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L’esthétique théâtrale dans les œuvres romanesques de Denis Diderot

LaFleur, Natalie 07 April 2011 (has links)
Denis Diderot se plaît à amalgamer les genres dans ses œuvres. Ainsi, dans ses romans, Diderot est narrateur, peintre, metteur en scène, encyclopédiste, épistolier mais surtout dramaturge. Il cherche à rapprocher le théâtre et la forme romanesque dans ses textes de fiction, en accordant une attention minutieuse à des éléments de mise en scène qui sont très vivants. Au XIXe siècle, la mise en scène devient indispensable mais Diderot démontre déjà dans ses romans l’usage de certains éléments théâtraux importants de la mise en scène. Il existe dans Jacques le fataliste, des personnages qui ne sont pas habituellement présents dans les romans mais qui sont importants dans le monde du théâtre. Ce sont le lecteur-spectateur et le souffleur de lignes. Diderot leur accorde une voix résonante dans son roman. Il se sert aussi de d’autres ressorts théâtraux dans ses romans comme les tableaux dramatiques, des scènes émotives dans La Religieuse et les pantomimes musicales, les séries de jeux corporels dans Le Neveu de Rameau. Le lecteur-spectateur, le souffleur de lignes, les tableaux et les pantomimes créent ainsi de nouveaux genres de romans qui sont acoustiques et visuels.
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L'esthétique de la marginalisation dans la littérature sénégalaise d'expression française : Analyse d'un corpus / The Aesthetics of Marginalization in Senegalese Literature of French Expression : Analysis of a Corpus

Dieme, Aliou 19 January 2015 (has links)
Pendant très longtemps, la littérature sénégalaise d’expression française s’est enrichie suivant les canons de l’esthétique occidentale. Du point de vue du style et des techniques de narration, les écrivains sénégalais de la première génération montraient une certaine maîtrise et dépendance de ceux-là. À une période récente, d’autres écrivains ont exprimé, dans leur choix d’écriture, une liberté de style et de ton vis-à-vis de la tradition littéraire. Le corpus choisi dans cette étude, s’inscrivant dans une dynamique de rupture d’avec les anciens récits de héros positifs, est constitué d’échantillons d’oeuvres d’écrivains appartenant à toutes les générations. Ces derniers, ne s’alignant pas sur les anciens canons esthétiques, offrent un nouveau regard à la littérature sénégalaise sous le prisme de la marginalisation.Dans cette étude nous relevons et analysons les éléments constituant l’esthétique de la marginalisation dans le texte sénégalais d’expression française. Pour situer le lecteur dans le contexte sénégalais, il nous incombe de signaler la diversité ethnique et religieuse qui fait du wolof l’une des langues nationales, du français, la langue officielle et de l’Islam, la religion dominante. Ces différentes composantes s’interfèrent dans les textes à travers des procédés narratifs et stylistiques mis en place pour créer d’autres types de discours. Pour donner corps et forme à ceux-là, les écrivains ont créé des figures marginales à cet effet.En définitive, analyser l’esthétique de la marginalisation dans la littérature sénégalaise d’expression française, c’est interroger les formes de discours, de structures des récits et d’images que les auteurs mettent en oeuvre pour transgresser les normes établies. Et quand leur écriture s’approprie la marginalisation, le renouvellement des effets stylistiques et le changement de champs thématiques deviennent des formes de refus et de rébellion. / For a very long time, the Senegalese literature of French expression has expanded following the canons of Western aesthetics. From a stylistic and narrative techniques perspective, the Senegalese writers of the first generation showed a sense of mastery and dependence on the former. Of recent, other writers have expressed in their choice of writing, their freedom of style and tone in relation to literary tradition. The chosen corpus in this study, following a dynamic break from old stories of positive heroes, consists of samples of works by writers belonging to all generations. These, aligning with the old aesthetic canons, offer a new look to the Senegalese literature under the prism of marginalization.In this study we identify and analyze the elements constituting the aesthetics of marginalization in the French-speaking Senegalese text. To place the reader in a Senegalese context, we deem it necessary to point out the ethnic and religious diversity which makes Wolof one of the national languages, French, the official language and Islam, the dominant religion. These different components interfere in the texts through narrative and stylistic processes used in order to create other types of discourse. To give concrete form to them, the writers have created marginal figures to that effect.Finally, to analyze the aesthetics of marginalization in Senegalese literature of French expression, it is to reflect on speech forms, story and image structures that the authors use to transgress the established standards. And when their writing appropriates marginalization, the renewal of the stylistic effects and the change of thematic fields become forms of rejection and rebellion
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Pour un art biocritique : sexualité et action politique / For a bio-critical art : sexuality and political action

Mancilla Valdez, Esmeralda 22 June 2013 (has links)
L'art intègre parfois dans ses processus créatifs les témoignages corporels, sexuels, personnels et subjectifs/subjectivants de l’artiste, mais aussi de sujets sociaux qui s'opposent aux constructions sociales et culturelles imposées par le(s) biopouvoir(s) hégémonique(s). Cette thèse présente un art biocritique capable de reconnaître la potentialité esthétique et artistique des témoignages et des vécus qu'il intègre en tant que matériel plastique à sa biocritique artistique. Elle a pour objectif de proposer une théorie (la théorie esthétique biocritique) et une méthode de déconstruction esthétique permettant d'observer et de rendre observable les potentialités esthétiques des corporalités et sexualités subjectivantes considérées comme « abjectes» par le biopouvoir en tant qu'actions biocritiques esthético-politiques (exemples d'action politique de ce que l’auteure dénomme une biopolitique esthétique). Pour ce faire, le présent travail a mis en valeur la potentialité esthétique de l'autoérotisme et de l'orgasme, en tant qu'actions biocritiques menées dans le cadre de « l’Œuvre multiorgasmique collective ». / The art sometimes includes in his creative process testimonies physical, sexual, personal and subjective/subjectifying of the artist, but also of the social subjects who oppose with their bodies at the social and cultural constructs imposed by biopower(s) hegemonic(s). This thesis presents an art bio-critic able to recognize the potential aesthetic and artistic testimonies and experiences abjects of the body as it integrates its plastic material bio criticism art. It aims to propose a theory (bio-critic aesthetic theory) and a method of deconstruction aesthetic to observe and make observable the aesthetic potential of corporality's and sexualities subjectivists considered "abjects" by the biopower as aesthetic and bio-political action biocritics (political action that the author denominates aesthetic biopolitics). To do this, the present work has highlighted the potential aesthetic autoeroticism / masturbation and orgasm / sexual pleasure, as actions biocritics conducted under "Work multiorgasmic collective."
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Le jazz et la scène : l'expression jazzistique à l'aune de la théâtralité / Jazz and scene : jazz expression measured by theatricality

Horeau, Thomas 08 June 2015 (has links)
Ce travail appréhende la théâtralité du jazz au moyen des instruments de l’analyse scénique et dramaturgique. Trois approches sont ici articulées. La première consiste à mettre en évidence la conception symbiotique de l’art qui a présidé à la genèse du genre. Issues d’un paradigme culturel étranger au principe d’autonomie esthétique et à la séparation catégorielle des beaux-arts, les pratiques performatives afro-américaines du temps de l’esclavage n’opèrent pas de distinction entre la sphère artistique et les préoccupations sociales, pas plus qu’elles ne dissocient les différentes modalités de l’expression poétique. Intrinsèquement théâtrales et résolument ancrées dans la réalité populaire, les scènes de la préhistoire du jazz préfigurent les développements d’un art qui n’eut de cesse de déjouer les représentations dominantes pour se légitimer. La seconde approche insiste sur la fonction réflexive des manifestations scéniques du jazz et notamment sur leur capacité à rendre compte des rapports de force qui structurent le champ social. Notre analyse retrace la manière dont le processus de légitimation s’est accordé avec une spécialisation de l’expression jazzistique en un genre musical. Dans l’approche dramaturgique qui clôt notre recherche, la performance apparaît comme une pratique ludique où s’invente un discours collectif dans une dynamique relevant à la fois de l’agonistique et de la coopération. Un tel jeu implique une tentative de dépassement de soi et du médium musical qui confine au tragique. À travers ces perspectives, notre thèse rend compte de la parenté qui unit ces deux arts en même temps qu’elle entend contribuer aux réflexions sur leurs récentes mutations. / This thesis captures the theatricality of jazz through the instruments of the scenic and dramaturgical analysis. Three approaches are articulated here. The first is to highlight the symbiotic conception of the art, which led to the genesis of the genre. Stemming from a different cultural paradigm with the principle of aesthetic autonomy and a categorical separation of Fine Arts, the Afro-American performance practices back to the slavery days does not distinguish between artistic sphere and social concerns, nor do they separate different forms of poetic expression. Inherently theatrical and firmly rooted in the popular reality, the scenes preceding the jazz history foreshadow the evolution of an art that never ceased to thwart the dominant representations to legitimize itself. The second approach emphasizes the reflective function of scenic jazz performances including their capacity to reflect power relations structuring the social sphere. Our analysis tracks how the process of legitimation went along with a specialization in jazz expression shaping a musical genre. In the dramaturgical approach to the phenomenon that closes our research, performances seems like a fun practice leading to a collective discourse and a dynamic that shows as much agonistic as cooperative. This kind of play implies an attempt to transcendent oneself and the musical medium that verges on the tragic. Through these intersected perspectives, our thesis reflects the deep relationship that unites these two performing arts at the same time it intends to contribute to the discussions on its recent changes
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Le cinéma amazigh et la revendication identitaire : genres et formalisme dans le cinéma algérien / Amazigh cinema and the identity claims : gender and formalism in the Algerian cinema

Lafer, Latéfa 04 July 2015 (has links)
Notre recherche s’est intéressée au cinéma amazigh (berbère), apparu durant la période du terrorisme en Algérie, en tant qu’émanation de la revendication de la reconnaissance de l’identité amazighe. Il consacre l’entrée de la langue berbère dans la cinématographie algérienne.Ce cinéma émerge parallèlement à la fin l’hégémonie du secteur d’État sur les entreprises de cinéma et de l’entrée de ce pays dans l’économie de marché. Toutefois, étudier le cinéma amazigh en tant que genre revient à valider l’existence de la classification idéologique des films algériens par thèmes : films de la guerre de libération et films sociaux, films de la révolution agraire et films urbains. Nous empruntons ce biais pour démontrer que ces catégorisations ont ignoré la valeur esthétique des films et proposons une approche théorique qui intègre les dimensions thématique et esthétique de ce cinéma au même titre. Ce qui a pour effet de changer la configuration de cette cinématographie. / During the years of terrorism, a new form of the Algerian cinema appeared and soak us about theDark Years. It is the Amazigh Cinema. It’s also a claim for an Amazigh identitary recognition. The studied works has not only put focus on that claims, but it brought a linguistic dimension as well: Thamazighth entered in fact to the cinematographical landscape of Algeria. However, these works are another demonstration of the Algerian state domination in the field.To study this variation of the Algerian cinema means to admit that an ideological classification by theme has to be brought : independence war films, social ones and agrarian and urban films are so concerned by the classification. The latters show an ignorance to the esthetic regards and values of the concerned films Which integrate the thematic and esthetic dimensions. By the way, it can change the cinematographic configuration of the studied subject.
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La résistance esthétique à l'assemblage de surveillance de sécurité : l'art numérique comme participation citoyenne

Hogue, Simon 21 November 2018 (has links)
La thèse explore la surveillance algorithmique des communications mondiales à travers l’art numérique. Elle examine les projets artistiques à la lumière du moment post-Snowden qui met en évidence l’étroite relation entre la surveillance d’État et la lutte au terrorisme, l’économie numérique, et le droit à la vie privée. Plus spécifiquement, la thèse pose la question de la résistance esthétique à la surveillance déployée par les dispositifs de sécurité occidentaux et à la sécurisation du quotidien. Animée par une réflexion sur le public et la circulation de l’art, la thèse s’intéresse à une communauté d’artistes circulant principalement autour de New York et Berlin. Ces artistes se réapproprient les médias et les artefacts de la culture numérique et explorent la relation technologie-culture-pouvoir pour comprendre et contester les structures de pouvoir associées à ces pratiques de surveillance. L’art numérique propose une cartographie alternative du pouvoir qui éclaire et politise les structures de pouvoir rendues invisibles par le secret d’État et la banalisation des technologies. Il conteste en outre la subjectivité numérique néolibérale et les pratiques de catégorisation sociale pour repenser une collectivité politique égalitaire. La thèse démontre la pertinence de l’art comme avenue de résistance à la surveillance, et propose une nouvelle méthode pour analyser l’art en Relations internationales. Mettant en évidence la complicité volontaire et involontaire des entreprises numériques aux efforts antiterroristes, l’incapacité du droit à la vie privée à protéger les individus contre la surveillance algorithmique des communications mondiales, la liberté d’interprétation des données que s’attribuent les dispositifs de sécurité occidentaux, et l’impératif de visibilité qui accompagne la participation numérique, la thèse montre les limites que cette surveillance impose à la résistance. De là, la thèse suggère à travers les œuvres analysées une avenue de contestation à la fois technologique et collective permettant la mise en place d’une collectivité radicalement égalitaire qui brouille les processus de catégorisation sociale et constitue un espace de dissensus face à la société profilée et sécurisée de la surveillance algorithmique.
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L’esthétique drag, de la performance travestie à l’art transgenre : usages et contre-usages de la théorie butlérienne / The aesthetic of drag, from cross-dressed performance to transgender art : uses and counter-uses of Butler’s theory

Schicharin, Luc 12 December 2015 (has links)
Dans Trouble dans le genre (1990), Judith Butler affirme que le drag démontre la structure imitative du genre. Si, dans le sens commun, le drag est souvent rattaché à la performance travestie, nous allons voir avec Butler qu’il recouvre un ensemble complexe de pratiques corporelles (rôles sexuels, modifications corporelles, etc.). Alors, comment s’est constituée la théorie butlérienne ? Quelle est son influence sur les pratiques plasticiennes et sur les théories queer qui lui succèdent, participant indirectement (sinon involontairement) à la construction d'une esthétique drag qui intègre le transgenre ? En premier lieu, nous verrons que Butler étudie la performance drag à travers une anthropologie des artistes travestis élaborée par Esther Newton (Mother Camp, 1972), ainsi que par une critique du transgenre dans les films Paris is Burning (1991) et Boys don't cry (1999). Nous observerons ensuite comment les drag kings, photographiés par l’artiste Del LaGrace Volcano, sont interprétés par Judith Halberstam, à la suite de Butler, comme des performances qui dénaturalisent le genre et engagent parfois le corps des artistes jusqu'à la limite du transgenre. Enfin, à l’appui du philosophe Paul B. Preciado qui théorise sa propre "intoxication" à la testostérone (Testojunkie, 2008), nous aborderons l'art transgenre comme une esthétique biodrag qui incorpore littéralement la théorie butlérienne, en même temps qu'elle l'altère. À travers ces trois moments-clés, nous voudrions montrer comment la théorie butlérienne a produit une esthétique drag en mutation constante qui s'imprègne des grands récits de son temps, mais évolue aussi jusqu'à bouleverser les discours qui l'ont en partie engendrée / In Gender Trouble (1990), Judith Butler asserts that drag demonstrates the imitative structure of gender. If, in the common sense, the drag is often connected with cross-dressed performance, we will go to see with Butler that it recovers a complex set of bodily practices (sexual roles, body modifications, etc.). Then, how was etablished the Butler’s theory? What is its influence on the artistic practicals and on the queer theories that succeed her, contributing indirectly (if not involuntarily) to the construction of a drag aesthetic which integrates the transgender? Firstly, we will see that Butler studies the drag performance through an anthropology of the female impersonators elaborated by Esther Newton (Mother Camp, 1972) as well as by criticism of the transgender in the films Paris is Burning (1991) and Boys don't cry (1999). We observe afterwards how, after Butler, Judith Halberstam interprets the drag kings, photographed by the artist Del LaGrace Volcano, as performances whom denaturalize gender and, sometimes, engage the body of the artist until the limit of the transgender. At last, by using the philosophy of Paul B. Preciado who theorizes his own testosterone "intoxication" (Testojunkie, 2008), we will discuss the transgender art like a biodrag aesthetic which literally incorpore the Butler’s theory, at the same time that she modifies it. Through these three moments, we would want to show how Butler’s theory produced a drag aesthetics constantly changing which is permeated with grand narratives of his time, but also evolves until overturn the speeches which partially engendered it
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Entre surdezes e cegueiras, fastasmas e lobismomens : trajetos e devires de um cinema em uma educação de adultos

Correa, Elenice Mattos January 2013 (has links)
Les trajets et les devenirs de cette cartographie remettent à une expérimentation d’un faire cinéma avec un groupe de professeurs et d’ élèves de l’éducation pour les adultes du Centro Municipal de Educação dos Trabalhadores – CMET Paulo Freire, à Porto Alegre. Cette recherche-expérimentation a eu lieu entre 2010 et 2012, en faisant des prolongements en 2013 qui ne se finissent pas avec cette thèse. Les oeuvres filmiques qui naissent au long de ces trois ans sont les figures esthétiques qui donnent la forme à l’expérimentation de ce faire cinéma. Ces oeuvres fabriquent une image de la pensée composée par des concepts philosophiques, par des fonctions scientifiques et par des affects et des percepts artistiques. Entre surdezes e cegueiras, fantasmas e lobisomens (Entre surdités et cécités, fantômes et loups-garous) fait référence aux traversées de cette cartographie avec la surdité et la cécité sensori-motrice et aux personnages qui se précipitent dans Histórias de susto e assombração (Histoires de peur et de hantise), le projet filmique principal de la thèse. Ces termes obtiennent une autre consistance au moment où ils se transmutent en figures esthétiques à mesure qui peuplent les mouvements d’une pensée. Entre surdezes e cegueiras, spécialement, se rapporte à cette nouvelle manière de percevoir, de sélectionner et de faire un découpage de la matière sonore et lumineuse toujours à une petite portion, en fonction de nos limites d’apréhension et aussi en raison de que nous retenons seulement celui qu’intéresse de la matière et de ses actions. Dans cette étude, nous essayons de penser sur l’encontre du cinéma et de l’éducation, en explorant la pensée de Gilles Deleuze et Félix Guattari. Les agencements machiniques de l’éducation alliés aux technologies de l’information avec sa « esthétique du silicium » renforcent les fonctions diagrammatiques qui traversent les sociétés de contrôle. Le silicium, un élément classé comme semi-conducteur, est utilisé dans le phylum machinique de la société pour faire le chip et avec lui un arsenal de technologies de l’information (TIs). Le silicium, comme matière du monde, est expressif, en montrant des traits de celui que nous appelons dans cette thèse de « esthétique du silicium ». Les TIs consolident une « esthétique du silicium » régie hégémoniquement par le Capitalisme Mondial Integré (CMI). L’éducation, à son tour, est une pièce de la machine abstraite de visagéité du monde. Ils appuient ensemble une gigantesque machine de stratification. La fonction diagrammatique d’éduquer utilise les machines techniques du cinéma pour faire un cinéma qui éduque, ou d’autre manière, une éducation qui agit parmi le cinéma. De cette façon, le désir qui impulse l’expérimentation mise en place est celui de rompre avec l’hégémonie classique de la fonction scolaire, en investissant dans une ligne de résistance, une machine de guerre orientée à un faire cinéma qui puisse ouvrir l’agencement éducationnel à d’autres forces, de manière à donner d’attention aux milieux visuels et sonores non linguistiques et, avec eux, mettre l’accent sur d’autres régimes de signes. Le cinéma, mode d’expression proliférant par une « esthétique du silicium », permettre de nouveaux agencements capables d’engendrer de nouveaux modes de vie. Le cinéma s’installe dans les seuils indiscernables entre le sonore et le visuel, entre des régimes linguistiques et non linguistiques, comme expression de la pensée Dans ce sens, il se lie à l’apprendre à mesure que se rapporte à une ouverture aux rencontres qui rendent possible la tessiture de l’immanence. Le cinéma – cinear, cinemar, dans l’esfère de l’air, lors d’extraire, sélectionner, explorer, expérimenter, fabuler avec de petites portions de la matière sonore et lumineuse du monde et être incarné par elles, il peut fissurer la dureté du pouvoir en fabriquant des machines de guerre. Un tel cinéma peut faciliter la recherche du devenir-philosophe, du devenirartiste-cinéaste, de chacun des impliqués dans ces processus fuyants, il peut potentialiser des processus de singularisation qui affaiblissent les modes de subjectivation qui barrent l’effervescence d’un nouveau devenir-homme. En tenant fin en soi-même, faire cinéma devient catalyseur des processus créatifs collectifs. Ce sur cette perspective que nous insistons. Il faut commencer un discours différent, rechercher de nouveaux pâturages et trouver un moyen capable de diffuser de nouvelles idées, car les nouvelles idées sont dans le domaine de la liberté. Ainsi, sont ouvertes de petites fentes sur la machine éducationnelle, lancées par ce faire cinéma, en ouvrant un processus inventif de marcher en groupe et apprendre dans la joie. Le trajet se fait nomade et rhizomatique, en traçant sur une carte des affects et des percepts qui embarbouille chercheur, professeur et élèves. Devenirs étranges, sorcier, loup-garou, patrouillent notre parcours errant. / Os trajetos e os devires desta cartografia reportam-se a uma experimentação com um fazer cinema junto a um grupo de professores e alunos da educação de adultos do Centro Municipal de Educação dos Trabalhadores – CMET Paulo Freire, em Porto Alegre. Esta pesquisa-experimentação ocorre entre os anos de 2010 e 2012, tecendo prolongamentos em 2013, que não findam com esta tese. As obras fílmicas que se precipitam ao longo deste percurso de três anos, são as figuras estéticas que dão carne à experimentação deste fazer cinema. Estas obras fabricam uma imagem do pensamento composta por conceitos filosóficos, por funções científicas e por afetos e perceptos artísticos. “Entre surdezes e cegueiras, fantasmas e lobisomens”, reporta-se aos atravessamentos desta cartografia com a surdez e a cegueira sensório-motoras e aos personagens que se precipitam nas Histórias de susto e assombração, projeto fílmico de culminância da tese. Este termos, ganham nova consistência ao se transmutarem em figuras estéticas na medida em que povoam os movimentos de um pensamento. “Entre surdezes e cegueiras”, especialmente, reporta-se essa nossa operação de perceber, de selecionar e de recortar da matéria sonora e luminosa sempre uma pequena porção, em função de nossos limites de apreensão e, também, pelo fato de retermos da matéria e suas ações somente aquilo que nos interessa. Neste estudo, procuramos pensar o encontro cinema e educação, explorando o pensamento de Gilles Deleuze e Felix Guattari. Os agenciamentos maquínicos da educação enganchados às tecnologias da informação com sua estética do silício, fortalecem as funções diagramáticas que atravessam as sociedades de controle. O silício, elemento classificado como semi-condutor, é tomado no phylum maquínico da sociedade para constituição do chip, e com ele um arsenal de tecnologias da informação – TIs. O silício, como matéria do mundo, é expressiva, dando a ver traços do que denominamos nesta tese por uma estética do silício. As TIs consolidam uma estética do silício regida hegemônicamente pelo Capitalismo Mundial Integrado – CMI. A educação, por sua vez, é peça da máquina abstrata de visageidade do mundo. Juntas, alicerçam uma gigantesca máquina de estratificação. A função diagramática educar toma as máquinas técnicas do cinema para fazer um cinema que educa, ou de outro modo, uma educação que age através do cinema. Por isso, o desejo que move a experimentação colocada em marcha, é o de romper com a clássica hegemonia da função escolar, investindo numa linha de resistência, uma máquina de guerra orientada a um fazer cinema que possa abrir o agenciamento educacional a outras forças, dando atenção aos meios visuais e sonoros não-linguísticos e, com eles, dar ênfase a outros regimes de signos. O cinema, modo de expressão proliferante por uma estética do silício, pode viabilizar novos agenciamentos capazes de engendrar novos modos de vida. O cinema instala-se nos limiares indiscerníveis entre o sonoro e o visual, entre regimes linguísticos e não-linguísticos, como expressão do pensamento. Neste sentido, engancha-se ao aprender na medida em que este reporta-se a uma abertura aos encontros que possibilitam a tessitura da imanência. O cinema - cinear, cinemar, na esfera do ar, ao extrair, selecionar, explorar, experimentar, fabular com pequenas porções da matéria sonora e luminosa do mundo e ser encarnado por elas, pode fissurar a dureza do poder, fabricando máquinas de guerra. Tal cinema pode facilitar a busca do devir-filósofo, do devir-artista-cineasta, de cada um dos envolvidos em seus processos fugidios, pode potencializar processos de singularização que enfraqueçam os modos de subjetivação que barram a efervescência de um novo devir-homem. Com fim em si mesmo, fazer cinema torna-se catalizador de processos criativos coletivos. É neste viés que insistimos. É preciso começar um discurso diferente, ir em busca de novas pastagens e achar um meio capaz de difundir ideias novas, pois as ideias novas estão no domínio da liberdade. Assim, abrem-se pequenas fendas na máquina diagramática educacional, disparadas por este fazer cinema, dando vazão a um processo inventivo de andar em bando e aprender na alegria. O trajeto se faz nômade e rizomático, traçando em um mapa de afetos e perceptos que embaralha pesquisadora, professoras e alunos. Devires estranhos, feiticeiro, lobisomem, rondam nosso percurso errante.
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Entre surdezes e cegueiras, fastasmas e lobismomens : trajetos e devires de um cinema em uma educação de adultos

Correa, Elenice Mattos January 2013 (has links)
Les trajets et les devenirs de cette cartographie remettent à une expérimentation d’un faire cinéma avec un groupe de professeurs et d’ élèves de l’éducation pour les adultes du Centro Municipal de Educação dos Trabalhadores – CMET Paulo Freire, à Porto Alegre. Cette recherche-expérimentation a eu lieu entre 2010 et 2012, en faisant des prolongements en 2013 qui ne se finissent pas avec cette thèse. Les oeuvres filmiques qui naissent au long de ces trois ans sont les figures esthétiques qui donnent la forme à l’expérimentation de ce faire cinéma. Ces oeuvres fabriquent une image de la pensée composée par des concepts philosophiques, par des fonctions scientifiques et par des affects et des percepts artistiques. Entre surdezes e cegueiras, fantasmas e lobisomens (Entre surdités et cécités, fantômes et loups-garous) fait référence aux traversées de cette cartographie avec la surdité et la cécité sensori-motrice et aux personnages qui se précipitent dans Histórias de susto e assombração (Histoires de peur et de hantise), le projet filmique principal de la thèse. Ces termes obtiennent une autre consistance au moment où ils se transmutent en figures esthétiques à mesure qui peuplent les mouvements d’une pensée. Entre surdezes e cegueiras, spécialement, se rapporte à cette nouvelle manière de percevoir, de sélectionner et de faire un découpage de la matière sonore et lumineuse toujours à une petite portion, en fonction de nos limites d’apréhension et aussi en raison de que nous retenons seulement celui qu’intéresse de la matière et de ses actions. Dans cette étude, nous essayons de penser sur l’encontre du cinéma et de l’éducation, en explorant la pensée de Gilles Deleuze et Félix Guattari. Les agencements machiniques de l’éducation alliés aux technologies de l’information avec sa « esthétique du silicium » renforcent les fonctions diagrammatiques qui traversent les sociétés de contrôle. Le silicium, un élément classé comme semi-conducteur, est utilisé dans le phylum machinique de la société pour faire le chip et avec lui un arsenal de technologies de l’information (TIs). Le silicium, comme matière du monde, est expressif, en montrant des traits de celui que nous appelons dans cette thèse de « esthétique du silicium ». Les TIs consolident une « esthétique du silicium » régie hégémoniquement par le Capitalisme Mondial Integré (CMI). L’éducation, à son tour, est une pièce de la machine abstraite de visagéité du monde. Ils appuient ensemble une gigantesque machine de stratification. La fonction diagrammatique d’éduquer utilise les machines techniques du cinéma pour faire un cinéma qui éduque, ou d’autre manière, une éducation qui agit parmi le cinéma. De cette façon, le désir qui impulse l’expérimentation mise en place est celui de rompre avec l’hégémonie classique de la fonction scolaire, en investissant dans une ligne de résistance, une machine de guerre orientée à un faire cinéma qui puisse ouvrir l’agencement éducationnel à d’autres forces, de manière à donner d’attention aux milieux visuels et sonores non linguistiques et, avec eux, mettre l’accent sur d’autres régimes de signes. Le cinéma, mode d’expression proliférant par une « esthétique du silicium », permettre de nouveaux agencements capables d’engendrer de nouveaux modes de vie. Le cinéma s’installe dans les seuils indiscernables entre le sonore et le visuel, entre des régimes linguistiques et non linguistiques, comme expression de la pensée Dans ce sens, il se lie à l’apprendre à mesure que se rapporte à une ouverture aux rencontres qui rendent possible la tessiture de l’immanence. Le cinéma – cinear, cinemar, dans l’esfère de l’air, lors d’extraire, sélectionner, explorer, expérimenter, fabuler avec de petites portions de la matière sonore et lumineuse du monde et être incarné par elles, il peut fissurer la dureté du pouvoir en fabriquant des machines de guerre. Un tel cinéma peut faciliter la recherche du devenir-philosophe, du devenirartiste-cinéaste, de chacun des impliqués dans ces processus fuyants, il peut potentialiser des processus de singularisation qui affaiblissent les modes de subjectivation qui barrent l’effervescence d’un nouveau devenir-homme. En tenant fin en soi-même, faire cinéma devient catalyseur des processus créatifs collectifs. Ce sur cette perspective que nous insistons. Il faut commencer un discours différent, rechercher de nouveaux pâturages et trouver un moyen capable de diffuser de nouvelles idées, car les nouvelles idées sont dans le domaine de la liberté. Ainsi, sont ouvertes de petites fentes sur la machine éducationnelle, lancées par ce faire cinéma, en ouvrant un processus inventif de marcher en groupe et apprendre dans la joie. Le trajet se fait nomade et rhizomatique, en traçant sur une carte des affects et des percepts qui embarbouille chercheur, professeur et élèves. Devenirs étranges, sorcier, loup-garou, patrouillent notre parcours errant. / Os trajetos e os devires desta cartografia reportam-se a uma experimentação com um fazer cinema junto a um grupo de professores e alunos da educação de adultos do Centro Municipal de Educação dos Trabalhadores – CMET Paulo Freire, em Porto Alegre. Esta pesquisa-experimentação ocorre entre os anos de 2010 e 2012, tecendo prolongamentos em 2013, que não findam com esta tese. As obras fílmicas que se precipitam ao longo deste percurso de três anos, são as figuras estéticas que dão carne à experimentação deste fazer cinema. Estas obras fabricam uma imagem do pensamento composta por conceitos filosóficos, por funções científicas e por afetos e perceptos artísticos. “Entre surdezes e cegueiras, fantasmas e lobisomens”, reporta-se aos atravessamentos desta cartografia com a surdez e a cegueira sensório-motoras e aos personagens que se precipitam nas Histórias de susto e assombração, projeto fílmico de culminância da tese. Este termos, ganham nova consistência ao se transmutarem em figuras estéticas na medida em que povoam os movimentos de um pensamento. “Entre surdezes e cegueiras”, especialmente, reporta-se essa nossa operação de perceber, de selecionar e de recortar da matéria sonora e luminosa sempre uma pequena porção, em função de nossos limites de apreensão e, também, pelo fato de retermos da matéria e suas ações somente aquilo que nos interessa. Neste estudo, procuramos pensar o encontro cinema e educação, explorando o pensamento de Gilles Deleuze e Felix Guattari. Os agenciamentos maquínicos da educação enganchados às tecnologias da informação com sua estética do silício, fortalecem as funções diagramáticas que atravessam as sociedades de controle. O silício, elemento classificado como semi-condutor, é tomado no phylum maquínico da sociedade para constituição do chip, e com ele um arsenal de tecnologias da informação – TIs. O silício, como matéria do mundo, é expressiva, dando a ver traços do que denominamos nesta tese por uma estética do silício. As TIs consolidam uma estética do silício regida hegemônicamente pelo Capitalismo Mundial Integrado – CMI. A educação, por sua vez, é peça da máquina abstrata de visageidade do mundo. Juntas, alicerçam uma gigantesca máquina de estratificação. A função diagramática educar toma as máquinas técnicas do cinema para fazer um cinema que educa, ou de outro modo, uma educação que age através do cinema. Por isso, o desejo que move a experimentação colocada em marcha, é o de romper com a clássica hegemonia da função escolar, investindo numa linha de resistência, uma máquina de guerra orientada a um fazer cinema que possa abrir o agenciamento educacional a outras forças, dando atenção aos meios visuais e sonoros não-linguísticos e, com eles, dar ênfase a outros regimes de signos. O cinema, modo de expressão proliferante por uma estética do silício, pode viabilizar novos agenciamentos capazes de engendrar novos modos de vida. O cinema instala-se nos limiares indiscerníveis entre o sonoro e o visual, entre regimes linguísticos e não-linguísticos, como expressão do pensamento. Neste sentido, engancha-se ao aprender na medida em que este reporta-se a uma abertura aos encontros que possibilitam a tessitura da imanência. O cinema - cinear, cinemar, na esfera do ar, ao extrair, selecionar, explorar, experimentar, fabular com pequenas porções da matéria sonora e luminosa do mundo e ser encarnado por elas, pode fissurar a dureza do poder, fabricando máquinas de guerra. Tal cinema pode facilitar a busca do devir-filósofo, do devir-artista-cineasta, de cada um dos envolvidos em seus processos fugidios, pode potencializar processos de singularização que enfraqueçam os modos de subjetivação que barram a efervescência de um novo devir-homem. Com fim em si mesmo, fazer cinema torna-se catalizador de processos criativos coletivos. É neste viés que insistimos. É preciso começar um discurso diferente, ir em busca de novas pastagens e achar um meio capaz de difundir ideias novas, pois as ideias novas estão no domínio da liberdade. Assim, abrem-se pequenas fendas na máquina diagramática educacional, disparadas por este fazer cinema, dando vazão a um processo inventivo de andar em bando e aprender na alegria. O trajeto se faz nômade e rizomático, traçando em um mapa de afetos e perceptos que embaralha pesquisadora, professoras e alunos. Devires estranhos, feiticeiro, lobisomem, rondam nosso percurso errante.
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Le réalisme cinématographique et sa réinvention dans la fiction contemporaine : [Abbas Kiarostami, Hou Hsiao-Hsien, Nanni Moretti, Dogme 95] / Cinema’s realism and its reinvention in the contemporary fiction : [Abbas Kiarostami, Hou Hsiao-hsien, Nanni Moretti, Dogme 95]

Labé, Benjamin 03 December 2010 (has links)
Le cinéma des années 1990 et 2000 est parfois décrit comme celui d’un retour au réel, regroupant de nouvelles tendances réalistes. Le réalisme est une notion composée et complexe, qui présente une galaxie de significations relatives et historiquement déterminées : le mot peut désigner à la fois une tendance générale de l’art, les capacités représentatives propres d’un moyen d’expression, un courant artistique historique, mais aussi l’efficacité globale d’une œuvre narrative ou encore, au sein de celle-ci, une qualité particulière du récit ou du style. Étudier le réalisme d’un art dans une période implique ainsi la compréhension des particularités de celui-ci, ses liens avec le réalisme artistique général, l’examen des théories liées au réalisme en vigueur, enfin l’analyse des œuvres. Pour comprendre le réalisme dans la fiction contemporaine, cette thèse propose donc une délimitation théorique de la notion dans le champ du cinéma, visant une typologie des différentes significations. On peut alors étudier la nouveauté du réalisme esthétique contemporain, en analysant les constructions narratives des films de certains cinéastes (Nanni Moretti, Hou Hsiao-hsien, Abbas Kiarostami, ainsi que deux films du Dogme 95), puis en examinant leurs traits stylistiques communs. / The cinema of 1990’s and 2000’s is sometimes described as a return to reality, including new realistic trends. Realism is a compound and complex concept, which presents a galaxy of relative and historical meanings : the word can appoint at the same time a general trend of art, the special representative capacities of a medium, a historical artistic movement, but also the global efficiency of an oeuvre or, within this one, a particular quality of the narrative or style. To study the realism of an art for a period so implies the understanding of the characteristics of this art, its links with the general artistic realism, the examination of the theories related to the current realism, finally the analysis of works. To understand realism in the contemporary fiction, this thesis thus proposes a theoretical delimitation of the notion for cinema, aiming at a typology of the various meanings. One can then study the novelty of contemporary aesthetical realism, by analyzing narrative constructions of some various directors’ movies (Nanni Moretti, Hou Hsiao-hsien, Abbas Kiarostami, and two Dogme 95 films), then by examining their common stylistic features

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