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Managing and governing in a hybrid German-American corporation : the case of the DaimlerChrysler AG

Kavanagh, Caroline January 2008 (has links) (PDF)
Dans le cadre du débat entre les conceptions convergentes ou dépendantes des trajectoires (path dependency) de la gouvernance d'entreprises, ce mémoire analyse les modifications et les changements ayant eu cours des années 1990 à 2005 au sein de la firme Daimler-Benz Aktiengesellschaft (AG) (devenue en cours de route DaimlerChrysler Corporation). Dans la première section de ce travail, nous soulignons les principales caractéristiques des modèles de gouvernance Anglo-américains (orientés en fonction de la valeur des actionnaires) et de l'Europe continentale (plus axés vers leurs parties prenantes) tout en mettant en lumière les enjeux contemporains entourant les transformations structurelles auxquelles sont soumises les sociétés par actions allemandes. La deuxième section de ce mémoire, focalise sur l'évolution interne de Daimler-Benz AG d'un modèle d'entreprise traditionnel allemand à une entreprise Germano-américaine internationale. Dans cette section, nous étudions également l'impact externe de trois forces marchandes sur la firme allemande soit: le marché dérégulé des capitaux, le marché mondial des produits et services, et le marché émergent des talents de gestion. Au final, notre étude de cas révèle comment, à la suite des pressions des marchés internationaux, les firmes allemandes en sont incrémentalement venues à adopter des principes de gouvernance plus orientés en fonction de la valeur des actionnaires, tout en maintenant certaines caractéristiques importantes du système de gouvernance pour les parties prenantes.
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Économie politique des transformations du secteur agroalimentaire mondial de 1950 à 2010

Paradis, Benjamin 09 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse à l'évolution et aux transformations des secteurs agricoles et alimentaires de 1950-1960 à aujourd'hui, secteur désormais désigné comme agroalimentaire. À travers l'étude de cette période historique, nous constatons l'évolution des principales formes de régulation de ces domaines qui passent majoritairement du domaine public au domaine privé. Le contexte avant la libéralisation montre un secteur agricole et alimentaire très fortement contrôlé et instrumentalisé par l'État. De diverses façons, l'État réussit à réguler ce secteur avec des moyens directs et indirects. Durant les années 1980, un changement de paradigme, qui va entraîner un certain recul du rôle de l'État, résulte en l'appropriation et l'instrumentalisation de nouvelles formes et de nouveaux domaines de régulation par le secteur privé qui facilite l'insertion de grandes FMN disposant de moyens financiers et technologiques leur permettant de prendre le relai de la régulation de ces secteurs. Le rôle de l'État n'est pas effacé complètement, mais globalement transformé et il doit désormais remodeler et repenser son action et ses relations internationales conjuguant tant bien que mal compétition et coopération sur la scène mondiale. Bien que la libéralisation économique ait comme but de libérer le marché de toute forme de pouvoir, on note cependant que de nouveaux acteurs se sont appropriés la régulation du secteur agroalimentaire. Nous posons comme hypothèse que ce libéralisme économique défendu par les néolibéraux dès les années 1970 et appliqué plus fortement dans les années 1980 servait les intérêts de certains acteurs. La libéralisation n'a pas donné les effets escomptés et mieux encore, elle a remis entre les mains d'une poignée d'acteurs toujours plus concentrés, l'essentiel du fonctionnement et de la modulation du secteur agroalimentaire mondial. Alors que certains auteurs remarquent un transfert du public vers le privé, l'analyse des auteurs nous montre que le rapport entre ces deux entités est beaucoup plus complexe qu'on ose le croire à première vue. Le privé a besoin du public et vice-versa. La chaîne globale de valeur nous montre que le libre jeu de la concurrence n'est pas réellement respecté étant donné tous les réseaux qui se créent et qui ont comme effet de concentrer les marchés. Il faut repenser l'analyse en fonction de ces réseaux qui créent une distorsion sur ces marchés et qui concentrent l'essentiel des pouvoirs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : régulation, agricole, alimentation, agroalimentaire, libéralisation, concurrence, rôle de l'État, sécurité alimentaire, concentration économique, firmes multinationales
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Performance management : an american technology in a French multinational enterprise established in China / La gestion de la performance : une technologie américaine dans une entreprise multinationale française implantée en Chine

Meyer, Vincent 13 June 2018 (has links)
Cette thèse examine l’imbrication du social et du matériel dans les entreprises multinationales, lors du transfert transnational des pratiques de gestion des ressources humaines, et plus particulièrement le transfert des pratiques de gestion de la performance. En me basant sur l’étude de quatre entités chinoises locales d’une entreprise transnationale comme cadre de mon étude de cas, j’explore comment les salariés locaux s’approprient les pratiques de gestion de la performance en internalisation les pratiques globales et en innovant pour les adapter à leur environnement local. Cette étude se fonde sur 60 entretiens, des données secondaires et des observations collectées sur plus de dix ans. Dans la première partie de cette thèse j’explore plus particulièrement l’appropriation des pratiques de gestion des ressources humaines au niveau micro et j’identifie quatre archétypes de l’appropriation des pratiques de gestion des ressources humaines : formelle, cérémoniale, déviante et innovante. Dans la deuxième partie de cette thèse, je me concentre sur l’appropriation des pratiques de gestion des ressources humaines au niveau meso. En me fondant sur la théorie de la Sociomatérialité, je propose une nouvelle définition de l’hybridation comme le processus par lequel des pratiques uniques émergent dans des filiales locales à partir de l’imbrication du social et du matériel entre le siège et les filiales locales des entreprises multinationales. Cette définition me permet d’identifier deux nouvelles formes de gestion de la performance dans les quatre entités de l’entreprise multinationale étudiée que j’ai appelées la pratique harmonieuse confucéenne de gestion de la performance et la pratique harmonieuse instrumentale de gestion de la performance. Dans le troisième chapitre, je me base sur les résultats empiriques des deux chapitres précédents pour conceptualiser un modèle multiniveau intégré du transfert transnational des pratiques de gestion des ressources humaines, en développant un autre concept central de la théorie de la Sociomatérialité: la notion de « dispositif ». Cette thèse a ainsi pour objectif de contribuer à la fois à la littérature en gestion internationale des ressources humaines et à la littérature sur la sociologie des outils de gestion. / The present dissertation examines the entanglement of the social and material in Multinational Enterprises during the transnational transfer of Human Resource Management Practices, especially Performance Management Practices. Using 4 local Chinese entities of a transnational firm as my case study, I explore how local employees make Performance Management practices their own, both internalizing global practices and innovating to adapt to local environments. This research is based on 60 interviews, secondary materials and direct observations over more than 10 years. In the first chapter of this dissertation, I explore more specifically the adoption of Human Resource Management practices at the micro level, and I identify four archetypes of the adoption of Human Resource Management practices: formal, ceremonial, deviant and innovative. In the second chapter, I focus on the adoption of Performance Management practices in Multinational Enterprises at a meso level. Drawing on sociomaterial theory, I propose a new definition of hybridization as being a process by which unique practices emerge in local subsidiaries from the entanglement of the social and the material at Headquarters and in local subsidiaries. This definition allowed me to identify two new hybrid performance management practices in the four Chinese entities of the Multinational Enterprises under investigation, which I have called the “harmonious Confucian” Performance Management practice and the “harmonious instrumental” Performance Management practice. In the third chapter, I build on the results of the two previous empirical chapters to conceptualize an integrated multilevel model for the transnational transfer of Human Resource Management practices in Multinational Enterprises by expanding another central concept to sociomaterial theory: the notion of “apparatus”. This dissertation aims therefore at contributing both to International Human Resources Management literature and to the literature of the sociology of management tools.
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Transfert de connaissances dans les entreprises multinationales : efficacité et influence des facteurs contextuels

Volkov, Igor 11 1900 (has links)
Dans la présente recherche, nous nous sommes penchés sur le processus du transfert intra-organisationnel de connaissances au sein d’entreprises multinationales (EM). Partant du triple constat suivant : les connaissances organisationnelles constituent un avantage stratégique (Barney, 1991 ; Bartlett et Ghoshal, 1998), les transferts intra-organisationnels constituent la raison d’être des EM (Gupta et Govindarajan, 2000), lesquelles ont accès à un vaste bassin de connaissances disséminées à travers le monde par le biais de leurs filiales et les mécanismes organisationnels internes sont plus efficaces que ceux du marché (Williamson, 1987 ; Casson, 1976) pour transférer des connaissances entre unités organisationnelles; nous nous sommes intéressés aux facteurs pouvant affecter l’efficacité de ce processus de transfert. Ayant identifié, lors de notre revue des écrits théoriques, une multitude d’approches permettant d’appréhender ce phénomène, nous proposons, dans notre recherche, un modèle théorique intégrant les trois étapes propres au processus de transfert, soit : la détermination des connaissances à transférer, la sélection des mécanismes de transfert appropriés et, finalement, l’évaluation, d’une part, de l’efficacité des transferts et, d’autre part, de l’ensemble des facteurs contextuels ayant un impact sur l’efficacité de ce processus. Sur le plan théorique, cette recherche oppose deux courants dominant ce champ disciplinaire. L’approche stratégique, exprimée par la théorie des ressources, met l’accent sur l’importance prépondérante des facteurs organisationnels internes sur l’efficacité de toute action organisationnelle (Bartlett et Ghoshal, 1998 ; Barney, 1991). Cette approche s’oppose au courant institutionnel, lequel considère plutôt que les choix et les actions organisationnels sont surtout conditionnés par les contraintes de l’environnement externe (Ferner, 1997; Kostova, 1999; Scott, 1991). Les résultats de notre recherche démontrent que, malgré l’existence de contraintes de nature institutionnelle et culturelle, l’efficacité du processus de transfert des connaissances associées à la gestion des ressources humaines relève davantage des conditions organisationnelles internes et, plus particulièrement, de l’implication de la haute direction, du rôle accordé à la fonction RH et de l’alignement entre la stratégie corporative, la stratégie RH et la culture organisationnelle. Sur le plan méthodologique, il s’agit d’une recherche exploratoire qualitative menée auprès de trois EM (2 canadiennes et 1 française) oeuvrant dans les secteurs de la métallurgie et des télécommunications. Les données empiriques proviennent de 17 entrevues approfondies que nous ont accordées, au Canada, en France, en Allemagne et en Suisse des cadres responsables de la gestion des ressources humaines, affectés au siège social des EM en question ou œuvrant au sein de leurs filiales, et de sources documentaires secondaires. / The aim of this research is to investigate the process of transfer of intra-organizational knowledge within multinational corporations. Taking into consideration the following three postulates: that organizational knowledge represents a source of competitive advantage for a firm (Barney, 1991; Bartlett and Ghoshal, 1998); that access to a large pool of knowledge disseminated across the world and the transfer of this knowledge across the organization constitutes la raison d’être of MNC (Gupta and Govindarajan, 2000); and that internal organizational mechanisms are more efficient than the market (Williamson, 1987) for the transfer of this knowledge between organizational units, for the purpose of this study we were particularly interested in the factors that can affect the effectiveness of this process of transfers. Having identified in past research various theoretical approaches to study this phenomena, we proposed and tested the integrative theoretical model helping to analyse the impact of contextual factors on each of the following three stages of the process of transfer: the determination of knowledge to be transferred, the selection of mechanisms of knowledge transfer and finally, the evaluation of the effectiveness of transfer. Our research confronts two theoretical perspectives currently dominating the field of knowledge transfer in multinational corporations. The strategic approach and the resource-based view of the firm emphasize the importance of internal organizational factors for the effectiveness of any organizational action (Bartlett and Ghoshal, 1998; Barney, 1991). On the other hand, the institutional approach considers rather that organizational choices and actions are conditioned by the external environment (Ferner, 1997; Kostova, 1999; Scott, 1991). The results of our research show that in spite of the existence of institutional and cultural constraints, the effectiveness of the entire process of transfer of knowledge related to HRM is determined by internal organizational conditions, such as the involvement of top management, the role of RH function and the alignment between corporative strategy, HR strategy and the organizational culture. Our methodological approach is based on a qualitative case-study of three multinational companies (two Canadian and one French) working in metallurgical and telecommunications sectors. Our empirical data stems from seventeen semi-structured interviews conducted with the top HR managers of these companies, who are actively involved in the process of knowledge transfer at HQ or at its subsidiaries in Canada, France, Germany and Switzerland. We also used a large amount of publicly available information from these companies.
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Le conflit de travail à l’usine d’Alma de Rio Tinto Alcan en 2012 : un déséquilibre du rapport de force entre un syndicat local et une entreprise multinationale?

Séguin, Amélie 03 1900 (has links)
Ce mémoire analyse la mobilisation multiniveaux de la section locale 9490 d'Alma du syndicat des Métallos lors de son conflit de travail avec Rio Tinto Alcan à l'hiver 2012. Lors de la négociation pour le renouvellement de la convention collective, le syndicat, affilié à la FTQ, est mis en lock-out par Rio Tinto Alcan, une entreprise multinationale anglo-australienne. Rio Tinto achète Alcan, une entreprise multinationale canadienne, au milieu des années 2000 et souhaite rentabiliser son investissement. Le Syndicat tient à maintenir ses acquis et les emplois de qualité dans la région et à ne pas céder devant ce nouvel employeur. Le syndicat des Métallos est affilié au syndicat international United SteelWorkers. Ensemble, ils mettront sur pied une campagne stratégique internationale afin de faire contrepoids aux énormes ressources de l'employeur. Cette étude analyse le déploiement d'un syndicat international lors d'un conflit de travail au niveau local avec une entreprise multinationale et identifie les impacts de la campagne sur les relations de travail. / This thesis analyzes the multilevel mobilisation of the Metallo’s local union 9490 in Alma during the lockout by multinational company Rio Tinto Alcan that took place during winter 2012. During the collective bargaining process to renew the collective agreement, the Union is put on lockout. Australo-british multinational company Rio Tinto had bought Canadian multinational company Alcan in the mid-2000 and wanted to score a return on its investment. The local union affiliated with FTQ’s Métallos and the international union, the United Steelworkers, wanted to maintain its working conditions and keep the good jobs in the region. The union put together an international strategic campaign to counter the enormous resources of the employer. This thesis examines the impact of this international strategic campaign on the fight of a local union with its multinational employer and its impacts on labor relations.
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Transfert de connaissances dans les entreprises multinationales : efficacité et influence des facteurs contextuels

Volkov, Igor 11 1900 (has links)
Dans la présente recherche, nous nous sommes penchés sur le processus du transfert intra-organisationnel de connaissances au sein d’entreprises multinationales (EM). Partant du triple constat suivant : les connaissances organisationnelles constituent un avantage stratégique (Barney, 1991 ; Bartlett et Ghoshal, 1998), les transferts intra-organisationnels constituent la raison d’être des EM (Gupta et Govindarajan, 2000), lesquelles ont accès à un vaste bassin de connaissances disséminées à travers le monde par le biais de leurs filiales et les mécanismes organisationnels internes sont plus efficaces que ceux du marché (Williamson, 1987 ; Casson, 1976) pour transférer des connaissances entre unités organisationnelles; nous nous sommes intéressés aux facteurs pouvant affecter l’efficacité de ce processus de transfert. Ayant identifié, lors de notre revue des écrits théoriques, une multitude d’approches permettant d’appréhender ce phénomène, nous proposons, dans notre recherche, un modèle théorique intégrant les trois étapes propres au processus de transfert, soit : la détermination des connaissances à transférer, la sélection des mécanismes de transfert appropriés et, finalement, l’évaluation, d’une part, de l’efficacité des transferts et, d’autre part, de l’ensemble des facteurs contextuels ayant un impact sur l’efficacité de ce processus. Sur le plan théorique, cette recherche oppose deux courants dominant ce champ disciplinaire. L’approche stratégique, exprimée par la théorie des ressources, met l’accent sur l’importance prépondérante des facteurs organisationnels internes sur l’efficacité de toute action organisationnelle (Bartlett et Ghoshal, 1998 ; Barney, 1991). Cette approche s’oppose au courant institutionnel, lequel considère plutôt que les choix et les actions organisationnels sont surtout conditionnés par les contraintes de l’environnement externe (Ferner, 1997; Kostova, 1999; Scott, 1991). Les résultats de notre recherche démontrent que, malgré l’existence de contraintes de nature institutionnelle et culturelle, l’efficacité du processus de transfert des connaissances associées à la gestion des ressources humaines relève davantage des conditions organisationnelles internes et, plus particulièrement, de l’implication de la haute direction, du rôle accordé à la fonction RH et de l’alignement entre la stratégie corporative, la stratégie RH et la culture organisationnelle. Sur le plan méthodologique, il s’agit d’une recherche exploratoire qualitative menée auprès de trois EM (2 canadiennes et 1 française) oeuvrant dans les secteurs de la métallurgie et des télécommunications. Les données empiriques proviennent de 17 entrevues approfondies que nous ont accordées, au Canada, en France, en Allemagne et en Suisse des cadres responsables de la gestion des ressources humaines, affectés au siège social des EM en question ou œuvrant au sein de leurs filiales, et de sources documentaires secondaires. / The aim of this research is to investigate the process of transfer of intra-organizational knowledge within multinational corporations. Taking into consideration the following three postulates: that organizational knowledge represents a source of competitive advantage for a firm (Barney, 1991; Bartlett and Ghoshal, 1998); that access to a large pool of knowledge disseminated across the world and the transfer of this knowledge across the organization constitutes la raison d’être of MNC (Gupta and Govindarajan, 2000); and that internal organizational mechanisms are more efficient than the market (Williamson, 1987) for the transfer of this knowledge between organizational units, for the purpose of this study we were particularly interested in the factors that can affect the effectiveness of this process of transfers. Having identified in past research various theoretical approaches to study this phenomena, we proposed and tested the integrative theoretical model helping to analyse the impact of contextual factors on each of the following three stages of the process of transfer: the determination of knowledge to be transferred, the selection of mechanisms of knowledge transfer and finally, the evaluation of the effectiveness of transfer. Our research confronts two theoretical perspectives currently dominating the field of knowledge transfer in multinational corporations. The strategic approach and the resource-based view of the firm emphasize the importance of internal organizational factors for the effectiveness of any organizational action (Bartlett and Ghoshal, 1998; Barney, 1991). On the other hand, the institutional approach considers rather that organizational choices and actions are conditioned by the external environment (Ferner, 1997; Kostova, 1999; Scott, 1991). The results of our research show that in spite of the existence of institutional and cultural constraints, the effectiveness of the entire process of transfer of knowledge related to HRM is determined by internal organizational conditions, such as the involvement of top management, the role of RH function and the alignment between corporative strategy, HR strategy and the organizational culture. Our methodological approach is based on a qualitative case-study of three multinational companies (two Canadian and one French) working in metallurgical and telecommunications sectors. Our empirical data stems from seventeen semi-structured interviews conducted with the top HR managers of these companies, who are actively involved in the process of knowledge transfer at HQ or at its subsidiaries in Canada, France, Germany and Switzerland. We also used a large amount of publicly available information from these companies.
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Communication interne et culture dans l’entreprise multinationale : régulation sociale et ordre négocié / Internal communication and culture in the multinational enterprise : social regulation and negotiated order

Jebli, Fedwa 20 September 2011 (has links)
Une des caractéristiques des entreprises multinationales est leur implantation dans des pays divers géographiquement et culturellement. Les services de communication interne sont représentés majoritairement comme la solution pour susciter l’adhésion à la culture d’entreprise et pour développer une synergie autour de celle-ci en dehors des considérations culturelles de chacun.Le discours dominant veut que la culture d’entreprise soit acceptée de la même façon par l’ensemble des salariés, notamment grâce à la communication interne qui y est définie comme un acteur stratégique jouant un rôle dynamique dans le quotidien de l’entreprise. L’objectif de cette thèse est de contraster les discours sur la communication interne avec les conclusions tirées de l’observation des tâches assurées par ses responsables dans trois filiales d’entreprises multinationales, en particulier pour constater à quel point les questions interculturelles font partie de leur quotidien. Il s’agit également de contraster les discours qui représentent l’entreprise comme une organisation à l’ordre social statique, basé sur une culture d’entreprise consolidée, avec le quotidien des salariés qui essaient de se trouver un espace d’expression de leur différence culturelle face à la culture de l’entreprise, ce qui remet en cause l’idée de l’environnement interne d’entreprise solide et inerte.Pour faire ressortir les écarts entre les discours et la réalité du travail dans l’entreprise multinationale, nous avons construit un cadre conceptuel basé sur la théorie de la régulation sociale de J.-D. Reynaud, en faisant l’hypothèse que la communication entre la culture de l’entreprise et les cultures des salariés se manifesterait via un jeu de règles permanent, et sur la théorie de l’ordre négocié de A. Strauss qui représente l’organisation en construction permanente de son ordre social basé sur la négociation des compromis entre acteurs. Les concepts du pouvoir et des représentations sociales sont utilisés pour renforcer l’idée selon laquelle toute interaction au sein de l’entreprise ne peut exister sans la présence des différentes manifestations de ces deux concepts.Pour formuler des conclusions, nous avons adopté une méthodologie de recherche basée sur l’étude de cas durant laquelle nous avons eu recours à l’observation participante, aux entretiens semi-directifs et à l’analyse du contenu des publications de la communication interne. / One of the characteristics of multinational enterprises is their implementation in countries geographically and culturally diverse. Internal communication services are represented mostly as the solution to build support for the corporate culture and to develop synergy around it beyond workers' cultural considerations. The dominant discourse states that the corporate culture is to be accepted in the same way by all employees, notably through internal communication services, which are defined as a strategic actor playing an active role in everyday business. The objective of this thesis is to contrast the discourse of internal communication services with the conclusions drawn from the observation of tasks performed by its officials in three subsidiaries of multinational companies, in particular to see how cross-cultural issues are part of their daily lives. It aims also at contrasting how discourses that represent the company as an organization whose static social order is based on a consolidated corporate culture, with employees trying to find a space to express their cultural difference against the company culture in their daily life. In order to highlight the gaps between the rhetoric and reality of working in a multinational enterprise, we assembled a conceptual framework based on J.-D. Reynaud's theory of social regulation, assuming that communication between the corporate culture and the cultures of the employees would manifest itself through a set of permanent rules, and A. Strauss' negotiated order theory, which represents the organization permanently constructing its social order through the negotiation of compromises between actors. The concepts of power and social representations are used to highlight the idea that any interaction within the company can not exist without the presence of different manifestations of these two concepts. In order to draw conclusions, we have adopted a research methodology based on case studies. We have therefore used participant observation, semi-structured interviews and content analysis of the publications of internal communication services.

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