porte les marques de la période coloniale. L'école est passée par trois stades : avant la colonisation, pendant la colonisation et après la colonisation. Le système éducatif actuel se caractérise par une forte demande d'éducation et une offre d'éducation insuffisante. Les redoublements et les abandons sont fréquents et élevés. Le système éducatif est peu efficace dans son ensemble. Deux sous-systèmes éducatifs hérités de la période coloniale fonctionnent, l'un francophone et l'autre anglophone. Deux secteurs d'enseignement fonctionnent également, l'un public et l'autre privé. Le secteur privé est composé de quatre types d'écoles : le privé laïc, le privé confessionnel, le privé communautaire et le privé des parents. Un grand nombre de parents d'élèves choisissent de scolariser leurs enfants dans les structures scolaires privées. Ils estiment que le secteur d'enseignement privé est plus efficace que le secteur d'enseignement public. L'analyse comparée des deux secteur montre que les écoles privées sont associées à une meilleure progression des élèves. Elles sont en définitive plus efficaces que les écoles publiques. Un élève scolarisé dans le secteur privé obtient en moyenne de meilleurs résultats que son camarade qui fréquente le secteur public. L'analyse de la réussite des élèves au certificat d'études primaires montrent la supériorité numérique des élèves des institutions privées. Les chances d'obtenir le CEP sont plus élevées chez les élèves d'écoles privées. Les variables de contexte scolaire sont aussi responsables de la variabilité des résultats des élèves
5

D’un collège à l’autre : sociologie des mobilités scolaires en cours de cursus collégien / From one school to another : sociology of pupil’s mobility during them secondary school years

Dupuy, Guillaume 15 September 2017 (has links)
Pourquoi et comment, en France, près d’un élève sur quatre change d’établissement scolaire pendant le seul cursus collégien ? À partir d’une enquête menée dans un collège et de la construction d’un modèle d’analyse des déplacements scolaires, ce travail complète les résultats des récentes recherches de sociologie focalisées sur les placements scolaires. L’analyse est d’abord centrée sur l’offre locale de scolarisation en collège. En proposant une description de la genèse, de la structure de l’espace local des collèges, des conditions de sa reproduction et de sa transformation, il montre d’abord comment la structure hiérarchisée de l’espace local des collèges tend à se reproduire sans trop se transformer. Il invite également à repenser les distinctions souvent opérées entre établissements publics et privés ainsi que les questions relatives aux « ségrégations scolaires ». L’analyse est ensuite focalisée sur l’utilisation faite de cette offre par les familles et les personnels des établissements. En mettant en évidence que les mobilités scolaires répondent à une logique de réajustement entre les dispositions sociales et scolaires des élèves et celles majoritairement observées dans leurs collèges successifs, ce travail permet de constater la tension qui existe entre le droit qui encadre et tend à réguler les placements scolaires et les droits des familles à placer leurs enfants dans des établissements scolaires conformes aux attentes qu’elles ont envers l’École. En rendant compte des flux d’élèves au sein d’un espace local de collèges, elle met également en exergue l’homogénéité sociale et scolaire croissante des élèves regroupés dans les classes et les établissements entre l’entrée en sixième et la fin de l’année de troisième. / Why is it that in France almost one out of every four pupils changes schools during his/her secondary school years ? Based on a survey done in a secondary school and on a framework designed to analyse school placements, this study completes the findings of recent sociological research focusing on school placements. First of all, this analysis focuses on the range of schools in a particular area. A description of the basic structure of the schools shows how infrequently these models are changed. This study encourages a reflection on the distinction between the practices of the public schools and private schools concerning under privilèges populations. The research then concentrates on the choices which best benefit both the families and the school staff. Through this study emerges an existing tension between the legislation which created this framework governing educational placements and the rights families have to send their children tout the schools of their choice in accordance with their expectations of what a school should provide. The pupils' mobility is the logical consequence of having to readjust to the various social and educative dispositions of the pupils and those already in place in their successive schools. Taking into account the flow from one local secondary school to another, this report also brings to the forefront an increasing homogeneity of groups of pupils from a similar social background in both the classroom and in the school from the beginning and the end of secondary school years.
6

Les scolarités des fortunes internationales entre refuge et placement : socio-histoire des pensionnats privés suisses / Refuge or placement ? Educating the wealthy in Swiss international boarding schools

Bertron, Caroline 02 December 2016 (has links)
La thèse étudie, à partir du cas des pensionnats privés internationaux de Suisse romande, les mécanismes de l’acquisition d’un pouvoir social sur l’espace et d’une gestion spatiale des ressources, notamment économiques, pour les établissements et pour les élèves. La thèse porte sur les mécanismes par lesquels les pensionnats produisent des ancrages sur le territoire suisse pour les élèves et les anciens élèves. Cette recherche repose sur des entretiens semi-directifs auprès de plusieurs établissements privés, avec directeurs et managers, anciens élèves, enseignants et tuteurs d’internat et sur un travail socio-historique et quantitatif. La première partie étudie au XXe siècle la genèse progressive du secteur du secondaire privé des « pensionnats pour étrangers » et des « écoles internationales » de la région lémanique. L’attraction des grandes fortunes, notamment européennes et états-uniennes, dans ces écoles privées et l’organisation locale de ce secteur éducatif se sont appuyées sur des discours et des pratiques liées aux ressources du territoire suisse. Si les pensionnats suisses occupent aujourd’hui une place périphérique dans le monde international des certifications d’une éducation « d’élite », récemment, de nouveaux processus d’intégration financière mondiale et de défense de la place éducative suisse permettent de redéfinir leur mise en concurrence dans un espace international « d’écoles d’élites ». La deuxième partie porte sur le rôle que joue l’espace suisse dans des stratégies de placement multidimensionnelles en pension par les familles fortunées et sur les rapports à l’espace suisse des élèves et anciens élèves. La notion d’école « refuge » prend un triple sens, celui d’éducation « familiale » et affective de la vie à l’internat, celui d’un évitement des institutions très sélectives sur le plan scolaire et celui lié à un envoi en pension sur le territoire suisse. Les origines nationales des élèves se sont progressivement transformées depuis les années 1950 pour accueillir des nouvelles fortunes non européennes et non américaines, mais les anciens élèves continuent de revenir ou de rester en Suisse. Les forces de rappel des anciens élèves sur le territoire suisse sont le fruit d’une tension : manifestation d’une centralité suisse de leurs carrières financières, espace protecteur face à des incertitudes familiales, politiques et nationales. / The thesis examines how international boarding schools in Switzerland have been producing spatial resources for their students and alumni. The research is based on socio-historical analysis, quantitative analysis, and on semi-directive interviews with headmasters and managers, alumni, teachers and boarding staff at a diversity of international private schools in the Lake Geneva region. The first part of the thesis focuses on the emergence of the private educational sector progressively uniting « boarding schools for foreigners » and « international schools ». Since the beginning of the 20th c., schools have promoted their territorial resources for attracting the very rich, notably from Europe and the United States, and organized sectorial interests accordingly. Swiss boarding schools now have a peripheral part to play in the international spheres of certification and accreditation that govern elite education on a global scale. Nevertheless, recent processes of financialization of the educational sector and ways of protecting the Swiss educational sector contribute to redefine their place within internationalizing governance schemes of elite schools. The second part of the thesis examines the role played by spatial resources in wealthy families’ educational strategies in Switzerland and the spatial relations to Switzerland that students and alumni develop. The notion of « refuge school » or « recovery school » encompasses three dimensions : the « family » education that the boarding schools promote, parental strategies of avoiding selective national educational systems, socio-political determinations. Under the rise of non-European and non-American wealthy clienteles, students’ national origins have changed since the 1950s, but alumni continue to stay or come back to Switzerland. This results from a tension : Swiss centrality for financial careers and protection against family, political and national uncertainties.
7

Efficacité comparée de l'Enseignement public et privé au Cameroun / Compared efficiency of public and private education in Cameroon

Ngonga, Henri 19 March 2010 (has links)
Dans cette thèse, nous traitons de l'efficacité comparée de l'enseignement public et de l'enseignement privé au Cameroun. Le système éducatif camerounais actuel porte les marques de la période coloniale. L'école est passée par trois stades : avant, pendant et après la colonisation. Le système éducatif actuel se caractérise par une forte demande d'éducation et une offre d'éducation insuffisante aussi bien publique que privée. Les redoublements et les abandons sont fréquents et élevés. Le système éducatif est peu efficace dans son ensemble. Deux sous-systèmes éducatifs hérités de la période coloniale fonctionnent à la fois, l'un francophone et l'autre anglophone. Deux secteurs d'enseignement fonctionnent également, l'un public et l'autre privé. Le secteur privé est composé de quatre types d'écoles : le privé laïc, le privé confessionnel, le privé communautaire et et le privé des parents. Un grand nombre de parents d'élèves choisissent de scolariser leurs enfants dans les structures scolaires privées. Ils estiment que le secteur d'enseignement privé est plus efficace que le secteur d'enseignement public. L'analyse comparée des deux secteurs montre que les écoles privées sont associées à une meilleure progression des élèves. Elles sont en définitive plus efficaces que les écoles publiques. Un élève scolarisé dans le secteur privé obtient en moyenne de meilleurs résultats que son camarade qui fréquente le secteur public. L'analyse de la réussite des élèves au Certificat d'études primaires montre la supériorité numérique des élèves des institutions privées. Les chances d'obtenir le CEP sont plus élevées chez les élèves d'écoles privées confessionnelles et des structures publiques. Les variables de contexte scolaire sont aussi responsables de la variabilité des résultats des élèves dans chaque secteur d'enseignement. / In this thesis, we treat with the efficiency compared by the state education and by the private education in Cameroon. The current educational system carries the marks of colonial period. The school is crossed by three stages the school before the colonization, the school during the colonization and the school after the colonization. The current educational system is characterized by a strong educational request and an insufficient educational offer. The redoubling and the abandonments are frequent and raised. The educational system is little effective in general. Two educational sub-systems inherited from colonial period work, the one French speaker and the other English speaker. Two sectors of education also work the one public and the other deprived. The private sector consists of four types of schools: the school private layman, the school deprived confessional, the school deprived community and the school deprived of the parents. A large number of the parents choose to school their children in the private school structures that consider more effective than the public schools. The analysis compared by both sectors shows that private schools are associated with a better progress of the pupils. They are more effective after all than the public schools. The analysis of the success of the pupils to the Certificate of Primary Studies shows the numeric superiority of the pupils of the private institutions. The chances to obtain the CEP (Basic School-Leaving Qualification) are more raised (more brought up) at the pupil's of confessional private schools and the public structures. The variables of school context are also responsible for the variability of the results (profits) of the pupils in every sector of education (teaching).
8

Territoires et représentations du genre dans l’école de la banlieue : l’enseignement féminin dans la banlieue sud-est parisienne de 1880 aux années 1950 / Feminine éducation in south-east parisian suburbs from 1880 to 1960

Duvignacq-Croisé, Cécile 22 September 2011 (has links)
Les deux dernières décennies du XIXe siècle amorcent l’essor rapide de la banlieue parisienne et le déploiement de l’Ecole d’Etat. Les lois Paul Bert, Ferry et Goblet fondent l’Ecole républicaine laïque et organisent un enseignement féminin public. Dans le sud-est parisien, urbanisation et scolarisation se développent conjointement. L’étude de l’enseignement féminin, tant à travers ses élèves que ses enseignantes, jusqu’à la mise en place de la mixité à la fin des années 1950, révèle alors l’élaboration des modèles éducatifs et des représentations du genre en banlieue. Elle souligne le rôle de l’Ecole dans la codification du rôle social des femmes et de la place qui leur est attribuée dans l’espace de la cité. Elle offre aussi une grille de lecture renouvelée des rapports entre la capitale et ses banlieues, car la différenciation de ces dernières se fonde sur un territoire ressenti aussi bien que construit et sur un imaginaire de l’espace urbain. A travers les représentations qu’il véhicule, l’enseignement féminin souligne la pluralité sociologique du sud-est parisien et ses mutations sociodémographiques. L’évolution des structures et de l’offre scolaire, les attentes des notables et des familles en font le révélateur des différents pouvoirs et acteurs qui structurent cet espace : initiatives et concurrences locales, divergences entre le local et les logiques d’unification départementale ou nationale. L’Ecole concentre les inégalités qui se développent entre Paris et sa banlieue, entre les banlieues. Cette histoire des femmes, de l’Ecole et des banlieues s’articule autour de trois périodes clefs: le tournant du XXe siècle et la politique de laïcisation, l’Entre-deux-guerres et une concurrence scolaire accrue entre les sexes, entre Paris et ses banlieues, les années 1950 lorsque la politique scolaire s’affirme comme un facteur de hiérarchisation urbaine. Entre pouvoirs et société civile, l’enseignement féminin apparaît comme un vecteur fondamental de l’organisation des banlieues sud-est, et de l’affirmation d’une identité banlieusarde. / In the last two decades of the 19th century came the fast development of Parisian suburbs and the beginnings of the state school system. Laws bearing the names of Paul Bert, Ferry and Goblet were the foundation of a republican, secular educational system, as well as they designed public education for women. In the south-west of Paris, urbanism and education followed a joint development. A study of female education through learners and teachers until the implementation of coeducation in the late 1950s reveals the evolution of educational models and gender representation in suburban areas. It highlights the part played by schools in the systematization of the social role of women and the place attributed to them within the city; it also allows for a better understanding of the relationship between the capital and its suburbs, the latter differentiated in the way they are experienced not less than in the way they are planned and built, as well as through representations of the urban space. With the representations it promotes, female education highlights the social diversity of the Parisian south-west, and its socio-demographical mutations. Through the evolution of school structures and educational offer, expectations from parents and the elite, it becomes an indicator of the powers and agents at play there – local competitions and initiatives, discrepancies between local efforts and regional or national policies. The school system focuses the inequalities between Paris and its suburbs, and from one suburb to another. This history of women, education and suburbs addresses three distinct eras : the turn of the 20th century and the beginnings of the secularization of the school system, the Interwar period and the growing competition between genders and between Paris and its suburbs, and the 1950s, when educational policies openly factors in urban hierarchical organization. Between political powers and civil society, female education appears as an essential vehicle for the organization of the south-east suburbs, and the creation of a suburban identity.

Page generated in 0.0828 seconds