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Die Wahrnehmung von Menschen ohne regulären Aufenthaltsstatus: Kontextualisierung und Argumentationen zu Illegalität und Illegalisierung in deutschen und französischen Printmedien 1992 – 2001Hunold, Dagmar 26 June 2009 (has links)
In Bezug auf irreguläre Migrationsformen, die sich den bestehenden rechtlichen Einreise- und Aufenthaltsregelungen entziehen, wird nur selten hinterfragt, inwieweit diese durch Attribution von Aufenthaltsmerkmalen konstruiert werden. Entscheidend hierfür ist die national(staatlich)e Zugehörigkeit.
Die vorliegende Arbeit fokussiert die Wechselwirkungen von Illegalität und Illegalisierung. Um die Konstruktionsmechanismen besser aufzudecken, wurde ein Ländervergleich zwischen Deutschland und Frankreich gewählt. So wurden Zeitungsartikel aus jeweils zwei deutschen und französischen Zeitungen inhaltsanalytisch untersucht.
Zwei zentrale Fragestellungen standen im Vordergrund. Zum einen wurde untersucht, in welchem Kontext Illegalität und Illegalisierung thematisiert werden und in welcher Gewichtung sie auftreten. Des Weiteren wurde betrachtet, welche Argumentationen im Umgang mit den Betroffenen im öffentlichen Diskurs dargestellt werden.
Dabei wurde festgestellt, dass stärker als angenommen Illegalisierungselemente in den Medien dargestellt werden, allerdings kaum als solche benannt werden. Illegalität und Illegalisierung werden darüber hinaus kaum in einen Zusammenhang gestellt. Argumente werden selten detailliert dargestellt, wobei in der Regel eine Rückbindung an allgemeine Zuwanderungsdiskurse zu beobachten ist. Ein diskursiver Exkurs deckt wesentliche Unterschiede zwischen Deutschland und Frankreich auf. Die Arbeit versucht, das Bild von Migranten ohne regulären Aufenthaltsstatus zu differenzieren und Fragen im Umgang mit Fremdheitserfahrungen zu erörtern.
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Union européenne : la fédération d'Etats-nations entre préférences nationales, jeux de puissance et coopération institutionnelle / The EU : Federation of Nation states, between national preferences, power politics and institutional cooperationLefebvre, Maxime 18 February 2012 (has links)
Au-delà du débat entre méthode intergouvernementale et méthode communautaire, le positionnement des Etats-nations par rapport à la construction européenne demeure une variable essentielle pour comprendre comment s’opère cette construction et à quels compromis elle parvient. Traditionnellement abordé sous l’angle de la puissance et de la géopolitique, le rapport entre les Etats de l’Union européenne, désormais réglé par la coopération institutionnelle, doit faire appel à d’autres grilles d’analyse issues de l’histoire et des différences culturelles, sociologiques, économiques, politiques entre les nations. Cette thèse, fondée à la fois sur une expérience diplomatique et sur des travaux de recherche et de réflexion, met en exergue le rôle central et systémique de la relation franco-allemande, à la lumière notamment de la rédaction du projet de Constitution européenne en 2002-2003, des positions actuelles de l’Union sur la politique d’élargissement et la relation avec la Russie, ou de la résolution des problèmes de l’union monétaire depuis 2010. La négociation du cadre financier pluriannuel de l’Union européenne montre comment les Etats-nations s’orientent à partir de la question des « soldes nets » qui oppose pays bénéficiaires et pays contributeurs. Une plus grande équité dans les dépenses et la répartition de la charge contributive pourrait être un moyen de dépasser ces négociations d’apothicaires. La politique étrangère européenne est encore plus l’exemple d’une politique contrainte par les différents intérêts nationaux, ce qui n’a pas empêché le développement de l’Europe de la défense dès lors que celle-ci restait adossée aux Etats-Unis et à l’OTAN. Revisitant la construction européenne en fonction des préférences nationales, cette thèse se conclut en posant l’articulation géopolitique entre Union européenne, « Europe espace » et « Europe puissance ». / Beyond the debate on intergovernmentalism and the “communautarian method”, the positioning of the “Nation States” in Europe is a key factor determining the European construction and its compromises. Traditionnally analysed through geopolitics and power politics, the relationship between the States of the European Union is nowadays ruled by institutional cooperation and must be addressed by new analytical schemes such as cultural, sociological, economical and political differences between the nations. This thesis, based on diplomatic experience and academic works, emphasizes the role of the franco-german relationship regarding in particular the negociation of the European constitution in 2002-2003, the EU positions on enlargement and the relationship to Russia, or the solution to the Eurozone crisis since 2010. In the negociation of the financial perspectives, the positions of Member States is determined by the question of budgetary balances in which contributors and beneficiaries of the EU budget face eachother. More equity in the sharing of expenditures and resources could be a mean to get out of these tough negociations. EU foreign policy is another example of a policy determined by national interests, which didn’t prevent the EU to develop a common defence policy as far as it remains compatible with NATO and the US Strategy. Having revisited the European integration through these national preferences, this thesis questions in conclusion the links between the EU, the European space and the European power.
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L'Etat associé : recherches sur une nouvelle forme de l'Etat dans le Pacifique Sud / Associated state : a proposal for a new form of State in the South PacificHavard, Léa 14 November 2016 (has links)
Apparu au milieu des années 1960 dans le Pacifique Sud, l’Etat associé est une forme de l’Etat singulière. A l’origine conçu par les Nations Unies comme une voie de décolonisation intermédiaire entre l’indépendance et l’intégration à un autre Etat, l’Etat associé est devenu une forme d’organisation politique pérenne choisie par cinq territoires de sorte à affirmer leur identité propre tout en partageant des liens privilégiés avec un autre Etat, l’Etat partenaire. Consubstantiel à l’Etat associé, ce rapport d’association n’est pas sans soulever des paradoxes au regard des canons de la forme dominante de l’Etat qu’est l’Etat-nation. L’étude de l’Etat associé permet alors de mettre en perspective les catégories classiques de la théorie générale de l'État. De fait, si l’Etat associé est un Etat à part entière, il est surtout une forme de l’Etat à part dans la mesure où il est construit pour un peuple complexe, caractérisé par une souveraineté déléguée et institutionnalisé par une constitution associative. Penser l’Etat associé est donc une voie pour ouvrir de nouvelles perspectives afin de réfléchir aux évolutions de l’Etat dans un monde globalisé marqué par des interdépendances croissantes. / Used for the first time during the sixties in the South Pacific, the notion of Associated State is a singular form of State. Originally conceived by the United Nations as a path between the independence from another State on the one hand and the integration into this State on the other hand, the Associated State became a sustainable form to organize the political power. This form of political organisation has been chosen by five territories to assert their own identity but also, to establish a particular link with another State, the Partner State. Induced by the notion of Associated State, the relationship between the Associated State and the Partner State questions our classical representation of the State: the Nation-State. Because the Associated State is a fully form of State but a singular one, a research, centred on this singular form of State, is the occasion to put into perspective the categories classically used in a General theory of the State. Indeed, it has been built for complex societies where the sovereignty is a delegated one and where it is institutionalized by an associative constitution. Hence, thinking the Associated State is a way to open new fields of thought and discussion to think the evolution of the State in a globalized world heavily influenced by increasing interactions.
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La nation à l'épreuve de la diversité ethnoculturelle : étude comparative France / Etats-Unis / Nation facing ethnocultural diversity : a comparative study between France and United-StatesKolo Favoreu, Edith 04 December 2012 (has links)
Quelle nation se cache derrière les nations française et américaine ? Aux prises avec la diversité ethnoculturelle de leurs populations, ces deux entités nationales semblent à la fois fortifiées et fragilisées par cette hétérogénéité intrinsèque. Dans ce cadre, la place du droit, source et objet de gestion, se pose avec acuité, ambitionnant l'articulation entre le développement de la nation en tant qu'unité de référence et le respect de la diversité en tant que reconnaissance des identités différenciées. La France et les Etats-Unis, Etats-nations républicains, sont souvent présentés comme deux archétypes ayant engendré des modèles sociaux, politiques et juridiques antagoniques ou en tout cas différents. Toutefois, on peut considérer que loin d'être opposables, les deux pays ont développé une approche juridique similaire de la diversité ethnoculturelle dans le cadre national. L'histoire de la construction nationale dans les deux cadres de référence montre le développement empirique de ces nations avec et par la diversité. Ainsi, en France comme aux Etats-Unis, l'appréhension des différenciations des origines et des statuts des personnes a induit une prise en considération normative, consacrant un ancrage de la diversité dans le système juridique. L'articulation des principes républicains fondateurs des deux nations couplé à la diversité, a généré un système complexe oscillant entre différentialisme et aveuglement aux différences. Néanmoins, l'analyse des référentiels français et américain questionne la nécessité d'une reconnaissance juridique accrue de la diversité ethnoculturelle en tant que condition de l'unité nationale / On observing France and the USA, a question arises: what kind of nation lies behind each? For both, inherent heterogeneousness leads to ethnic and cultural issues which are sources of strength but also of weakness. Here, the law both as a source and a tool appears to accurately link together the nations' development and the respect of diversity. Therefore, when analyzing the French and American models it is necessary to acknowledge within the extents and constraints of the law the ethnocultural diversity as a condition of national unity. France and the USA, who are both nations and republics, are often presented as examples of two specific nations that have created two opposite or at least different models of societies, politics and legal systems. Nevertheless, they do not appear as different when considering their legal models since they have created similar approaches to ethnocultural diversity within a national system. The French and American legal models referring to ethnic and cultural diversity lead us to consider the development of these two nations with and through diversity. The difference of origins and status has led to setting a standard of diversity in the law system. Even if diversity is not a stated constitutional principle, it had become an implicit canon. As one result, the founding republican principles of these two nations have been integrated over the last decade into a complex legal system vacillating between considering and refusing differences. In this sense, we can argue that taking into account diversity helps the improvement of a nation's unity by redefining the social contract
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Redefining U.S. borders : a reading of Sandra Cisneros’s Caramelo, Cristina Garcia’s The Agüero Sisters, and David Plante’s The Family and The NativeGaddas, Aya L. Jr 08 1900 (has links)
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