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Le revirement de la politique française a l'egard de l'Allemagne entre 1945 et 1950Korff, Adalbert. January 1965 (has links)
Thesis--Universite de Lausanne, Ecole des sciences sociales et politiques. / Includes bibliographical references. Bibliography: p. [353]-362.
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Le revirement de la politique française a l'egard de l'Allemagne entre 1945 et 1950Korff, Adalbert. January 1965 (has links)
Thesis--Universite de Lausanne, Ecole des sciences sociales et politiques. / Includes bibliographical references. Bibliography: p. [353]-362.
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La chancellerie de Flandre-Bourgogne sous les ducs de Bourgogne de la maison de Valois, 1384-1477Cockshaw, Pierre January 1975 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les documents humains : Émile Zola, le journalisme et la littérature (1865-1893)McNeil Arteau, Guillaume 23 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2015-2016 / Entre 1865 et 1881, Émile Zola est un journaliste actif à la fois dans la presse parisienne et provinciale ; pendant les dernières années de cette période, il est aussi correspondant pour une revue mensuelle russe, Le Messager de l’Europe. Cette vaste production textuelle constituée au fil de ces seize années de journalisme donne à lire les observations quotidiennes que formule Zola sur la vie culturelle française en usant des multiples ressources génériques de la presse : la chronique, le microrécit, le portrait-carte, le compte rendu parlementaire, l’étude sociale, la notice nécrologique, etc. Cette étude retrace ce parcours journalistique où l’activité littéraire zolienne se fait au contact d’une actualité tantôt immédiate, tantôt très dilatée, et interroge le rapport d’influence que l’on observe entre la presse et le roman zolien. Ce rapport s’opère sur divers aspects de l’œuvre littéraire : discursif (propos tenu sur la presse dans le texte critique, d’escorte ou au cœur de l’univers diégétique), romanesque (présence d’un personnel journalistique dans le roman zolien), thématique (publicité et littérature), poétique (la méthode d’élaboration du roman naturaliste partage des consonances très précises avec celle du reportage), réception littéraire (la critique antinaturaliste reproche au roman zolien d’introduire les procédés de la presse dans la sphère des lettres). L’étude de ces influences révèle que le romancier emprunte aux procédures journalistiques, et plus significativement aux procédures documentaires, certains modes de saisie du réel déterminants dans la composition de l’œuvre romanesque en régime naturaliste. En cela, on peut avancer que les pouvoirs cognitifs de la fiction zolienne procèdent d’un imaginaire de la documentation étroitement lié à celui du journal au XIXe siècle. / From 1865 to 1881, Émile Zola is a journalist both in the Parisian and the provincial press; he also is, during the last years of this period, a correspondent for a Russian monthly magazine, The Messenger of Europe. The vast textual production of those sixteen years of journalism gives access to Zola’s daily observations about French cultural life using the many usual forms of the press : the column, the micro-narrative, the « portrait-carte », the parliamentary account, the social study, the obituary, etc. The present literary criticism follows this journalistic career and the contact of zolian literary activity with immediate and not so immediate news, and reflects on the relation and the influence between the press and the zolian novel. This relation can be seen in many aspects of the literary work : discursive (remarks on the press in criticism, in a preface or in the heart of the diegetic universe), fictional (presence of journalistic staff in a zolian novel), thematic (advertising and literature), poetic (the construction of a naturalist novel is very similar to the construction of reportage), literary reception (the antinaturalist critique of zolian novels criticizes its introduction of journalistic methods in the literary world). The study of these influences shows that the novelist borrows, from journalistic methods, and especially from documentary methods, certain ways of grasping reality which are crucial in the composition of a novel in the naturalistic scheme. Thus, we can affirm that the cognitive powers of zolian fiction stem from a documentation imagination closely linked to the imagination of 19th-century press.
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La mémoire rompue : les défis de la coexistence confessionnelle au consulat lyonnais (1563-1567)Godbout, Ariane 10 September 2024 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2016-2917 / La paix d'Amboise (1563-1567), qui suivit le premier conflit ouvert entre catholiques et protestants en France, constitue une période particulièrement riche pour l'étude des premières manifestations de la coexistence confessionnelle au sein du royaume. À Lyon, ville tombée aux mains des huguenots en 1562, le pouvoir royal imposa notamment un partage des charges municipales entre catholiques et réformés, obligeant les tenants des deux confessions à gouverner la communauté ensemble, malgré leurs réticences à travailler avec leurs ennemis d'hier. Ce mémoire vise, grâce à une analyse des délibérations consulaires, à faire état de la manière dont les consuls instrumentalisèrent la tradition du corps de ville et les rituels civiques pour faire valoir leurs intérêts respectifs dans leurs querelles, tout en respectant le cadre législatif imposé par la couronne de France. / The peace succeeding the Edict of Amboise (1563-1567), which followed the first open conflict between Catholics and Protestants in France, constitutes a particularly rich period for the study of the first appearance of denominational coexistence within the kingdom. In Lyon, the royal power notably imposed that municipal offices be shared between Catholics and Protestants, forcing the members of each denomination to govern together, despite their reluctance to work with their past enemies. By way of an analysis of the city council's registers, this essay's goal is to give an account of the way city councils exploited the traditions of the "corps de ville" and its civic rituals to assert their interests during disputes whilst still respecting the legal framework imposed by the French crown.
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Le passage à l'ère post-westphalienne : les politiques européennes et impériales de la France pendant la IVe République (1944-1958)Racine, Maryliz 05 April 2024 (has links)
"Thèse en cotutelle : Université Laval, Québec, Canada, Philosophiæ doctor (Ph. D.) et Aix-Marseille Université, Marseille, France" / Ravagée par la guerre et occupée pendant plusieurs années, la France a été le théâtre de changements majeurs dans la manière dont ses dirigeants ont appréhendé son avenir au sein du Concert des Nations. Ces derniers étaient conscients de l’importance qu’a eue l’empire entre 1940 et 1945 et le rôle central qu’il avait pour le rétablissement de la légitimité du pays en tant que Puissance mondiale. Dans le domaine économique, les colonies étaient conçues comme un apport essentiel au relèvement de la France et pour sa prospérité. Les décideurs français ont ainsi consolidé les liens entre la métropole française et ses colonies pour fonder une politique impériale sur les principes du républicanisme selon lesquels la République était « une et indivisible ». Les hommes politiques français ont raffermi l’emprise de la France sur leurs territoires d’outre-mer par la création de l’Union française et ont donné un second souffle à la constitution d’un État-Empire, un projet entamé dans les années 1930. La dernière phase d’expansion de l’empire du dix-neuvième siècle faisait place alors depuis les années 1920 et 1930 à une logique de développement et de mise en branle des projets coloniaux de manière à créer un empire qui pouvait constituer un ensemble cohérent. La poursuite de cette logique du mythe colonial français après 1945 a eu pour effet de modifier l’identité de la France en tant qu’acteur du système international. La France n’était plus perçue par ses agents sub-étatiques comme un simple État possédant des colonies, mais bien comme une nouvelle entité dans laquelle ses excroissances dans l’outre-mer faisaient dorénavant partie intégrante de l’État et contribuaient à forger un avenir, qui était dès lors inextricablement partagé. Le bien-fondé de la mission civilisatrice de la France se traduisait dans cette période par un sentiment de devoir envers les territoires d’outre-mer ; le devoir de les amener au développement économique moderne et à un stade civilisationnel supérieur. Ces mêmes convictions ont conduit les gouvernements français à envisager une autre issue à cette relation que celle de l’indépendance totale, encouragée par les mouvements de décolonisation. Cette nouvelle identité a des effets tangibles sur la conception et l’engagement des décideurs et les haut-fonctionnaires français dans les projets destinés à rapprocher les économies européennes et dans la poursuite de l’intégration européenne. Dans le cas de la CECA, puisque cette institution sectorielle avait peu d’impacts sur la production d’outre-mer, on envisageait les bénéfices à une association entre les continents européen et africain comme marginaux. Cependant, le facteur colonial devenait de plus en plus influent dans les prises de décisions effectuées par les haut-fonctionnaires et analystes français du ministère des Affaires étrangères. Il a d’ailleurs constitué l’un des points d’achoppement dans les négociations de la mise en place d’une armée européenne, car l’article 38 du Traité instituant la CED ne prévoyait pas de mesures permettant à la France de conserver les moyens de poursuivre ses opérations de pacification dans l’empire ainsi que la guerre d’Indochine. C’est en ce sens qu’après l’échec de la CED le gouvernement français sous le leadership d’Edgar Faure a entrepris de mener des réformes de manière à trouver une solution durable au dilemme de la vocation européenne ou mondiale de la France. Des réformes politiques et économiques majeures étaient envisagées afin de transformer l’Union française en une association fédérale franco-africaine librement consentie. L’ensemble français ne pouvait donc plus être intégré partiellement à des initiatives européennes, car cela contreviendrait aux principes républicains renforcés par les réformes. Dans le contexte de la « relance européenne », le gouvernement sous Guy Mollet proposait de lier le marché commun européen aux territoires d’outre-mer, ce qui aurait permis l’ouverture des marchés africains aux échanges européens. Intégrées dans cette Eurafrique, les colonies auraient ainsi vu les bénéfices de conserver le lien politique avec la France. Cette thèse analyse la manière dont la souveraineté était comprise et imaginée par les dirigeants français pendant la construction européenne et lors du remodelage de leurs liens avec les anciennes colonies. Sans nier la portée de la souveraineté dans le cadre de l’existence d’un État, elle fut appelée à être modifiée ; ses éléments constitutifs furent repensés au profit d’une forme étatique supranationale. L’étude de ce nouveau modèle des relations internationales sera étendue aux alternatives que les dirigeants français ont proposées aux colonies africaines. Ces derniers les poussaient à dépasser le stade du nationalisme pour adhérer à un modèle étatique jugé supérieur : un stade post-westphalien dans lequel leurs revendications indépendantistes seraient caduques. / Ravaged by years of occupation, France witnessed major changes in policymakers’ vision of the country’s future and of French interests and aims. They were aware of the importance of the empire during the war and the role it would play after the war in the restoration of France’s international legitimacy as a Great Power. Colonies were also conceived as an essential element of France’s revival and of its long-term prosperity. French decision-makers thus sought to strengthen links between the French metropole and its colonies in order to reassess its imperial identity, which was founded on republican principles. These politicians stiffened France’s hold on its overseas territories with the implementation of the Union française and gave a second wind to the achievement of a State-Empire. The nineteenth century expansionary phase of the French empire had given way to another phase of imperialism in which development and progress of the overseas territories were at its core. The continuation of the colonial myth had profoundly modified French identity as a key player of the international system. France was no longer seen by its sub-national agents as a simple State holding colonies, but as a new form of statehood; an entity in which its overseas territories was now a constituent part of it and contributed to forging new perspective for their shared future. This new identity had a significant influence on how interests within the international system and particularly in Europe were pursued, especially within the European integration projects. Decisions makers in the French Fourth Republic evaluated their potential gains and preferences, first of all, through the lens of an Imperial Power. In other words, France’s political and economic elite had first examined the inherent implications of the upholding of their pre-1940 empire on France’s economic and geo-strategic needs, in the shifting context of early Cold War. Pro-European projects were therefore analyzed and weighed in regard to their costs and benefits, in the light of a new grid. Decision makers were influenced by the bien-fondé of French colonialism, based on the sentiment that France had a duty towards overseas territories; a duty of guiding them towards progress and civilization. It is with those considerations in mind that the French governments envisaged another solution to the question of its relationship with its colonies than total independence. The French stance on the European federal project was thus influenced by the introduction of a new variable in the equation of early European integration: the facteur colonial. In the early European integration process, it was considered marginal because of the sectoral approach of the ECSC. Although, the imperial identity was more and more apparent in the interests and policies pursued by the French government during the EDC debate. The introduction of a European army did not ensure France either the possibility of pursuing its peacekeeping operations in the overseas territories or the Indochina War. After the defeat of the EDC project in the French parliament, the government under the leadership of Edgar Faure envisioned a new set of reforms (political, administrative, and economic), which would transform the Union française into a consensual Franco-African federal political association. From this perspective, the ensemble français could not anymore be introduced partially within the European projects promoted in the wake of the « European revival ». Under Guy Mollet’s government, a plan to establish supranational structures in their former colonies and in Europe was formulated so that free trade between the two continents could be established. With the economic benefits anticipated for the overseas territories, this Eurafrican project would have proved to African representatives that their interests lay in maintaining the political link between their territories and France. Accordingly, this thesis argues that French leaders questioned the international relations framework based on the nation-state as the central entity of the international system in order to conciliate their ambitions in Europe and as a State-Empire. These two projects – Franco- African association and European integration ̶ shared common characteristics and conceptual origins: supranationalism. French officials and policy-makers promoted a federal Eurafrican project to avoid the process of decolonization and create a political structure that would defuse difficult and pressing colonial issues. The former French colonies were asked to pass from the status of colonized territories to constituents of a supranational structure. The French decision makers pushed the overseas territories to transcend the stage of nationalism to reach an advanced statehood model: a post-Westphalian stage in which their demands for total independence would be obsolete. / Résumé en espagnol
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Les historiens français et la recherche historique allemande de 1865 à 1914Sanfaçon, Gaétan 25 April 2018 (has links)
A partir des années 1860, les historiens français se rendent compte que leur discipline prend du retard face à l'historiographie allemande. Toutefois, c'est l'impact des événements de 1870 qui fait prendre clairement conscience de ce recul. Une question se posait alors: les historiens français allaient-ils se contenter de la deuxième place intellectuelle en Europe? N'allaient-ils pas essayer de redorer le blason de l'historiographie française? Effectivement, à partir de 1871, un mouvement général lance les historiens français à la poursuite de leurs rivaux d'outre-Rhin. C'est pourquoi il nous est apparu intéressant de voir la perception que les historiens français ont eu de la recherche historique allemande de 1865 à 1914. Mais quel allait être le miroir idéal pour réaliser cette étude de perception? Nous avons opté pour la Revue des Questions Historiques et la Revue Historique, les deux premières revues d'histoire spécialisées françaises. Deux revues idéologiquement opposées et qui pourtant devaient refléter les mêmes préoccupations. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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A storm in the inkpot : ideology, history and radicalism in Eugene Sue's Atar-GullTerni, Jennifer 24 April 2018 (has links)
La réception critique de l'oeuvre du feuilletoniste Eugène Sue s'est penchée sur l'apparente disjonction entre, d'une part, son contenu "socialiste" édulcoré et d'autre part, l'impact qu'on accorde à ses écrits par rapport à l'engagement populaire de 1848. Cette lecture, cependant, a tendance à interpréter l'engagement politique de l'auteur, entre Les Mystères de Paris (1842) et Les Mystères du Peuple (1857), comme faisant montre d'un développement soutenu, mais problématique, d'une pensée anti-bourgeoise et socialiste. En montant une lecture sociocritique du discours politique d'un des premiers romans de Sue, Atar-Gull (1832), nous sommes à même de relever les bases d'une pensée radicalement antibourgeoise dans les toutes premières années de sa carrière. La contextualisation littéraire et historique d'Atar-Gull, ainsi que la réexaminassions de l'orthodoxie critique relevée ci-haut, nous permettent de comprendre l'importance de certains textes littéraires en tant que monuments historiques. / So far, critical evaluations of the works of serial writer Eugène Sue have tended to concentrate upon the apparent disjunction between his stereotypical brand of socialism, and the role his writing is credited with having played in furthering popular participation in the revolution of 1848. This critical understanding has tended to portray the author's own political engagement between the publication of Les Mystères de Paris (1842) and that of Les Mystères du Peuples (1857), as a sustained, yet problematic, development in anti-bourgeois and socialist thought. On the basis of a sociocritical reading of one of Sue's earliest novels, Atar-Gull (1832), we do, however, notice a radical antibourgeois stance from the very first years of his career. In examining this novel in context, both historical and literary, and in revisiting the premises that underlay past critical orthodoxy, we may demonstrate the relevance of certain kinds of literary production as historical monuments. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les finances de Paris sous la Restauration : une analyse quantitativeBédard, Richard 16 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le pouvoir de la parole dans la Chronique du religieux de Saint-Denis : éloquence et vie publique dans la France de Charles VI, (1380-1422) / Éloquence et vie publique dans la France de Charles VI, (1380-1422)Côté, Vincent 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire est une contribution à l'étude critique de la chronique latine du règne de Charles VI (1380-1422) rédigée par Michel Pintoin, religieux de Saint-Denis. Nous examinons ce que son témoignage peut nous apprendre au sujet du rôle et de la pratique de l'art oratoire dans la société française du Moyen Âge tardif. Nous montrons d'abord comment le chroniqueur hisse l'éloquence au rang des qualités indispensables à tout homme public; cette valorisation appuyée de l'art de persuader apparaît comme un trait majeur de la transformation, au cours des XIVe et XVe siècles, de la conscience politique "médiévale" en conscience politique "moderne". Nous analysons ensuite les discours contenus dans la chronique: alors que certains sont des constructions rhétoriques de Michel Pintoin, dont ils reflètent la culture et les idées, d'autres offrent un écho des deux principaux genres oratoires pratiqués en France au tournant de 1400: Yarenga et le sermon "thématique", apparus tous deux au XIIIe siècle. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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